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Les couleurs dans la poésie latine au premier siècle av. J.-C / The Use of Color in Latin Poetry of the First Century BC

Brouillard, Michel 15 December 2012 (has links)
Cette étude analyse l’emploi des couleurs dans l’intégralité des oeuvres de Lucrèce, Catulle, Virgile, Horace, Tibulle, Properce et Ovide. Cette étude a été conduite à partir d’un référentiel de termes de couleur unique et considérablement élargi par rapport à l’habitude en ce domaine : aux termes courants, comme albus, niger, ruber, etc., ont été ajoutés un grand nombre d’autres termes porteurs implicites de couleur comme aurum (l’or), ebur (l’ivoire), marmor (le marbre) ou encore sanguis (le sang), dès lors que l’occurrence était pertinente. Un inventaire exhaustif et quantifié de tous les termes de couleur, de toutes leurs occurrences dans chacune des oeuvres fait l’objet d’un document annexe (292 pages), enrichi de tableaux de synthèse et de ratios : il est ainsi possible de vérifier immédiatement la présence ou l’absence d’un terme, de connaître sa fréquence d’apparition chez chaque poète, dans chacun de ses poèmes. L’étude s’est attachée à analyser et comparer les emplois de chaque terme chez chacun des poètes, à souligner les symbolismes, les alliances et les contrastes de couleurs que privilégie chaque poète, à étudier la manière dont chacun peint portraits, paysages, scènes diverses, à s’interroger sur les raisons des lacunes ou des concentrations de couleurs au sein des poèmes. Ainsi on a pu mettre en évidence selon les thèmes (épopée, élégie ou satire), la profonde cohérence entre le style, la personnalité de chaque poète et sa palette de couleurs, sa manière d’en user. / This study examines the use of color in the entirety of poetic works by Lucretius, Catullus, Virgil, Horace, Tibullus, Propertius, and Ovid. This study was conducted using a single reference tool of color-related terms, which allows a more thorough analysis of early Latin poetry than has typically been the case. To common terms such as albus, niger, and ruber, have been added numerous terms which implicitly signal the presence of color within the text, such as aurum (gold), ebur (ivory), marmor (marble), and sanguis (blood). A comprehensive inventory of color terms appears in a 292-pages appendix that contains summary tables showing where each term can be found in the works studied. It is therefore possible to immediately verify the presence or absence of a color term, and to map the frequency with which it appears in a particular poem or in the work of a particular poet. This study seeks to analyze and compare the use of color terms as used by each poet ; to highlight the symbolism as well as the color combinations and contrasts favored by each poet; to study the ways in which each poet paints portraits, landscapes, and various other scenes with words ; to raise questions about the absence or concentration of color in the heart of particular poems. By doing so, it becomes possible to demonstrate - in the case of epic, elegy, or satire - the profound coherence linking poetic style, the personality of the poet, the color palette, and the manner in which it is used.
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Figures gynandres chez Catulle Mendès : Les Oiseaux bleus, Méphistophéla et Monstres parisiens

Le Corre, Daisy 07 1900 (has links)
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Étude de l’hexamètre de Catulle

Chénier, William 04 1900 (has links)
Cette recherche repose sur l’étude rythmique de l’hexamètre de la poésie de Catulle. Elle est utile, car cela n’a jamais été entrepris dans le cadre d’un travail de grande envergure. Le but est de fournir, enfin, une étude complète sur ce type de mètre utilisé par Catulle. On répertorie tous les éléments permettant de déterminer les caractéristiques propres à l’auteur, par exemple : les césures, les schémas métriques et les finales des vers. Une fois ces éléments notés, on explique davantage ceux dignes d’être mentionnés. Par l’analyse des données, on justifie que Catulle adapte son style rythmique aux différents sujets qu’il aborde dans ses poèmes. De plus, pour rendre ce travail encore plus complet, on indique les diverses innovations introduites par l’auteur. Pour ce faire, on analyse deux œuvres de poètes antérieurs. D’abord, on explore l’Aratea de Cicéron, un poème écrit une génération avant notre auteur. Cela présente une vision générale de l’écriture hexamétrique presque contemporaine à Catulle. Ensuite, on étudie une sélection suffisante de vers tirée des fragments des Annales d’Ennius, car il est le tout premier poète à avoir écrit en hexamètre dans la langue latine en l’adaptant de la langue grecque. Pour terminer, on présente une analyse de certains éléments de deux auteurs grecs, Homère et Callimaque, afin de démontrer les liens entre eux et Catulle. Ainsi, l’analyse de ces quatre auteurs permet d’avoir un portrait juste de l’écriture hexamétrique avant Catulle. On recense les éléments amenés par Catulle de ceux provenant soit de la mode de son époque ou soit venant d’une certaine tradition archaïque. Pour finir, on arrive à prouver que notre auteur réussit à innover, même s’il reste borné aux limites de son époque. / This research is a rhythmical study of the dactylic hexameter in Catullus. It has never been undertaken on such a large scale. The aim is to provide, at last, a complete study of this type of meter as used by Catullus. All elements that allow definition of the author's characteristics, for example, caesuras, metrical patterns and verse clausulae, are counted. Once these elements are noted, those worthy of mention are further explained. Through the analysis of the data, it is established that Catullus adapts his rhythmic style to the different subjects he addresses in his poems. In addition, to make this work even more complete, the various innovations introduced by the author are identified. To achieve this, two works by earlier poets are analysed. First, Cicero's Aratea, written a generation before the author under study, is explored. Thus is presented a general view of hexametric writing almost contemporary to Catullus. Next, a sufficient selection of verses from the fragments of Ennius' Annals is studied, as he was the very first poet to write hexameters in the Latin language, adapting the form from the Greek. Finally, an analysis of some elements of two Greek authors, Homer and Callimachus, is presented to demonstrate the links between them and Catullus. Thus, the analysis of these four authors allows an accurate portrait of hexametric writing before Catullus. Elements added by Catullus are distinguished from those coming either from the fashion of his time or from a certain archaic tradition. In the end, a picture emerges of an innovating author, even if he remains within the limits of his time.
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Poétique de la chronique dramatique de Catulle Mendès (1895-1897)

Ducos, Pascale Laurence 18 April 2018 (has links)
Dans le cadre du paradigme de recherche qui se préoccupe des répercussions de la culture médiatique au XIXe siècle en France, sur la littérature et dans le discours social, il nous a paru judicieux de nous pencher sur le cas de la chronique dramatique de Catulle Mendès (1841-1909), qu'il écrivit au Journal de 1895 à 1897. Nous choisissons de nous intéresser à trois types de contraintes, qui s'exercent alors dans le monde dramatique. La dictature du résumé et l'irruption du reportage dans l'espace journalistique menacent la chronique dramatique dans son identité. Dans l'espace dramatique, le personnage de théâtre amorce déjà sa crise, qui va atteindre son paroxysme au XXe siècle. Enfin, les directeurs de théâtre rejettent la critique dramatique en cette fin de siècle, et Mendès vit ce conflit avec Lugné-Pôe. Mendès dispose de ses stratégies personnelles pour lutter contre ces contraintes, en allant également puiser dans son réservoir littéraire, comme le roman La Femme-enfant, ou encore la nouvelle policière, Rue des Filles-Dieu, 56, dans laquelle il donne vie au procédé narratif du "narrateur non-fiable". Son immense implication dans la presse au cours de la prime partie de sa carrière littéraire, lui permet aussi de faire son profit des stratégies collectives des critiques dramatiques, comme certains procédés d'écriture (" l'emboîtement d'instances énonciatives "), et la création de leur association, l'ASPMCDM.
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Le pessimisme dans trois romans de Catulle Mendès : Le roi vierge, Méphistophéla et Le chercheur de tares

d'Ableiges, Evrard 04 1900 (has links)
Cette étude tente de saisir l’ambiguïté du propos pessimiste dans trois romans de Catulle Mendès (1841-1909). D’un côté, la construction du héros suggère une critique psychopathologique du pessimisme conforme au moralisme de la doxa fin-de-siècle qui dénie à cette pensée toute valeur spéculative. De l’autre, la représentation d’une société dissimulatrice contre laquelle le héros est en lutte confère à celui-ci un pouvoir de dévoilement. Cette tension se trouve condensée dans le concept de monstre qui fait l’objet d’une double lecture, à la fois pathologique et herméneutique. La conscience du héros étant conforme par sa stérilité à la conscience décadente telle qu’elle est définie par Jankélévitch, le système de pensée qu’elle féconde peut être assimilé à un monstre. Or, le sens premier du monstre pessimiste est le caractère inhumain de la vérité, autant comme quête que comme révélation. Seul un monstre peut porter la vérité car celle-ci est à sa mesure, intolérable. Elle renvoie l’homme à la toute-puissance de l’instinct dont découlent ses idéaux. Partant d’une conception pessimiste, le propos de Mendès débouche ainsi sur une morale idéaliste qui prône contre l’universelle tare le mensonge universel. / This thesis tries to make sense of the ambiguity of pessimism in three of Catulle Mendès’s novels. On the one hand, the construction of the hero indicates a criticism of pessimism based on psychopathology, typical of late nineteenth-century moralism as it denies the doctrine any speculative value. On the other hand, the representation of a society full of liars against which the hero leads a struggle bestows upon him a power of revelation. This tension is condensed in the concept of monster which is submitted here to both a pathological and an hermeneutic reading. The hero’s conscience conforms to the type of decadent conscience as defined by Jankélévitch: the system of thought produced by it cannot be considered other than monstous. In addition, the primary feature of the pessimistic monster lies in the inhuman nature of the truth, as search and as revelation. Only a monster can profess the truth because it is made to his measure that is: intolerable. The truth reflects the supremacy of instinct and negates all ideals. Based on a thoroughly pessimistic conception, Mendès’point lies in an idealistic morals which advocates the universal lying against universal vice.
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Ariane, vision parlante ? : l’ekphrasis illusionniste chez Catulle et les épigrammatistes hellénistiques / Ariadne, a speaking vision? : illusionist ekphraseis in Catullus and Hellenistic epigrams

Iff-Noël, Flora 04 July 2019 (has links)
Catulle, dans le poème 64, invente une ekphrasis d’un nouveau genre : au lieu de décrire une œuvre d’art dans sa matérialité pour la mettre sous les yeux des lecteurs selon la tradition rhétorique, il fait parler son personnage principal, Ariane. En quoi la figure d’Ariane a-t-elle permis à Catulle d’entériner une évolution de l’ekphrasis entamée par la littérature hellénistique, à savoir la focalisation non sur la matérialité de l’objet, mais sur son sens, une réflexion sur les liens entre vision et diction ? Il convient d’éclairer ce poème majeur de la littérature latine en le réintégrant, d’une part, aux multiples représentations figurées d’Ariane dans l’Antiquité et, d’autre part, à la lignée des ekphraseis précédentes, concept entendu au sens de « texte consacré à une œuvre d’art » pour inclure descriptions mais aussi narrations ou courts dialogues comme ceux des épigrammes ecphrastiques. En particulier, la prise de parole de l’objet d’art se révèle un topos épigrammatique hellénistique qui nécessite une étude systématique. Ce motif, baptisé topos de l’illusionnisme de l’art, mesure la qualité d’une œuvre d’art à sa capacité à sembler sur le point de parler, se mouvoir ou prendre vie. La typologie de ce topos met en évidence l’évolution de l’esthétique et de la relation entre poésie et arts figurés. Le poème 64 de Catulle se révèle alors reprendre ce topos – comme de nombreux textes après lui – pour constituer une surenchère illusionniste dans l’ekphrasis où l’œuvre d’art prend vie. La poétique de Catulle trouve un éclairage nouveau qui permet de mieux tracer la réception de l’esthétique alexandrine à Rome et l’influence de Catulle sur les poètes latins postérieurs. / This interdisciplinary dissertation uses text and image studies, intertextuality and metapoetics to analyze the relationships between vision and diction in ekphraseis understood as texts devoted to works of art, and particularly in Catullus’s canonical poem 64. Poem 64 has puzzled many critics by its “disobedient ekphrasis” of a coverlet: not only does it scarcely describe its subject, but it turns into a long monologue by Ariadne, the main figure woven into the coverlet. I argue that, far from disregarding the coverlet, Catullus elaborates on a topos of Hellenistic ekphrastic epigrams that measures an artwork’s value by its illusionist capacity to “seem about to speak” and “come to life”. My extensive classification of the epigrammatic variants of this topos reveals its presence in Catullus through specific keywords. Ariadne’s representation on the coverlet is so lifelike that it starts to speak. Instead of following the critical tradition which considers Ariadne’s speech as another instance of epic or tragic monologue, I analyze it as a major Catullan innovation, in dialogue with the aesthetic debates of his day. Bringing together Hellenistic and Roman figurative arts and literatures sheds a new light on Catullan poetics and, more generally, on the reception of Alexandrian aesthetics in Rome and on Catullus’s influence on posterior Latin poets.
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Le pessimisme dans trois romans de Catulle Mendès : Le roi vierge, Méphistophéla et Le chercheur de tares

d'Ableiges, Evrard 04 1900 (has links)
Cette étude tente de saisir l’ambiguïté du propos pessimiste dans trois romans de Catulle Mendès (1841-1909). D’un côté, la construction du héros suggère une critique psychopathologique du pessimisme conforme au moralisme de la doxa fin-de-siècle qui dénie à cette pensée toute valeur spéculative. De l’autre, la représentation d’une société dissimulatrice contre laquelle le héros est en lutte confère à celui-ci un pouvoir de dévoilement. Cette tension se trouve condensée dans le concept de monstre qui fait l’objet d’une double lecture, à la fois pathologique et herméneutique. La conscience du héros étant conforme par sa stérilité à la conscience décadente telle qu’elle est définie par Jankélévitch, le système de pensée qu’elle féconde peut être assimilé à un monstre. Or, le sens premier du monstre pessimiste est le caractère inhumain de la vérité, autant comme quête que comme révélation. Seul un monstre peut porter la vérité car celle-ci est à sa mesure, intolérable. Elle renvoie l’homme à la toute-puissance de l’instinct dont découlent ses idéaux. Partant d’une conception pessimiste, le propos de Mendès débouche ainsi sur une morale idéaliste qui prône contre l’universelle tare le mensonge universel. / This thesis tries to make sense of the ambiguity of pessimism in three of Catulle Mendès’s novels. On the one hand, the construction of the hero indicates a criticism of pessimism based on psychopathology, typical of late nineteenth-century moralism as it denies the doctrine any speculative value. On the other hand, the representation of a society full of liars against which the hero leads a struggle bestows upon him a power of revelation. This tension is condensed in the concept of monster which is submitted here to both a pathological and an hermeneutic reading. The hero’s conscience conforms to the type of decadent conscience as defined by Jankélévitch: the system of thought produced by it cannot be considered other than monstous. In addition, the primary feature of the pessimistic monster lies in the inhuman nature of the truth, as search and as revelation. Only a monster can profess the truth because it is made to his measure that is: intolerable. The truth reflects the supremacy of instinct and negates all ideals. Based on a thoroughly pessimistic conception, Mendès’point lies in an idealistic morals which advocates the universal lying against universal vice.
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La polyphonie métrique dans la poésie lyrique latine : Catulle, Horace, Sénèque le tragique. Poétiques en variation / Metrical Polyphony in Latin Lyric Poetry : Catullus, Horace & Seneca the Tragic. Poetics in Variation

Gauvrit, Olivier 05 December 2011 (has links)
L'objectif de ce travail est d'étudier l'évolution des vers lyriques à Rome du premier siècle avant J.-C. au premier siècle après J.-C., à travers l'usage qu'en font trois poètes : Catulle (œuvres complètes), Horace (Odes, Chant Séculaire et Épodes) et Sénèque (chœurs non anapestiques de ses tragédies). Ce corpus polymétrique permet d'étudier l'adéquation d'un mètre à un genre ou à une tonalité donnés. À partir d'une étude statistique portant sur les variations du schéma métrique, la fréquence des élisions, l'emploi des coupes, le volume verbal recherché et le rapport entre l'ictus et l'accent, il s'agit de montrer comment s'opère le processus de régularisation du vers entre Catulle et Horace, puis entre Horace et Sénèque, en proposant également des interprétations stylistiques de passages où apparaissent les phénomènes les plus marquants. Le travail est organisé en trois parties, consacrées respectivement aux vers éoliens, aux vers dactyliques et aux vers iambiques. Les résultats obtenus montrent que la régularisation du vers s'opère à travers la réduction du nombre d'élisions, la diminution des mots au schéma atypique ou la raréfaction des coupes originales. Ils mettent également en évidence l'importance des hellénismes dans les particularités stylistiques observées et la possibilité pour Catulle et Horace d'employer un mètre lyrique de façon parodique dans un poème satirique. Enfin, l'utilisation que fait Sénèque des mètres horatiens et la richesse de sa lyrique chorale témoignent du caractère théâtral de ses tragédies, qui ne sont pas de simples illustrations d'idées stoïciennes, mais des œuvres véritablement dramatiques. / The aim of this work is to study the evolution of lyric verse in Rome, from the first century B.C. to the first A.D., through the writings of three poets : Catullus (complete works), Horace (Odes, Carmen Saeculare and Epodes) and Seneca (non anapaestic choruses in his tragedies). This polymetric corpus gives us the opportunity to study how a metre adapts to a specific genre or tonality. We conducted statistical studies on the variations of the metrical scheme, the frequency of elisions, the use of caesurae, the word length and the link between ictus and accent, so as to show how the verse is more and more regular from the poems of Catullus to Horace, and from Horace to Seneca. We also propose stylistic interpretations of passages in which striking phenomena appear. The work is divided into three parts, dealing respectively with aeolic, dactylic and iambic verse. The results reveal that regularization of the verse is obtained by the decreasing use of elisions, words with an atypical scheme or original caesurae. They also highlight the importance of hellenisms in the stylistic particularities observed and the possibility for Catullus and Horace to use a lyrical metre through parody to compose a satirical poem. Finally, the way Seneca uses Horatian metres to create rich choral poetry demonstrates his tragedies are not mere illustrations of stoician ideas but are undoubtedly devised for the stage.

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