Doctor of Education / Department of Educational Leadership / Sarah J. Fishback / In today’s interconnected world, teams must form quickly, learn and adapt to overcome challenges regardless of the environment. For example, complexity in responding to natural disasters or man-made political, economic and security crises often requires the ability to learn collaboratively to minimize human suffering and protect property. When teams find success, the operation succeeds beyond what a single organization can provide, but when teams fail they can make a bad situation worse. Leveraging an approach called a Leader Team Exercise (LTX), teams can generate the shared qualities of understanding, confidence and competence in a structured manner to accelerate learning and performance. This research study investigated the potential of an LTX through initial research in a within-subjects experimental design of the 161st Artillery Battalion, Kansas Army National Guard as they negotiated obstacles located on the Fort Riley, Kansas Field Leaders Reaction Course (FLRC). The quantitative data collected was evaluated employing non-parametric statistical tests to answer five research questions about the relationship of the LTX to dependent variables of team performance, shared understanding and shared confidence to further explore field observations of learning action teams. The study provides new knowledge to further advance understanding of the LTX and its relationship to team performance and learning. In addition, the study also offers a source of data as a foundation for future research to continue investigation into the full depth and breadth of the LTX in other settings and conditions. The study found a relationship among the dependent variables and the FLRC, as well as a relationship between the LTX and team demographics related to shared understanding and performance. The findings also advance the adult education body of knowledge about learning dynamics, which occur outside the classroom. The implications to improve teams that rapidly form, disband, and form again will impact adult learning in a wide spectrum of applications in the government, academia and industry. Finally, the study offers recommendations for future areas of research and practical application based on current knowledge for the Kansas National Guard and others who might use or plan on using the LTX in the future.

Ce rapport de recherche tente d’expliquer la place des municipalités régionales de comtés (MRC) dans l’adaptation des collectivités au vieillissement de la population. Depuis une décennie, le concept de villes ou municipalités amies des aînés (VADA – MADA) a pris de l’ampleur. En 2015 au Québec, 767 municipalités s’étaient engagées en ce sens. Le Québec est constitué de nombreuses petites municipalités, qui ont peu de ressources financières et humaines pour réaliser des planifications et actions afin de s’adapter au vieillissement de la population. Elles peuvent par contre fédérer leurs efforts et agir collectivement par le biais des MRC. Une étude de trois MRC a permis d’illustrer que jusqu’à présent, certaines des actions des MRC contribuent à l’adaptation de leurs collectivités au vieillissement de leur population, sans avoir comme but de le faire. La recherche permet également de voir que les MRC pourraient agir beaucoup plus, si les élus et ressources professionnelles étaient davantage conscients de la problématique et des impacts qu’elle aura dans la vie des collectivités au cours de prochaines années.

Les écoles alternatives comptent à présent 32 écoles au Québec, pourtant peu de recherches scientifiques ont examiné ce type d’écoles et encore moins leur dynamique de collaboration. La présente recherche a pour objet d’explorer et de comprendre comment la dynamique de collaboration se vit entre le personnel enseignant, la direction et les parents dans une école primaire alternative au Québec. Plus spécifiquement, les questions de recherche sont les suivantes : « Quelles sont les pratiques de collaboration entre le personnel enseignant, la direction et les parents dans une école primaire alternative (formes, objets, types)? Quels sont les facteurs qui facilitent et entravent cette collaboration? Et, quel rôle joue chacun des intervenants et intervenantes, notamment la direction, dans la mise en œuvre de la collaboration dans une école primaire alternative?» Au Québec, comme ailleurs, le discours en faveur de la collaboration dans le milieu scolaire est très présent. À cet égard, la dernière réforme du système éducatif québécois a fortement recommandé la collaboration entre les intervenants et intervenantes scolaires afin d’assurer la réussite des élèves tout en fournissant un enseignement adapté à chaque enfant. Malgré les maintes invitations et recommandations, le travail en collaboration dans les écoles régulières fait face à certaines difficultés, d’ordres organisationnel, relationnel et identitaire (Corriveau et al., 2004). Cependant, les écoles alternatives semblent privilégier la collaboration dans leur fonctionnement comme dans les principes annoncés (RÉPAQ, 2005). Prenant en considération cette situation, l’objectif principal de cette étude était d’explorer et comprendre comment la dynamique de la collaboration peut se vivre entre le personnel enseignant, la direction et les parents au sein d’une école primaire alternative au Québec. Plus spécifiquement, nous avons cherché à 1) explorer et décrire les pratiques de collaboration entre le personnel enseignant, la direction et les parents dans une école primaire alternative (formes, objets, types); 2) explorer et décrire les facteurs qui facilitent et entravent cette collaboration; 3) décrire et comprendre le rôle des intervenants et intervenantes, dans la mise en œuvre de la collaboration dans une école primaire alternative. Pour atteindre ces objectifs, nous avons utilisé deux méthodes de collectes de données, l’observation directe de différentes situations dans l’école et les entrevues semi-dirigées auprès 16 répondants et répondantes dont neuf de l’équipe-école et sept des parents. L’analyse de données des observations directes et des transcriptions des entrevues a été faite par le biais des catégories et de sous catégories prédéterminées, et ce, en s’appuyant sur le cadre conceptuel et théorique retenu. Les catégories prédéterminées sont les suivantes : 1. Les pratiques de collaboration (Le Boterf, 2004; Marcel, 2001). 1.1 Les formes de collaboration (Borges 2011; Landry- Cuerrier et Lemerise, 2007) 1.2 Les objets, les types de collaboration (Borges, 2011; Corriveau et al., 2004; Landry - Cuerrier et Lemerise, 2007; Landry s.d. ; Little, 1990; McEwan, 1997;); 2. Les facteurs qui facilitent et entravent la collaboration (Barrère, 2002; Corriveau et al. 2004; Landry-Cuerrier et Lemerise, 2007; Lessard et al., 2009; Larivée, 2003, 2011; Lessard et Tardif 2003; Tardif et Lessard, 1999). 3. Le rôle du personnel enseignant, de la direction et des parents dans la mise en œuvre de la collaboration dans une école primaire alternative québécoise. (Brassard et al., 1986, Brunet et al., 1985; Dumay et Dupriez, 2009; Endrizzi et Tibert, 2012; Epstein, 1996; MÉLS, 2001, 2008, 2009; RÉPAQ, 2005; Royal, 2007). Afin d’explorer, comprendre et décrire les pratiques de la collaboration, nous avons procédé à classifier les définitions de la collaboration des répondants et répondantes selon les types de collaboration retenus. Nous avons identifié la place de la collaboration dans l’école, la correspondance entre les définitions des répondants et répondantes et la collaboration réelle dans l’école, ses finalités et objectifs ainsi que les avantages et les désavantages de la collaboration. En deuxième lieu, nous avons analysé les pratiques de collaboration dans l’école étudiée, les types, les formes et les objets de collaboration. Dans ce cadre, les formes de collaboration présente dans l’école sont la collaboration formelle et informelle. Quant aux types de collaboration, nous avons détecté cinq niveaux présents à l’école soit Niveau 1 : La conversation et l’échange; Niveau 2 : L’aide et l’assistance; Niveau 3 : La mise en commun; Niveau 4 : la coopération et Niveau 5 : la collaboration incluant le partenariat, la coéducation, la cogestion, l’implication des parents et réfléchir sur l’éducation. Or, les objets de collaboration, nous avons distingué trois catégories : les objets d’ordre organisationnel, d’ordre pédagogique et d’ordre professionnel – personnel. Les répondants et répondantes ont ensuite identifié les facteurs facilitant et entravant la collaboration dans l’école répartis en quatre catégories : • Les facteurs liés à l’environnement externe et interne de l’école : la petite taille de l’école, la structure de l’école et la croyance au modèle de l’école. • Les facteurs liés à l’organisation et au contexte : le style de gestion (prise de décisions collectives, partage du pouvoir, solutions communes, etc.), avoir des rencontres formelles (les organisations pédagogiques, les soirées réflexions, les assemblées générales), et des rencontres spontanées, informelles et quotidiennes; avoir des valeurs et des objectifs communs; la présence des parents à l’école, et avoir une direction efficace et agréable et qui défend l’école et avoir des activités scolaires et parascolaires. • Les facteurs liés aux relations interpersonnelles : la bonne communication fréquente, la confiance aux autres, l’aide et le soutien des autres, l’égalité des partenaires et avoir de bonnes relations avec les autres intervenants et intervenantes. • Les facteurs personnels : la disponibilité des intervenants et intervenantes, l’implication de tout le monde, l’ouverture d’esprit et le fait d’avoir choisi l’école. En lien avec les facteurs qui entravent la collaboration, la présente recherche en a fait ressortir plusieurs : • Les facteurs liés à l’environnement externe et interne de l’école : la petite taille de l’école, l’instabilité de l’équipe, une croyance rigide au regard du modèle de l’école. • Les facteurs liés à l’organisation du travail et au contexte : l’incompréhension du modèle, le manque de temps, le style de gestion, avoir une direction à temps partiel et ne pas déterminer le rôle de chacun. • Les facteurs liés aux relations interpersonnelles : le manque de communication et les visions différentes. • Les facteurs personnels : le manque de temps, le manque d’ouverture, la diminution de l’implication des parents à l’école et ne pas être disponible comme personnel enseignant. Quant aux rôles des intervenants et intervenantes œuvrant dans une école primaire alternative, notamment la direction, le personnel enseignant et les parents, les résultats obtenus montrent que les rôles exercés s’accordent avec ceux présentés par le RÉPAQ (réseau des écoles primaires alternatives au Québec) et avec quelques-uns annoncés par le MÉLS. La présente recherche explore la dynamique de la collaboration au sein d’une école primaire alternative contribuant de la sorte à découvrir ces pratiques et de les améliorer. Elle propose également quelques recommandations en lien avec la direction, le personnel enseignant et les parents afin de permettre aux intervenants et intervenantes œuvrant dans une école primaire alternative d’améliorer les pratiques collaboratives dans l’école, de limiter les désavantages du travail en collaboration, de contourner les obstacles et d’identifier les solutions possibles.

Dans cette étude exploratoire, descriptive, nous tentons d'abord, à l'aide de la méthodologie Q, de décrire la perception que les psychoéducateurs et les travailleurs sociaux ont de leurs rôles spécialisés respectifs, de voir comment ces perceptions se différencient dans le contexte de la pratique en équipe de travail collaborative et de découvrir comment elles sont liées à celles du fonctionnement de l'équipe. Ensuite, nous tentons de voir comment ces professionnels perçoivent leur identité professionnelle et ce qui la caractérise. 45 psychoéducateurs et 34 travailleurs sociaux (n=79) ont participé à l'étude. Les résultats permettent d'observer un groupe de travailleurs sociaux et deux groupes distincts de psychoéducateurs. La discussion amène l'hypothèse de l'émergence d'un mouvement de mutation quant à la perception des rôles du psychoéducateur et la présence d'une ambiguïté quant à l'identité professionnelle des deux professions étudiées.

La présente recherche doctorale s’intitule L’art dramatique comme projet fédérateur privilégiant des dynamiques collaboratives auprès des personnels d’une école primaire québécoise. La réflexion scientifique menée se veut une avenue favorisant l’atténuement des comportements anomiques en milieu scolastique. La problématique est assujettie à une demande explicite du Programme de formation de l’école québécoise (2001), à l’effet que les personnels scolaires de chacune des institutions d’enseignement québécoise se devraient désormais de promouvoir la collaboration et de se constituer en tant que communauté d’apprentissage. Ainsi, des dynamiques collaboratives s’établissent entrent les enseignantes et les enseignants, les spécialistes scolaires, les directions d’établissement et leurs personnels mais aussi auprès des parents, des élèves et de la collectivité dans laquelle elle est implantée. Quoique tout un chacun puisse trouver ces recommandations légitimes et bénéfiques au regard du développement d’un climat scolaire davantage harmonieux, la façon d’actualiser ces dynamiques collaboratives reste à déployer. À cet effet, cette étude propose une piste d’intervention par l’utilisation instrumentale du théâtre à des fins mobilisatrices et collaboratives auprès des acteurs du domaine de l’enseignement. Afin d’articuler ce dispositif théâtral, six (6) concepts ont été sollicités. Certains sont de premières instances, telles que la mobilisation, la communauté d’apprentissage et la collaboration; ils se caractérisent en termes de mouvement et d’action dans une démarche de dramatisation. D’autres, auxiliaires, servent à opérationnaliser ces derniers en leur adjurant des représentations sociales, des valeurs et un capital social propices à leur actualisation. Pour sa part, l’objectif général de cette thèse cible l’identification des représentations sociales de personnels scolaires au regard des effets de l’instrumentalisation théâtrale sur les dynamiques collaboratives de leur communauté. Dans le but de couvrir les différentes facettes dudit objectif général, il se ramifie en trois (3) énoncés plus spécifiques dont la facture consiste à: 1) définir le théâtre comme instrument social et éducatif; 2) déterminer en quoi l’art dramatique est situation d’enseignement-apprentissage pour les élèves et les personnels scolaires; 3) caractériser la théâtralisation en tant que projet mobilisateur et dispositif de collaboration au sein d’une communauté d’apprentissage. Ces objectifs se conceptualisent dans une perspective de recherche exploratoire. Cette dernière, préconisant le cumul des données, vise à rendre compte d’un procédé scénique permettant de juguler les comportements anomiques et atomiques. Puisque ces considérations sont relativement récentes, du moins dans le domaine de l’éducation, notre démarche s’inscrit dans un courant phénoménologique; les attitudes individualistes qui sévissent dans la société faisant désormais partie du microcosme que constitue l’école. Dans l’expectative de circonscrire les représentations sociales de personnels scolaires au regard de l’acuité de la théâtralisation à promouvoir des synergies collaboratives, nous avons utilisé le questionnaire d’enquête et l’entrevue de groupe semi-dirigée comme instruments de mesure, et ce, auprès de deux (2) échantillons distincts. L’un de validation, comprenant vingt et un (21) sujets et constitué de deux (2) cohortes d’étudiantes et d’étudiants qui, au printemps et à l’automne 2010, poursuivaient leur formation de deuxième cycle universitaire en éducation à la Faculté des sciences de l’éducation à l’Université de Sherbrooke; l’autre d’expérimentation, regroupant trente-quatre (34) personnels de l’école primaire Raymond de Laval. Les résultats obtenus auprès de l’échantillonnage furent analysés selon une mixité des méthodes qualitatives et quantitatives. Les données discursives, collectées lors des entrevues semi-structurées, ont été analysées selon une approche d’analyse de contenu thématique nous permettant de quantifier les occurrences au regard des concepts ou encore de leurs indicateurs. Des mesures d’association furent également effectuées, et ce, tout particulièrement avec des variables que nous désirions corréler à certains renseignements sociodémographiques. L’analyse des résultats et la discussion qui s’ensuivit concernant le discours de sens commun entretenu par les individus ayant participé à une expérience de dramatisation, nous aura permis de mieux cerner, dans un premier temps, l’aspect expérientiel et la dimension réflexive de la pratique théâtrale ainsi que les compétences mobilisées dans le processus de théâtralisation. Dans un second temps, nous avons pu identifier en quoi la réalisation d’une pièce de théâtre peut s’avérer un dispositif favorisant la mobilisation et la collaboration au sein de personnels d’une école primaire québécoise. Enfin, nous sommes parvenus à répondre substantiellement à la question de recherche en relevant des constituantes valorisant des dynamiques collaboratives vectrices d’une communauté d’apprentissage. Ainsi, l’instrumentalisation du théâtre s’avère propice à l’émergence de certaines synergies collaboratives auprès des personnels scolaires interrogés. Cependant, et plus spécifiquement, la portée de la dramatisation auprès des personnels de l’école Raymond constituant notre terrain d’expérimentation apparaît délimitée spatiotemporellement et l’intensité de la collaboration est différente d’un sujet à l’autre et variée selon les cycles d’enseignement.

The purpose of this study, The after-school care teacher’s professional role - A study of  primary school teachers understanding and attitudes towards the after-school care teachers professional role and how that can affect collaboration between the school and after-school care, is to illustrate the understanding and attitudes towards after-school care teachers found with primary school teachers. Another purpose is to examine in what way the understanding and the attitudes can affect the collaboration between school and after-school care as well as the after-school care teachers ability to operate professionally. I have chosen to conduct a qualitative study through questionnaires and one interview. This study is built on a social costructivistic perspective. The results show that the understanding and attitudes found with primary school teachers do effect the possibilities of cooperation between the school and after-school care. Mostly the understanding of the professional role of the after-school care teacher can be found to be quite good whilst the attitudes show that primary school teachers see the after-school care teacher as having more of a supporting role to the primary school teacher. / Syftet med denna studie, Fritidslärarens yrkesroll - En studie av grundskolelärares förståelse för och attityd till fritidslärarens yrkesroll och hur den kan påverka samverkan mellan skola och fritids, är att belysa förståelse och attityder gentemot fritidsläraren hos grundskolelärare. Ett vidare syfte är att undersöka på vilket sätt förståelsen och attityden kan påverka möjligheten för samverkan mellan skola och fritids samt fritidslärares möjligheter att verka professionellt. Jag har valt att använda en kvalitativ metod genom enkäter och en intervju. Studien bygger på ett socialkonstruktivistiskt perspektiv. Studiens resultat visar på att grundskolelärares förståelse och attityd kan ses påverka möjligheten till samverkan mellan skola och fritids. Till stor del kan en se att grundskolelärares förståelse för fritidslärarens yrkesroll är god medan attityder visar på hur grundskolelärare ser fritidsläraren som en medhjälpare och assistent till grundskoleläraren.

Ce mémoire présente une recherche qualitative de type exploratoire portant sur la collaboration parents-intervenants dans le contexte de l’action éducative en milieu ouvert (AEMO) auprès des enfants en danger au Sénégal. Le but de la recherche est d’identifier et de promouvoir un ensemble de conditions ou de pratiques favorables à une approche de collaboration avec les parents sénégalais. Les objectifs spécifiques poursuivis sont d'abord de décrire du point de vue des parents, l’expérience de collaboration vécue avec les intervenants dans un contexte d'AEMO. Ensuite il s’agit d'identifier non seulement les pratiques des intervenants qui nuisent ou qui favorisent la collaboration mais aussi les actions des parents qui lui nuisent ou favorisent. Enfin, il est question d'une part, d'identifier les conditions externes (obstacles et facteurs favorables) qui influencent cette collaboration et d’autre part, d'élaborer des recommandations pertinentes pour favoriser l’intervention axée sur la collaboration des parents dans le contexte de l’AEMO au Sénégal. L’étude a été effectuée au Sénégal auprès de dix parents participants. Les données ont été recueillies à partir d'entrevues individuelles semi dirigées. L'instrument de collecte des données est un guide d'entrevue. L’analyse de contenu thématique des données recueillies a permis de mettre en exergue, des pratiques des intervenants et des actions des parents qui favorisent ou qui nuisent à la collaboration reliées tantôt à des dimensions d’ordre relationnel, tantôt à des dimensions en lien avec le processus d'intervention. Elle a en outre révélé des facteurs externes qui favorisent et d'autres qui font obstacle à cette collaboration. Les résultats de la recherche confirment beaucoup d'écrits occidentaux portant sur la collaboration parents-intervenants. Ils ont aussi permis de rencontrer les objectifs fixés au départ à savoir de comprendre du point de vue des parents sénégalais dont les enfants sont en danger, comment se vit la relation de collaboration parents-intervenants.

This thesis aims to develop and validate the dimensions of supply chain collaboration and collaborative advantage in the containerised maritime industry and explores the impact of supply chain collaboration on collaborative advantage and port performance. Additionally, this thesis tests a mediation effect of collaborative advantage on the relationship between supply chain collaboration and port performance. This thesis employs a quantitative method. A theoretical model is built based on thorough literature reviews of supply chain management and maritime studies, in-depth discussions with experts, item review and Q-sorting techniques to signify ambiguity or misunderstanding with the scales and to suggest modifications. The proposed model is empirically tested with survey data using 178 responses from terminal operators, shipping lines, inland transport companies, freight forwarders, ship management companies and third-party logistics providers involved in maritime logistics in the major containers ports of Busan, Gwangyang and Incheon for a comprehensive and balanced view by using structural equation modelling. With regard to the findings of the empirical research, three main constructs were successfully validated as multi-dimensional constructs. The structural paths support hypotheses that supply chain collaboration has a positive influence on collaborative advantage, and collaborative advantage has a strong contribution to port performance. However, the direct impact of supply chain collaboration on port performance is insignificant. A hierarchical approach of the mediation test and bootstrapping test found that the association between supply chain collaboration and port performance is fully mediated by collaborative advantage. In other words, the greater degree of supply chain collaboration between the port and port user enables them to gain a higher degree of collaborative advantage, and, in turn, this collaborative advantage can contribute to augmenting port performance. This thesis synthesises transaction cost theory, resource based theory and a relational view to explain how supply chain collaboration influences collaborative advantage and port performance. Its theoretical contribution expands the concept of supply chain collaboration and collaborative advantage into containerised maritime contexts, capturing the perspective of the ports and port users. Further, despite numerous maritime studies which extol the importance of collaboration between the ports and port users, no systematic approach has previously developed and validated those constructs and relationships. The various maritime logistics organisations would benefit from applying the results of this study to their supply chain collaboration practices when seeking greater collaborative advantage. The results heed practitioners in containerised maritime logistics organisations to focus on balancing the facets of supply chain collaboration to transport flows of containers seamlessly and efficiently from door-to-door, as supply chain management philosophy drives the maritime logistics industry to become more integrated into shippers' supply chains.

The majority of children in the UK live in households with two parents, yet most of the academic research on parenting focuses on the relationship between one parent and one child. More often than not, this one parent has been the mother. There is an expectation of father involvement in contemporary parenting, but the literature still tends to emphasise parenting as a one parent-one child interaction, measuring involvement of the father in terms of time spent with his child. The idea of collaboration, or collaborative parenting, drawing on research into coparenting in the US, considers the involvement of both parents with each other, with respect to the child, as an alternative way of conceptualising parental involvement. Collaboration is considered a useful concept, as it goes beyond the idea of parenting as being about time spent directly with the child. Unlike many factors which may predict child outcomes, a lack of collaboration could be addressed at the family level, through counselling or education. The aims of the research were to develop an understanding of the way in which parents work together, looking in particular at how this is affected by social support; whether there are associations between parental collaboration and the availability of time for family and leisure activities, and feelings about the balance between work and home life; whether parents who collaborate are more likely to adhere to expert advice on parenting matters; and whether there are associations with a child’s social, emotional and behavioural development. Emphasis was also placed on the methodology, as it entailed the development of a method for measuring the concept of collaboration, using data that was not designed for the purpose. The research was conducted through a combination of methods, comprising secondary analysis of data from the first four sweeps of the Growing Up in Scotland (GUS) study, and the conduct and analysis of 20 pairs of semi-structured interviews with parents who had previously taken part in this study. A condition of the funding received from the Scottish Government was to make use of the GUS data. The research found social support affected the process of collaboration in a number of ways: by enabling collaboration to take place; by removing the need for collaboration; by increasing the time available to collaborative couples; and by removing the need to plan ahead. Of particular note were the problems that were more likely to occur when couples neither collaborated, nor had support from outside the home. These are the couples who find that work impacts on their family the most. They are also the ones who are least likely to have time away from their children to do something for their own interest, and are the ones who are most likely to find it difficult to access advice. Collaborative couples tended to find more time available for activities with their children, as well as time for themselves. Positive associations were demonstrated between collaboration and a child’s social, emotional and behavioural development, but the strength of the association was not equal in all situations. When the mother was employed full-time, relatively strong associations were evident. When she was not in employment, and a number of other risk factors were present, relatively strong associations could again be seen. However, when the mother worked part-time, there did not appear to be any association between child behavioural development and collaboration. Associations were also demonstrated with the work-life balance of parents. Collaborative fathers professed less of an impact of the family on their work than non-collaborative ones. Similarly, collaborative fathers were less likely to say that long hours impacted on the time they had with their children than non-collaborative fathers, but there was no equivalent association for mothers. The impact of work on family was more likely to be lower for both parents when they acted collaboratively.

Customer involvement in innovation activities is a common practice among companies in most industries. It has been widely researched by scholars to demonstrate its risks and advantages. Yet, the growing importance and recognition of the Internet are transforming the scope, boundaries, and dynamics of interactions among firms and customers. Progressing information and communication technologies (ICTs) (including the Internet) enable faster, cheaper, and more efficient collaboration. The demonstrated benefits of using various web-based methods for customer involvement in innovation activities have encouraged companies to adopt a new approach. Despite this, there is a lack of knowledge about associated challenges. In addition, prior research was unable to provide empirical evidence of the claimed benefits ensuing from web-enabled customer involvement. As a result, companies may experience unforeseen difficulties and may not be able to achieve what they expect from their implementation of web-based methods. This thesis aims to address this research gap by exploring web-enabled customer involvement from a firm’s perspective. The overall purpose of this dissertation is to increase the understanding of web-enabled customer involvement in innovation activities by exploring its use and its impact on firms’ innovation, as well as management competences needed for its efficient realization. The thesis draws on the concept of absorptive capacity and includes four empirical studies from various industries. The adoption levels of a wide range of web-based methods were identified and compared with the findings of the previous study, thereby uncovering interesting changes in their popularity, as well as differences in adoption among companies in various industries. The empirical findings of this thesis show that web-based methods increase a company’s probability to introduce service innovations. Three types of challenges related to different types of web-based methods were identified and verified. It was also possible to identify corresponding management practices to handle these challenges. The management practices form three firm competences, constituting a specific absorptive capacity. It was proved that all dimensions of this specific absorptive capacity are needed for successful and effective customer involvement. Insights of this thesis contribute to increasing the understanding of web-enabled customer involvement. Therefore, the thesis provides companies with empirically verified knowledge that is necessary to make decisions about the implementation and management of web-enabled customer involvement.