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Les ingénieurs de l'âme : pouvoir et subjectivation sous Staline /Landry, Jean-Michel. January 2008 (has links) (PDF)
Thèse (M.A.) -- Université Laval, 2008. / Bibliogr.: f. 83-92. Publié aussi en version électronique dans la Collection Mémoires et thèses électroniques.
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Kommunisten in der Weimarer Republik : Sozialgeschichte einer revolutionären Bewegung /Mallmann, Klaus-Michael. Loth, Wilfried. January 1900 (has links)
Originally presented as the author's Habilitationsschrift, University of Essen, 1995. / Includes bibliographical references (p. 519-542) and indexes.
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Stratégie communiste et dynamique conservatrice essai sur les différents sens de l'expression "national-bolchevisme" en Allemagne, sous la République de Weimar (1919-1933) /Dupeux, Louis. January 1976 (has links)
Thesis--Paris, 1974. / Includes index. Bibliography: p. [589]-608.
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The hand that rocks the cradle rocks the world, women in Vancouver's Communist movement, 1935-1945Thorn, Brian T. January 2001 (has links) (PDF)
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Better red : the writing and resistance of Tillie Olsen and Meridel Le Sueur /Coiner, Constance. January 1995 (has links)
Texte remanié de: Th. Ph. D.--Los Angeles--University of California. / Bibliogr. p. 261-274. Index.
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Kommunisten und Sozialdemokraten in Finnland 1944-1948 /Beyer-Thoma, Hermann. January 1990 (has links)
Diss.--Philosophische Fakultät--München--Ludwig-Maximilians-Universität, 1987. / Bibliogr. p. 513-555. Index.
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« Sublime matérialisme » : Emmanuel Levinas et l’héritage de Karl Marx / “Sublime materialism” : Emmanuel Levinas and the heritage of Karl MarxDoublet, Lucie 02 July 2018 (has links)
Rares sont les références explicites à Marx ou au communisme sous la plume de Levinas, du moins dans ses œuvres principales. Étonnamment rares, si l’on considère leur contexte de rédaction. Les sciences humaines de la seconde moitié du XXème siècle sont occupées par la discussion du paradigme marxiste. Levinas subit de plein fouet les vicissitudes de l’histoire. A Kharkov, il assiste à la révolution russe de 1917. La catastrophe de la Shoah, dans laquelle disparait une grande partie de sa famille, marque à jamais sa mémoire. Toute sa démarche philosophique est orientée par la nécessité d’une nouvelle pensée de la communauté humaine assumant les leçons du XXème siècle. A rebours des lectures qui relèguent la question politique au rang de dimension subsidiaire dans l’œuvre levinassienne, nous faisons alors l’hypothèse de sa centralité. Ce sont les enjeux collectifs qui accusent l’insuffisance et imposent la reconsidération de l’approche humaniste du sujet et de l’éthique menée par Levinas. De ce point de vue, le projet de justice et d’universalisme porté par la tradition socialiste, notamment par Marx, constitue bien pour sa réflexion un objet central. A la fois sources d’inspiration, et révélatrices des limites d’une pensée strictement politique de la communauté, qui prétend faire l’économie de la transcendance, les propositions de Marx travaillent en sous-main les conceptions levinassiennes de l’individu, du pluralisme, de la justice ou encore de l’État. Nous avons voulu reconstituer ce dialogue implicite de Levinas avec Marx. Explorant la portée sociale et politique des motifs levinassiens, il s’avère que ces derniers recèlent une fécondité inattendue. La considération de l’ « anarchie du Bien », de la « patience » et de ce que Levinas nomme l’ « État libéral » permettent d’aborder de manière originale les questions de la justice, de la lutte sociale et des institutions politiques, faisant émerger des propositions ignorées tant par la tradition libérale que par celle du socialisme, dans ses versions marxienne et anarchiste. / Explicit references to Marx or to communism are rare in Levinas’ writing, especially in his major works. This is astonishing, considering the context in which he was writing. In the second half of the 20th century, human sciences were particularly influenced by the debate of Marxist paradigms. Levinas was truly impacted by the context of his era. He was a witness of the Russian revolution at Kharkov in 1917. Many members of his family were victims of the Shoah. This tragedy profoundly impacted him. His philosophical approach is lead by the necessity of re-thinking the « human community », whilst bearing in mind the lessons that the 20th century has left behind. Several critics have considered Levinas’ work to be “apolitical”, or have at least argued that the political undertones of his work are to be taken in consideration as a secondary factor. This thesis has, in contrary, focused upon and sustained the centrality of Levinas’ politically motivated thought. Communal and societal dilemmas are at the heart of Levinas’ ethical approach. The traditional socialist stance towards justice and universalism, in the line of Marx, constitutes a central focus of his reflexion. The suggestions made by Marx underpin Levinas’ conceptions of the individual, of pluralism, of justice and of the State. On one hand, they are a source of inspiration for Levinas, on the other, a source of critic. The thesis has aimed to reconstitute the intellectual dialogue that Levinas carried out with Marx between the lines. Whilst exploring the social and political leitmotivs of Levinas’ thought, the interminglement with Marx has been illuminating and innovative. It has enabled an original approach to questions revolving around justice, social struggle and political institutions. Considering the levinassian “Anarchy of Good”, the “Patience” and what Levinas calls the “Liberal state”, previously ignored positions emerge, which have been left on the side by the liberal tradition and by socialist thoughts both in Marxian and anarchist terms.
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Les traductions de Kamouraska d’Anne Hébert en roumainRuta, Alina January 2018 (has links)
Ce mémoire s’intéresse aux deux traductions en roumain du roman Kamouraska d’Anne Hébert. La première traduction paraît en Roumanie en 1986 à partir de la version anglaise qu’avait proposée Norman Shapiro en 1973. La deuxième traduction, faite cette fois à partir de la version originale française, paraît en 2008. Notre étude contient une présentation du cadre sociopolitique dans lequel a été faite la première traduction de Kamouraska sous le régime communiste, après quoi nous nous penchons sur le contexte de publication des deux traductions et sur des éléments paratextuels : couvertures, quatrièmes de couverture, préfaces, etc. L’examen des principales caractéristiques du style d’Anne Hébert dans Kamouraska est suivi d’une analyse comparative de quelques extraits significatifs du roman dans la première et la deuxième traductions. Nous présentons ensuite notre version française des deux préfaces aux traductions de Kamouraska : la première est signée par Irina Bădescu, et la seconde, par Cătălin Sturza. La traduction française de ces deux textes vient enrichir notre connaissance de la réflexion critique qui est faite de ce roman partout dans le monde. / Abstract : This M.A. thesis focuses on the two translations of Anne Hébert’s novel Kamouraska into Romanian. Published in Romania in 1986, the first translation was done from the English version that Norman Shapiro proposed in 1973. The second translation, this time done directly from the original French version, was published in 2008. We aim at introducing the political context in which the first translation of Kamouraska was made, more specifically under the Communist regime. We then proceed to present the editorial context of these two translations as well as some of the paratextual elements: covers, back covers, prefaces, etc. A survey of Anne Hébert’s main stylistic features in writing Kamouraska is followed by a comparative analysis of significant excerpts from the novel for the first and the second translation. Afterwards we introduce our French version of the two prefaces to the translations of Kamouraska: the first is signed by Irina Bădescu, and the second by Cătălin Sturza. The French translation of these two introductions enriches the critical understanding that is done of that novel everywhere in the world.
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La réception de la littérature française en Pologne, 1944-1956 : littérature, politique, idéologie / Reception of French literature in Poland, 1944-1956 : literature, politic, ideologyFrank, Krystyna 11 March 2011 (has links)
La réception de la littérature française en Pologne dans les années 1944-1956 est placée sous le signe de l'idéologie et de la politique provenant du fait du changement de régime politique à l'issue de la guerre, suite à la mainmise de Staline sur l'Europe Centrale et Orientale. L'installation progressive du régime communiste régit l'introduction dans la culture du dispositif politique à forte composante idéologique visant à créer les conditions de gestion de la culture directement par le parti communiste polonais. Cela s'est traduit, d'une part, par le contrôle de la production du papier, des imprimeries, la disparition progressive des éditeurs privés, et la mise en place de la gestion centralisée et de la planification, et, d'autre part, par la politique culturelle annonçant la démocratisation de la culture. La réception de la littérature française des siècles passés s'inscrit dans le processus de la création du nouveau canon littéraire marxiste, pour l'inclure dans le projet de "démocratiser" la culture. D'où les rééditions, dès 1946, de grands réalistes français du XIXe s., dans la première période de réception (1944-48), marquée par le débat sur le réalisme dans la littérature dans la nouvelle presse littéraire. La présence de la littérature française du XVIIIe et du XIXe dans ce vaste débat sert à illustrer la théorie marxiste de la littérature, dans un premier temps basée sur le concept du grand réalisme de G. Lukacs, ensuite, dans la deuxième période de réception (1949-56), faisant directement référence à la critique soviétique. Les deux périodes de réception ont donc été marquées par les rééditions à grande échelle des "classiques progressistes" français, suivant le modèle soviétique, servant directement à réaliser l'objectif de former la nouvelle intelligentsia issue des classes sociales privées auparavant d'accès à la culture. En parallèle, la réception importante des oeuvres des écrivains communistes français et des compagnons de route, et la critique virulente des existentialistes, confirme la thèse de dominante idéologique et politique de cette réception. / The precise study of the reception of French literature in Poland in the years 1944-1956 will show us that it is biased towards ideology and politic due to the nature of the change of the political regime after the war, following Stalin's grip on Central and Eastern Europe. The gradual installation of a communist regime strain the introduction of the politic with a strong ideological component, in culture, in order to create the conditions for culture management directly by the Polish communist party. The consequences, on one hand were the control of paper production and printing houses, the gradual blurring of private publishers, and the establishment of centralised management and planning, on the other hand was the installation of a precise cultural policy brandishing the democratisation of culture. The reception of French literature of past centuries is in the process of creating the new Marxist literary rule, to be the literary "progressive" canon and to include it in the project of "Popularization" of culture, hence the reissues in 1946 of great French realists of the nineteenth century, in the first reception period (1944-48), marked by the debate on realism in literature in the new literary press. The presence of French literature of the 18th and 19th centuries in this broad debate, serves to illustrate the Marxist theory of literature, initially based on the concept of great realism developed by G. Lukacs, and then, in the second reception period (1949-56), makes direct reference to Soviet criticism. Both periods have been emphasised by the large-scale editions of "progressive classical" French, following the Soviet model, being used directly to achieve the goal of training, and influencing the new intelligentsia coming from the popular classes who did not have access to culture before. In parallel, reception of a large quantity of works of French Communist writers and from fellows travellers, and the virulent criticism of the existentialists, confirms the thesis of ideological and political dominance of such receipt.
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Occuper le terrain : une socio-histoire des appropriations du sport par le milieu communiste français / Occupy the Field : a socio-historical inquiry of how French Communists have taken sport into account.Martinache, Igor 30 September 2016 (has links)
En dépit de la place importante qu’elles occupent dans les sociétés contemporaines, les activités physiques et sportives continuent d’occuper une place secondaire sur l’agenda politique. Pourtant, dès le début du 20e siècle, des militants ouvriers ont commencé à développer une approche particulière du sport. Après avoir rappelé quelques éléments de l’histoire de ce « sport ouvrier », et en particulier les contradictions qui le traversent, nous nous intéressons surtout ici à la manière dont ses héritiers après la Seconde guerre mondiale ont tenté d’ériger le sport en enjeu politique de première importance en France. Ce « milieu communiste du sport », site d’interactions particulier qui dépasse les frontières des organisations s’articule cependant autour d’un certain nombre de carrefours. La commission sport nationale du PCF institutionnalisée en 1959 est de ceux-là. Appuyée sur l’analyse d’archives, d’entretiens et d’une participation observante de plusieurs années au sein de ce collectif, cette enquête propose ainsi d’étudier le statut, le fonctionnement et le recrutement d’un tel groupe de travail thématique. Il s’agit en d’autres termes de chercher à comprendre ce que militer pour la cause du sport veut dire, comment certains en viennent à s’engager pour cet objet relativement illégitime dans le champ politique pour saisir enfin quel type de doctrine ils produisent. Une deuxième partie est consacrée aux appropriations elles-mêmes de cette doctrine ailleurs dans le parti, en s’intéressant aux politiques sportives de deux municipalités de la « banlieue rouge » puis à celle menée au gouvernement lorsque le portefeuille des Sports échoit pour la première fois à une communiste, consécration en trompe-l’oeil du travail de la commission. / In spite of the major attention they benefit from in contemporary societies, sport and physical activities remain a secondary matter in the political agenda. Yet, since the beginning of the 20th Century, working class activists began developing a peculiar approach of sport. After recapping a few elements on this “working class sport” and specifically its contradictions, we will focus on how its heirs have tried to make sport a first-matter subject in France after World War II. This “communist sport world” goes beyond organizations’ borders but is nevertheless made of several crossroads. Created in 1959, the French Communist Party sport commission is one of them. This inquiry is based upon various archival sources, direct interviews and above all an ethnographic immersion during several years. It aims at studying the status of such a work group in a political party or a Trade union, how it works and who are its members. In other words, it is trying to understand what it means to advocate for sport while being a communist activist and what kind of doctrine they produce given who they are and where they stand from in social space. The second part focuses on how other members of the Party appropriate themselves this doctrine by analyzing the sports policies developed in two historically communist cities and then finally the consequences of having a communist minister of Sports for the first time in the very end of the 20th Century.
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