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Hégélianisme et schizo-analyse : l'idée de mort et la formation de la psychiatrie matérialiste dans la philosophie de Gilles Deleuze / Hegelianism and schizo-analysis : the idea of death and the emergence of materialist psychiatry in the philosophy of Gilles DeleuzeJambois, Fabrice 16 September 2013 (has links)
Cette thèse a pour objet la « psychiatrie matérialiste » (ou « schizo-analyse ») élaborée par Gilles Deleuze et Félix Guattari dans L’anti-Œdipe en 1972. Elle vise à déterminer le contenu conceptuel de cette pratique théorique, trop facilement reléguée dans l'abstraction d'un imaginaire spéculatif. La schizo-analyse, qui s'édifie avec et contre la psychanalyse, se propose de transformer les directions de la cure psychanalytique en procédant à une refonte de la théorie métapsychologique à partir du modèle clinique de la schizophrénie. Notre projet consiste à mettre en évidence la présence d’une métapsychologie fonctionnaliste dans L’anti-Œdipe et à mesurer les effets de déviation qu’elle implique pour la psychanalyse, dont elle modifie conceptuellement les principales opérations. Dans une première partie, nous prenons pour fil conducteur le concept de « corps sans organes », différencié en plusieurs moments renvoyant chacun à une station vitale déterminée, pour montrer que des schèmes dialectiques organisent l’exposition des synthèses du processus de production de l’inconscient et examiner ensuite les conditions de l’incorporation de cette dialectique du désir dans la théorie de la production sociale. Dans une deuxième partie, nous déduisons de la métapsychologie deleuzo-guattarienne les principes des relations intersubjectives et nous efforçons de déterminer le statut de la perversion qui les affecte à divers degrés pour appréhender la relation analytique qui constitue, selon L’anti-Œdipe, une relation perverse paradigmatique. La troisième partie examine les conditions d’une psychanalyse rénovée par la schizo-analyse. / The object of this thesis is the « materialist psychiatry » (also referred to as « schizoanalysis ») which Gilles Deleuze and Félix Guattari detailed in their 1972 work entitled Anti-Œdipus. Our project is to outline the conceptual contents of this practical theory which has too often been misapprehended and discarded as mere abstraction. Schizoanalysis, which was set up both along and against psychoanalysis, aims at reorienting the basis of psychoanalytical cures by remodelling the metapsychological theory, using the clinical study of schizophrenia. Our concern is to show evidence of a functionalist metapsychology within Anti-Œdipus and to measure exactly how and how much it bends the ways of psychoanalysis by modifying the concepts that lie at the core of its operations. In our first chapter we will pore over the concept of the “body without organs”, which falls into several distinct parts, each corresponding to a vital station, in order to show that the synthesis of the production of the unconscious is exposed in agreement with different dialectical schemes, and then to examine under which conditions this dialectic of desire is incorporated into the theory of social production. In our second chapter, we infer from Deleuze and Guattari’s metapsychology the principles of subjective interactions and we strive to determine the precise nature of the perversion that affects them, in order to get a thorough grasp of the analytical relationship which, according to Anti-Œdipus, amounts to the paradigm of a perverse relationship. Our third chapter examines to what extent psychoanalysis can be rejuvenated thanks to schizoanalysis.
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Le corps organisé, entre contrôle et débordement : Le cas des professions intellectuelles / Control and Emancipation in the Embodiment Process : The case of intellectual professionsReinhold, Emilie 08 December 2014 (has links)
Très peu d'études ont analysé comment le travail intellectuel affecte notre incorporation (embodiment). Mon cas, une intervention de danse dans une banque faisant participer les salariés, est une occasion inédite d'étudier les corps en action. Lors de leur travail avec les artistes, les salariés se tenaient sur un seuil, hésitant entre une attitude professionnelle ou plus personnelle. Des observations, des entretiens sur le corps et une analyse de leurs gestes s'appuyant sur des données visuelles (photographies, vidéo) donnent une description complète de leur incorporation dans cette situation de non-routine. Les corps restent souvent dans la retenue, la fermeture et la distance, mais certains d'entre eux s'ouvrent au jeu, proposant parfois des gestes rares, voire risqués. Mes résultats suggèrent que les frontières du corps sont plus instables qu'on ne le croit, l'expérimentation artistique étant un moyen de comprendre "ce que peut un corps" au travail. Le jeu corporel (embodied play) n'est pas seulement une expérience individuelle ; il est aussi un moyen de critiquer les normes corporelles existant au sein d'une organisation. Certaines manières de s'incarner proposent ainsi une sortie hors de l'organisation, ce qui se matérialise par une non-organisation du corps. / As only very few studies have investigated how intellectual (and hence mainly digital) work affects our embodiment, my case, a dance intervention in a bank involving employees, was a good way to study bodies in action. During their work with the artist, employees were standing on the boundary between work and leisure, hesitating between professional and personal embodiment. Observations, interviews and an analysis of their gestures relying on various visual data give a complete description of their embodiment process in this specific moment. On the one hand, bodies remain very constrained, distant and closed, but on the other hand, some employees open up to play, displaying rare and sometimes risky gestures. My findings suggest that the body’s boundaries are much more unstable than we think and that artistic experimentation is one way to understand what a body can do at work. Embodied play is not only an individual experience; it also has the potential to criticize dominating bodily norms existing in an organisation. Alternative embodiments thus propose a way out of organisation.
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David Nebreda / David NebredaMari Neto, Ricardo 01 December 2014 (has links)
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Previous issue date: 2014-12-01 / Coordenação de Aperfeiçoamento de Pessoal de Nível Superior / Cette dissertation est un étude consacrée exclusivement à l oeuvre de David Nebreda de Nicolas, artiste né dans la capitale Madrid, le 1 août 1952, dont la production photographique, formé dans sa intégralité par autoportraits est étroitement liée à sa infirmité, à savoir, squizophrénie paranoide. Constitué par deux longs essais cette recherche se concentre, premièrement, dans la relation entre les autoportraits et la squizophrénie de l artiste. De cette façon, basé sur les études autor de la squizophrénie realisée par Ronald Laing, présent dans son livre Le moi divisé, où l auteur fait usage des philosophies existentialiste et phénoménologique pour mieux comprendre la question squizophénique, nous en avons déduit que ce qui David Nebreda reconnaît comme le procès de régénération de sa squizophrénie n est rien d autre qu un procès de disparition par la production d autoportraits, à savoir, Nebreda a par objective disparaître avec le propre corps réfléchi dans les miroir qu il utilise pour la composition de ses photographies, en assurant, de cette manière, la pleine réalisation de son moi, encore, la conservation de sa identité. Dans un deuxième moment, nous avons développé un dialogue presque littéraire entre les autoportraits de l artiste et le concepte du Dehors, de Maurice Blanchot. D accord avec Blanchot, le Dehors est l inconnu, l étranger, l inaccessible qui est l essence de l art, ce qui l artiste désire rattraper par la oeuvre. Par les autoportrait de David Nebreda, reconnué as compléxicité et puissance, nous avons déduit que l artiste est du côté de dehors, autremente dit, il est parti à travers du propre corps, qui est sa oeuvre, dans la recherche d origine et essence de l art. Cependant, se rapporter avec le Dehors est aussi perdre le pouvoir de dire moi, c est donner voix à l impersonnel, c est créer pour soi-même un corps sans organes, un corps que resiste à l organisme et à sa organisation propre du moi que tout veut contrôler. Nebreda, en préciptant au côté de dehors dans la recherche de l essence de l art, il construit pour soi-même un corps sans organes à travers de ses autoportraits, encore, um corps sans organes-oeuvre d art. / Esta dissertação é um estudo dedicado, exclusivamente, a obra de David Nebreda de Nicolas, artista nascido na capital Madri, em 1 de agosto de 1952, cuja produção fotográfica, formada em sua totalidade por autorretratos, está intimamente relacionada à sua enfermidade, ou seja, esquizofrenia paranoide. Composta por dois longos ensaios, esta pesquisa se concentra, primeiramente, na relação entre os autorretratos e a esquizofrenia do artista. Desta feita, com base nos estudos acerca da esquizofrenia realizados por Ronald Laing, presentes em seu livro intitulado Le moi divisé, onde o autor lança mão das filosofias existencialista e fenomenológica para melhor compreender a questão esquizofrênica, depreendemos que, aquilo que David Nebreda reconhece como sendo o processo de regeneração de sua esquizofrenia, nada mais é do que um processo de desaparição por meio da produção de autorretratos, ou seja, Nebreda tem por objetivo desaparecer com o corpo próprio refletido nos espelhos que utiliza para a composição de suas fotografais, garantindo, de tal maneira, a plena realização de seu eu, mais ainda, a preservação de sua identidade. Em um segundo momento, fora desenvolvido um diálogo quase literário entre os autorretratos do artista e o conceito do Fora, de Maurice Blanchot. De acordo com Blanchot, o Fora é o desconhecido, o estrangeiro, o inalcançável que é a essência da arte, o que o artista, através da obra, almeja alcançar. A partir dos autorretratos de David Nebreda, reconhecida sua complexidade e potência, deduzimos que está o artista do lado de fora, ou seja, partira através do corpo próprio, que é a sua obra, em busca da origem e essência da arte. Porém, relacionar-se com o Fora é, também, perder o poder de dizer eu, é dar voz ao impessoal, é criar para si um corpo sem órgãos, corpo que resiste ao organismo e a sua organização própria do eu que a tudo quer dominar. Nebreda, ao lançar-se ao lado de fora em busca da essência da arte, constrói para si um corpo sem órgãos por intermédio de seus autorretratos, ou ainda, um corpo sem órgãos-obra de arte.
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O passeio do Esquizo ou as experimentações do silêncio: subjetivações e singularidades nas escritas de Ana Maria Gonçalves e PepetelaOliveira, Helaine de 12 May 2017 (has links)
Submitted by Renata Lopes (renatasil82@gmail.com) on 2017-05-26T13:42:28Z
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Previous issue date: 2017-05-12 / Esta tese tem por finalidade fazer uma experimentação literária ou, uma esquizoanálise, a partir do pensamento do Delírio cunhado por Gilles Deleuze e Felix Guattari na obra O anti-Édipo. Procuraremos verificar de que formas o “sujeito escravo de produção”, ilustrado pela escrava Kehinde e pelo escravo mudo nas obras Um defeito de cor, de Ana Maria Gonçalves e A gloriosa família, de Pepetela, produz o Silêncio na narrativa e é produzido por ele, através de seus por seus “Corpos sem Órgãos”, refletidos pela “escrita da Crueldade” de ambos os autores, inspirada nos propósitos do dramaturgo francês Antonin Artaud, em sua obra O teatro e seu duplo. / Cette thèse vise à faire une expérimentation littéraire ou un schizo, de la pensée de Delirium inventé par Gilles Deleuze et Félix Guattari dans le livre Anti-Oedipe. Nous cherchons à vérifier de quelles formes "le sujet esclave de production » illustrés par Kehinde et l'esclave muet dans les oeuvres Une couleur par défaut, Ana Maria Gonçalves et La glorieuse famille de Pepetela, produit le Silence dans le récit et est produit par lui à travers ses «Corps sans organes», réfléchis par la "cruauté ", inspiré par les buts du dramaturge français Antonin Artaud, dans son ouvrage Le théâtre et son double.
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Ce qu'un corps peut devenir : cartographie entre danse et philosophie / What a Body can Become : cartography between Dance and PhilosophyPotrovic, Laura 27 September 2017 (has links)
Cette thèse n'explore pas ce qu'est le corps, mais ce qu'un corps peut devenir. Elle explore le corps comme un événement en train de se faire à travers les concepts tels que le Corps sans Organes (Antonin Artaud, Gilles Deleuze et Félix Guattari), le bodying (Erin Manning), le corps en train de se faire (Erin Manning) et le devenir (Gilles Deleuze et Félix Guattari). Ce que tous ces concepts ont en commun est l'état de devenir. Ici, le corps devient, et en tant que tel - c'est un verbe, une activité, une force. Cette thèse explore non seulement le corps comme une force de devenir, mais elle explore également le devenir de cette force - au niveau moléculaire, expérientiel et relationnel. Comme le dit Manning, un corps est toujours plus qu'un corps. Ici, nous essayons d'aborder les devenirs physiques, expérientiels et relationnels d'un corps en mouvement. Ce qui bouge le corps de l'état d'être vers l'état de devenir est le mouvement. Cette thèse tente de montrer comment le mouvement ne s'arrête jamais. Nous bougeons toujours, donc, il y a une continuité de devenir. Un corps n'est jamais uniquement une forme, il est une force-forme. Le mouvement est celui qui ouvre le corps vers son devenir de force(s). Un corps en mouvement n'est pas une forme d'expression, mais une force d'expressivité. Le mouvement fait le corps, par conséquent, le corps lui-même est un mouvement. Nous ne dansons pas avec le corps, nous dansons le corps lui-même. Le corps est une partition, un corps-partition, de son devenir. / This thesis does not explore what body is, but what a body can become. It explores the body as event-in-making throughout the concepts such as Body without Organs (Antonin Artaud, Gilles Deleuze and Félix Guattari), bodying (Erin Manning), body-in-making (Erin Manning). What all of those concepts have in common is the same state - a state of becoming. Here, body becomes, and as such - it is a verb, an activity, a force. This thesis does not only explore the body as a force of becoming, but it also explores the becoming of that force - at the molecular, experiential and relational level. As Manning says, a body is always more-than one. Here, we are trying to approach the physical, experiential and relational becomings of a body in movement. That which moves the body from the state of being into the state of becoming is movement. This thesis is trying to show how movement never stops. We always move, therefore, there is a continuity of becoming. A body is never just a form, but a force-form. Movement is that which opens the body toward its becoming of force(s). A moving body is not a form of expression, but a force-field of expressivity. Movement makes the body, therefore, the body itself is a movement. We are not dancing with the body, we are dancing the body itself. The body is a score, a body-score, of its own becoming.
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Le corps maternel : le lieu de la métaphysique / The maternal body : the place of metaphysicsDel Aguila, Ursula 26 January 2017 (has links)
Cette étude traque le corps maternel dans l’histoire de la métaphysique. Chez Platon, il oscille entre chôra, nourrice du vivant, et matrice animale qui gouverne le corps féminin Mais la chôra, n’est pas
« Triton Genos » mais premier environnement de l’être qui est exproprié dès son origine. S’en suit l’errance du corps maternel fondatrice de la métaphysique. La volonté d’effacer le corps maternel est au cœur de la métaphysique définie comme haine et jalousie à l’égard de ce corps. Aristote théorise l’engendrement en soi mais inaugure la tradition de l’infériorisation des femmes due à leur matrice que la médecine gréco-‐latine entérine. Le christianisme comme « métaphysique des sexes » invente une figure du corps maternel purifié avec la Vierge Marie. Aux XVIIe et XVIIIème siècles, le sujet possède son corps et ses enfants et assombrit la dignité de la personne. Le corps maternel agonise et ce matricide dit la nouvelle économie libidinale qui perpétue l’enfouissement renouvelé de la mère. Le corps qui arrive est machine, sans organes et sans utérus. Un corps fabriqué, instrument de soi, qui célèbre la naissance sans mère. Le corps auto-‐engendré dit le phantasme masculin d’en passer sans le corps maternel. Son analyse dans la cartographie des philosophes femmes du XXème siècle, universaliste, différentialiste, queer, cyborg, est incontournable. Le point culminant de notre étude mesure les enjeux actuels des biotechnologies, phase finale de l’effacement du corps maternel puisqu’elles tendent à l’externaliser et à l’assujettir. Devant le commencement radical qu’ouvre la naissance qui se fait grâce à la chair matricielle pensante des femmes, ne faudrait-‐il pas bâtir la nouvelle métaphysique sur une ontologie de la vie basée sur l'ordre symbolique de la mère, seule issue possible pour sortir du désordre de la pensée ? / This study seeks to uncover the maternal body in the history of Metaphysics. In Plato, it varies between the chora, nurse of the living and the animal matrix which rules the feminine body. However, the chora is not « triton genos » but the first environment of the being who is expropriated from its origins. The maternal body can begin to wander and Metaphysics lays on that wandering. The Will of erasing it is at the heart of Metaphysics defined as hatred and jealousy. Aristotle thinks through the Begetting in itself but also ushers in the tradition of devaluing Women’s bodies in particular their womb, which is exactly what the Greek Latine Medicine confirms. The Christianity as “Metaphysics of the Sexes” invents a purified figure of the maternal body with the Virgin Mary. With the XVII and XVIIIe centuries, the subject owns his body and his children and this darkens the Dignity of the Person. The maternal body is dying and this matricide illustrates the upcoming libidinal Economy that perpetuates the burial of the Mother. The new body is a machine, without organs and without a womb. This manufactured body, tool of the Self, celebrates the Birth without the Mother. The self-begotten body represents the male fantasy to procreate without the female body. Analysis of it in the cartography of Women Philosophers, alternately universalist, differentialist, queer, cyborg is highly needed. The climax of this study measures the actual stakes of Biotechnologies, considering them as the final step of a large and global Erasing of the maternal body in an attempt to externalise and enslave it. In front of the radical beginning that opens Birth, made possible by the female thinking matrix flesh, why not build a new metaphysics upon the Symbolic Order of the Mother, this is the only way to leave forever the original Disorder of philosophical Thinking?
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A schizoanalytic reading of paradise lost and the waste landDuffy, Clifford January 2008 (has links)
Thèse numérisée par la Division de la gestion de documents et des archives de l'Université de Montréal.
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A schizoanalytic reading of paradise lost and the waste landDuffy, Clifford January 2008 (has links)
Thèse numérisée par la Division de la gestion de documents et des archives de l'Université de Montréal
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