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Une dramaturgie de l'individu hypermoderne, suivi de BrutusMarquette, Julie January 2019 (has links) (PDF)
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Un homme et ses emmerdes ; : suivi de L'obsession du personnage, guide et catalyseur dans la création littéraireParenteau, Benoît 18 April 2018 (has links)
Le roman Seth Summers, un tueur à gages, se réveille le lendemain d'une cuite dans une chambre de motel avec l'avant-bras d'une inconnue sur l'oreiller voisin. Ne sachant pas trop quoi faire et ne se rappelant de presque rien, il décide d'emporter l'avant-bras avec lui. Au moment de sortir du motel, Mathias Ptolski, son patron, lui téléphone pour lui proposer un contrat. Les deux se rencontrent dans un café où Mathias informe Seth que quelqu'un a tué sa femme. Il sort ensuite une photo où l'on voit Seth couché près de la femme du bar, tuée d'une balle entre les deux yeux. Mathias lui donne quarante-huit heures pour trouver le meurtrier ou pour s'enfuir si c'est lui. Malheureusement pour Seth, tout n'ira qu'en empirant. L'essai réflexif Quels sont les enjeux impliqués dans une démarche de création centrée sur le personnage et quel impact cette même démarche a-t-elle sur le plan émotif et créatif?
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Deux fois trop : roman ; suivi de l'essai Écrire, c'est choisirJoubert, Marie-Claude 18 April 2018 (has links)
Roman Deux fois trop Deux fois trop raconte une histoire qui prend racine lors de la Seconde Guerre mondiale et se dénoue en deux mille dix. Le roman passe d'une époque à une autre, alternant entre deux personnages féminins. Le lecteur fait d'abord la connaissance d'Evelyne, de Montréal, et découvre avec elle qu'une inconnue a mandaté un détective privé pour la retracer. Emily, qui habite l'île du Cap-Breton, entre en scène dans le chapitre suivant. Du début à la fin du roman, les histoires des deux femmes s'entrelacent. Le lecteur apprend que l'une est la mère de l'autre, ce qui soulève plusieurs questions. Pourquoi Evelyne, qui se prénommait autrefois Eveleen, a-t-elle été confiée à un couple de Québécois? Pourquoi sa soeur aînée et son frère cadet n'ont-ils pas été séparés de leur mère? Les indices sont disséminés dans le roman, mais les réponses n'arrivent qu'à la fin d'un voyage à travers le temps qui transporte le lecteur de la Nouvelle-Ecosse au Québec, en passant par l'Ontario. Essai Ecrire, c'est choisir Tout au long du processus de création, le romancier effectue des choix. Il commence par opter pour le régime hétérodiégétique ou le régime homodiégétique. Il choisit un type de focalisation. Il décide de raconter son histoire dans l'ordre chronologique ou non. Il détermine quel temps verbal convient le mieux. Plusieurs possibilités s'offrent aussi à lui en ce qui concerne la langue. Quel niveau de langage doit-il employer? Doit-il puiser dans les canadianismes et les régionalismes ou pas? Comment doit-il livrer les dialogues entre personnages qui s'expriment dans une autre langue que le français? Le romancier a également la liberté de coller à la réalité ou de s'en détacher. Si son oeuvre de fiction se situe dans le passé, par exemple, il peut respecter les faits historiques ou, au contraire, ne leur accorder aucune importance. Écrire, c'est choisir fait l'inventaire des choix qui s'offrent à l'auteur de fiction. Cet essai invite à réfléchir sur les dessous de l'écriture romanesque en s'appuyant sur plusieurs ouvrages théoriques, puis en comparant le roman Deux fois trop à d'autres, dont Tous ces mondes en elle, de Neil Bissoondath, J'ai épousé un communiste, de Philip Roth, et Les heures, de Michael Cunningham.
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La création littéraire comme vocation chrétienne : un projet de recherche-créationBlair, Louisa 21 September 2024 (has links)
Ce projet en théologie pratique vise à explorer la création littéraire comme vocation chrétienne. Si nous sommes appelés à suivre le Christ, comment répondre à la tentation parfois impérieuse de l’écriture ? Est-ce qu’il s’agit d’une seule vocation ou est-ce que les « appels » à la vocation chrétienne et à la création littéraire ont plutôt des sources différentes ? Autrement dit, est-ce que les appels à mettre noir sur blanc ses pensées viennent aussi de Dieu et est-ce Dieu qui est source de l’inspiration littéraire ? J’ai développé ces questionnements parce que, dans mon expérience, les deux « appels » sont souvent en concurrence et je voulais me donner les moyens pour les discerner, sinon les réconcilier. J’ai donc observé ma propre démarche littéraire pour faire ressortir les dissonances, résonances et chevauchements entre ma pratique comme écrivaine et ma vocation chrétienne, et ainsi développer une théologie pratique de la vocation littéraire. Pour ce faire, j’ai créé « la méthodologie jazz », une méthodologie heuristique qui vise une observation distanciée de mes habitudes créatrices. Au cours de mes quatre années d’études doctorales, j’ai écrit une pièce de théâtre, des nouvelles et un livre, entre autres textes. Pendant la rédaction de chaque texte, j’ai tenu un journal de bord pour noter des remarques sur ma méthode. Après avoir assemblé un corpus représentatif, et inspirée par l’œuvre de Gérard Genette sur la fonction des paratextes, j’ai de nouveau observé ma pratique, rétroactivement, avec des notes de bas de page dans une autre langue. À partir d’une synthèse des annotations recueillies, j’ai réalisé une réflexion théologique avec l’aide d’une grille d’analyse basée sur les écrits du théologien Christoph Theobald portant sur des éléments de la vocation chrétienne. Premièrement, j’ai découvert que ma foi influence ma pratique littéraire. Par exemple, les appels à écrire viennent de l’extérieur comme de l’intérieur. Prendre une décision, à savoir comment répondre à ces appels, ou même seulement si l’on doit y répondre, exige un discernement qui s’adresse à mes valeurs chrétiennes. Deuxièmement, Theobald souligne le rôle capital joué par les malentendus, les « passeurs » et l’exil (par exemple, dans le récit de Samuel, pour qui Élie est le passeur). Ces éléments, comme je le démontre, sont également significatifs dans le processus d’écriture. Troisièmement, tout comme la vocation religieuse, la vocation littéraire est un appel à comprendre et à développer notre singularité profonde, tout comme elle peut facilement devenir un service rendu à soi-même plutôt qu’à autrui. En outre, j’ai observé que la nouveauté recherchée dans la création littéraire ne résonne pas nécessairement avec la nouveauté de la Bonne Nouvelle. Finalement, il y a dans une pièce bien réalisée un genre de vérité qui ressemble aux vérités ineffables de la foi. Ces résonances et ces dissonances aident à élaborer une théologie pratique de la vocation littéraire, où la clé du discernement au cours de la pratique quotidienne repose dans notre propre vérité ou dans la concordance avec soi, que nous ne retrouvons que dans la « sainteté hospitalière » du Christ. Par la contagion de l’authenticité, les espaces littéraires peuvent être autant hospitaliers que les espaces physiques ou sociaux. Si nous sommes vrais, comme Jésus, nous pouvons nous retirer des lieux publics, des moments passés en collectivité, pour répondre aux appels à la création littéraire sans être retenus par nos reproches à nous-mêmes, ou par les reproches (imaginées ou autres) de la communauté chrétienne. L’authenticité de Jésus l’a mené nécessairement loin de l’approbation générale de sa communauté, et par la contagion de cette authenticité, nous pouvons aussi donner un espace d’hospitalité aux autres de suivre leurs propres vocations. / This study in practical theology is an exploration of literary creation as a Christian vocation. If we are called to follow Christ, how should we respond to the imperious call to literary creation? Is the call to Christ and the call to create a single vocation, or do these “calls” come from different sources? Does the call to write also come from God, and is God the source of literary inspiration? I undertook this project because in my experience the two calls often compete, and I wanted to find a way to discern between them, if not reconcile them. I therefore observed my own literary practice to determine the dissonances, resonances and overlaps between my practice as a writer and my Christian vocation with the goal of creating, if possible, a practical theology of literary vocation. To do so I developed the « Jazz Method », a heuristic methodology for observing my practice from a distance. Over the four years of my doctoral studies, I had written numerous works of various kinds, including a play, some short stories, and a book. While I was writing these, I kept a journal. Having assembled some of the works into a representative collection, and inspired by Gérard Genette’s work on the function of paratexts, I observed my practice again, this time retroactively, by footnoting the collection, in another language. Then, based on a synthesis of all my observations, I undertook a theological reflection on my practice using the ideas of theologian Christoph Theobald on the elements of a Christian vocation. Firstly, I discovered that my dispositions as a Christian affect my writing practice. For example, the calls to write come from both inside and out, and deciding if and how to respond to these calls requires discernment for which I turn to my Christian values. Second, Theobald stresses the crucial role played by misunderstandings, passeurs (or mediators), and exile in the vocational call (for example in the story of Samuel’s call, mediated by Eli). As I show, these elements are also important in the practice of literary creation. Third, the call to write, like the call to Christ, is a call to understand and deepen our own singularity, but like a religious vocation, can easily turn into a service of oneself rather than of others. In addition, the novelty sought in literary creation is not necessarily of the same nature as that of the “Good News”. Finally, however, I observed that there is a literary truth found in a well-written piece that resonates with the ineffable truths of faith. These resonances and dissonances helped me to create a practical theology of literary creation, whereby the key to discernment in daily practice is our own truth, or the concordance with ourselves that is found in the “holy hospitality” of Christ’s presence. Through the wellknown contagion of authenticity, literary spaces can be as hospitable as physical or social spaces. If we are authentic, as Jesus was, we can withdraw from the crowd to respond to calls to creation without self-reproach and immune to the reproaches (real or imagined) of our community of faith, and through the contagion of our authenticity, give permission to others to find their own authenticity and their own vocation.
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Cristal interview : le Tarot comme guide d'une expérience de création poétique (vidéo et textes)Bourque, Danièle. 10 May 2024 (has links)
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Prolégomènes à une poétique du romanBouchard, Guy, Bouchard, Guy 03 December 2024 (has links)
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La corbeille d'Alice : (roman) ; suivi de Les éléphants à l'Université : (essai) : comment la création littéraire est entrée à l'Université et a modifié le paysage littéraire nord-américainDeschênes-Pradet, Maude 18 April 2018 (has links)
Partie 1 : La corbeille d'Alice (roman) Alice rentre difficilement d'un long voyage. Pour faire le deuil de sa grande histoire d'amour, elle essaie d'écrire une lettre d'amour et d'adieu dont les différentes versions s'empilent dans sa corbeille. Le beau Simon, son meilleur ami et voisin, voudrait survivre à son enfance. Il achète une tour en ruines qu'il devra reconstruire pierre par pierre. Ces deux personnages partagent des moments tissés de silence où chacun prend soin de l'autre à sa manière, mais leur amitié comporte sa part d'ambiguïté, à laquelle ils n'échappent pas. La corbeille d'Alice est un court roman d'amour, d'amitié et de deuil, raconté du bout des lèvres. Partie 2 : Les éléphants à l'Université ; comment la création littéraire est entrée à l'Université et a modifié le paysage littéraire nord-américain (essai) Cet essai propose une réflexion sur la place de la création littéraire à l'Université. Il tente de comprendre et de raconter l'émergence des programmes de création littéraire dans les universités nord-américaines. Il permettra de saisir l'importance, pour le paysage littéraire nord-américain, des changements survenus au sein des universités et des choix sociétaux qui les sous-tendent. Il met en relation des réflexions d'auteurs étatsuniens et québécois. Enfin, il tente de montrer comment la création littéraire peut faire l'objet d'un enseignement au niveau universitaire, et en quoi elle constitue un domaine de recherche.
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Je te dégoûte comme un souvenir d'enfance ; suivi de Hiatus : l’espace abstrait dans Comment nous sommes nés de Carole DavidBeaudoin, Laurianne 04 1900 (has links)
Mémoire en recherche-création / Je te dégoûte comme un souvenir d’enfance est un recueil de poésie qui explore l’incarnation trouble de sa sujet dans le monde du capitalisme hégémonique. Ce monde, tantôt inhospitalier tantôt serein en apparence, l’atteint par les yeux. Puis, il s’inscrit dans la matérialité du reste de son corps à la fois réceptif et tendu. Son rapport physique et psychologique à la sexualité ouvre une fenêtre sur la possibilité de résonance avec autrui, une connexion partielle et momentanée. Pourtant, l’être-au-monde, aussi complexe et épanouissant puisse-t-il potentiellement être, est ankylosé par l’impératif de la mort qui impose une fin à son expérience. L’essai s’intéresse, conjointement à la création, à l’aliénation des sujets poétiques qui naviguent dans les espaces déliquescents de l’Amérique néo-libérale dans Comment nous sommes nés de Carole David. Il lit ces lieux par le prisme du paysage subjectif (Collot, 2005) et de l’américanité littéraire, expérience continentale intime et angoissante (Nepveu, 1998 ; Lapierre, 1995). Produits sociaux éminemment politiques, ces lieux du poème, espaces abstraits (Lefebvre, 1974), s’y révèlent comme des instruments à la pensée et au pouvoir dans la production d’un champ spatial aliénant. Surplombés par le spectre de l’apocalypse, les poèmes de Comment nous sommes nés enchevêtrent la vie et la mort. Ils dépeignent de manière lucide un univers composite dans lequel l’exceptionnalisme humain laisse place aux dialogues entre espèces. Les espaces sympoïétiques (Haraway, 2020) du recueil m’apparaissent enfin comme tentaculaires, entrelacés. / I repel you like a childhood memory is a collection of poetry that explores the troubled incarnation of its subject in the world of hegemonic capitalism. This world, sometimes inhospitable sometimes serene in appearance, passes through her eyes first. Then, it is inscribed in the materiality of his body both receptive and tense. Her physical and psychological relationship to sexuality opens a window on the possibility of resonance with others, a partial and momentary connection. Yet the being-in-the-world, however complex and fulfilling it may be, is stifled by the imperative of death that imposes an end to its experience. The essay is jointly concerned with the creation and alienation of poetic subjects navigating the deliquescent spaces of neo-liberal America in Comment nous sommes nés by Carole David. It reads these places through the prism of subjective landscape (Collot, 2005) and literary Americanity, an intimate and agonizing continental experience (Nepveu, 1998; Lapierre, 1995). These places of the poem, abstract spaces (Lefebvre, 1974), reveal themselves as instruments of thought and power in the production of an alienating space field. Overlooked by the spectrum of apocalypse, the poems of Comment nous sommes nés tangle life and death. They lucidly depict a composite universe in which human exceptionalism gives way to dialogues between species. The spaces of sympoiesis (Haraway, 2020) of the collection appear in the end as sprawling, interlaced.
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« La capacité négative dans Emprunter aux oiseaux de Ouanessa Younsi » ; suivi de « Manuel de psychiatrie élémentaire »Laneuville, Laurence 04 1900 (has links)
Mémoire en recherche-création / En première partie, l’essai étudie la notion de capacité négative telle qu’entendue par John Keats dans ses correspondances du début du XIXe siècle, désignée comme la capacité de « demeurer au sein des incertitudes, des Mystères, des doutes, sans s’acharner à chercher le fait & la raison ». À partir de cette notion, Wilfred R. Bion présente, cent cinquante ans plus tard, une théorie du « langage de l’Accomplissement » en réponse au caractère ineffable de l’expérience psychanalytique. Ces orientations théoriques, puisées à la fois dans la critique littéraire et la psychanalyse, servent ensuite à l’analyse du recueil « Emprunter aux oiseaux ». Ouanessa Younsi y fait l’état d’un rapport entre le « je » poétique et sa grand-mère, atteinte d’Alzheimer. Là où la démence force une rupture du sens dans le langage, l’écriture de Younsi opère une transformation du non-dit dans une éthique de l’accompagnement. La capacité négative permet ainsi une appropriation esthétique de l’étiquette du care à laquelle on attribue l’autrice. En deuxième partie, je propose une pratique d’écriture par la capacité négative, avec l'incertitude à la fois comme problème et moteur de création. En tant que résidente en psychiatrie, mon projet poétique est d’investir les canaux clandestins me reliant aux patients. Soixante-cinq poèmes en vers libres et en prose confrontent le problème d’acquisition de l’espace thérapeutique, à savoir comment employer les mots et comment habiter la relation d’aide. / The first part of the essay examines negative capability as a term mentioned by John Keats in his correspondence from the beginning of the 19th century, described as “when a man is capable of being in uncertainties, mysteries, doubts, without any irritable reaching after fact and reason”. Inspired by this notion, Wilfred R. Bion develops, one hundred and fifty years later, the “language of Achievement” theory in response to the ineffable quality of the psychoanalytic experience. These theoretical orientations, drawn from both literary criticism and psychoanalysis, are then used to analyze « Emprunter aux oiseaux ». In her poetry book, Ouanessa Younsi describes the relationship between the poetical subject and her grandmother, who suffers from Alzheimer's disease. As dementia breaks the usual meanings of language, Younsi's writing transforms the untold by the means of an ethical process of companionship. Negative capability thus allows for an aesthetic revision of the care label attributed to the author. For the second part, I suggest a negatively capable practice of writing, framing uncertainty both as a problem and a driving force for creativity. As a resident in psychiatry, my poetic project consists in investing the clandestine channels connecting me to patients. Sixty-five poems in free verse and prose confront the problem of defining the therapeutic space, namely how to use words and how to inhabit the caring relationship.
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La route des étoiles et autres nouvelles, suivi de Présence du réalisme magique dans deux nouvelles québécoises et deux nouvelles sud-américaines, essaiProvost, Catherine January 2015 (has links)
La première partie de ce mémoire présente La route des étoiles et autres nouvelles, recueil de quatre nouvelles réalistes magiques mettant en scène des glissements du réel vers le surnaturel, lesquels sont acceptés par les personnages. Ces derniers, après avoir été en contact avec le côté magique des choses, perçoivent différemment le monde. Suit la seconde partie, intitulée Présence du réalisme magique dans deux nouvelles québécoises et deux nouvelles sud-américaines. Le chapitre 1 offre un bref aperçu des origines du réalisme magique, puis aborde les différentes théories et définitions qui lui sont rattachées. Dans le chapitre 2, une analyse de deux nouvelles québécoises (« La clé des océans » de Nicolas Dickner et « Apte au travail » de Michel Dufour) et de deux nouvelles sud-américaines (« La maison en sucre » de Silvina Ocampo et « Le noyé le plus beau du monde » de Gabriel García Márquez) a pour but d’identifier des traces du sous-genre qu’est le réalisme magique. Ce dernier s’incarne différemment en fonction de l’origine des auteurs. Ainsi, bien que la subversion soit présente tant chez les auteurs sud-américains que chez les auteurs québécois, on trouve chez ces derniers davantage d’humour et d’ironie. En outre, les textes québécois étudiés ici s’apparentent davantage à la poétique de la nouvelle, tandis que ceux sud-américains semblent plus près du conte. Enfin, le chapitre 3 consiste en un retour sur La routes des étoiles et autres nouvelles et clôt le mémoire en présentant les intentions tant thématiques que poétiques derrière chacune des nouvelles du recueil. Une mise en parallèle de ces textes avec ceux de Dickner, Dufour, Ocampo et García Márquez permet d’effectuer un retour réflexif sur l’écriture réaliste magique.
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