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L'euthanasie en droit public / Euthanasia in public law

Gheza, Marc 07 December 2007 (has links)
La question de la mort a toujours hanté les sociétés humaines et le droit semble s'en être emparé très tôt, la mort répondant à la mort à titre de réparation d'un préjudice. En l'état, bien que de plus en plus distante avec le corps social, la mort reste prégnante dans toute société. La question du droit à la mort, quant à elle, est complexe et peut s'appréhender juridiquement, dans la mesure où elle confronte la société et l'individu, dans le cadre de l'ordre public et des droits fondamentaux. Reconnaître le droit de demander et d'obtenir la mort permettrait de satisfaire une revendication individuelle légitime. Mais, dans le même temps, cela risquerait d'engendrer des effets délétères susceptibles de porter atteinte à la conception de l'humain et, d'un point de vue juridique plus global, à l'ordre public au sein duquel est notamment rangée la dignité humaine. La protection des droits fondamentaux étant une question d'équilibres à rechercher et maintenir, il faut s'interroger sur le droit qu'à une société de protéger un individu contre lui-même, sur les motifs qui l'animent, et sur les équilibres à envisager entre la volonté des uns (issue de leur liberté individuelle, si tant est qu'une telle liberté existe à cette fin) et la protection d'un certain ordre public dans lequel a été rangée la dignité humaine. La dignité humaine peut cependant permettre d'équilibrer l'ensemble, en reconnaissant un droit de mourir dans la dignité / Pas disponible / Not available
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La pénalisation de l'exercice de la liberté d'expression et la portée du principe de dignité humaine quant aux infractions d'opinion : étude comparée des systèmes canadien et français

Thériault, Yancey 22 March 2024 (has links)
Thèse en cotutelle : Université Laval, Québec, Canada et Université de Toulouse 1 Capitole, Toulouse, France) / Cet écrit propose d’abord une analyse de l’évolution récente de la répression de l’expression par le droit pénal canadien et le droit pénal français. L’étude des changements relatifs aux infractions d’opinion révèle deux tendances générales, soit, d’une part, une augmentation de la portée de l’arsenal législatif en la matière et, d’autre part, une diminution de ses effets judiciaires. Constatant la recrudescence concomitante du principe de dignité humaine en matière de liberté d’expression, l’auteur s’intéresse ensuite à une potentielle relation causale entre ce phénomène et les tendances préalablement identifiées. Écartée en tant que limite autonome à la liberté d’expression, la dignité humaine fondamentale peut encore être prise en compte, en France, dans la balance des intérêts en présence et, au Canada, pour déterminer si le propos litigieux est susceptible de susciter la haine. Après une tentative nécessaire de clarification de la nature et de la portée du principe de dignité humaine, il s’avère que son inclusion dans une forme ou une autre de contrôle de proportionnalité ne parvient pas à dissoudre les problèmes inhérents à la notion même de dignité humaine, en particulier ceux relatifs à son caractère indéfini et absolu. Ce constat suggère qu’elle aurait mieux fait de demeurer ce qu’elle était initialement destinée à être, c’est-à-dire un principe fondateur de l’ordre juridique. Devant l’impossibilité d’établir un lien de causalité entre la résurgence du principe de dignité humaine en matière de liberté d’expression et la densification de l’arsenal répressif, l’auteur soumet, en fin d’analyse, l’hypothèse selon laquelle ces deux phénomènes sont plutôt des symptômes distinctifs d’un changement sociojuridique en faveur d’une protection plus étendue du pluralisme. / This paper first offers an analysis of recent developments in the repression of expression by Canadian criminal law and French criminal law. The study of changes in public opinion offences reveals two general trends, namely, on the one hand, an increase in the scope of the legislative arsenal in this area and, on the other hand, a decrease in its judicial effects. Noticing the concomitant upsurge of the principle of human dignity in matters of freedom of expression, the author then explores the potential causal relationship between this phenomenon and the trends previously identified. Disregarded as an autonomous limit of freedom of expression, fundamental human dignity can still be taken into account, in France, in the balance of interests and, in Canada, to determine whether the disputed statement is likely to arouse hatred. After a necessary attempt to clarify the nature and scope of the principle of human dignity, it turns out that its inclusion in some form of proportionality control fails to dissolve the problems inherent in the very notion of human dignity, particularly those relating to its indefinite and absolute essence. This finding suggests that it would have been better to remain what it was originally intended to be, namely a founding principle of the legal order. Facing the impossibility of establishing a causal link between the resurgence of the principle of human dignity in matters of freedom of expression and the densification of the repressive arsenal, the author submits, at the end of his analysis, the hypothesis that these two phenomena are rather distinctive symptoms of a socio-legal change in favour of a more extensive protection of pluralism.
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La causalité du Bien

Curodeau, Jean-Philippe 27 January 2024 (has links)
Le présent mémoire tente, autant que possible, de trouver une piste de solution au problème du sens de l’existence par le truchement de l’éthique. Plus spécifiquement, la question de la dignité humaine est envisagée comme un indice du sens de l’existence. Toutefois, cette dignité demande d’être démontrée. Les cinq chapitres de ce mémoire constituent ensemble un cheminement progressif vers une réponse au problème de la dignité, notamment en mettant de l’avant celle qu’a offerte Aristote. Puisque le bien semble être connu en étant désiré et aimé, ce sont les expériences de l’amour et du désir qui seront examinées en premier lieu. Une approche trop rationaliste est d’emblée écartée. Par l’étude du rapport de l'homme au temps nous verrons que le bien est effectivement l’objet du désir. Toutefois, de longs développements sont consacrés à l’hypothèse selon laquelle le bien n’est tel que parce qu’il est désiré. Finalement, il sera question de remettre en cause cette dernière perspective grâce aux arguments d’Aristote et de tenter de montrer que le bien en lui-même existe réellement dans les êtres vivants, qu’ils sont donc dignes. / This essay is an attempt to find a solution to the problem of the meaning of existence through ethics. The question of human dignity is treated as a clue to the meaning of existence. However, this dignity needs to be demonstrated. The five chapters of this essay constitute a progressive journey towards a response to the problem of dignity, notably by putting forward the solution offered by Aristotle. Since goodness seems to be experienced by being desired and loved, it is the experiences of love and desire that will be examined first. An overly rationalist approach is rejected from the outset. By studying the human being's relationship to time, we will see that goodness is indeed the object of desire. However, long discussions are devoted to the hypothesis that goodnessis such only because it is desired. Finally, it will be a question of contradicting this last perspective, thanks to Aristotle's arguments, and of trying to show that goodness exists in living beings, that they are therefore worthy of dignity.
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Dévoiler la dignité humaine : absence, connaissance, reconnaissance

Goutier, Antoine 13 April 2018 (has links)
Le terme de dignité humaine surgit fréquemment dans notre paysage contemporain. Que ce soit sur des débats éthiques tel que le suicide assisté ou sur des questions de droit international, cette notion de dignité est utilisée à toutes les sauces. Un flou conceptuel enveloppe dès lors la dignité humaine qui en perd son sens. La recherche présente a comme objectif de préciser la notion et de l'actualiser. Plus particulièrement, notre réflexion se scinde en trois questions singulières. Premièrement, nous désirons savoir si la dignité humaine a une substance : existe-t-elle en soi ou elle n'est rien de moins que le fruit de nos fantasmes moralisateurs? Nous répondons à la question en plongeant notre regard dans l'horreur de l'inhumanité. Dans le monde déserté par la dignité humaine se révélera la profondeur de sa réalité. Deuxièmement, afin de circonscrire davantage l'essence de la dignité, nous allons à sa source. D'où provient notre dignité, qu'est-ce que cela signifie avoir une dignité? Nous abordons cette question à travers le suicide et en contradiction avec la notion de dignité. Troisièmement, l'exercice philosophique ne serait pas complet si nous n'abordions pas l'aspect pratique. Ainsi, nous terminons cette recherche sur la manière à employer pour faire respecter concrètement la dignité humaine
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Être ancré et moderne : réalisme et engagements chez Aminata Sow Fall

Kalaora, Léa January 2005 (has links)
Mémoire numérisé par la Direction des bibliothèques de l'Université de Montréal.
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L’évidence des croyances éthiques: Analyse socio-rhétorique des mémoires envoyés à la Commission parlementaire québécoise « mourir dans la dignité »

Burnier, Daniel January 2017 (has links)
Cette thèse interdisciplinaire analyse la manière dont des citoyens débattent lors d’une consultation publique organisée sur des questions éthiques controversées. Elle s’intéresse plus spécifiquement à la « présentation de soi » que des individus construisent à travers leurs écrits dans le but de crédibiliser leurs discours sur l’euthanasie. Sur ce sujet, ces voix citoyennes n’ont jusqu’ici que peu retenu l’attention des chercheurs. Le cas étudié concerne la consultation publique québécoise organisée en 2010-2011 par la « Commission spéciale sur la question de mourir dans la dignité ». Nous analysons à l’aide des outils de la rhétorique et de « l’argumentation dans le discours », les mémoires écrits (n= 149) envoyés par des citoyens à la Commission spéciale. Devant la taille et le nombre important de documents (de 1 à plus de 250 pages, 5 pages en moyenne), nous utilisons la formule « mourir dans la dignité », tout à fait centrale dans le débat québécois, comme un point d’accès à ce débat. Nous partons de cette formule pour comprendre comment les participants argumentent, avant de regarder dans les autres parties de ces mémoires. Quatre types moyens de présentation de soi se dégagent de l’analyse, à savoir l’expert (n=40), le témoin (n=40), l’opinant (n=52) et l’amateur (n=17). Là où l’expert se présente professionnellement de manière détaillée, là où le témoin développe son récit, l’opinant, lui, dit très peu de choses sur lui-même. Il se distingue des autres figures moyennes par la faible présence – et parfois l’absence – d’informations personnelles ou professionnelles. L’amateur se situe ici entre l’opinant et l’expert ou le témoin : les faits biographiques (personnels ou professionnels) tiennent généralement sur quelques lignes. Celui-ci se présente implicitement comme amateur lorsque, ayant la possibilité de s’appuyer sur une expertise ou expérience personnelle, choisit plutôt de dire ce que ne dit jamais l’expert et qui pourrait se résumer ainsi : « les personnes ordinaires comme moi ». À de très rares exceptions, toutes les personnes engagées politiquement dans cette consultation publique, aussi différentes soient-elles, affichent une grande certitude dans leurs croyances éthiques. À la question qui leur est notamment posée – faut-il légaliser l’euthanasie? – les participants ne montrent guère de doutes. Chacun fait comme si les convictions de l’adversaire étaient inférieures aux siennes qu’ils présentent souvent comme universelles. Concernant la formule « mourir dans la dignité », les participants prétendent implicitement à l’objectivité de leur définition. Ils agissent même comme s’il existait une seule définition de la formule « mourir dans la dignité » et une seule vérité éthique. Nous soutenons que ces manières d’argumenter sont efficaces pour masquer la fragilité des croyances éthiques et maintenir l’adversaire à distance. Notre conclusion suggère pourtant qu’une éthique plus humble, complexe et sociale pourrait fonctionner en dehors d’un système fortement polarisé.
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La reconnaissance de la dignité humaine dans l'éducation

Tremblay, Joëlle 17 April 2018 (has links)
Nous tentons dans ce mémoire de démontrer l'importance capitale que doit avoir la reconnaissance de la dignité humaine dans l'éducation. Pour ce faire, il nous a fallu entreprendre une investigation philosophique de fond sur l'éducation en tant que telle pour y voir apparaître le souci primordial que doivent avoir les éducateurs envers la nature des enfants. L'enfant est par nature un être tourné vers son avenir. Cette détermination le pousse à devenir un être humain à part entière. Mais qu'est-ce que veut dire "être un être humain à part entière"? Est-il possible dans toutes conditions de vie d'en devenir un? Si tel n'est pas le cas, quelles seraient les conditions primaires pour permettre à tout enfant de devenir ce qu'il cherche tant à devenir? Ces différents points seront traités dans ce travail. D'autre part, il nous semble que pour éduquer réellement un enfant, les éducateurs ne doivent pas se questionner en premier lieu sur la culture à transmettre, mais bien plutôt sur le rapport éducatif qu'ils entretiennent avec les enfants. En effet, c'est en considérant la nature profonde de l'enfant comme point focal que l'éducation peut se faire. Si l'éducateur ne considère pas le devenir de l'enfant, il le garde prisonnier de son enfance et, ou d'un métier qu'on tente de lui inculquer. L'éducation dépasse la technicité par laquelle nous la prodiguons. Elle est bien plutôt un accompagnement vers l'actualisation de la pleine nature des enfants. Elle doit encourager la venue d'une liberté soutenue d'une vivacité d'esprit et d'une maîtrise de soi. Sans cela, elle n'est qu'endoctrinement. Tenter de comprendre ce qu'est l'éducation n'est pas simple. Nous nous devons de commencer notre recherche par un constat sur la situation actuelle afin de voir si ce que l'on nomme aujourd'hui l'éducation en est réellement. Par le biais de définitions des différents termes qui se rapportent à notre thème, nous pourrons discerner ce que devrait être l'éducation et la responsabilité des parents de même que les enseignants vis-à-vis des enfants. Cela nous permettra de déterminer les conséquences dans la vie adulte d'une éducation axée sur la reconnaissance de la dignité humaine.
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Dignité humaine et philosophie pour les enfants

Fillion, Jeannot 13 April 2018 (has links)
Ce mémoire traite des modalités permettant la préservation de la dignité humaine, par la pratique de la philosophie avec les enfants. Notre travail comprend trois parties. Nous présentons d'abord différentes significations de la dignité humaine, lesquelles nous font saisir l'importance de s'en procurer un fondement, à partir d'une conception de l'être humain. Celle-ci nous conduit sur le terrain de l'éthique, par l'examen de ce que signifie être raisonnable, mis en relation avec la reconnaissance et le respect de la dignité humaine. Puis, nous présentons différents aspects importants du programme de philosophie pour les enfants. A la suite d'un bref historique, nous exposons les différents objectifs de ce programme. Cela nous conduit à examiner la notion de communauté de recherche et ce qu'elle implique, soit l'intériorisation par le dialogue de dispositions et d'habiletés à la base du développement d'une pensée de qualité supérieure à la fois critique, créative et vigilante. Enfin, disposant de tous les éléments nécessaires à la résolution de notre problématique, nous tentons d'évaluer dans la dernière partie dans quelle mesure la pratique de la philosophie avec les enfants, sous l'angle de la formation éthique, peut contribuer à la préservation de la dignité humaine.
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L'ambivalence juridique de l'humain : entre sacralité et disponibilité / The legal ambivalence of the human : between sacred and availability

Reynier, Mathieu 10 November 2010 (has links)
L'ambivalence entourant actuellement l'appréhension de l'humain confine parfois à l'ambiguïté. Telle est le constat auquel le chercheur se doit de faire face dès lors qu'il s'attache à étudier ce vaste sujet. Tiraillé entre deux mouvements opposés, l'humain semble osciller entre sacralité et disponibilité, entre protection et libéralisation. Il est soumis à un mouvement permanent d'appréciations contradictoires, rendant délicate, et peut être même illusoire, toute fixation d'une appréhension pérenne. Pourtant, paradoxalement, la nécessité de dégager un axiome durable destiné à guider les réflexions n'a jamais été aussi grande. Car, les développements scientifiques, la montée du libéralisme, mais également l'apparition d'un individualisme social projettent l'humain dans un mouvement utilitariste suscitant parfois l'inquiétude. L'outil juridique dans sa "rigidité" a en effet du mal à percevoir cette réalité particulière. Il n'a pas été originellement créé dans ce but. Il sait s'occuper des rapports pouvant exister entre les catégories qu'il a établies, mais rencontre quelques difficultés lorsqu'il s'agit d'appréhender une entité "hors-cadre". Dès lors, pour véritablement comprendre nous nous devons de nous installer dans une "schizophrénie" analytique. Nous devons accepter que l'humain ne représente pas en droit, une personne ou une chose, mais bien les deux à la fois. Qu'il ne peut être "sacralisé" ni rendu "disponible" complètement. Qu'il est un "tout" complexe et un "complexe" de tout, qu'il est une unicité "janusienne", une unicité à double visage. / The ambivalence surrounding at present the apprehension of the human sometimes borders on the ambiguity. Such is the report which the researcher owes face since he attempts to study this vast subject. Pulled between two opposite movements, human seems to oscillate between sacrality and availability, between protection and liberalization. It is subjected to a permanent movement of contradictory appreciations, making delicate, and can be even imaginary, any binding of a long-lasting apprehension. Nevertheless, paradoxically, the necessity of loosening a sustainable axiom intended to guide the reflections was never so big. Because, the scientific developments, the ascent of the liberalism, but also the appearance of a social individualism plan human in a movement utilitarian sometimes arousing the anxiety. The legal tool in its "rigidity" indeed has difficulty in perceiving this particular reality. It was not create originally in this purpose. He knows how to take care of connections which can exist between the categories that he established, but meets some difficulties when it is a question of dreading an entity "except frame". From then on, to understand really we owesettle down in an analytical "schizophrenia". We have to accept that human does not represent in law, a person or a thing, but both at once. That he cannot be "made sacred" nor made "available" completely. That it is a "quite" complex and a "complex" of everything, that it is a uniqueness "janusienne", a uniqueness with double face.
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Jugar por amor propio ludismo y autorrealización en la novela moderna

Zamora y Góngora, Javier Alejandro January 2006 (has links)
Thèse numérisée par la Direction des bibliothèques de l'Université de Montréal.

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