• Refine Query
  • Source
  • Publication year
  • to
  • Language
  • 96
  • 44
  • 19
  • 6
  • 6
  • 5
  • 4
  • 2
  • 1
  • 1
  • Tagged with
  • 188
  • 91
  • 77
  • 24
  • 21
  • 20
  • 20
  • 17
  • 17
  • 16
  • 15
  • 15
  • 14
  • 13
  • 13
  • About
  • The Global ETD Search service is a free service for researchers to find electronic theses and dissertations. This service is provided by the Networked Digital Library of Theses and Dissertations.
    Our metadata is collected from universities around the world. If you manage a university/consortium/country archive and want to be added, details can be found on the NDLTD website.
171

Role de la Mission Evangelique de la Delivrance dans la prevention de la transmission du VIH/SIDA a Kinshasa, 1998-2008 : perspectives missiologiques / The role of Mission Evangelique de la Delivrance in the prevention of the spread of HIV and AIDS at Kinshasa, 1998-2008 : missiological perspectives

Lubo Kasongo Edmond 02 1900 (has links)
French text / La Mission Évangélique de la Délivrance (M.E.D) est dans une ville où le VIH/SIDA fait rage. Ceci crée un problème social dû à la transmission par manque d’information sur cette maladie meurtrière. L’échantillon utilisé confirme l’idée selon laquelle la M.E.D contribue à la prévention de la transmission du VIH/SIDA et même cette lutte avec ses paroisses à travers les activités organisées concernant cette pandémie. Cependant, le besoin est d’étendre cette lutte dans les églises des autres communautés proches et lointaines dans la ville de Kinshasa. La MED intensifie son action pour convaincre les gens ayant une conception archaïque sur la pandémie. Elle veut bannir les mythes qui l’entourent et donner les conseils précis sur la pratique sexuelle responsable. La MED amène les gens à se faire examiner pour connaître leur état sérologique. Elle encourage les atteints à vivre positivement et à collaborer sans gêne. / The Mission Evangélique de la Délivrance is in a city where the HIV/AIDS makes rage. It creates a social problem due to the transmission for lack of information on this murderous illness. The used sample confirms the idea according to which the MED contributes to the prevention of the transmission of HIV/AIDS and even this struggle with her parishes through activities organized concerning this pandemic. However, the need is to spread this struggle in other near and far away community churches in Kinshasa. The MED intensifies her action to convince people having an archaic conception on the pandemic. She wants to outlaw myths that surround it and to give the precise advices on the responsible sexual practice. The MED brings people to make examine themselves to know their serological state. She encourages those who are reached by the illness to live positively and to collaborate without hindrance. / Christian Spirituality, Church History and Missiology / M. Th. (Missiology)
172

A igreja cat?lica e as novas comunidades: do cosmos ao caos moderno

Santos, Jos? Roberto Oliveira dos 02 October 2008 (has links)
Made available in DSpace on 2014-12-17T14:19:47Z (GMT). No. of bitstreams: 1 JoseROS.pdf: 786021 bytes, checksum: a489a7eb19e4032cddf4d9a6aeaa2968 (MD5) Previous issue date: 2008-10-02 / Coordena??o de Aperfei?oamento de Pessoal de N?vel Superior / La discussion des m?tamorphoses de l'?glise Catholique Romaine caus?s par ses relations avec la modernit? est la toile de fond au d?bat sur l'?mergence de nouveaux mouvements religieux, en particulier les nouvelles communaut?s. Dans le but de comprendre la convergence/ divergence ou conservation/ changement en ce qui concerne la relation entre l'Institution et la Communaut?, j'ai choisi de contextualiser l'histoire du christianisme catholique dans la modernit? et dans la post-modernit? ? partir de penseurs classiques et contemporains. J ai ?vit? une vision unilat?rale qui met l'accent sur l'aspect objectif ou subjectif et a opt? pour une approche dialogique capable de permettre une lecture des deux c?t?s de la r?alit?. Cette r?flexion a guid? le travail ethnographique r?alis? dans deux communaut?s ? Cidade do Natal: Fraternit? ?feso et Communaut? Catholique Veni Creator Spiritus. Cette recherche a montr? que les nouvelles communaut?s promeuvent un nouveau catholicisme certainement plus conservateur que r?formateur; tant?t elles attirent et rettiennent les croyants dans l'?glise, tant?t inqui?tent la hi?rarchie eccl?siastique - depuis l encadrement de ce nouveau ph?nom?ne dans la structure existante jusqu'? sa orientation / Discutir as metamorfoses ocorridas na Igreja Cat?lica Romana na sua rela??o com a modernidade constituiu o pano de fundo para a discuss?o do surgimento de novos movimentos religiosos, especificamente as Novas Comunidades. Com o objetivo de compreender a converg?ncia/diverg?ncia ou conserva??o/mudan?a na rela??o Institui??o e Comunidade, contextualizei a hist?ria do cristianismo cat?lico na modernidade e p?s-modernidade a partir de pensadores cl?ssicos e contempor?neos. Procurei evitar uma vis?o unilateral que enfatiza o aspecto objetivo ou subjetivo, para dialogicamente perceber essas duas faces da realidade. Essa reflex?o permeou o trabalho etnogr?fico realizado em duas Novas Comunidades na cidade do Natal: Fraternidade ?feso e Comunidade Cat?lica Veni Creator Spiritus. E resultou na considera??o das Novas Comunidades como promotora de um novo catolicismo dentre outros, mais conservador que renovador, ora atrai e mant?m fi?is na Igreja ora preocupa a hierarquia eclesial, desde o enquadramento desse novo na estrutura existente, at? na sua orienta??o
173

L'intégration politique des mormons aux États-Unis : de Reed Smoot à Mitt Romney / The Political Integration of the Mormons in the United States : from Reed Smoot to Mitt Romney

Charles, Carter 12 December 2013 (has links)
L’Église de Jésus-Christ des Saints des Derniers Jours, ou « Église mormone », émargea au cours de la première moitié du XIXe siècle dans une Amérique en proie à des mutations sociales et religieuses. Joseph Smith, son prophète-fondateur, l’inscrivit dès le départ dans une radicalité doctrinale en « protestant » les fondamentaux du christianisme tels qu’ils avaient été définis et acceptés auparavant. Il s’attira de ce fait le courroux des « Églises établies », en particulier de celles du protestantisme évangélique. Malgré une américanité foncière, sa religion fut affublée de l’étiquette « un-american » et ses disciples furent persécutés, poussés à édifier leur « Sion » sur la « Frontière », puis dans l’Ouest, à la périphérie de la société américaine. Contrairement à bien d’autres groupes religieux ou de mouvements utopiques, les « mormons » réussirent à transformer leur marginalisation en force, développant par la même occasion des particularismes qui firent d’eux un « peuple à part ». Or, ils s’éveillèrent aussi à l’évidence que pour échapper aux persécutions, ils devaient se positionner au cœur de l’action politique du pays. L’investiture de Mitt Romney par le Parti républicain pour l’élection présidentielle de 2012 témoigne de leur réussite. Mais comment cela fut-il possible ? Romney fut aussi l’objet d’une formidable opposition religieuse au cours de la phase des primaires du Parti qui n’est pas sans rappeler celles fomentées par les protestants contre les catholiques Al Smith (1928) et John F. Kennedy (1960). Comment expliquer ce refus de voir un mormon à la Maison blanche ? Nous répondons dans cette thèse à ces questions, et à bien d’autres, notamment en illustrant le fait que Romney, J. F. Kennedy et Al Smith eurent un prédécesseur en Reed Smoot, apôtre mormon dont l’élection en 1902 au Sénat fédéral fut à l’origine du plus grand procès politico-religieux d’Amérique. / The Church of Jesus Christ of Latter-day Saints, or “Mormon Church,” emerged during the first half of the 19th century while America was undergoing social and religious changes. Right from the outset, Joseph Smith, the prophet-founder, set the Church in a radical opposition, “protesting” the dogma of traditional Christianity as they had been defined and accepted for centuries. He attracted the ire of the “established Churches” of Evangelical Protestantism. In spite of the profound Americanness of his religion, it was labeled un-american and his followers were persecuted, driven out, and forced to build their “Zion” on the Frontier, and then in the West, on the margins of American society. Unlike several other religious groups and utopian movements, the “Mormons” managed to turn their marginalization into strength, developing thereby traits that made them “a peculiar people.” Yet, they also realized that to escape persecutions, they had to be at the center of the nation’s politics. The nomination of Mitt Romney by the Republican Party for the 2012 presidential election testifies to their success. How did that come about? Romney was also the object of a sturdy religious opposition during the Party’s primaries that reminded the ones set up by the Protestants in the cases of Al Smith (1928) and of John F. Kennedy (1960). How does one account for this refusal to see a Mormon in the White House? In this dissertation, we answer these questions, and to many more, particularly as we illustrate the fact that Romney, J. F. Kennedy and Al Smith had a predecessor in Reed Smoot, a Mormon apostle whose election in 1902 to the U.S. Senate set the tone for the greatest religiously and politically-motivated trial ever in American history.
174

Le temporel des cultes dans la Belgique du XIXème siècle: législation, règlementation, jurisprudence et pratiques

Sagesser, Caroline 09 December 2013 (has links)
Le régime belge des cultes est un régime hybride, qui établit l'indépendance des cultes tout en maintenant un financement public. La législation relative à la gestion du temporel des cultes, héritée du régime concordataire napoléonien, devra s'adapter au nouveau régime constitutionnel né de l'affirmation de la séparation de l'Eglise et de l'Etat. Dans un premier temps, elle sera modifiée dans un sens favorable à l'Eglise catholique, avant de se trouver au coeur de la discorde entre catholiques et libéraux. Elle ne sera cependant jamais revue en profondeur, la Belgique ne connaissant jamais de loi de séparation comparable à la loi de 1905 en France.<p>Aujourd'hui encore, l'organisation du financement public des cultes repose sur les bases établies au XIXème siècle. / Doctorat en Histoire, art et archéologie / info:eu-repo/semantics/nonPublished
175

Entre vie contemplative et temps apocalyptique: Philon d'Alexandrie et la formation de la théologie chrétienne / Between contemplative life and apocalyptic time: Philo of Alexandria and the formation of Christian theology

D'Helt, Alexandre 02 July 2013 (has links)
Cette dissertation a pour objectif de fournir un éclairage nouveau sur la cosmologie philonienne à la lumière de la littérature apocalyptique judéo-chrétienne. Il s'agit reposer la question du lien entre Philon d’Alexandrie et la tradition apocalyptique judéo-chrétienne dans une optique qui se veut à la croisée de l’histoire des religions et de l’histoire de la philosophie. Après délimitation du corpus, on y aborde la question du rapport au mythe et à la théologie. La place est ensuite faite à la question des intermédiaires célestes (Anges, Logos, Esprit), ainsi qu’à la liturgie. Ce point nous mène à la figure du messie et aux raisons du silence de Philon à ce sujet. Cette étude entend ainsi porter un regard nouveau sur la pensée d’un auteur majeur de l’Antiquité qui accomplit la première grande synthèse entre le judaïsme et l’hellénisme, anticipant ainsi l’émergence des conditions métaphysiques du christianisme. / Doctorat en Philosophie / info:eu-repo/semantics/nonPublished
176

L'Encens et le luminaire dans le haut Moyen Age occidental: liturgie et pratique dévotionnelles / Incense and lighting in high Middle Ages: liturgy and devotional uses

Gauthier, Catherine 13 May 2008 (has links)
Cette recherche étudie l'importance de la liturgie et de la paraliturgie dans la société médiévale par le biais des utilisations et de la symbolique de l'encens et du luminaire dans la liturgie romano-gallicane (VIe-Xe s.)et dans les pratiques dévotionnelles du haut Moyen Age occidental.<p><p>L’importance de l’Église dans tous les aspects de la vie au Moyen Âge est indéniable. Pourtant l’on connaît encore mal la place qu’y occupe la liturgie ;or, la liturgie est au cœur de l’Église puisque elle est définie comme l’ensemble des rites et principes mis en place par une religion – ici chrétienne – pour établir le déroulement des actes cultuels et de la relation au sacré. Elle est dès lors fondamentale à une époque où la majorité du corps social se reconnaît comme chrétien, elle est l’expression de la religion et rythme toute la société médiévale. <p>Depuis plusieurs années, elle suscite l’intérêt justifié de quelques médiévistes. Ceux-ci ont souligné l’importance de considérer la liturgie dans sa globalité, c'est-à-dire de dépasser la simple étude des livres liturgiques pour s’intéresser également à la façon dont la liturgie était perçue, reçue et vécue par les fidèles notamment au travers de leurs pratiques dévotionnelles, c’est ce que l’on appelle la paraliturgie. <p><p>La liturgie se caractérise par la récurrence des rites qui sont des suites ordonnées de gestes, de sons, d’objets mis en œuvre par un groupe social à des fins symboliques. À ce titre, l’étude des éléments constitutifs de la liturgie se justifie pleinement, puisque le rite ne s’accomplit et n’est efficace que dans la permanence de tous ses éléments. <p><p>L’encens et le luminaire ont ceci de particulier que leurs fonctions utilitaires, pour éclairer et désodoriser, les rendent indispensables à la liturgie. Par ailleurs, le propre du rituel est de donner sens, or, l’encens et le luminaire, par leurs propriétés naturelles se sont vus conférer un sens symbolique dans toutes les cultures où ils sont utilisés. Ce sont des éléments bénéfiques utilisés particulièrement dans la religion car ils permettent de matérialiser la communication entre le monde terrestre et le monde céleste. Toutefois, dans la religion chrétienne, l’encens et le luminaire ont un statut inférieur ou secondaire par rapport au calice ou à l’hostie par exemple. <p><p><p>L’ensemble de ces caractéristiques augurait de l’existence d’un rapport particulier entre ces objets et le fidèle ;leur étude constitue dès lors un outil efficace pour connaître l’impact de la liturgie sur la société médiévale. Sans compter que l’étude des éléments constitutifs de la liturgie n’en est qu’à ses débuts, et si le luminaire a suscité quelques publications récentes, l’encens n’a que peu été abordé ;l’étude de leur couple est, en tous les cas, inédite. Par ailleurs, l’étude de l’encens et du luminaire s’inscrit dans des débats historiographiques plus larges notamment celui des relations commerciales, puisque l’encens est un produit oriental et l’huile d’olive méditerranéen, ce qui en renforce encore l’intérêt. <p><p>Pour connaître les utilisations de l’encens et du luminaire dans la liturgie, préalables indispensablse à la connaissance de leurs emplois dans la paraliturgie, il faut se tourner vers les sources liturgiques ce qui consitute la première partie du travail. <p>L’analyse de ces différentes sources liturgiques a permis de mettre en évidence les usages officiels et les symboliques donnés à l’encens et au luminaire dans les différents rituels de la liturgie romano-gallicane (la messe, la liturgie pascale, la dédicace, l’office divin, le temps de Noël, les funérailles et les rituels d’admission). <p>En définitive, l’encens et luminaire sont des médiateurs entre le monde terrestre et le monde céleste, ils matérialisent et réifient ce lien réciproque. Ils ont un caractère propitiatoire important, intimement lié à leurs vertus apotropaïques et basé sur leurs propriétés naturelles. <p>Les sources liturgiques ne fournissent pas d’information sur le fonctionnement de l’encens et du luminaire, sur leur économie ou sur la façon dont ils étaient utilisés par les fidèles pour manifester leur dévotion ;même si elles laissent entrevoir de riches possibilités. <p>Le champ des recherches à été élargi par l'étude de « dossiers ». Les recherches ont été focalisées autour de centres religieux bien connus dans l’historiographie grâce à des sources remarquables par leur qualité et/ou leur quantité qui ont suscité une bibliographie conséquente. Toutes les sources relatives au centre religieux ont ensuite été dépouillées et analysées systématiquement. Les dossiers de Tours,Reims, Auxerre et Saint-Riquier ont livré beaucoup d’éléments tant sur les questions de la fourniture et du fonctionnement que sur celles des pratiques dévotionnelles liées au luminaire. Les sources "non-liturgiques" de ces quatre dossiers ont ainsi révélé des pratiques communes pour assurer l’approvisionnement en luminaire, qui constitue une dépense importante. L’approvisionnement en encens est plus difficile à déceler. <p>Les sources non-liturgiques, en particulier les récits hagiographiques, apportent de la densité et de l’atmosphère aux sources liturgiques particulièrement froides et factuelles. Elles donnent incidemment des informations sur la forme et le fonctionnement du luminaire principalement, et elles complètent et corroborent les éléments de la première partie. Les éléments concernant le culte des saints sont nombreux. <p>Les pratiques dévotionnelles relevées (culte des saints, donations pour le luminaire, offrandes de cierges, utilisations apotropaïque du luminaire et de l'encens, etc.) témoignent donc que les symboliques du cierge, plus largement du luminaire, et de l'encens sont communes aux pratiques liturgiques et dévotionnelles. <p><p>Le travail montre que la cire, l’huile et l’encens sont utilisés de façon régulière par les églises et qu’ils étaient disponibles sur les marchés locaux pour les ecclésiastiques. Il faut vraisemblablement distinguer plusieurs niveaux de qualité conditionnant l’utilisation de ces matières. <p><p>L’encens et le luminaire sont des outils pertinents pour apprécier la façon dont la liturgie était vécue dans la société médiévale, notamment grâce à leurs usages dans les pratiques paraliturgiques. / Doctorat en Histoire, art et archéologie / info:eu-repo/semantics/nonPublished
177

Le rayonnement international des gravures flamandes aux XVIe et XVIIe siècles: les peintures murales des églises Sainte-Bethléem et Saint-Sauveur à la Nouvelle-Djoulfa, Ispahan

Eftekharian, Sâyeh 13 October 2006 (has links)
L’auteur inventorie les sources iconographiques de la plupart des quelque 250 peintures de l’église Sainte-Bethléem et de la cathédrale Saint-Sauveur de la cité arménienne de la Nouvelle-Djoulfa, dans les faubourgs d’Ispahan. Elle établit que ces sources, contrairement à la thèse qui faisait autorité depuis plus de cinquante ans, ne sont pas des xylographies du graveur Christoffel Van Sichem, mais des estampes de la Bible de Natalis, ouvrage jésuite publié pour la première fois à Anvers en 1593.<p><p>L’auteur démontre qu’il existe également une autre source, à savoir l’album Thesaurus veteris et novi Testamenti de l’éditeur anversois de confession calviniste G. de Jode, dont la première publication date de 1579 et dont les planches furent reprises, entre autres, dans l’album Theatrum Biblicum publié à Amsterdam à partir de 1639 par l’éditeur C. J. Visscher. Une comparaison avec des miniatures de l’école de la Nouvelle-Djoulfa conservés au Matenadaran et à la BNF permet de confirmer que ces deux albums sont parvenus dans la cité arménienne. Enfin, la thèse recense plusieurs estampes isolées qui ont aussi servi de modèle aux peintures murales.<p><p>Par une étude stylistique comparée mettant en évidence la transformation caractéristique de certains modèles utilisés, l’auteur établit que les peintres impliqués dans la décoration de l’église Sainte-Bethléem et de la cathédrale Saint-Sauveur sont des artistes de la cité, dont l’un au moins a une connaissance approfondie des techniques et des conventions de l’art pictural occidental. Dans le même temps, elle fait ressortir le fait que l’influence de la gravure flamande sur l’art pictural arménien se traduit à la fois par un renouvellement des formes et par une évolution de certains contenus et signale que le rayonnement de la Nouvelle-Djoulfa en prolonge les effets tant en Arménie que dans d’autres communautés de la diaspora arménienne.<p><p>Enfin, en fournissant plusieurs exemples inédits témoignant de l’influence internationale de l’art flamand de cette époque – et tout particulièrement des œuvres de Maarten De Vos – par le truchement de la gravure, l’auteur ouvre des pistes de recherche tant en Perse que dans d’autres zones géographiques. / Doctorat en philosophie et lettres, Orientation histoire de l'art et archéologie / info:eu-repo/semantics/nonPublished
178

Le chemin de la vérité: la persuasion de la puissance divine dans le Contre Celse d'Origène

Georgieva, Elena 14 October 2005 (has links)
Résumé<p><p>de la thèse « Le chemin de la vérité :la persuasion de la puissance divine dans le Contre Celse d’Origène <p><p><p>Les traités du Contre Celse permettent d’aborder la problématique de la persuasion de l’enseignement chrétien en ce qu'ils témoignent de l’affrontement virulent de deux visions du monde, - celle du monde gréco-romain et celle de l’enseignement chrétien. En effet, l’essor du mouvement chrétien devrait beaucoup à la lumière de cette rhétorique, oserons-nous dire cette propagande, qui propose une vision du monde nouvelle en s’appuyant sur une théologie qui s’escrime à dépasser la culture gréco-romaine en l’intégrant dans sa propre vision du monde. En ce, l’École d’Alexandrie en général et Origène en particulier seraient les fondateurs d’une nouvelle lecture théologique tant du point de vue polythéiste que de celui du christianisme.<p>Du point de vue méthodologique, je me suis attelée à ce travail en constatant une insuffisance, pour ne pas dire un manque, d’études consacrées à la pratique rhétorique chez Origène. L’idée d’une rhétorique entendue comme un genre secondaire moins « noble », entre guillemets, que le théologique est sans doute la cause de cette lacune scientifique ;or, force est de constater que les Apologistes ayant précédé le penseurs alexandrin et lui-même sont souvent formés à la rhétorique ce qui ne va pas sans incidence directe sur leurs œuvres attendu que formation et méthodes font souvent un avec l’élaboration de savoirs.<p>L’objet immédiat du travail était de décrire et d’analyser par une lecture centrée sur la rhétorique apologétique les lieux communs et les arguments que celle-ci fournit, et qui affectent la structure de la pensée d’Origène. Pour mieux comprendre le processus de persuasion mis en œuvre par le théologien, j’ai pensé que les topoï qu’il emprunte au savoir classique étaient des éléments tangibles qu’il convenait de prendre au sérieux plutôt que de la ranger au placard des vieilleries scolaires. Somme, mon soupçon, ma seconde approche du corpus, était qu’au travers du plus banal de son œuvre, - son infrastructure scolaire-, je toucherai son originalité. Il restait à prouver si ce paradoxe pouvait s’avérer fécond en analysant le discours d’Origène et en m’efforçant de réévaluer, réinterpréter et intégrer dans les recherches portant sur son œuvre la question négligée de sa pratique rhétorique. Somme toute, j’ai tenté de mieux comprendre comment l’homme de l’Antiquité posait la question du sens. <p>Le plan d’ensemble de ma thèse comprend deux parties. Dans la première partie, j’ai dégagé les grandes lignes de l’approche rhétorique d’Origène en prenant pour fil conducteur la question de la véracité de la révélation qui s’impose comme le thème dominant de son entreprise. Ceci m’a conduit à l’examen de l’idée d’autonomie, que celle-ci agisse sur la pensée comme force centripète ou centrifuge, permettant tantôt de se démarquer en minimisant, voire en gommant les différences, tantôt de les exalter en les proclamant. Dans la deuxième partie, j’ai essayé de démontrer les éléments historiques et philosophiques à partir desquels le modèle de la pensée chrétienne a été configuré. J’ai ainsi dégagé l’idée que le récit évangélique a été élaboré tout à la fois par rapport aux modèles de l’histoire « sainte » biblique et les modèles généalogiques de la tradition gréco-romaine. <p>En premier lieu, j’ai démontré que la démarche apologétique d’Origène consistait à faire se côtoyer la puissance persuasive de la parole transcendante et celle de la parole rhétorique humaine. Or « faire se côtoyer » la puissance persuasive de la parole transcendante et celle de la parole rhétorique ne signifie pas pour autant les mettre sur le même pied. On peut donc affirmer la conjonction de la « rhétorique » ineffable de la puissance divine et de la « bonne rhétorique » dans la méthode apologétique d’Origène.<p><p>L’apologétique chrétienne, s’engageant dans une relation de pouvoir par rapport aux « autres » concurrentiels, est amenée à construire la conception de la vérité chrétienne unique et la plus ancienne par opposition à la diversité des doctrines philosophiques et religieuses de la tradition gréco-romaine, et en continuité avec la doctrine hébraïque perçue comme dépassée. En effet, la vérité chrétienne est identifiée à l’origine, à la pureté et à l’essence. De là les deux arguments apologétiques les plus puissants :démontrer l’unité et l’ancienneté de la doctrine chrétienne et donc construire une généalogie à partir d’une seule source originelle, Dieu. En postulant une « vérité absolue » qu’on identifie avec Jésus Christ, le Logos, l’apologiste interprète les enseignements de ses adversaires comme une déviation de cette vérité ou comme une vérité dépassée. Le double chemin vers l’origine est donc symboliquement barré. Par ailleurs, l’apologiste élabore une forme d’échelle de vérité où les rivaux de l’enseignement chrétien ne sont que des moyens rhétoriques pour démontrer la supériorité chrétienne.<p>L’élaboration de la conception de la vérité absolue chrétienne va de pair avec la constitution discursive de l’« autre ». En tenant compte de la relation discursive intersubjective, je parle d’une constitution discursive de l’« autre ». C’est précisément la finalité apologétique du Contre Celse qui nous permet d’affirmer le caractère construit de la notion de l’« autre » en tant que construction rhétorique. L’« autre », qu’il soit juif ou païen ou gnostique, est constitué à partir du projet chrétien. Mieux, il reçoit sa définition uniquement en fonction de sa différence avec le christianisme. Deux stratégies apologétiques s’imposent ainsi :d’une part minimiser, voire gommer, les différences internes au mouvement chrétien et grossir les différences avec l’« autre » et, d’autre part, grossir les différences en minimisant les ressemblances, en les décrivant comme une imitation ou un vol (le thème du larcin).<p>En second lieu, on peut affirmer que le mythe informe le « récit évangélique » dans la mesure où l’histoire individuelle de Jésus et le mythe du Christ se retrouvent fusionnés d’une manière inextricable dans la narration christologique. Le mythe apparaît ainsi comme une construction symbolique fondée sur les symboles et formes déjà existants ;mais, qui plus est, étant un récit, il reforme et transforme ces symboles dans une nouvelle structure propre à lui. Lorsque je parle du mythe chrétien, j’entends un système dynamique de schèmes qui, sous l’impulsion du schème général mythique de kat‹basiw-Žn‹basiw, tend à se configurer en récit évangélique. Ainsi, le mythe peut traduire l’accumulation d’« essaims » ou de « constellations » de schèmes. C’est en ce sens qu’on parle du message chrétien comme étant exprimé en un langage mythique. J’ai adopté le terme générique de « schème » dans le sens d’un modèle, une « engramme ».<p>L’ingéniosité chrétienne consiste à constituer le schéma mythique de kat‹basiw-Žn‹basiw, sur lequel repose le « mythe fondateur » chrétien. Il est fondé sur la conception d’une histoire sainte articulant expression mythique et expression historique au sein d’un schéma temporel finalisé. J’ai relevé trois modèles principaux de l’histoire sous-tendant les divers types de récits bibliques :l’histoire « blanche », l’histoire-fait, l’histoire-événement. L’histoire « blanche » présente les deux réalités, le « Même » et l’ « Autre », existant chacune pour soi et sans aucun contact entre elles. En revanche, l’histoire-fait présente leur communication en dehors du temps. Enfin, l’histoire-événement présente le passage de Celui qui agit d’un principe à l’autre dans un système où le temps se déroule. On peut retrouver ces modèles de l’histoire concrétisés dans un certain nombre de récits bibliques :le récit de la création, le récit de la séduction ou le récit du péché, le récit de l’alliance ou le récit de la médiation divine.<p>Enfin, j’ai étudié l’élaboration du « récit évangélique » par rapport à un certain nombre de récits qui se transposent et s’entrecroisent entre eux, à savoir le « récit de l’alliance », le « récit messianique » et le « récit généalogique ». La configuration du récit évangélique repose sur le jeu dynamique entre les récits identifiables déjà sédimentés dans des traditions différentes et le récit innovateur d’une déviance réglée. Le « récit évangélique » consiste en la combinaison unique de l’histoire et du mythe, qui se donne comme un récit fondateur mytho-historique. La prédication de Jésus met en place une historicisation du mythe. En même temps, avec les évangiles, on assiste à un processus de mythisation de Jésus qui aboutit à sa divinisation. L’élaboration du « récit évangélique » tire son intelligibilité de l’ensemble des opérations par lesquelles une herméneutique actualisante s’est transposée sur les récits et modèles anciens et les prophéties hébraïques. On peut affirmer que le « récit évangélique » a été configuré à la jonction des représentations bibliques et grecques.<p>L’originalité du christianisme consiste en la perspective universelle que le « récit évangélique » revêt. Ainsi, le devenir est divisé en trois temps qui sont reliés entre eux de manière structurée à travers l’intermédiaire divin de Jésus Christ qui assure les renvois théologiques et contrôle ainsi le monde de tout les temps.<p> / Doctorat en philosophie et lettres, Orientation histoire des religions / info:eu-repo/semantics/nonPublished
179

La querelle des possibles: recherches philosophiques et textuelles sur la métaphysique jésuite espagnole, 1540-1767 / Quarrel of the possibles: philosophical and textual investigations on Spanish Jesuit metaphysics, 1540-1767

Schmutz, Jacob 12 December 2003 (has links)
Cette thèse présente les réponses données à la question du fondement du possible et de l’impossible dans la scolastique jésuite espagnole de l’époque moderne :en vertu de quels critères jugeons-nous que telle chose ou tel événement sont possibles, alors que tels autres nous paraissent impossibles ou contradictoires ?La double nature de ce travail, philosophique et historique, s’incarne dès lors en deux volumes à la fois distincts et complémentaires. Le premier volume est consacré à l’analyse philosophique des différentes réponses apportées au problème du possible, entre les premiers pas académiques de la Compagnie de Jésus espagnole jusqu’à son expulsion définitive du royaume en 1767. Après quelques préliminaires généraux sur le développement institutionnel et doctrinal de la scolastique moderne, on y présente successivement les solutions des écoles dominicaine et franciscaine espagnoles du XVIe siècle avant de passer aux différents grands modèles jésuites :les synthèses de Gabriel Vázquez et Francisco Suárez ;l’émergence d’un courant ultra-essentialiste ;la critique inspirée par le nominalisme de Pedro Hurtado de Mendoza ;le développement d’une ontologie conditionnaliste par Juan de Lugo et ses nombreux élèves ;la critique néo-augustinienne de toutes les traditions antérieures par Antonio Pérez et ses nombreux élèves ;le développement d’une ontologie des états de choses par Sebastián Izquierdo ;et enfin le développement d’une série d’autres solutions marginales à la fin du XVIIe siècle. Le travail se clôture sur l’expulsion d’Espagne de la Compagnie de Jésus en 1767 et par quelques réflexions sur la « migration » de ces problématiques vers l’Europe Centrale. <p>Le second volume est quant à lui purement historique et textuel. Il propose l’édition de différents textes, tirés d’ouvrages imprimés anciens ou bien de manuscrits inédits, rédigés par vingt des principaux auteurs engagés dans la querelle des possibles, à savoir, dans l’ordre chronologique :F. Albertini, P. Hurtado de Mendoza, J. de Lugo, R. de Arriaga, Th. Compton Carleton, A. Pérez, F. de Oviedo, M. de Elizalde, T. González de Santalla, T. Muniesa, S. Mauro, S. Izquierdo, G. de Ribadeneira, I.F. Peinado, J. de Sousa, A. Sémery, J. de Campoverde, E. Láriz, Á. Cienfuegos et J. Rufo. Chaque édition de texte est précédée d’une biographie intellectuelle retraçant les principales étapes de la carrière de l’auteur, avec des indications sur ses maîtres, collègues et disciples, ainsi que sur le contexte institutionnel de son enseignement. L’ensemble est précédé d’une étude sur les rapports entre les cours imprimés et manuscrits dans la tradition scolastique moderne. <p>Un troisième et court volume se compose d’un bref « who’s who » scolastique ainsi que d’une bibliographie générale, reprenant toutes les sources primaires et secondaires utilisées.<p> / Doctorat en philosophie et lettres, Orientation philosophie / info:eu-repo/semantics/nonPublished
180

Les objectifs du Millénaire pour le développement : regard critique sur leur mise en œuvre par les Églises anglicanes de deux pays du Sud : Angola et RD Congo / The Millenium Development Goals : a critical look on their implementation by the Anglican churches of two countries of South : Angola and RDC

Mansita, Sangi 09 October 2014 (has links)
L’attention se focalise dans notre thèse sur la question de savoir comment la Communion anglicane en général, et l’Église anglicane de la RDC et celle d’Angola, en particulier, s’approprient des résolutions et des recommandations qui résultent de la TEAM Conférence. Le concept de la pauvreté est à l'origine de tous les maux dont souffrent les Églises dans le Sud. De nos jours, un certain nombre d'initiatives missionnaires qui exhibent les signes de piété cachent toujours une motivation liée à l’argent. Les OMD érigent la pauvreté dans toutes ses dimensions comme un défi majeur, auquel doit faire face l'humanité, un rideau de fer à briser pour le développement des nations du Sud. Vu l’ampleur de la pauvreté qui, en dépit de multiple mesures et solutions envisagées, continue de croire, nous nous rendons vite compte que c'est l’Africain lui-même, selon notre avis, qui est l’origine de la misère de son pays et de son continent. On peut en arriver à la prise de nombreuses mesures et à faire l’économie de différents facteurs pour la sortie de crise, mais le tout premier réside dans l’Homme africain lui-même. Le Sud est un peuple qui est, avant tout, à la merci des puissants internes. On assiste à la déroute de l’intelligence, à la perte de la raison et de l’autonomie de la part d'un certain nombre de politiques africains, mettant sur pied des institutions amputées de toute capacité de faire des choix libres et judicieux, œuvrant en priorité pour la «politique du ventre». / The attention is focused in our thesis on the question of how the Anglican communion in general, and the Anglican Churches of Angola and RDC in particular, have appropriated resolutions and recommandations resulting from the TEAM Conference. The concept of "poverty" in the broad sense is the root of all the problems plaguing societies and the churches of the South. Nowadays, a certain number of missionary and pastoral initiatives which appear to be based purely on piety always have unexpressed motives which have to do with the pursuit of personal material interests. The emphasis has always been placed on economic growth as a necessary factor which can be used for raising the standard of living of the poor in the South. However, there are many States that have experienced considerable economic growth, like Angola, but the income of the poor class increases so unbalanced and uneven, and stlll is, for many famillies, unsatisfactory. The Millennium Declaration declared poverty in all its dimensions to be the main challenge facing humanity, an iron curtain which needed to be breached for the development of Southem Nations. Given the extent of poverty which, despite multiple routes taken and solutions envisaged, continues to grow, we quickly realize that it is only the African who is, in our opinion, the origin of the misery of his country and his continent. Therefore, we can continue to consider many measures and the economy of different factors to end the crisis, but the main factor is the African man himself. The people of the South are, above all, at the mercy of internal forces. We are witnessing the defeat of intelligence, the loss of reason and autonomy on the part of a number of African policies, creating institutions cut off from all ability to make free and wise choices, working as a priority for the "politics of the belly".

Page generated in 0.3685 seconds