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Untersuchungen zur Wortstellung im Mittelkymrischen : Temporalbestimmungen und funktionale Satzperspektive /

Poppe, Erich. January 1991 (has links)
Texte remanié de: Habilitationsschrift--Marburg--Philipps-Universität, 1989.
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Englisch und Kymrisch in Wales : Geschichte der Sprachsituation und Sprachpolitik /

Löffler, Marion. January 1997 (has links)
Diss.--Berlin--Humboldt-Univ., 1994. / Bibliogr. p. 291-321.
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The quest and structure in medieval romance Durmart le Galois, Meraugis de Portlesguez, and the Arte perilleux /

Kind, Maureen Ellen, January 1900 (has links)
Thesis--University of Wisconsin--Madison. / Typescript. Vita. eContent provider-neutral record in process. Description based on print version record. Includes bibliographical references (leaves 336-344).
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Schools, politics and society : elementary education in Wales, 1870-1902 /

Smith, Robert, January 1999 (has links)
Texte remanié de: Tesis Ph. D.--Swansea--University of Wales, 1995. / Bibliogr. p. 282-293. Index.
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Caractéristiques prosodiques spécifiques de l'anglais parlé au Pays de Galles : l'influence de la langue galloise / Prosodic characteristics specific to the English spoken in Wales : the influence of the Welsh language

Calabrese, Laetitia 17 December 2011 (has links)
Ce travail a trois objectifs principaux. Tout d’abord, contribuer à l’étude du système rythmique des langues et des variétés dialectales à travers l’analyse du rythme de l’anglais parlé au pays de Galles et de la langue galloise en utilisant comme point de comparaison l’anglais dit standard. Puis, démontrer qu’il existe un allongement final bien plus marqué en gallois et en anglais gallois (bilingues & monolingues) qu’en anglais standard. Et enfin, prouver que les résultats obtenus lors de cette étude sont étroitement liés à l’influence majoritaire de la langue galloise sur celle des autres variétés d’anglais présentes dans ce pays. Dans cette optique, nous avons, dans un premier temps, élargi la base de données Eurom I et nous avons ensuite mené différents tests de perception et études statistiques. Il en ressort que la langue galloise est effectivement le substrat principal de l’anglais parlé au pays de Galles, que ce soit chez les gallois bilingues ou monolingues (personnes résidant au pays de Galles ne parlant qu’anglais). En effet, la longueur de l’allongement en syllabe finale inaccentuée va en décroissant du gallois à l’anglais standard. Cependant, étant donné l’impossibilité de catégoriser de façon précise le rythme du gallois et de l’anglais gallois en tenant compte de tous les paramètres métriques, il est plus difficile d’affirmer de façon catégorique que la langue galloise joue un rôle prépondérant sur ces derniers. / This thesis has three main objectives. First of all, to contribute to the study of the rhythmical system of languages and dialectal varieties through the analysis of rhythms in Welsh English and Welsh, using Standard English as a focal comparative element; then, to demonstrate that the final lengthening is much more notable in Welsh and in Welsh English (bilinguals and monolinguals) than in standard English; finally, to prove that this study’s results are tightly intertwined with the influence of the Welsh language, which is greater than that other English accents present in this country. For that purpose, we have first widened the Eurom 1 database and then carried out various perception tests and statistical analysis. The results show that the Welsh language is the substratum of the English spoken in Wales, as much for bilinguals as for monolinguals (residents of the country speaking only English). Indeed, the length of the final unstressed syllable decreases from Welsh to Standard English. However, as it is impossible to classify with precision the rhythm of Welsh and Welsh English taking into account all the metrics, it is more difficult to establish with certainty whether the Welsh language has a major influence on the latter.
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Les étudiants Gallois à l'université d'Oxford, 1282-1485 / The Welsh students at Oxford university, 1282-1485

Delin, Alexandre 06 April 2013 (has links)
A la fin du Moyen Âge, un nombre croissant de Gallois s'est rendu à l'université d'Oxford. En effet, de la conquête de la principauté galloise en 1282 par Édouard Ier à l'arrivée des Tudors sur le trône d'Angleterre en 1485, 304 étudiants gallois peuvent être repérés. Après avoir expliqué la méthode prosopographique utilisée pour ce travail, cette étude analyse leurs origines sociales et géographiques. Si seul un petit nombre d'informations peut être recueilli concernant leurs origines, il est possible de découvrir un peu plus quant aux lieux de provenance de ces individus. Ils viennent principalement du diocèse de Saint David's. Cet examen met également en lumière les diplômes obtenus. Ils ont étudié en majorité le droit, plus particulièrement le droit civil, bien que le droit canon soit loin d'être négligé. L'étude s'attache ensuite aux types d'emplois qu'ils ont trouvés au service de l'Église ou celui du roi d'Angleterre. À bien des égards, leurs carrières sont similaires à celles des clercs anglais. Tandis que 16,4 % des diplômés gallois ont travaillé dans l'administration ecclésiastique, 6,4 % apparaissent dans différents postes de l'administration royale. Les étudiants les plus talentueux, et qui ont réussi à sécuriser de solides patronages, jouent même un rôle relativement important dans les affaires de la monarchie. Enfin, cette thèse de doctorat dépeint la vie universitaire d'une minorité visible à Oxford. La présence des Gallois à l'université d'Oxford reflète sans aucun doute l'intégration de la principauté galloise au "regnum Anglorum". / In the Later Middle Ages, an increasing number of Welshmen made their way to Oxford University. From the Conquest of the Principality of Wales by Edward I in 1282, to the arrival of the Tudors on the throne of England in 1485, 304 Welsh students can be identified. After explaining the prosopographical method used in this work, this study analyses their social and geographical origins. If only few pieces of information can be collected about their social backgrounds, it is possible to find out a little bit more about the parts of Wales these individuals came from. The diocese of Saint David's was their main place of origin. This examination also highlights the qualifications gained. They studied mainly law, particularly civil law. However, canon law was not neglected. The study then focuses on the types of employment that they found in the service of the Church, or of the King of England. In many respects, their careers are similar to those of many English clerks. While 16.4 % of the Welsh graduates worked in Church administration, 6.5 % of them appear in various positions in the King's administration. The most talented scholars, and those who managed to secure strong patronages, even played a relatively important role in the affairs of state. Finally, this Ph.D. thesis depicts the University life of a visible minority in Oxford. The presence of Welshmen in the University of Oxford undoubtedly reflects the integration of the Principality of Wales within the "regnum Anglorum".
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"Matere" et "sen" dans le Perceval de Chrétier de Troyes.

Bédard, Raymond. January 1970 (has links)
No description available.
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"Matere" et "sen" dans le Perceval de Chrétier de Troyes.

Bédard, Raymond. January 1970 (has links)
No description available.
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Wales in America : Scranton and the Welsh, 1860-1920 /

Jones, William D., January 1993 (has links)
Texte remanié de: Th. Ph. D.--University of Wales.
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La syntaxe comparée du breton

Jouitteau, Mélanie 12 February 2005 (has links) (PDF)
Cette thèse fournit une analyse détaillée d'une langue généralement peu étudiée, le breton (celtique continental contemporain). Son but est double: (i) - proposer une référence solide pour l'étude de la langue bretonne, ainsi que des langues celtiques et sémitiques. Je résume et évalue les différentes propositions qui ont été faites, et propose de nouvelles solutions, originales, efficaces et argumentées. (ii) - rendre accessible pour la communauté linguistique les réponses et nouvelles questions que le breton offre a certains enjeux théoriques cruciaux pour la grammaire générative et la typologie des langues. Je montre, en particulier, que la langue bretonne est un cas précieux pour enquêter sur le Principe de Projection Etendue (EPP), ou pour le débat sur la caractérisation des propriétés verbo-nominales. En accord avec mes résultats, je propose une nouvelle classification typologique des langues qui transcende l'ancienne opposition langue a verbe second vs. langue a verbe premier (V2/V1). Le Chapitre 1 présente les caractéristiques majeures des langues X(P)-VSO, illustrées par les langues celtiques et sémitiques anciennes et modernes, ainsi que par le Chacaltongo Mixtec. Le Chapitre 2 examine avec minutie l'architecture de la phrase bretonne, de la structure vP a la périphérie gauche étendue, résumant et discutant les principaux enjeux de la dérivation des phrases bretonnes. Je propose que la négation préverbale est une tête C, et que les particules préverbales (rannigs) sont des têtes FinP réalisant un accord catégoriel avec l'élément préverbal. Je montre que le sujet préverbal peut montrer des propriétés A. Dans le chapitre 3, je fournis une analyse compréhensible et détaillée de l'EPP, et montre comment les faits du breton écartent différentes versions de ce Principe. Ma formulation de l'EPP étend l'inventaire des explétifs a tout élément préverbal, qu'il soit une tête ou un XP. L'inventaire des explétifs peut donc crucialement comprendre des têtes C. Cette hypothèse prédit qu'il n'existe pas de langue strictement VSO. Les langues dites a verbe initial sont dérivées soit par mouvement du VP évacué, soit par mouvement de la tête verbale accompagné d'une stratégie explétive, qui obtient le type X(P)-VSO. Cette proposition est consistente avec la généralisation que les langues a verbe initial ont des particules préverbales. Je reconnais les explétifs nuls lorsqu'ils sont apprenables et interprétables. Je montre par example comment des particules explétives C en irlandais et en arabe sont apprenables car interprétables pour l'accord verbal. Le marquage [3.sg] qui apparait sur le verbe fléchi quand les sujets ne cliticisent pas est la réalisation d'une relation d'accord avec la tête C préverballe, un cas d'accord gelé provoqué par la localité. Dans le chaptre 4, je me concentre sur les Paramètres spécifiques au breton. Contrairement a l'irlandais ou l'arabe, le breton n'a pas d'explétifs nuls (ni pro, ni Tête C de matrice). La caractéristique V2 du breton découle donc de l'EPP. Cependant, le breton est caractérisé, comme l'irlandais ou l'arabe, par des effets de complémentarité dans le système d'accord. Je montre comment l'accord gelé est déclenché par un autre type d'internenant pour l'accord: la structure verbale vP elle-même (Jouitteau & Rezac 2006, Jouitteau 2005). Les traits du sujet sont la cible la plus proche pour l'accord uniquement dans les cas ou le sujet dépasse l'intervenant vP [3.sg] vP intervener (cliticisation). Je montre ensuite comment ce simple Pramètre, l'interprétabilité des traits phi de la structure vP, dérive des propriétés majeures caractéristiques de la langue. Comme des DPs, les structures verbales du breton montrent des effets de filtre sur le Cas et déclenchent la réalisation 'a' du rannig. Comme des DPs, les structures verbales peuvent déclencher l'état construit. Il en résulte que la langue n'a pas de Cas accusatif et marque les arguments internes du Cas génitif. L'interprétabilité des traits phi du vP prédisent correctement des faits autrement inexpliqués. En particulier, une analyse prépositionnelle de 'avoir' prédit sa singularité en termes d'accord car la préposition qui acceuille le sujet est toujours plus haute que le vP. Le sujet devient donc la cible la plus proche pour l'accord, indépendemment de ses propriétés clitiques. Le Chapitre 5 démontre avec minutie comment l'EPP prédit exactement quels ordres de mots sont possibles en breton, et quels ordres de mots sont impossibles. Les élément préverbaux motivés sémantiquement satisfont automatiquement l'EPP et les stratégies explétique de dernier ressort apparaissent dans les phrases a focus large. Je développe la proposition de Holmberg (2000) que les explétifs peuvent être créés par séparation des traits et mouvement subséquent. Comme stratégie de dernier ressort pour satisfaire l'EPP, le plus proche élément postverbal dans la dérivation monte en position préverbale en laissant in situ ses traits sémantiques. Ceci dérive élégamment trois propriétés majeures du breton: les propriétés A disponibles pour un sujet préverbal, l'existence de phrases SVO a focus large, et les paradigmes dits du 'long mouvement de tête' (Long Head Movement) qui antéposent une tête evrbale non-fléchie par dessus un auxiliaire, en dépit de la contrainte sur le mouvement des têtes. Le Chapitre 6 continue l'extension de l'inventaire des explétifs et présente un paradigme entièrement nouveau du français dialectal. Dans le français Atlantique (SVO), l'effacement du sujet est autorisé si et seulement si une tête C préverballe est insérée. La morphologie de cette tête C préverballe n'est pas réalisée par le canal segmental, mais par un son ou geste ostencible quelconque. J'analyse ce paradigme comme le résultat d'une stratégie explétive multicanale et j'ouvre sur les implications que cela a, de la typologie des explétifs a la méthodologie de récolte des données.

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