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Regard sur la transgression féminine dans les nouvelles d'Isaac Bashevis Singer

Rioux, Catherine 05 1900 (has links) (PDF)
Cette étude vise à démontrer les différents aspects de la civilisation juive d’Europe de l’Est que conteste, dans ses écrits, l’auteur yiddishophone Isaac Bashevis Singer. Dans ses nouvelles, il met en scène des personnages féminins déchirés entre le monde du shtetl et la modernité convoitée. Ce mémoire explore cinq nouvelles, Yentl, l’étudiant de Yeshiva, Taibele et son démon, Zeitl et Rickel, Yanda et La sorcière, qui problématisent toutes la représentation féminine. À la lumière des écrits théoriques de Vincent Jouve et de Philippe Hamon, ce mémoire analyse thématiquement les diverses composantes de l’identité et de l’univers féminin afin de démontrer les éléments contredits par Singer.
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La syntaxe comparée du breton

Jouitteau, Mélanie 12 February 2005 (has links) (PDF)
Cette thèse fournit une analyse détaillée d'une langue généralement peu étudiée, le breton (celtique continental contemporain). Son but est double: (i) - proposer une référence solide pour l'étude de la langue bretonne, ainsi que des langues celtiques et sémitiques. Je résume et évalue les différentes propositions qui ont été faites, et propose de nouvelles solutions, originales, efficaces et argumentées. (ii) - rendre accessible pour la communauté linguistique les réponses et nouvelles questions que le breton offre a certains enjeux théoriques cruciaux pour la grammaire générative et la typologie des langues. Je montre, en particulier, que la langue bretonne est un cas précieux pour enquêter sur le Principe de Projection Etendue (EPP), ou pour le débat sur la caractérisation des propriétés verbo-nominales. En accord avec mes résultats, je propose une nouvelle classification typologique des langues qui transcende l'ancienne opposition langue a verbe second vs. langue a verbe premier (V2/V1). Le Chapitre 1 présente les caractéristiques majeures des langues X(P)-VSO, illustrées par les langues celtiques et sémitiques anciennes et modernes, ainsi que par le Chacaltongo Mixtec. Le Chapitre 2 examine avec minutie l'architecture de la phrase bretonne, de la structure vP a la périphérie gauche étendue, résumant et discutant les principaux enjeux de la dérivation des phrases bretonnes. Je propose que la négation préverbale est une tête C, et que les particules préverbales (rannigs) sont des têtes FinP réalisant un accord catégoriel avec l'élément préverbal. Je montre que le sujet préverbal peut montrer des propriétés A. Dans le chapitre 3, je fournis une analyse compréhensible et détaillée de l'EPP, et montre comment les faits du breton écartent différentes versions de ce Principe. Ma formulation de l'EPP étend l'inventaire des explétifs a tout élément préverbal, qu'il soit une tête ou un XP. L'inventaire des explétifs peut donc crucialement comprendre des têtes C. Cette hypothèse prédit qu'il n'existe pas de langue strictement VSO. Les langues dites a verbe initial sont dérivées soit par mouvement du VP évacué, soit par mouvement de la tête verbale accompagné d'une stratégie explétive, qui obtient le type X(P)-VSO. Cette proposition est consistente avec la généralisation que les langues a verbe initial ont des particules préverbales. Je reconnais les explétifs nuls lorsqu'ils sont apprenables et interprétables. Je montre par example comment des particules explétives C en irlandais et en arabe sont apprenables car interprétables pour l'accord verbal. Le marquage [3.sg] qui apparait sur le verbe fléchi quand les sujets ne cliticisent pas est la réalisation d'une relation d'accord avec la tête C préverballe, un cas d'accord gelé provoqué par la localité. Dans le chaptre 4, je me concentre sur les Paramètres spécifiques au breton. Contrairement a l'irlandais ou l'arabe, le breton n'a pas d'explétifs nuls (ni pro, ni Tête C de matrice). La caractéristique V2 du breton découle donc de l'EPP. Cependant, le breton est caractérisé, comme l'irlandais ou l'arabe, par des effets de complémentarité dans le système d'accord. Je montre comment l'accord gelé est déclenché par un autre type d'internenant pour l'accord: la structure verbale vP elle-même (Jouitteau & Rezac 2006, Jouitteau 2005). Les traits du sujet sont la cible la plus proche pour l'accord uniquement dans les cas ou le sujet dépasse l'intervenant vP [3.sg] vP intervener (cliticisation). Je montre ensuite comment ce simple Pramètre, l'interprétabilité des traits phi de la structure vP, dérive des propriétés majeures caractéristiques de la langue. Comme des DPs, les structures verbales du breton montrent des effets de filtre sur le Cas et déclenchent la réalisation 'a' du rannig. Comme des DPs, les structures verbales peuvent déclencher l'état construit. Il en résulte que la langue n'a pas de Cas accusatif et marque les arguments internes du Cas génitif. L'interprétabilité des traits phi du vP prédisent correctement des faits autrement inexpliqués. En particulier, une analyse prépositionnelle de 'avoir' prédit sa singularité en termes d'accord car la préposition qui acceuille le sujet est toujours plus haute que le vP. Le sujet devient donc la cible la plus proche pour l'accord, indépendemment de ses propriétés clitiques. Le Chapitre 5 démontre avec minutie comment l'EPP prédit exactement quels ordres de mots sont possibles en breton, et quels ordres de mots sont impossibles. Les élément préverbaux motivés sémantiquement satisfont automatiquement l'EPP et les stratégies explétique de dernier ressort apparaissent dans les phrases a focus large. Je développe la proposition de Holmberg (2000) que les explétifs peuvent être créés par séparation des traits et mouvement subséquent. Comme stratégie de dernier ressort pour satisfaire l'EPP, le plus proche élément postverbal dans la dérivation monte en position préverbale en laissant in situ ses traits sémantiques. Ceci dérive élégamment trois propriétés majeures du breton: les propriétés A disponibles pour un sujet préverbal, l'existence de phrases SVO a focus large, et les paradigmes dits du 'long mouvement de tête' (Long Head Movement) qui antéposent une tête evrbale non-fléchie par dessus un auxiliaire, en dépit de la contrainte sur le mouvement des têtes. Le Chapitre 6 continue l'extension de l'inventaire des explétifs et présente un paradigme entièrement nouveau du français dialectal. Dans le français Atlantique (SVO), l'effacement du sujet est autorisé si et seulement si une tête C préverballe est insérée. La morphologie de cette tête C préverballe n'est pas réalisée par le canal segmental, mais par un son ou geste ostencible quelconque. J'analyse ce paradigme comme le résultat d'une stratégie explétive multicanale et j'ouvre sur les implications que cela a, de la typologie des explétifs a la méthodologie de récolte des données.
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Les emprunts sémitiques en grec ancien: étude méthodologique et exemples mycéniens / Semitic loanwords in Ancient Greek: methodological study and Mycenaean examples

Bourguignon, Alexandra 27 April 2012 (has links)
Les emprunts sémitiques en grec, au-delà des questions idéologiques qui leur sont liées, posent une série de problèmes méthodologiques. En effet, la plupart des études sur le sujet qui ont été menées jusqu’à aujourd’hui ont omis la mise en contexte historique et n’ont pas suffisamment développé l’analyse du processus d’adaptation menant de l’étymon à l’emprunt, aboutissant ainsi à des incohérences chronologiques et linguistiques.<p>Le présent ouvrage fournit donc, après un chapitre de définitions relatives à l’emprunt et à l’étymologie et un autre consacré aux différentes études existantes sur les emprunts sémitiques en grec, une présentation générale du contexte historique et économique de la Méditerranée orientale au IIe millénaire a.C. ainsi que des langues en présence, suivie d’un chapitre reprenant les modifications phonétiques, morphologiques, sémantiques et accentuelles qu’un mot peut subir lorsqu’il est emprunté par une autre langue.<p>Viennent ensuite un chapitre expliquant la méthodologie utilisée pour l’analyse de cas concrets, puis les analyses elles-mêmes. Elles sont au nombre de neuf :trois noms de plantes (κ&973;μ&953;ν&959;ν, « cumin », κ&973;π&949;&953;&961;&959;ν, « souchet », σ&941;λ&953;ν&959;ν ,« céleri »), deux noms de récipients (&7936;σ&940;μ&953;ν&952;&959;&962; « baignoire », φ&953;&940;λ&951; un récipient) et quatre noms de métiers ou institution (βασ&953;λ&949;&973;&962; « chef local, roi », damokoro, un fonctionnaire (?), ζ&940;κ&959;&961;&959;&962; un fonctionnaire du temple, &964;&941;μ&949;ν&959;&962; « portion de territoire réservée à un chef ou à une divinité »). Ces mots offrent un large panorama des difficultés liées à l’étude des emprunts sémitiques en grec et des solutions proposées par l’auteur à la lumière des précédents chapitres. <p> / Doctorat en Langues et lettres / info:eu-repo/semantics/nonPublished
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Pentecôte et langues de feu : analyse structurelle et interprétation d’Actes des Apôtres 2,3

Brito, Joseph E. 09 1900 (has links)
Le récit de la Pentecôte (Actes des Apôtres 2) présente au lecteur un élément particulier qui se retrouve rarement dans le canon biblique : les « langues comme de feu ». Seuls les passages d’Isaïe 5,24 et Actes 2,3 utilisent cette expression; pourtant, leurs contextes diffèrent largement. Nous trouvons certains commentaires rabbiniques et fragments de rouleaux de la Mer Morte qui emploient cette même expression, et la littérature gréco-romaine utilise une image similaire où un feu divin se pose sur la tête de certains personnages. Puisque la fonction de cet élément diffère d’un ouvrage littéraire à un autre, comment devons-nous interpréter les langues de feu dans le récit de la Pentecôte? Les commentaires bibliques qui examinent cet élément proposent différentes hypothèses sur la symbolique des langues de feu. Afin de répondre à cette problématique, nous commencerons notre étude avec une présentation sur l’état de la question et des approches synchroniques utilisées. Nous présenterons ensuite l’analyse structurelle du récit de la Pentecôte afin de percevoir la place que notre expression occupe dans cette péricope. Au chapitre trois, nous ferons une analyse grammaticale de notre segment afin de voir la fonction grammaticale de l’expression, et présenter une recension des ouvrages hébraïques et gréco-romains qui utilisent cette expression ou une image similaire. Enfin, l’analyse philologique des termes γλῶσσα et πῦρ sera élaborée et comparée à l’utilisation retrouvée dans le livre des Actes des Apôtres. Subséquemment, nous serons en mesure de porter un regard critique sur quelques interprétations proposées afin de percevoir que la mise en réseau structurel du membre γλῶσσαι ὡσεὶ πυρός, avec les termes répétitifs et synonymiques du récit, nous orientent à percevoir l’accomplissement de la promesse du Saint-Esprit, qui à son tour habilite le croyant à réaliser la mission donnée : la proclamation du message christologique à toutes les ethnies. / The Pentecost Account (Acts of Apostles 2) introduces the reader to a particular item that is rarely found in the biblical canon: the tongues as of fire. Only passages of Isaiah 5:24 and Acts 2.3 use this term, yet their contexts differ widely. We find some rabbinic commentaries and fragments of the Dead Sea scrolls that use this same expression. Greco-Roman literature uses a similar image where a divine fire is set on the head of certain characters. Since the function of this element varies from one text to the other, how are we to interpret the tongues of fire in Pentecost account? Biblical commentaries focused on this element propose different hypothesis as to the symbolism of the tongues of fire. To address this issue, we are going to conduct a presentation on the state of the question, a grammatical analysis, a review of Hebrew texts and Greco-Roman stories that use this expression or a similar image, a philological analysis of the terms γλῶσσα and πῦρ, followed by a structural analysis to perceive the place that our expression holds in the Pentecost account. Subsequently, we will be able to take a critical look at previous synchronic interpretations, and propose that the expression γλῶσσαι ὡσεὶ πυρός works in its structural framework along with its repetitive and synonymous terms in order to guide us to see the fulfillment of the promise of Holy Spirit, which in turn empowers the believer to carry out the mission given: the proclamation of the Christological message to all ethnic groups.
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Les affixes/créments dans le lexique de l'arabe : exploration du niveau submorphémique de l'arabe / Affixes / crements in the lexicon of Arabic : Exploration of the submorphemic level in Arabic

Khchoum, Salem 04 December 2014 (has links)
Cette thèse s’inscrit dans le cadre des travaux de révision de la structure de la racine sémitique en général, et arabe en particulier. Dans l’introduction, nous avons entamé une relecture critique des efforts des grammairiens arabes en quête du seuil minimal du sens, et qui ont abouti à poser la racine trilitère comme étant ce seuil ultime et inanalysable. Ce choix a été fait malgré tous les signes d’instabilité que comporte ce concept - tels que son incapacité à expliquer la réversibilité de l’ordre des consonnes et leur variation phonétique indépendamment du sens. C’est un choix synchronique anhistorique qui exclut la notion de temps, et émane d’une conception révélationniste (tawqîf) du langage. Au XIXe siècle, l'évolutionnisme darwiniste, étendu à la philologie, met à mal cette conception figée de la racine. En intégrant la notion de temps, nombre d’Orientalistes, suivis par quelques philologues arabes de l’époque, ont montré à travers une approche comparative que la racine trilitère est une forme évoluée d’une base primitive bilitère (ou monosyllabique). Depuis, plusieurs explications ont été proposées pour la formation de la racine trilitère à partir d’une base bilitère (croisement, incrémentation, affixation). Certains linguistes comme Hurwitz ont essayé d’identifier et de systématiser par déduction les éléments ternaires et leurs valeurs sémantiques. Dans notre travail, qui s'inscrit dans le cadre de la théorie des matrices et des étymons, nous démontrons à travers l’analyse synchronique de près de 1000 items que la racine trilitère est analysable en termes d’étymons bilitères et de créments, ou affixes. Les éléments affixables ou incrémentables à la base sont phonétiquement les mêmes (gutturales, sonantes, labiales, nasales) et corrélés souvent aux mêmes valeurs grammaticales (factitif, statif, moyen) ou sémantiques (l’intensif). La troisième position de la racine est la position privilégiée dans ce processus d’affixation/incrémentation. La racine trilitère n’est donc pas le seuil minimal du sens, et s’avère réductible à une base biconsonantique rendue trilitère grâce à un segment crément ou affixe. Ceci peut avoir un effet sur notre conception du lexique arabe, désormais réorganisable autour des bases bilitères soit abstraites (les traits phonétiques), soit concrètes (les étymons primitifs), qui sont à leur tour transformables en radicaux trilitères grâce à une liste préalable de créments et affixes spécifiant la signification primordiale véhiculée par la base bilitère. / This thesis is part of the revisionist work on the structure of the Semitic root in general, and the Arabic root in particular. In the introduction, we present a critical review of the efforts of Arab grammarians in their quest of a minimum linguistic threshold associated with meaning, a quest that resulted in establishing the triliteral root as the ultimate unanalysable unit. This choice was made despite the many obvious shortcomings of this theoretical framework, such as its inability to explain the reversal of the order of consonants, or their phonetic variation (regardless of its meaning). It is an anhistorical, synchronic choice that excludes the notion of time, and finds its roots in a revelationnist (tawqîf) linguistic framework. In the end of the nineteenth century, the extended Darwinist theory has undermined this static conception of the root. By integrating the notion of time, a number of Orientalists - followed by some Arab philologists of that period - showed, through a comparative methodology, that the triliteral root has evolved from a primitive monosyllabic (or biconsonantal) root. Since then, several explanations have been proposed for the formation of the triliteral root from a biliteral base (crossed bilateral roots, affixation of formative increments or determinatives).Some linguists, such as Hurwitz, tried to identify and to systematize by deduction the ternary elements and their semantic values. In this work, which is carried within the framework of the Matrix and Etymons Theory , we demonstrate through the synchronic analysis of nearly 1,000 trilateral items that the triliteral root is analyzable in terms of biliteral etymons and of separable increments or affixes added at the beginning (prefixation), the middle (infixation) or the end (suffixation) of bilateral bases.The characteristic elements that can be affixed or incremented on the base are phonetically similar (gutturals, sonorants, labial, and some dentals) and correlated often with the same grammatical (factitive, stative, reflexive or middle voice) or semantic (intensive) values. The third position of the root is the position favored in this process of affixation / incrementation. Thus, the triliteral root is not the minimal threshold of meaning, and can be broken down to a biconsonantal base, which became triliteral thanks to an incremental or affixal segment. These findings may affect our perception of the Arabic lexicon, which can now be rearranged around biliterals bases, either abstract ( i.e. phonetic features), or concrete (i.e. historical primitive etymons) that are in turn convertible into triliteral radicals through a preliminary list increments and affixes that specify the primary meaning conveyed by the bilateral base.

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