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Theoretical contributions on horizontal agreements and R&D spillovers / Contributions théoriques sur les fusions horizontales et les effets Spillovers en R&D

Zhao, Kai 10 July 2012 (has links)
Cette thèse est une collection de travaux théoriques sur les effets concurrentiels des stratégies de croissance externe (opérations de fusions-acquisitions) et interne (activités de R&D). Il s’agit de déterminer l’impact de ces deux modes possibles d’expansion sur le comportement des firmes, leur profitabilité et le bien-être social. La thèse est divisée en deux parties principales. Partie I (effets concurrentiels des stratégies de croissance externe) : On considère que les fusions horizontales génèrent un choc sur le coût des entreprises.Celui-ci se traduit soit par une incertitude sur le coût de production expost de l’entité fusionnée (chapitre 1), soit par un mécanisme de transfert technologiquedans une perspective internationale (chapitre 2). Dans le chapitre 1, nous étudions l’impact de l’incertitude sur la profitabilité des stratégies de fusionsacquisitionsen considérant un oligopole de Stackelberg. Dans le chapitre 2, nous vérifions si l’option d’entrée par fusions-acquisitions est plus efficace par rapport à d’autres modes d’entrée sur des marchés étrangers, tels que l’Investissement Direct Etranger ou l’exportation.Partie II (effects concurrentiels de stratégies de croissance interne):Les efforts R&D ou le bénéfice d’effets de spillovers contribuent `a une réductiondu coût (chapitre 3) mais aussi `a une amélioration de la qualité (chapitre 4). Endistinguant les décisions de long-terme (choix en R&D) et des décisions de court terme (choix en prix ou en quantité), nous étudions l’effet de régimes complets etpartiels de collusion dans le chapitre 3. Nous considérons l’impact des choix en R&D sur l’incitation à adopter un régime de délégation partielle ou totale, dans le chapitre 4. / This thesis is a collection of theoretical essays in the area of horizontal M&As and R&D with spillovers. As we know, organizations consider horizontal M&As as the external mode of expansion, and regard R&D as one of the most efficient internal expansion modes, to achieve and maintain sustainable growth. This thesis pursues the firm growth’s tactic to trace the impact of two aforementioned expansion modes on firm’s performance and profitability. The dissertation is divided into two parts, which respectively focus on the following issues:Part I: (competitive effects of external growth strategies)Horizontal M&As generate cost variation via uncertainty (Chapter 1) or via technological transfer (Chapter 2). We aim to study different types of horizontal M&A and find out which one is the most profitable from the national perspective, and to verify whether the M&A entry option is more efficient compared to others, such as Greenfield FDI and exporting, from the international perspective.Part II: (competitive effects of internal growth strategies)R&D effort contributes to cost reduction (Chapter 3) or to quality enhancement (Chapter 4), and it can be beneficial to other firms at no cost due to spillover effect. By considering the long-run R&D decision and the short-run price (or quantity) decision, we attempt to distinguish between full and partial regimes in terms of collusion (Ch.3) or delegation (Ch.4), and to illustrate whether firms have incentive to adopt partial regime.
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La croissance en Afrique et les investissements directs étrangers / Economic growth in Africa and foreign direct investment

Koné, Famaria Djibril 15 December 2014 (has links)
Partant du premier constat selon lequel, le continent africain a été et reste encore aujourd’hui, celui dont les habitants sont les plus pauvres du monde, nous nous sommes assigné comme objectif d’essayer d’en identifier les tenants et les aboutissants. A la lumière des avancées en matière de théorie de la croissance, nous avons énumérés les deux principaux mécanismes convoyeurs de croissance économique, à savoir l’accumulation des facteurs de production et le progrès technique. Ensuite comme second constat, nous avons remarqué qu’à la fois le taux d’investissement et le niveau de progrès technique était plus faible sur le continent africain, qu’ailleurs. Conscient également de cet état des choses, les instances dirigeantes de ces pays, ont entrepris d’attirer le plus d’investissements étrangers possible, considérés d’une part comme un moyen de contourner le déficit d’investissements productifs et d’autre part comme un mode d’adoption de nouvelles technologies. C’est pourquoi, l’impact des investissements directs étrangers sur la croissance économique des pays en voie de développement et africains en particuliers, a constitué l’objet de notre étude. Nous avons décelé dans notre étude, comme dans la littérature sur le sujet, un impact des IDE sur l’investissement local en Afrique neutre, soutenant l’hypothèse que ces investissements augmentent au moins le stock de capital physique par tête des pays africains de notre échantillon. Ce faisant, les IDE vont influer sur le revenu par tête des pays de notre échantillon, dans des proportions différentes mais selon le même principe que les investissements dits nationaux. On a constaté que les investissements directs étrangers, ont eu un impact moyen positif supérieur sur le niveau de revenu par tête de long terme (22% de hausse quinquennale moyenne), à celui des investissements domestiques (0,5% de hausse quinquennale moyenne). Cependant, nous n’avons pas enregistré d’effets d’externalités de productivités positives au sein de ces pays, liées à la présence d’entreprise étrangères. Au sein d’un échantillon plus large cette fois-ci, comprenant aussi bien des pays développés, en voie de développement et africains, nous avons trouvé que les IDE deviennent significatifs pour le processus de rattrapage technologique, via des externalités de productivité, quand le ratio de productivité totale des facteurs du pays hôte par rapport à celui des Etats-Unis, est supérieur ou égal à 0,47. Donc, pour bénéficier au maximum de la présence de multinationales sur leur territoire, les pays africains doivent mettre au préalable en place, de bonnes conditions politiques, économiques et sociales, leur permettant d’améliorer leurs capacités d’absorption (écart raisonnable de productivité vis-à-vis des Etats-Unis). / Starting with the first observation that the African continent has been and still is, one whose inhabitants are the poorest in the world, we have assigned a target to try to identify the ins and outs. In light of advances in growth theory, we have listed the two main mechanisms conveyors of economic growth, namely the accumulation of factors of production and technical progress. As second observation, we noticed that both the investment rate and the level of technical progress was lower on the African continent than elsewhere. Also aware of this situation, the governments of these countries have begun to attract more foreign investment as possible, on the one hand considered as a way to circumvent the lack of productive investment and secondly as a mode of adoption of new technologies. Therefore, the impact of FDI on economic growth in developing countries and in Africa in particular, has been the object of our study. We found in our study, as in the literature on the subject, that the impact of FDI on domestic investment in Africa is neutral, supporting the assumption that these investments increase at least the stock of physical capital per head of our African sample. In doing so, the FDI will affect the per capita income of countries in our sample, in different proportions but according to the same principle as the national investments. We found that foreign direct investment, had an average positive upper impact on the long-term level of per capita income (22% average increase every five-year) than domestic investment (0.5% average increase every five-year) . However, we have not registered positives productivity externalities in these countries, due to the presence of foreign business. Within a larger sample this time, including as well developed countries, developing countries and African countries, we found that FDI becomes significant for the process of technological catching-up, by productivity externalities when the ratio of total factor productivity in the host country compared to the United States is greater than or equal to 0.47. So to get the most from the presence of multinationals in their territory, African countries must first establish, good political, economic and social conditions, enabling them to improve their absorptive capacity (reasonable productivity gap vis -à-vis the United States).
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Attractivité économique des investissements directs étrangers en zone CEMAC : harmonisation des instruments juridiques aux règles internationales / Economic attractivity of foreign direct investments in CEMAC zone : harmonization of the legal instruments to the international rules

Memphil Ndi, Evelyne Patience 21 October 2015 (has links)
Les courants de la mondialisation des marchés, marqués par la libre circulation des capitaux et le phénomène du libre-échange ont favorisé la mise en œuvre de politiques communautaires de relance économique et d’attractivité des territoires. C’est dans cette lancée que des regroupements géographiques à visée économique comme la Communauté Économique et Monétaire de l’Afrique Centrale (CEMAC) sont apparus. Six pays de l’Afrique Centrale dont le Cameroun, le Congo, le Gabon, la Guinée Equatoriale, la République Centrafricaine et le Tchad en sont membres et font l’objet de notre analyse sur l’attractivité économique de l’investissement Direct étranger (IDE) dans cette sous-région. L’IDE est devenu un acteur incontournable du processus de développement, et la zone CEMAC une destination privilégiée pour les investisseurs. Il apparait néanmoins une ambiguïté dans les rapports entre le flux d’IDE, la croissance économique et le développement des pays membres de la CEMAC : le taux sans cesse croissant des flux d’IDE entrants dans la sous-région, n’est malheureusement pas toujours synonyme de croissance économique. Pour comprendre ce paradoxe, l’on procède à une analyse des instruments encadrement de l’IDE dans la sous-région CEMAC. Il en ressort que, pour un rendement optimal de ces dispositifs et la garantie d’une croissance économique à long terme dans ces États, il est nécessaire d’associer les politiques actuelles d’attractivité économique des IDE, à une diversification des domaines économiques exploitables , mais aussi adapter les standards internationaux aux spécificités socioculturelles mais aussi économiques de la sous-région CEMAC. / The currents of the globalization of the markets, marked by the free movement of capital and the phenomenon of free trade supported the implementation of Community policies of economic revival and attractivity of the territories. It is in this impetus that geographical regroupings with economic aiming like the Economic community and Monetarist of Central Africa (CEMAC) appeared. Six countries of Central Africa of which Cameroon, Congo, Gabon, Equatorial Guinea, the Central African Republic and Chad are members and are for it, the object our analysis on the economic attractivity of direct foreign investment (FDI) in this under-area. The FDI became an inevitable actor of the development process, and CEMAC zones, a privileged destination for the investors. It appears nevertheless an ambiguity in the relationship between the flow of FDI, the economic growth and the development of the member countries of the CEMAC : the rate unceasingly crescent of flows of FDI entering the under-area, is unfortunately not always synonymous with economic growth. To understand this paradox, one carries out an analysis of the instruments framing of the IDE under-area CEMAC. This reveals that, for an optimal output of these devices and the warranty of one long-term economic growth in these States, it is necessary to associate the current policies of economic attractivity of the FDI, with a diversification of the exploitable economic domains, but also to adapt the international standards to sociocultural but so economic specificities of under-area CEMAC. The case of the countries of the BRICS can in this respect, being used as illustration for an “other way” of thinking the development.
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Les stratégies d'implantation des firmes étrangères au Liban : les sources de la confiance / Strategies for setting up foreign firms in Lebanon : the sources of trust

Moughayt, Bachar 15 September 2017 (has links)
L’économie libanaise est confrontée à un paradoxe. D’une part, elle est très dépendante de l’apport des capitaux étrangers pour financer sa croissance et créer les emplois de demain. D’autre part, elle a du mal à attirer sur son sol les capitaux étrangers qui privilégient souvent d’autres destinations, y compris dans le bassin méditerranéen au Moyen-Orient. L’objectif de notre travail consiste dans un premier temps à identifier les déterminants des stratégies d’implantation des entreprises étrangères au Liban en mettant l’accent sur ceux qui favorisent ou, au contraire, repoussent les flux d'IDE. Dans un deuxième temps, notre objectif est de définir les déterminants sur lesquels se basent les firmes étrangères dans le choix de leur emplacement sur le territoire libanais. Pour ce faire, nous avons conduit une démarche de recherche en deux étapes : Une première phase a été consacrée à la revue de la littérature théorique et empirique sur les déterminants de la localisation des IDE. Au vu de la rareté des travaux consacrés au Moyen-Orient et particulièrement au Liban, une deuxième phase a été menée avec une approche qualitative et interprétativiste. Les données empiriques ont été recueillies au moyen d’une enquête réalisée auprès de 18 personnes. Dans cette étude, nous avons observé que les facteurs de l’internationalisation des entreprises étrangères au Liban dépassent les déterminants classiques de la littérature théorique. Ces facteurs s’articulent principalement autour de la confiance, de la religion, de la proximité culturelle, de la situation politique, de la qualité des institutions, etc. Enfin, nos résultats nous ont permis d’affiner la teneur de la théorie de référence sur les déterminants des stratégies d’implantation des entreprises étrangères au regard du contexte du Liban. / The Lebanese economy encounters a paradox. On one hand, in pursuance of financing its growth and in order to create future jobs, it became quite dependent on foreign capital contributions. And on the other hand, it’s facing a difficulty of attracting foreign capitals that rather prefer other destinations than Lebanon, including the Mediterranean basin in the Middle East. Our research objective consists of firstly identifying the determinants of Implementation strategies of foreign companies in Lebanon, by focusing on those who favor or rather delay the FDI flows. And our consecutive objective is to define the determinants on which foreign companies base their choice of emplacement on Lebanese territories.In order to execute this research and achieve these objectives, we divided our work into two stages:The first stage was devoted to the theoretical and empirical review of the determinants of the location of FDI, the data of this stage was collected by conducting a survey on 18 people. The second stage, which is an interpretative approach, was carried out due to the lack of researches on the Middle East and particularly on Lebanon. Through this study we observed that the factors of internationalization of foreign companies in Lebanon exceed the classical determinants of the theoretical literature. These factors are distinctly concentrated around trust, religion, cultural juxtaposition, political situation, institution levels, etc. At last, our results allowed us to enhance the content of the reference theory on the determinants of the implementation strategies of foreign companies in view of the Lebanese context.
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Coopération et conflits internationaux sur le commerce et les investissements directs étrangers

Vicard, Vincent 12 November 2008 (has links) (PDF)
L'analyse économique des flux internationaux de biens et de capitaux fait abstraction du contexte politique international dans lequel ils s'effectuent. L'absence de juridiction supranationale fait pourtant peser des risques spécifiques sur les échanges entre États souverains. Dans cette thèse, nous nous attachons à montrer que la prise en compte des spécificités du système politique international permet de mieux comprendre pourquoi certains pays choisissent de créer certains types d'accords économiques internationaux et leur efficacité. Dans un premier chapitre, nous montrons que les différences observées dans la forme des accords commerciaux régionaux ne reflètent pas des degrés différents d'intégration commerciale. Le second chapitre propose alors une explication du choix de différentes stratégies d'intégration régionale. Nous développons un modèle de formation endogène d'accords commerciaux régionaux dans un monde incertain, ou les conflits entre États peuvent dégénérer en guerre. Nous montrons alors que les pays connaissant le plus de conflits et naturellement les plus ouverts au commerce créent les accords les plus intègres politiquement, l'inverse étant vrai pour les accords peu intégrés. Ces résultats théoriques sont conformes empiriquement. Enfin, dans un troisième chapitre, nous nous intéressons aux traites d'investissements bilatéraux. Nous montrons que les investisseurs étrangers font face a un risque d'expropriation lie aux relations diplomatiques entre leur pays hôte et leur pays d'origine. Notre analyse montre que la signature d'un traité d'investissement bilatéral permet de s'en prémunir, et est donc plus efficace entre pays entretenant de mauvaises relations diplomatiques.
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Déterminants et impacts des IDE sur la croissance économique en Tunisie / The determinants and impacts of the foreign direct investment on the growth of the Tunesian economy

Thaalbi, Ines 18 December 2013 (has links)
L’objectif de cette thèse est de déterminer les conditions pour lesquelles les politiques d’attraction des IDE des pays en voie de développement impactent leur niveau de croissance. Le cadre théorique est celui des nouveaux modèles de croissance endogène et le cadre empirique, celui de la Tunisie sur la période 1970-2009. Nous estimons un modèle composé de six équations simultanées reflétant la croissance de l’économie tunisienne. Ce modèle permet d’un côté d’évaluer l’impact des IDE sur le processus de croissance et de définir les conditions nécessaires qui assurent un bon fonctionnement des spillovers, et, d’un autre côté, de définir les facteurs déterminants des IDE localisés en Tunisie.Nous montrons notamment la nécessité pour la Tunisie de posséder une aptitude technologique et des ressources en capital humain qui conditionnent l’assimilation du savoir-faire et des technologies développées ailleurs. Nous mettons également en évidence l’importance d’autres facteurs liés notamment à l’environnement des affaires au sein d’un pays hôte. Ces différents facteurs assurent un bon fonctionnement des spillovers, qui en tant que canaux de transmission garantissent une croissance soutenue. Les pays en voie de développement devraient donc concentrer leurs efforts sur l’amélioration des politiques d’attraction des IDE et leur capacité d’absorption afin d’établir un environnement plus favorable à leur développement. / The objective of this PhD is to determine the main conditions under which attractive FDI policies of developing countries can impact their growth level. The theoretical framework belongs to the new endogenous growth models. The empirical framework is the case of Tunisia during the period 1970-2009. We consider a model of six simultaneous equations reflecting the growth of the Tunisian economy. First, this model assesses the impact of FDI on the growth process and permits us to establish the necessary conditions which ensure positive effects of spillovers. Second, we define the determinants of FDI located in Tunisia.In particular, we exhibit the need for Tunisia to develop technological capabilities and human capital resources that affect the conditions to assimilate knowledge’s and technologies from outside. We also highlight the importance of some other factors including the business environment in the host country. These factors ensure that spillovers are efficient transmission channels in order to obtain sustained growth. The developing countries should therefore focus their efforts on improving the attraction of FDI policies and their absorption capacity with the view to create a more favourable environment for their development.
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La relation entre le commerce international et les investissements directs étrangers : cas des principaux pays de l'OCDE / The relationship between International Trade and Foreign Direct Investment : the case of the main OECD countries

Dihissou, Wasiu 20 October 2017 (has links)
Ce travail étudie la nature de la relation entre commerce et Ide sur le plan théorique et empirique. Théoriquement, il y a deux sortes de relations entre commerce et Ide: substitution et complémentarité. La nature de cette relation peut être la conséquence de facteurs exogènes, déterminant de la spécialisation des pays ou encore le résultat de la stratégie endogène des firmes multinationales dans l’organisation de leurs activités à l’échelle internationale. On parle de relation de complémentarité quand il y a un lien positif entre commerce et Ide, et de relation de substitution quand il y a un lien négatif entre commerce et Ide. Empiriquement, avec le modèle de gravité, on applique les techniques économétriques sur données annuelles de 2000 à 2014 sur les données bilatérales de 18 pays principaux investisseurs de l’OCDE, d’abord dans l’industrie manufacturière et ensuite selon les zones géographiques, avec un ensemble de 75 pays partenaires repartis dans ces différentes zones géographiques. Ces 75 pays sont constitués de, 17 autres pays de l’OCDE, 17 pays de l’Amérique Latine non OCDE, 3 pays de l’Europe de l’Est non OCDE et 38 pays de l’Asie non OCDE. Pour l’analyse du secteur manufacturier, on trouve en exportation comme en importation, une relation de complémentarité entre commerce et Ide. Pour l’analyse par zone géographique, on trouve en exportation comme en importation, une relation de substitution pour la zone OCDE et l’Amérique Latine non OCDE et une relation de complémentarité pour la zone Europe de l’Est non OCDE. Cependant pour la zone Asie non OCDE, on trouve une relation de substitution en exportation et une relation de complémentarité en importation. / This paper studies the nature of the relationship between international trade and foreign trade direct investment, both theoretically and empirically. Theoretically, there is in general two sorts of relations between international trade and direct foreign investment: substitution and complementarity. The nature of that relation may either be the consequence of exogenous factors, determinants of country specialization or the result of endogenous strategy of multinational firms in the organization of their activities internationally. We speak of complementarity relation when there is a positive link between international trade and investment, and substitution relation when there is a negative link between international trade and investment. Empirically, with the gravity model, we apply econometric technics on yearly data of the panel during 2000 and 2014 period on bilateral data of eighteen countries main investors of OECD, at first in manufacturer industry and then depending on geographical areas, with a set of seventy-five countries divided up in these geographical areas. The seventy-five partner countries consist of seventeen other countries of OECD, seventeen Latin America countries non-OECD, three eastern European countries non-OECD, and thirty-eight Asian countries non- OECD. Regarding the analysis of the geographical area, the estimations point out, in exportation as in importation, a substitution relation for the OECD area and Latin America non-OECD area and a complementarity relation for eastern European non-OECD area. However, for Asian non-OECD area, the estimations show, a substitution relation in exportation and a complementarity relation in importation.
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Les investissements directs étrangers en Afrique centrale : attractivité et effets économiques

Ngouhouo, Ibrahim 26 March 2008 (has links) (PDF)
Depuis plus de trois décennies, les investissements directs étrangers deviennent de plus en plus incontournables dans le processus de développement des nations. Que se soient les pays développés ou les PVD, la course aux IDE est devenue l'objectif majeur de la politique économique des Etats, lesquels rivalisent d'idées dans l'attractivité envers les FMN. Après plus d'une décennie de croissance négative entre 1985 et 1995, les Pays de la CEMAC retrouvent une croissance positive avec une particularité pour la Guinée équatoriale dont le taux annuel moyen de croissance entre 2000 et 2005 était de 27%, alors que la moyenne de la zone se situait autour de 9,7%. Cette croissance particulière est due à la découverte du pétrole en Guinée équatoriale et au Tchad, à l'augmentation des gisements du pétrole marin au Cameroun et à un afflux exceptionnel des IDE dans ce secteur. Cette thèse analyse l'impact des IDE sur l'économie des pays d'Afrique Centrale (zone CEMAC) à travers trois objectifs principaux : 1) analyser l'évolution de la croissance et des flux d'IDE entrant dans la CEMAC, 2) faire ressortir l'ensemble des principaux déterminants des IDE de la zone CEMAC, 3) étudier les effets des IDE sur la croissance économique de chacun des pays de la CEMAC. Le chapitre 1 fait une analyse descriptive des flux d'IDE entrants et du taux de croissance du PIB dans la CEMAC entre 1960 et 2005. Il ressort de cette analyse que les flux d'IDE cumulés représentent environ 40% du PIB de la CEMAC (inégalement répartis entre les pays), même si la CEMAC ne compte que pour moins d'un pour cent de l'IDE mondial. On constate également que les périodes d'afflux massifs d'IDE sont suivies d'un regain de croissance dans le pays bénéficiaire. Le chapitre deux essaie de montrer les atouts dont dispose la CEMAC pour attirer les IDE. Ainsi, les politiques d'attractivités (économiques, monétaires et institutionnelles) mises en place sont passées en revue, de même que les abondantes ressources naturelles de la région pour lesquelles les investisseurs peuvent s'intéresser. Il est aussi fait cas des problèmes qui limitent les entrées d'IDE dans la région tels la corruption et l'instabilité politique. Le chapitre trois recherche les déterminants des IDE dans la zone : pour ce faire, un modèle gravitationnel enrichi est construit et testé dans un panel dynamique GMM. Les résultats obtenus montrent que les IDE vers la CEMAC sont des IDE qui privilégient les ressources naturelles, avec une orientation particulière vers le secteur pétrolier où les investissements atteignent parfois plus de 90% des IDE totaux du pays concerné comme en Guinée Equatoriale et au Tchad. Il est également net que les problèmes institutionnels constituent les principales limites aux flux d'IDE dans cette zone. Enfin, le chapitre quatre analyse les effets des IDE sur les économies des pays de la CEMAC à l'aide d'un modèle structurel estimé par la méthode des triples moindres carrés. Le résultat obtenu montre que l'IDE contribue positivement à la croissance dans CEMAC prise comme entité économique. Toutefois, les simulations montrent que l'effet de l'IDE sur la croissance du PIB est plus sensible au Cameroun, faible au Gabon et en Guinée Equatoriale, nulle au Congo et au Tchad. Il est à craindre dans l'avenir un effet de « syndrome hollandais » dans la plupart des économies de la région si les autorités de la CEMAC ne prennent pas les mesures adéquates pour le contrer. Une diversification de la production par l'usage des recettes pétrolières au développement des secteurs à la traîne est une solution pérenne.
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Mondialisation et système de villes :<br />les entreprises étrangères et l'évolution des agglomérations sud-africaines

Vacchiani-Marcuzzo, Céline 11 April 2005 (has links) (PDF)
Le système des villes sud-africaines, né d'une colonisation de peuplement et soumis pendant un demi-siècle aux lois de l'apartheid, évolue-t-il sous l'effet de la mondialisation comme d'autres systèmes de villes plus anciens ou plus développés ? Dans quelle mesure le processus d'insertion économique à l'échelle mondiale, observé à travers la localisation des investissements directs étrangers (IDE) et l'implantation des entreprises multinationales, entraîne-t-il une perturbation dans la dynamique de ce système ? L'objectif est ici de savoir, à l'aide de différentes méthodes d'analyse des données, si les villes sud-africaines concernées par les IDE suivent un modèle de métropolisation (concentration des activités économiques et des hommes dans les plus grandes villes), si elles connaissent un processus de distribution de la croissance aux échelons inférieurs de la hiérarchie urbaine (simple diffusion-adaptation), ou bien si elles développent de nouvelles configurations (spécialisations).<br /><br />Dans les délimitations bien précises des agglomérations fonctionnelles, que nous avons constituées pour dix dates sur toute la période 1901-2001, nous mettons en évidence une croissance urbaine distribuée (processus de Gibrat), analogue à celle observée pour d'autres systèmes de villes et qui fait suite au processus de colonisation du territoire par les villes, observé jusque vers la fin du XIXe siècle. Cette modalité d'urbanisation fait de l'Afrique du Sud un des pays africains les plus avancés dans la transition urbaine (avec quelques 307 agglomérations urbaines en 2001).<br />L'internationalisation économique des villes est ensuite analysée, sur le temps long, par le biais des IDE (échantillon de 2751 entreprises étrangères en 2003) afin de mettre en évidence les reconfigurations spatiales, les dynamiques de concentration, d'accentuation des disparités ou au contraire de rattrapage entre les villes.<br /><br />Au stade actuel du processus, en dépit d'une insertion ancienne du pays dans les échanges internationaux, les stratégies de localisation des entreprises étrangères contribuent, comme partout ailleurs, au renforcement du niveau métropolitain (au profit de Johannesburg surtout) et ne produisent plus de spécialisation urbaine très marquée. Cependant, à l'échelon supérieur, de la hiérarchie urbaine les sélections des investisseurs analysées sur le long terme révèlent l'amorce d'une dynamique de diffusion et de rééquilibrage territorial, à l'avantage des grandes villes côtières et de leurs périphéries.
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L'ouverture de la Chine et ses impacts sur l'économie chinoise

Liu, Hong Liang 07 December 2012 (has links) (PDF)
Au début des années 80, le gouvernement chinois a lancé une politique d'ouverture dans le but d'attirer les capitaux, les compétences modernes et les techniques avancées nécessaires au développement économique de la Chine. Aujourd'hui, cette politique semble porter ses fruits. La Chine, qui était un pays quasiment autarcique avant les années 1980, est devenue actuellement le premier pays exportateur et le deuxième pays destinataire des investissements directs étrangers du monde. Jusqu'à présent, la plupart des travaux de recherche sur l'ouverture économique de la Chine se sont contentés de démontrer les effets positifs des exportations et des entrées des IDE sur l'économie interne de la Chine. Dans le cadre de cette thèse, en partant d'une analyse fondée sur l'économie de production et en étudiant la relation entre le taux de change du yuan, l'exportation, l'investissement direct étranger et le revenu, nous démontrons que la politique d'ouverture menée par le gouvernement chinois depuis les années 80 ne profite pas vraiment à la plupart des habitants de la Chine. En nous fondant sur la notion d'inflation-déséquilibre monétaire, nous expliquons que l'exportation nette et l'entrée d'investissements directs étrangers en Chine ont provoqué une tension inflationniste et une dégradation du pouvoir d'achat réel de la majorité de ses habitants ainsi qu'une aggravation des inégalités économiques. Ces effets ne peuvent pas être corrigés par la politique monétaire de la Banque centrale chinoise. De plus, cette politique monétaire est susceptible d'engendrer un dysfonctionnement de l'économie chinoise dans la mesure où elle accentue les difficultés financières de nombreuses entreprises, notamment celles de petite taille, ce que tente de démontrer cette thèse

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