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The emerging lesbian : female same-sex desire in modern China /Sang, Tze-lan Deborah. January 1900 (has links)
Texte remanié de: Doctoral dissertation--Department of comparative literature--Berkeley--University of California, 1996. / Bibliogr. p. 345-371.
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Les relations amoureuses entre les femmes du XVIe au XXe siècle /Bonnet, Marie-Jo, January 2001 (has links)
Texte remanié de: Th. 3e cycle--Hist.--Paris 7, 1979. / Précédemment paru chez Denoël, en 1981, sous le titre : "Un choix sans équivoque, recherches historiques sur les relations amoureuses entre les femmes, XVIe-XXe siècle" Bibliogr. p. 363-411. Notes bibliogr.
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Hinterlegte Botschaften : die Darstellung lesbischer Frauen in der deutschsprachigen Literatur seit 1945 /Marti, Madeleine, January 1992 (has links)
Texte remanié de: Diss.--Marburg--Philipps-Universität, 1991. / Bibliogr. p. 391-431.
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Nationalsozialistische Sexualpolitik und weibliche Homosexualität /Schoppmann, Claudia, January 1991 (has links)
Texte remanié de: Diss.--Fachbereich Kommunikations- und Geschichtswissenschaften--Berlin--Technische Universität, 1989.
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Expérience d'homophobie en milieu scolaire secondaire : les réactions de jeunes victimes lesbiennesDesbiens Sergerie, Marilyn January 2014 (has links)
Cette recherche exploratoire aborde la problématique de l’homophobie, plus spécifiquement le vécu de six jeunes femmes lesbiennes ayant été victimes d’actes homophobes lorsqu’elles fréquentaient l’école secondaire. Une synthèse des études conduites au Québec sur l’homophobie permet de conclure à un manque de connaissances en ce qui a trait aux réactions des victimes d’homophobie. C’est pourquoi cette étude phénoménologique vise à examiner les réactions des participantes (comportements, cognitions, émotions) lors d’incidents homophobes, et les facteurs ayant pu influencer celles-ci (variables contextuelles et personnelles). Les participantes ont participé à une entrevue individuelle semi-structurée, afin de documenter leur expérience subjective, et d’élaborer des récits phénoménologiques. Les résultats démontrent que les participantes ont partagé des expériences comportementales (paralyser, éviter, riposter, rechercher du soutien), cognitives (remettre en question son identité sexuelle, constater un manque de connaissance sur les réalités des minorités sexuelles) et émotives (éprouver un sentiment dépressif, de solitude, de peur, de colère) au travers de leur vécu homophobe. Certains facteurs paraissent également avoir influencé leurs réactions et leur capacité d’intervenir. Au niveau des variables contextuelles, la position de force et de faiblesse entre victimes et agresseurs ainsi que la perception qu’avaient les victimes de pouvoir être soutenues sont au nombre de ces facteurs. Au niveau des variables personnelles, la personnalité de la victime, la consolidation de son identité homosexuelle ainsi que son désir de s’impliquer dans la lutte à l’homophobie ont aussi joué un rôle dans leur manière de réagir à l’homophobie. Il a aussi été possible de mettre en lumière que le vécu des jeunes lesbiennes victimes d’homophobie est différent de celui des jeunes hétérosexuels victimes d’intimidation, entre autres, parce que les participantes de l’étude ont toutes éprouvé des difficultés à consolider leur identité sexuelle en raison des incidents homophobes et parce qu’elles ont eu du mal à rechercher du soutien lorsqu’elles n’avaient pas encore dévoilé leur homosexualité à leur entourage. Enfin, la majorité des participantes de l’étude ont éprouvé de la difficulté à se défendre au début de leur secondaire et à déployer des stratégies de défense efficaces. Cette recherche soulève la pertinence de mieux documenter chacune des étapes du « modèle transactionnel du stress » qui s’opère lorsqu’un individu se sent menacé, comme cela est le cas lors d’un incident homophobe, afin de mieux comprendre quelles sont les ressources des victimes, les stratégies de coping qu’elles déploient et l’impact de leurs actions sur leurs comportements, leurs cognitions et leurs émotions. Il paraît nécessaire que les jeunes de minorité sexuelle soient davantage outillés pour se défendre contre l’homophobie, tout comme ceux qui les entourent (amis, membres du personnel scolaire, parents), afin qu’ils puissent les soutenir dans leurs démarches.
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Le rôle de l'hétérosexisme sur la construction identitaire de la maternité chez les mères sociales lesbiennes ayant réalisé un projet de vie familialPéloquin, Mylène 27 January 2024 (has links)
L'image de la famille occidentale d'aujourd'hui s'est grandement diversifiée avec l'apparition de nouvelles structures familiales. Parmi ces nouveaux modèles familiaux, l'homoparentalité se distingue par la présence de deux parents de même sexe. Malgré les nouvelles règles en matière de filiation du projet de loi n°84 qui octroient qui octroie les mêmes droits et les mêmes responsabilités aux couples de même sexe que les couples hétérosexuels, les familles homoparentales sont encore sujettes à la controverse puisqu'elles dérogent de la signification culturelle et traditionnelle de la famille occidentale. À partir du témoignage de huit mères sociales1 lesbiennes, cette recherche qualitative explore le rôle de l'hétérosexisme dans la construction identitaire du rôle maternel chez la mère sociale. Les résultats de cette recherche exposent les différents impacts de l'hétérosexisme sur l'expérience de la maternité sur les répondantes. Brièvement, la maternité pour ces femmes est une source significative de valorisation. La confiance en soi ou le réseau de soutien entourant ces femmes constitue également des facteurs clés. En revanche, la figure familiale père/mère qui perdure dans la société laisse peu de place pour le parent n'ayant pas porté l'enfant. Il peut être difficile pour ces femmes de se bâtir en tant que mère considérant l’absence de diversité dans la représentation de la famille. Les entretiens relèvent également l’absence d’instances susceptibles de répondre aux questions spécifiques des mères sociales. À différents degrés, il ressort du discours des participantes qu’un milieu inadapté aux réalités des familles homoparentales peut les amener à éprouver un certain sentiment d’illégitimité. Ces constats démontrent que des améliorations sont encore nécessaires par rapport à la place que l’on accorde à la mère sociale dans la société.
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Accès à la parentalité lesbienne par l'entremise d'un donneur connuCôté, Julie 02 February 2024 (has links)
Depuis l'adoption de la Loi instituant de nouvelles règles de filiation (Loi n°84) au Québec en 2002, les familles lesboparentales génèrent de plus en plus de travaux de recherches. Pour concrétiser leur désir d'avoir des enfants, les couples de femmes, qui souhaitent fonder leur famille par procréation assistée, se retrouvent inévitablement à devoir recourir à une troisième personne pour concevoir un enfant. Le présent projet d'étude de type exploratoire et descriptif analyse l'expérience de la parentalité lesbienne de quinze femmes (quatorze participent en couple et une femme participe seule), qui ont choisi d'avoir recours à des donneurs connus pour concrétiser leurs projets parentaux. Suite à notre recrutement, notre échantillon s’est naturellement segmenté selon quatre profils de donneurs connus à savoir, par l’entremise d’un frère de la mère sociale, d’un ami, d’une connaissance et d’un donneur connu par internet. Le but poursuivi est de répondre à la question de recherche suivante: quels sont les principaux facteurs de stress, les principaux facteurs facilitants ainsi que les stratégies utilisées par les couples de femmes pendant leurs processus d'accès à la parentalité par l'entremise d'un donneur connu? De façon plus précise, nous souhaitons notamment examiner: les difficultés rencontrées par ces femmes concernant le choix du mode de procréation, les défis relativement à l’articulation des rôles ainsi que les stratégies utilisées pour pallier ces facteurs de stress. Pour ce faire, la parole est accordée aux mères participantes afin d'avoir une meilleure compréhension de leurs expériences de la parentalité lesbienne. L'analyse de nos données effectuées à la suite des entrevues avec ces dernières a permis de dégager les facteurs de stress, les facteurs facilitants ainsi que les stratégies utilisées par ces femmes pour pallier ces difficultés. Enfin, les résultats ressortant de cette analyse se répartissent selon six dimensions, à savoir: 1) les normes et valeurs sociales de la parentalité, 2) le choix du mode de procréation, 3) la recherche d'un tiers donneur, 4) l'articulation des rôles avec le tiers donneur, 5) la mère sociale et 6) l'entourage. / Since 2002 when the Act instituting civil unions and establishing new rules of filiation (Bill n°84) came into effect in the province of Quebec, lesbian motherhood has led to an increasing number of research projects. To achieve their desire to have a family, lesbian couples who wish to use assisted procreation have to acknowledge their necessity for a third-party to conceive their children. This descriptive-exploratory research project analyses the experience of lesbian motherhood through the perspective of fifteen mothers (fourteen participating as couples, and one participating individually) who chose to proceed with known donors for their parental projects to come to fruition. Following our recruiting period, four donor profiles were identified, notably the brother of the social mother, a friend, an acquaintance, and a donor met through the internet. The aim of this research is to answer the following question: What are the main stressors, the main facilitators, and the different strategies used and encountered by women couples during their journey to parenthood with a known donor? More precisely, we wish to examine: the challenges encountered by these women in regards to their procreation choice; the difficulties concerning negotiating the roles; and the different strategies used to alleviate these stressors. For that purpose, and to have better insight, we gave the women the opportunity to discuss their different lesbian motherhood experiences. Our data analysis through interviews with these women reveals the different stress factors, facilitating factors, as well as the different strategies used by these women to overcome these difficulties. Our findings are divided into 6 dimensions, namely : 1) the norms and social values of parenthood, 2) the choice of the procreation method, 3) the search for a thirdparty donor, 4) the negotiation of the roles with the third-party donor, 5) the social mother, and 6) the couples’ family and friends.
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Homosexualité, armée et police : état de la question et expériences vécues par les militaires, policiers et policières gais selon leur propre point de vueFournier, Michèle January 2005 (has links)
Thèse numérisée par la Direction des bibliothèques de l'Université de Montréal.
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Identité ethnique et identité érotique : le cas de lesbiennes d'origine haïtienneAmbrosi, Sophie January 2005 (has links)
Mémoire numérisé par la Direction des bibliothèques de l'Université de Montréal.
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Les couples féminins dans les lieux publics en Estrie : (in)visibilitéDuval, Marie-Dominique January 2018 (has links)
Ce mémoire porte sur l’(in)visibilité des couples féminins dans les lieux publics en Estrie et tente de pallier au manque de recherches universitaires sur les femmes de la communauté LGBTQIA+ au Québec, femmes souvent mises à l’écart dans les recherches universitaires et gouvernementales. Subissant une double discrimination, soit celle d’être femme et de ne pas être hétérosexuelle, ces femmes offrent, dans ce mémoire, leurs histoires de vie et parlent de leurs réalités de couple de même sexe qui sont des plus intéressantes et importantes à comprendre.
Dans le cadre de cette recherche exploratoire, j’ai réalisé neuf entretiens compréhensifs individuels, de type récit de vie, avec des femmes estriennes de 25 à 35 ans qui s’identifient comme lesbiennes ou pansexuelles. Elles étaient toutes en couple avec une femme au moment des entretiens. À travers ces entretiens, j’ai tenté de comprendre leur relation avec leur conjointe ainsi qu’avec les individus présents dans les lieux publics qu’elles fréquentent. Comment interagissent-elles lorsqu’elles sont en couple? Le présupposé d’homophobie plus présent dans les régions hors des grands centres urbains du Québec a-t-il des effets sur leur présence dans les lieux publics?
À partir de théories féministes, d’aspects de la communication interpersonnelle et de la dramaturgie sociale d’Erving Goffman, j’ai dégagé certains éléments caractéristiques des couples féminins en Estrie. Premièrement, il semble que la communication non verbale soit privilégiée par les couples ne désirant pas que leur orientation sexuelle soit visible dans les lieux publics. Deuxièmement, plusieurs femmes interrogées souhaitent rendre invisibles les signes de leur orientation sexuelle et du lien qu’elles ont avec leur conjointe, alors que d’autres ne s’inquiètent aucunement d’être visibles. Troisièmement, la présentation de soi est un élément très important pour les femmes de cette recherche, tantôt pour se faire reconnaître comme lesbienne, tantôt pour éviter les stéréotypes accolés aux femmes LGBTQIA+, tantôt comme moyen d’être acceptées. Enfin, il est important de rendre compte des craintes que plusieurs participantes disent avoir lorsqu’elles sont avec leur conjointe dans les lieux publics estriens.
Bien que présentant des expériences et des portraits différents, toutes les femmes interrogées souhaitent une société plus ouverte aux différences, où toutes les personnes de la diversité sexuelle et de genre pourront vivre pleinement et sans crainte.
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