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Personnes, Personnel et Impersonnel dans l'œuvre de Richard PowersD. Schooley, Béatrice 19 October 2011 (has links) (PDF)
Plus connue pour le foisonnement et la richesse de ses thèmes, pour la densité de son contenu historique, socioéconomique, et pour la technicité avec laquelle elle manipule divers domaines scientifiques, l'œuvre de Powers laisse pourtant également une très large place à ses personnages. Jouant le double rôle de reflets de la société et de piliers narratifs organisant le récit, ces personnages expriment en effet la vision de Powers de l'Amérique contemporaine et constituent un lieu d'expérimentation littéraire. Ces romans s'intéressent aux façons dont les êtres entrent en lutte pour préserver et réinventer leur identité propre au sein d'un monde en perpétuelle mutation sociale et politique, et saturé de moyens technologiques nouveaux. Powers fait le choix d'une approche à la fois sociologique et philosophique en partageant le regard qu'il porte sur la société contemporaine américaine et en mettant au cœur de son œuvre la notion de relation à soi et aux autres. Les implications narratives de cet intérêt pour la complexité accrue d'un statut ontologique de la personne sont multiples et aboutissent à la construction de personnages mouvants et discontinus, réfractant plus qu'ils ne concentrent une énergie remise en circulation au triple niveau de la fiction, de la lecture et de l'écriture. Les modalités d'écriture des personnages, qui rendent compte de l'éclatement de l'unité de la personne dans le monde contemporain américain, font alors déborder la conception individualisante et personnelle qui leur est le plus souvent associée et lui substituent une vision fragmentaire, paradoxalement fédératrice, et en définitive impersonnelle, des êtres.
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Poétique du roman-fleuve, de Jean-Christophe à MaumortLeblond, Aude 02 December 2010 (has links) (PDF)
Marquée par la longueur, le réalisme et la lisibilité, l'esthétique du roman-fleuve chez Romain Rolland, Martin du Gard, Jules Romains et Duhamel peut paraître anachronique dans le paysage littéraire de l'entre-deux-guerres. Le roman-fleuve maintient en effet l'ambition démiurgique dans un contexte historique qui semble l'interdire. Trace d'une volonté toujours vivace de créer un livre-monde alors même que les certitudes positivistes s'écroulent, la poétique du roman-fleuve est plus intempestive qu'anachronique : c'est son présent qui rend improbables ses choix esthétiques. Au-delà du traumatisme de la Première Guerre, le roman-fleuve tâche d'élaborer un livre-monde, fût-il précaire ; il travaille à se faire tombeau. Il rend compte des bouleversements de la perception du moi, du temps et de la collectivité - ces éléments qui rendent caduc le paradigme naturaliste, auquel la critique a jusqu'ici rattaché le roman-fleuve. La composition de ce reflet fantomatique de la Belle Époque oscille entre construction et fragmentation. Son dispositif pragmatique conduit à dépasser le postulat mimétique, pour révéler une conception très moderne des pouvoirs de la fiction. Contre le rêve d'un " roman objectif " [Martin du Gard], le roman-fleuve fait émerger un dialogue entre auteur et lecteur. Ce sous-genre se révèle en définitive comme le lieu d'une expérimentation politique, fictionnelle et générique. Invitant le lecteur à reconnaître les interactions multiples entre mondes fictifs et monde réel, il lui permet de distinguer les différentes logiques génériques qui entrent en tension dans le texte. Il appelle ainsi une lecture réflexive et orchestre un apprentissage littéraire.
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Poétique du slam : de la scène à l'école. : Néologie, néostyles et créativité lexicaleVorger, Camille 23 November 2011 (has links) (PDF)
Né à Chicago dans les années 80, le slam apparaît désormais comme un phénomène poétique majeur en France où il tend à être médiatisé et emblématisé par Grand Corps Malade. Au-delà de l'effet de mode et d'un mot dont le sens original - le plus souvent ignoré - mérite assurément d'être explicité, c'est un slam aux contours mouvants, un objet poétique non identifié, qui constitue l'objet de cette thèse. S'il s'avère donc nécessaire de cerner ses points d'ancrage (traditions de poésie orale, relations avec la chanson, le rap), notre propos vise à explorer les enjeux du slam et sa portée en termes néopoétique, néologique et didactique. Il se définit comme poésie orale-aurale, vocale et vivante, et c'est précisément dans le dispositif - les dispositifs - qui le fondent plus que dans les formes très variées qu'il peut revêtir que réside son essence. D'après son fondateur, le slam est " intégrateur " et vise une démocratisation de la poésie. En tant que tel, il est ouvert (alors même que le sens premier du verbe to slam peut être traduit par " claquer la porte ") à une langue actuelle, appréhendée dans toutes ses dimensions et variations (inter et interlinguales). Le slam fait feu de tous lieux, de tous mots, et les slameurs aiment à jouer avec une langue plurielle : démarche colludique dans laquelle ils impliquent un public prêt à entrer dans cette danse avec les mots. A travers ce nouveau positionnement d'auteur-animateur, le slameur se fait tribun et œuvre en faveur d'une libération du verbe susceptible d'ouvrir de nouveaux horizons lexicaux : de fait, la néologie prolifère autour et au cœur du slam. Notre étude en détaille les formes (matrices lexicogéniques) et les fonctions dans un tel contexte. Afin de mettre en lumière les traits d'une poétique en devenir, nous avons approfondi l'œuvre de trois slameurs (Mots Paumés, Souleymane Diamanka, Grand Corps Malade) et proposé comme clé d'analyse le concept de néostyle visant à rendre compte de l'importance de la néologie et de la façon originale dont elle est stylisée/poétisée dans le slam. Il s'agit de mettre en relation la linguistique et la poétique autour de cet objet avant d'en aborder les enjeux didactiques. Partant du constat de l'intégration récente du slam dans les programmes et manuels scolaires, nous interrogeons les modalités et les objectifs de cette didactisation naissante et développons - après l'avoir expérimenté - son potentiel en matière de créativité. S'il tend à être considéré comme un outil d'apprentissage, il peut aussi constituer un objet d'étude à part entière et son exploitation doit intégrer cette dialectique. Menés dans des contextes et avec des publics diversifiés - en quoi le slam est aussi potentiellement " intégrateur " - les ateliers slam sont porteurs d'un double enjeu de renouvellement des pratiques autour de la poésie et d'un renouement avec des pratiques dites " traditionnelles " dont il est susceptible de réactiver l'intérêt. Dès lors que les slameurs assument un rôle de passeurs, il peut enfin représenter une passerelle vers la poésie classique ou vers d'autres pratiques artistiques.
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Poétique des cycles romanesques : de Balzac à VolodineConrad, Thomas 24 June 2011 (has links) (PDF)
Les cycles romanesques sont ces œuvres formées par la réunion de plusieurs récits autonomes : sommes "à la Balzac", suites, séries, trilogies, etc. Il s'agit d'un type spécifique de "transtextualité" (Genette), où s'exprime un désir ambigu de totalisation, qui affirme à la fois l'ouverture et la clôture du texte. Selon une démarche de poétique historique, nous analysons les formes de ces cycles, tout en les inscrivant dans l'histoire de long terme du genre romanesque. D'où un corpus large, s'étendant du XIXe siècle à nos jours : La Comédie humaine de Balzac, le Manuscrit trouvé à Saragosse de Potocki, les trilogies de Dumas, Les Rougon-Macquart, les Trois Villes et les Quatre Evangiles de Zola, le Cycle du Hussard de Giono, les cycles de science-fiction d'Asimov, et les romans " post-exotiques " de Volodine. L'examen des procédés de connexion entre les récits montre que le cycle n'est pas fondé sur la cohérence du monde qu'il représente, mais sur la cohésion des textes qu'il rassemble. Chaque cycle est une totalisation singulière de textes, traversée de tensions et de dysfonctionnements.Mais ces œuvres sont autant de réponses à une question qui subsiste pendant ces deux siècles : comment retrouver une totalité épique adéquate au monde moderne né de la Révolution ? Les cycles romanesques réactivent la " racine épique " du roman (Bakhtine). Cette visée épique, et ses transformations, sont un aspect de ce que serait une histoire de l'idée de totalité en littérature.
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Poétique du geste chez Henri Michaux : mouvement, regard, participation, danseVillard, Marie-Aline 16 November 2012 (has links) (PDF)
En quoi Michaux fonde-t-il son échange littéraire et artistique sur les gestes ? Nous montrerons qu'il inaugure le partage d'un espace d'action par l'activité de l'agi-sentir et du voir. Dans nos analyses, nous resterons au plus près de l'expérience du mouvement, en l'examinant dans ses relances et ses retours selon une circulation qui relie le regard, la trace, la corporéité et l'imaginaire. Pour accompagner théoriquement notre démonstration, nous avons sollicité des penseurs ayant comme point commun le mouvement - qu'il soit abordé d'un point de vue physiologique, anthropologique, phénoménologique, philosophique, artistique ou chorégraphique. Chacun se focalise sur une activité de l'œuvre qui met le lecteur/spectateur face à sa présence vivante. En définitive, la pratique du geste de Michaux engendrera celle d'une lecture inédite, qui deviendra à son tour productrice de gestes - à la fois éprise et ravisseuse des formes-forces qu'elle (re)découvre à mesure.
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Poe et Baudelaire : pour une hantologie du textePecastaing, Sandy 16 December 2013 (has links) (PDF)
Hantologie - terme composé, formé par Jacques Derrida - signifie : " ontologie (c'est-à-dire, science de l'être) de ce qui "hante" : les spectres, les fantômes " (Charles Ramond, Le Vocabulaire de Jacques Derrida). Le néologisme derridien est une paronomase, le paronyme d'un mot - ontologie -, dont il n'est pas un synonyme. L'hantologie est une " " catégorie [...] irréductible, et d'abord à tout ce qu'elle rend possible, l'ontologie, la théologie, l'onto-théologie positive ou négative ", écrit Jacques Derrida (Spectres de Marx). C'est une ontologie, l'ontologie de l'être du non-être et du non-être de l'être, de quelque chose ou quelqu'un qui " n'est pas là ", " comme tout fantôme digne de ce nom " (Ibid.). " Il n'y a pas de Dasein du spectre mais il n'y a pas de Dasein sans l'inquiétante étrangeté, sans l'étrange familiarité (Unheimlichkeit) de quelque spectre " (Ibid.) Il n'y a pas d'ontologie, donc, sans hantologie. Appliquée à l'étude des textes, l'hantologie derridienne n'est pas une nouvelle méthodologie de l'analyse littéraire. Elle vise moins à définir un texte qu'à se demander, d'abord, quelle question nous posons lorsque nous demandons : qu'est-ce qu'un texte ? S'agit-il d'une question d'ordre ontologique ? phénoménologique ? En demandant : qu'est-ce qu'un texte ?, nous disons déjà que le texte est quelque chose, quelque chose dont nous sentons bien qu'il n'est pas qu'une chose. Qu'il soit un objet, d'ailleurs, cela n'est pas sûr, et s'il l'est, il reste à savoir pourquoi et comment. Il l'est, si l'on souscrit au discours du structuralisme. Il ne l'est plus, si l'on adopte la définition barthésienne du texte comme productivité. L'hantologie du texte n'est pas un simple catalogue des fantômes de la littérature. Elle consiste surtout à étudier les hantises de l'écriture et de la lecture - les mots fantômes notamment (anagrammes, palindromes, etc.) et les textes fantômes (hypotextes, intertextes). C'est une recherche attentive au procès de signifiance du texte, appropriée aux œuvres de Poe et de Baudelaire, et dont la proposition critique est elle-même déductible de leurs créations. Notre thèse cherche à mettre en évidence les possibilités d'une telle déduction à travers des études comparées de leurs œuvres littéraires, poétiques, traductions de Poe par Baudelaire comprises, en portant une attention toute particulière aux figures et motifs de la revenance, à la problématique de l'image et du langage, laquelle intègre les questions de traduction (copie, fidélité à la lettre ou à l'esprit de la lettre, etc.).
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Pour une typologie de la littérature du secret : mystère et sens dans l'oeuvre romanesque de Pierre Jean JouvePorcher, Titaua 09 October 2009 (has links) (PDF)
Ce travail se construit autour du mystère qui, comme un " nimbe permanent ", irradie l'œuvre romanesque jouvienne. Il s'appuie surtout sur les apports de la phénoménologie, qui replace le corps au centre de la connaissance, pour tenter de cerner les rapports entre mystère et sens. La première partie s'attache à établir une topologie du mystère. Chez Pierre Jean Jouve en effet, l'espace visible se double d'un invisible au statut ambigu : à la fois de l'ordre d'un sens, immanent au sensible, et d'une présence qui échappe au sens. La deuxième partie analyse les marques stylistiques fondant cette impression de mystère. Comme l'affirme Jean Paul Sartre, toute technique romanesque renvoie à la métaphysique de son romancier. Ainsi les divers procédés d'écriture reflètent-ils le regard particulier de Pierre Jean Jouve sur le monde et l'art de rendre compte d'un " nouveau réel ". La troisième partie se penche sur les diverses références mythiques en tant que voies d'accès au mystère du " continent intérieur " que constitue l'inconscient. Ces images, qui naissent dans le corps, sont issues d'une " structure archaïque " et agissent sur le mode de la révélation : elles offrent une figuration de l'irreprésentable et rendent compte du phénomène de visibilité. Elles nous éclairent sur les structures de l'imaginaire jouvien. Enfin, la quatrième et dernière partie de ce travail s'attache aux liens entre mystère et mystique. La mystique de Pierre Jean Jouve, qui réintègre le corps et les pulsions inconscientes, découle sur un art dans lequel toutes les hauteurs " agglutinées " convergent vers une figuration de l'absence.
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Regards sur la continuité de l'hellénisme chez les écrivains français du XXème siècle (1947-1967) : une image de la Grèce reconstruiteKouzini, Maria-Eleni 19 December 2012 (has links) (PDF)
Ce travail se propose de définir la représentation de la Grèce chez dix voyageurs français qui visitent le pays entre 1947, fin de la guerre civile grecque, et 1967, début de la dictature des Colonels. Le corpus est constitué des écrivains suivants : Jacques Lacarrière, Robert Levesque, Jean Cau, Jean Cocteau, Roger Milliex, Michel Butor, André Malraux, Michel Déon, Jacques Chardonne et Thierry Maulnier. Tous partent avec une solide culture classique et une image stéréotypée de la Grèce, qu'ils ont à confronter avec la réalité. Les traces des guerres, des guerres balkaniques aux guerres civiles, sont très visibles, notamment dans les villes et la misère de la population est très sensible. Pourtant, les voyageurs français sont tous à la recherche des stéréotypes véhiculés en Europe. S'ils ne sont pas déçus par les paysages grecs, ils ont de la peine à retrouver les Grecs dans les Grecs. Ils se font l'écho des théories élaborées ou reprises au XIXème siècle, selon lesquelles les Grecs n'ont plus rien de commun avec les Grecs de l'Antiquité ou qu'ils sont dégénérés. Pourtant chacun fait des efforts parfois vains, pour trouver une continuité dans la Grèce, en confrontant types humains contemporains, moeurs et coutumes, voire langue, aux réalités correspondantes antiques. L'élément religieux, dont ils n'ignorent pas qu'il constitue une rupture, est analysé en terme de syncrétisme, ou clairement rattaché à Byzance, considérée comme une étape de l'histoire de la Grèce. Mais il ressort de l'ensemble des textes, plus ou moins explicitement, que les véritables héritiers de la Grèce antique sont les Européens, auprès desquels les Grecs peuvent réapprendre à être ce qu'ils étaient autrefois.
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Réécritures bibliques chez Paul Claudel, André Gide et Albert Camus : Une étude intertextuelle sur dix oeuvres littérairesRimpioja Riippa, Anne Susanna 03 October 2013 (has links) (PDF)
Cette thèse étudie la relation intertextuelle entre dix œuvres fictionnelles de trois auteurs français et la Bible. Il s'agit de montrer, en s'appuyant sur les catégories de Gérard Genette, comment la Bible est réécrite par Paul Claudel, André Gide et Albert Camus. Le degré de l'hypertextualité dans les œuvres étudiées va d'une réécriture massive à l'emploi des citations implicites. Chacun des textes fictionnels est aussi en relation paratextuelle avec le récit biblique : ce sont des textes narratifs ou dramatiques dont le titre déjà fait allusion aux Écritures. On examine trois formes du rapport au texte biblique et au christianisme : l'un est celui d'un catholique pratiquant, le deuxième celui d'un incroyant d'origine protestante et le troisième celui d'un incroyant d'origine catholique. La Bible réécrite par Claudel met en scène un christianisme affirmatif alors que les réécritures de Gide et de Camus prennent le contrepied de la religion chrétienne.
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Samuel Beckett et les écrivains de Port-RoyalFoehn, Melanie 09 July 2012 (has links) (PDF)
L'objet de ce travail de recherche est de définir la relation de Samuel Beckett au classicisme français du dix-septième siècle. L'analyse préliminaire de différents manuscrits permet d'identifier les sources primaires et secondaires de ce dernier sur Pascal et Racine, et de mettre en avant, dans un second temps, les différentes correspondances, esthétiques et littéraires, entre l'œuvre de l'écrivain irlandais et Port-Royal. L'arrière-plan philosophique se définit par la conjonction de la logique, de l'éloquence et de la passion au cœur de l'œuvre racinienne, que l'on retrouve dans la rhétorique des Pensées, et l'analyse du langage dans la Logique ou l'art de Penser (1662) d'Arnauld et de Nicole. Les différents aspects de cette filiation intellectuelle sont établis à partir de l'analyse comparée des propos de Beckett dans ses séminaires sur la 'modernité' de Racine à Trinity College, Dublin, et des écrits théoriques de contemporains français parmi les plus illustres autour du 'classicisme moderne' et de 'l'antirhétorique'. L'étude de l'essai sur Proust, écrit en 1931, suivra ce bilan historiographique afin démontrer que l'œuvre de Beckett se situe dans le prolongement de l'augustinisme littéraire français,qu'il connaissait au moins à partir des écrits et en particulier du roman de Sainte-Beuve, Volupté. En outre, les thèmes augustiniens parcourent l'œuvre plus tardive, notamment la trilogie de romans français, Molloy, Malone Meurt, et L'Innommable comme les textes courts tels que Le Dépeupleur et Sans. L'intertextualité entre les écrits de Pascal et ceux de Beckett, doublée d'une analyse stylistique, démontrera que la syntaxe appauvrie de l'œuvre beckettienne est profondément inspirée du pessimisme augustinien vis-à-vis du langage. En effet, Beckett, adoptant le français comme principale langue d'expression, choisit le style des Pensées comme l'un de ses modèles les plus fondamentaux.
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