• Refine Query
  • Source
  • Publication year
  • to
  • Language
  • 65
  • 6
  • 3
  • Tagged with
  • 75
  • 28
  • 26
  • 20
  • 14
  • 13
  • 12
  • 10
  • 10
  • 9
  • 9
  • 8
  • 8
  • 8
  • 8
  • About
  • The Global ETD Search service is a free service for researchers to find electronic theses and dissertations. This service is provided by the Networked Digital Library of Theses and Dissertations.
    Our metadata is collected from universities around the world. If you manage a university/consortium/country archive and want to be added, details can be found on the NDLTD website.
71

Evaluation des dommages induits par des mouvements de terrain sur des structures en maçonnerie à l'aide de la modélisation physique / Damage assessment of masonry structures subjected to ground movements by physical modelling

Nghiem, Huu-Luyen 24 March 2015 (has links)
Les structures en maçonnerie représentent une proportion importante des maisons individuelles et sont plus vulnérables notamment lorsqu'elles sont soumises à des mouvements de terrain. Pour faire face aux conséquences de ce problème, une plate-forme d'essais a été développée pour simuler des mouvements de terrain et leur effet sur des modèles de structure en surface. Ce travail de thèse s'appuie sur un modèle physique réduit et développe des méthodes d'évaluation des dommages des structures maçonnées à l'aide de l'expérimentation physique. Dans un premier temps, un modèle physique à échelle réduite sous gravité terrestre (1g) a été conçu pour reproduire ce phénomène. Ce modèle d'interaction sol-fondation-maçonnerie est à l'échelle de 1/40. Le sol analogique est constitué d'un sable de Fontainebleau. La fondation de la structure est fabriquée à partir de silicone liquide, et les murs en maçonnerie sont constitués de petits blocs en bois. Pour mesurer les champs de déplacement du sol et de la structure, une technique de corrélation d'images numériques (DIC) est utilisée. Des discussions à propos de l'usage de cette technique lors de la réalisation d'un essai, notamment la prise en compte des erreurs de mesures, ont été également abordées. Dans un deuxième temps, on évalue les dommages par les méthodes conventionnelles basées sur des indicateurs de dommages et des abaques. Ensuite, des nouveaux outils basés sur la technique DIC sont proposés pour réaliser une évaluation de dommages plus efficace, et plus aisée. Le premier outil se basant sur le modèle d'interaction sol-structure de Winkler permet d'identifier les modes de rupture dans la structure. Pour cela, le problème inverse de l'interaction sol-structure a été résolu et les modes de rupture du mur, basés sur les efforts internes, ont été identifiés. Ensuite, un modèle DIC-M est proposé pour reproduire les fissures dans la maçonnerie. Le point clé de ce modèle concerne les mouvements des blocs qui sont simulés par un système d'éléments distincts. Par ce moyen, la reproduction des fissures, puis l'identification et la quantification des fissures deviennent aisées. Plus précisément, un nouvel indicateur de dommages lié à la longueur des fissures permet de mieux quantifier les dommages et de cartographier les fissures. L'incertitude de mesure est déterminée par une simulation de Monte-Carlo des erreurs de déplacements. Dans un troisième temps, la performance des outils développés est évaluée au travers d'un exemple d'évaluation des dommages potentiels. Une maison individuelle en maçonnerie soumise aux mouvements de terrain a été étudiée à l'aide de l'expérimentation physique. Une campagne d'essais considérant les positions les plus sensibles par rapport à la cuvette d'affaissement est réalisée. L'évaluation du niveau de dommage a été réalisée à l'aide des mesures de déformations et des caractéristiques de fissures observées. La comparaison entre les méthodes conventionnelles et la méthode développée montre la pertinence de l'indicateur longueur des fissures, et cet indicateur peut être considéré comme un nouvel outil lors d'évaluation des dommages dans la pratique. Pour conclure, des recommandations opérationnelles ont été suggérées afin d'obtenir une meilleure estimation du niveau de dommages de la structure. / Masonry structures present a significant proportion of individual houses and are especially more vulnerable when subjected to ground movements. To deal with consequences of this problem, a test-platform has been developed in order to simulate ground movements and their effect on structure models on the surface. This thesis is based on a reduced physical model and develops damage assessment methods for masonry structures using physical modelling. Firstly, a small-scaled physical model under Earth's gravity (1g) has been developed to reproduce this phenomenon. This model of soil-foundation-masonry interaction has a scale factor of 1/40. The analogue soil consists of the Fontainebleau sand. The foundation part of the structure is made of liquid silicon and masonry walls are made from small wooden blocks. To measure displacements fields of the soil and the structure, a digital image correlation (DIC) technique is used. Discussions about the use of this technique when performing a test, especially the consideration of measurement errors, are also addressed. Secondly, we first assess the damage through conventional methods based on damage indicators and graphs. Then, new easy to use tools based on the DIC technique are proposed to carry out a more effective damage assessment. The first tool helps identify failure modes in the structure, based on the Winkler soil-structure interaction model. To do this, the inverse problem of soil-structure interaction is resolved, and the failure modes, based on internal forces, are identified. Then, a DIC-M model is proposed to reproduce the crack propagation in the masonry wall. The key point of this model consists in the simulation of the block movements in a discrete element system (DES). Consequently, cracks can appear easily, and then the crack identification and quantification become easier. More precisely, a new damage indicator related to the cumulated length of cracks allows to better quantify the damage and the cartography the cracks. The measurement uncertainty is determined by Monte-Carlo simulation. Thirdly, the performance of proposed tools is discussed through an example of assessing potential damages. An individual house in masonry subjected to ground movements was studied using physical experimentation. A test campaign related to the most sensitive positions of the structure with respect to the subsidence centre is performed. Damage assessment is conducted using deformation measurement and crack characteristics. The comparison between conventional and developed methods shows the relevance of the damage indicator related to the cumulated length of cracks, and this indicator can be considered as a new tool for damage assessment in practice. Finally, operational recommendations are suggested in order to obtain a better estimation of the damage level of the structure.
72

Andrew Michael Ramsay (1686-1743) : religion, philosophie et pensée maçonnique / Andrew Michael Ramsay (1686-1743) : religion, philosophy and masonic thought

Desplanches, Sophie 30 September 2016 (has links)
Andrew Michael Ramsay fut un intellectuel écossais du Siècle des Lumières, à la fois "aventurier religieux", auteur politique et franc-maçon. Élevé dans le protestantisme, il rechercha un équilibre spirituel et une doctrine plus conformes à ses vœux. Il voyagea dans de nombreux pays pour atteindre ce but et finalement trouva auprès de Fénelon, archevêque de Cambrai, et de Madame Guyon, adepte du "Pur Amour", un père et une mère spirituels. Sous leur influence, il finit par adhérer à un catholicisme de nature gallicane caractérisé par un appel constant à l’intériorité. De son œuvre, émergent quatre traités : l’Essai sur le gouvernement civil(1721) dans lequel il démontre que la meilleure forme de gouvernement est la monarchie absolue, héréditaire, de droit divin. Fervent jacobite, il espérait le retour de la dynastie Stuart sur le trône d’Angleterre. L’Histoire de la vie de Fénelon (1727) traite principalement des péripéties de sa conversion par le prélat; Les Voyages de Cyrus (1727), roman didactique, apologétique et politique, raconte la formation d’un jeune prince accompli, rempli de sagesse et de piété. Son ouvrage central, Les principes philosophiques de la religion naturelle et révélée (1749), communément appelé le "Great Work" ne parut qu’après sa mort. Le franc-maçon perçait alors sous le philosophe. Son Discours (1737) fait remonter les origines de l’Ordre aux croisades et, surtout, fixe les obligations auxquelles est soumis tout franc-maçon, qui lui sont rappelées au moment de son initiation. Cet homme, complexe, mystique et politique réussit l’exploit de faire changer radicalement cette organisation très attachée à ses traditions qu’est la Franc-maçonnerie. / Andrew Michael Ramsay was a Scottish intellectual of the Enlightenment and was at the same time a "religious adventurer", a political author and a freemason. Born into a Protestant family, he undertook a search for spiritual stability and for a doctrine more in line with his aspirations. In this quest, he journeyed through several countries, and he eventually found in the company of Fénelon, archbishop of Cambrai, and of Madame Guyon, an advocate of the doctrine of "Pure Love", a spiritual father and mother. Inspired by them, he finally converted to a Gallican variety of Catholicism which was at the root of his call to a life of constant soul-searching. From his work four treatises emerge: An Essay upon Civil Government (1721), in which he sought to show that the best form of government is an absolute, hereditary monarchy, based on divine right. As a zealous Jacobite, he longed for the return of the Stuarts to the British throne. The Life of Fénelon (1727) deals mainly with the various stages leading up to his conversion by the prelate. The Travel of Cyrus (1727) is a didactic, apologetic and political novel which relates the education of a young accomplished prince endowed with wisdom and piety. His most considerable work is The Philosophical Principles of Natural and Revealed Religion (1749), commonly called the "Great Work", which was published posthumously. Here the freemason can be seen beneath the philosopher. His Discourse (1737) traces the origins of Freemasonry back to the crusades, and also sets out the obligations that every freemason must adhere to and which he is reminded of during his initiation. His success in radically changing this organization so deeply attached to its customs remains the lasting legacy of this complex, mystical and political figure who is Andrew Michael Ramsay.
73

Les réseaux unissant francs-maçons et laïques belges et italiens de la fin du XIXe siècle jusqu'à la Deuxième guerre mondiale: prémisses et réalisation de l'accueil en Belgique des fuorusciti italiens / Free-mason and free-thinker networks connecting the Belgians and the Italians from the end of 19th century till the Second World War: premises and realisation of the arrival of the Italian political emigrants in Belgium.

Casano, Nicoletta 11 March 2013 (has links)
Ce travail vise à approfondir certains aspects de l’expérience des francs-maçons et laïques italiens qui ont été exilés en Belgique, suite à la persécution opérée contre eux par la dictature de Mussolini. <p>En effet, les premières associations qui ont été poursuivies légalement par le dictateur italien ont été les associations maçonniques et celles de la Libre Pensée. Jusqu’au il y a quelques années, l’historiographie ne pouvait pas analyser davantage les conséquences de cet exil, faute d’accès aux archives de ces associations. <p>À présent, il nous a été possible d’étudier cette documentation qui nous a permis de démontrer que certains francs-maçons et libres-penseurs italiens, qui ont pris la décision de quitter leur pays afin suite aux persécutions de la dictature, avaient été des exilés politiques et avaient trouvé asile dans certains pays européens grâce aux réseaux maçonniques et laïques qui y existaient déjà depuis la fin du XIXe siècle. La Belgique a été l’un de ces pays d’accueil, mais en outre elle avait été le pays où ces réseaux étaient nés et s’étaient le plus efficacement développés. <p>C’est cette généalogie des réseaux maçonniques et laïques qui nous a permis d’expliquer pour quelles raisons, même si la Belgique n’a pas été le principal pays d’accueil des exilés maçons et laïques italiens, un certain nombre d’entre eux y sont passés ou s’y sont installés avec l’aide de la Franc-maçonnerie et de la Libre pensée belges, pendant leur exil./<p><p><p>The aim of my research project is to investigate further into the experience of the Italian free-masons and free-thinkers who had to go on exile as a consequence of their persecution by the Mussolini dictatorship. As a matter of fact, the first associations to be persecuted by the Italian dictator were the free-mason and free-thinkers associations, but till few years ago, the contemporary historiography hadn’t really focused on the consequences of these actions because of the limited access to the Archives of these associations.<p>It was only at the beginning of this century that these documents were found and have been left at the disposal of the researchers.<p>The study of part of these documents allows me to demonstrate that these free-masons and free-thinkers who had taken the decision to leave their country, in order not to accept the dictatorship, were political emigrants and<p>that they found asylum in some European countries thanks to the free-mason and free-thinker networks that they had established since the end of 19th century. Belgium was one of these countries, but more importantly the one<p>where the relation networks concerned were born and developed.<p>This fact allows us to explain the reason why a lot of Italian free-masons and free-thinkers passed in Belgium or some of them lived. Even if Belgium wasn't the country to which the most of these people exiled. <p> / Doctorat en Histoire, art et archéologie / info:eu-repo/semantics/nonPublished
74

Le jardin botanique de Bruxelles (1826-1912) Miroir d'une jeune nation.

Diagre, Denis 20 April 2006 (has links)
L’histoire du Jardin botanique de Bruxelles offre l’opportunité de prendre le pouls de la capitale et de ses développements successifs ; de la bourgeoisie du XIXème siècle, de ses passions et de ses fantasmes ; de la science nationale et internationale ; des rêves coloniaux qui habitèrent les souverains belges ; bref de la société belge dans ses multiples composants… quand elle n’entrouvrait pas la porte de l’intimité psychologique de certains intervenants majeurs du passé scientifique national. En effet, le Jardin botanique fut d’abord l’expression d’une société anonyme créée sous le régime hollandais (1826) : la Société Royale d’Horticulture des Pays-Bas. Cette dernière devait enfin doter la capitale méridionale du pays d’un indispensable marqueur de sa modernité, à moindres frais pour la couronne. Dans ce modus operandi se lisaient la passion bourgeoise pour la nature (surtout exotique), certes, mais aussi son utopie, laquelle faisait dépendre le bien être de la société de l’esprit d’entrepreprise d’une classe. Il s’agissait d’une des premières sociétés anonymes belges, et l’immaturité de cet outil se paierait bien vite. Alors qu’il avait été inspiré par le Jardin des Plantes du Muséum d’Histoire Naturelle de Paris – archétype de l’institution scientifique nationale totalement soutenue par l’état – le jardin de Bruxelles revêtit une forme commerciale qui devait bien le servir, lorsque la crise qui suivit la Révolution de 1830 frappa les finances publiques du nouvel état belge. Dès ce moment, le Jardin botanique se lança dans une recherche effrénée de revenus, laquelle ne cesserait qu’avec le rachat du site par l’état belge, en 1870. Unanimement considéré comme magnifique, il n’avait survécu jusque là que grâce à l’écrin qu’il offrait aux réjouissances bourgeoises de la capitale, grâce à la vente d’une partie de sa surface à la faveur de la construction de la Gare du Nord, et à des augmentations successives des subsides versés par le gouvernement et par la capitale. En réalité, la science n’avait alors jamais vraiment élu domicile à la Porte de Schaerbeek… tout au plus avait-on tenté de la singer pour feindre de mériter les subventions nationales que les Chambres devaient approuver. La beauté remarquable de la propriété, sa fonction sociale d’écrin pour la vie événementielle bruxelloise, et sa fonction symbolique de révélateur d’état de civilisation, avaient été les clefs de sa longévité. Le site fut donc racheté en 1870, à la suite d’une entreprise de persuasion, tenant parfois du lobbying, menée par Barthélémy Dumortier (1797-1878), célèbre homme politique catholique, et botaniste de renom. Il avait pour objectif de monter un équivalent belge des Royal Botanic Gardens de Kew, sur les ruines de ce jardin que la bourgeoisie avait abandonné à l’Etat, contre une somme ridicule et en sacrifiant les bénéfices de ses actionnaires. Dumortier voulait donc créer un grand centre voué à la taxonomie, et avait fait acheter le célèbre herbier brésilien de F. von Martius à cette fin. Après des années d’incertitude, marquées par des querelles internes, parfois fort menaçantes, le Jardin botanique de l’Etat échut à François Crépin, l’auteur de la fameuse Flore de Belgique. Le Rochefortois ne cesserait de tenter de déployer son institution, parfois avec succès, mais elle pâtissait d’un handicap de taille : des liens trop étroits avec la Ville de Bruxelles et son université, bastions libéraux et maçonniques. Il en découla, dans une série de ministères uniformément catholiques, une intrumentalisation du Jardin botanique, teintée de mépris, à des fins politiques, et un sous- financement chronique peu propice à la modernisation scientifique de l’institution. Le secours vint du besoin d’expertise scientifique et agronomique dont le Congo léopoldien avait cruellement besoin. Sous le bouclier du souverain de cet état indépendant, une institution scientifique belge trouva protection contre la malveillance des ministres belges, des milliers de feuilles d’herbier qui lui permirent de pratiquer légitimement une discipline bien essoufflée (la taxonomie), de s’y faire une niche et de devenir un des plus grands centres mondiaux en matière de botanique africaine. Ainsi, la colonisation donna-t-elle une base de replis à de grands fonds scientifiques, alors que les universités s’étaient emparées de la physiologie, et des nouvelles disciplines prometteuses. Ces bases de données sont aujourd’hui impliquées, en première ligne, dans les recherches suscitées par la grande inquiétude écologique contemporaine. Miroir de la Belgique, le Jardin botanique de Bruxelles refléta beaucoup de ses gloires et de ses tourments, de ses querelles politiques et philosophiques, et même de ceux qui eurent le Congo pour cadre. Son rayonnement, jadis comme aujourd’hui, doit beaucoup à ce continent. Ainsi peut-on légitimement affirmer que le Jardin botanique fut et reste un enfant de l’Afrique.
75

Le jardin botanique de Bruxelles (1826-1912): miroir d'une jeune nation

Diagre, Denis 20 April 2006 (has links)
\ / Doctorat en philosophie et lettres, Orientation histoire / info:eu-repo/semantics/nonPublished

Page generated in 0.056 seconds