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Marsilius van Inghen (+ 1396) over het goddelijke weten : zijn plaats in de ontwikkeling van de opvattingen over het goddelijke weten ca. 1255-1396 : studie gevolgd door een tekstuitgave van Marsilius van Ingen "Quaestiones super quattuor libros sententiarum", lib. I quaestt. 38 en 40 /

Hoenen, Maarten J. F. M., January 1989 (has links)
Proefschrift--Wijsbegeerte--Katholieke universiteit te Nijmegen, 1989. / Contient un résumé en anglais. Bibliogr. p. 439-479. Index.
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Platons "Parmenides" und Marsilio Ficinos "Parmenides"-Kommentar : ein kritischer Vergleich /

Malmsheimer, Arne. January 1900 (has links)
Diss.--Fakultät für Philosophie, Pädagogik und Publizistik--Bochum--Ruhr Universität, 2000. / Bibliogr. p. 309-316. Index.
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Die Erlösungslehre Marsilio Ficinos : theologiegeschichtliche Aspekte des Renaissanceplatonismus /

Lauster, Jörg, January 1998 (has links)
Diss.--Evangelisch-Theologische Fakultät--München--Ludwig-Maximilians-Universität, 1996. / Bibliogr. p. 251-259. Index.
4

Pia philosophia et docta religio : Theologie und Religion bei Marsilio Ficino und Giovanni Pico della Mirandola /

Euler, Walter Andreas. January 1900 (has links)
Habili.-schr.--Theologische Fakultät--Universität Trier, 1996. / Bibliogr. p. 257-280. Index.
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Zur Dis- Kontinuität mittelalterlichen politischen Denkens in der neuzeitlichen politischen Theorie : Marsilius von Padua, Johannes Althusius und Thomas Hobbes im Vergleich /

Koch, Bettina, January 1900 (has links)
Diss., 2004. / Bibliogr. p. 349-373.
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De vita libri tres /

Ficin, Marsile, Favret, Gilles. January 1989 (has links)
Th.--Institut d'études latines--Paris 4, 1989. / Mention parallèle de titre ou de responsabilité : Les @trois livres sur la vie.
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Le platonisme de Marsile Ficin et la Cour d'Urbin /

Pernis, Maria Grazia. Roudaut, François, January 1997 (has links)
Th. Ph. D.--Hist. de l'art et de l'archéol.--New York--Columbia University, 1990. Titre de soutenance : Le platonisme de Ficin et la Cour d'Urbin : histoire des idées et histoire de l'art. / Bibliogr. des oeuvres de Ficin p. 183-184. Bibliogr. p. 185-224.
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Les autorités ecclésiastiques et la réglementation de la musique à l'époque moderne. / Ecclesiastical authorities and the regulation of music in modern times.

Bertolini, Manuel 07 March 2013 (has links)
La censure de la musique existe depuis l’antiquité. Aristote et Platon ont rappelé le danger de la mimesis musicale et sa valeur morale a été largement discutée par les Pères de l’église, mais le débat est également enflammé à l’époque moderne, lorsque l’on trouve deux tendances fondamentales sur les fronts catholiques et réformés : d’un côté le rôle central de la musique pour la liturgie, de l’autre le contrôle des autorités ecclésiastiques à tous les aspects de la vie des fidèles (la religion, les lectures, les croyances magiques, les habitudes alimentaires et sexuelles, et toutes les formes de sociabilité desquelles la musique est l’ingrédient essentiel). Un examen des sources peut montrer qu’aux XVIe et XVIIe siècles, le domaine dans lequel on trouve une formulation claire et des réponses à cette problématique n’est pas l’humanisme laïque. Les intérêts des humanistes se concentrent sur la reconstruction d’une grammaire des affects qui est un alibi pour l’émancipation de la musique moderne, la seconda pratiqua, et la capacité de la musique à provoquer les affects importe davantage que sa faculté à leur imposer une limite. C’est dans le terrain de la théologie et de la casuistique qu’on discute l’aspect éthique de la question. Le concile de Trente (1564) et les édits diocésains condamnent le chromatisme, la messe parodie et l’utilisation des répertoires musicaux profanes dans la liturgie. La censure de la Congrégation de l’Index et du Saint Office s’étend à toutes les pratiques de communication populaire écrites et orales, et notamment au pétrarquisme. De Savonarole à Descartes, toutes les tentatives de déterminer la valeur affective des éléments de la composition supposent un diagnostic sur les facultés de l’âme et sur ses opérations lors de la fascination. La grammaire polyphonique peut modifier par ses tressages sonores le rapport entre le texte et la mélodie, détourner l’attention et conduire l’auditeur à une transgression émotionnelle (altérité, alienatio, excessus mentis). Étant donnée la corruption de la nature humaine, l’abandon au plaisir de la mélodie constitue un désordre coupable, sans commune mesure avec la musique qui pouvait bercer l’âme harmonieuse du premier homme. Reste, comme remède, la grâce sanctifiante du texte révélé des psaumes, à utiliser comme frein modérateur pour tempérer la puissance émotive de la musique. / Is it possible to censure music? This question may sound rather extravagant, and this is perhaps why music is often overlooked in studies on ecclesiastical censorship in the early modern period, for it would seem that its very essence is incompatible with any form of control. In fact, the huge transformation the Catholic Church had to face, between the sixteenth and the seventeenth century, had a big impact on the music scene. Unavoidably, music was involved in the disputes between Catholics and Protestants as essential liturgical element. The musicologists have mainly studied the Council of Trent action, which seemed to be animated by the desire to remove the secular textual and melodic components from the church repertory. Therefore, Rome became the main center of production for sacred and spiritual music used in celebrations, devotional practices and also in teaching catechism. The case of the Society of Jesus is exemplar: music represent a powerful means of education in college programs, and a strategic tool in the catechesis work. To the enhancement of spiritual genres corresponds as well the will of ‘suppress’ the profane repertories. This is well documented during the age of Counter Reformation, by the variety of cases of ‘‘travestimento’’ which invest canzonette and madrigals. This attitude was also proved by some of the measures the ecclesiastical censure adopted against the vocal production since the seventies of the sixteenth century. In ancient Greek musical theory, harmony was seen as being endowed with a natural virtue capable of altering the rational faculties of the listener’s soul, to the extent of depriving that person of his freedom. The many ethical implications of this classical axiom featured in early modern theological debates. My thesis tries to provide a first answer to these questions by studying the conciliar decrees, the documents of the Index Congregation, the treatises on music and the manuals on demonology. These sources reveal musical censorship did not only involve zealous inquisitors battling with some licentious musician, but also the language of worship and the circulation of prohibited knowledge, which included dangers in the form of sounds that went beyond erotic seduction.
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Le sens du sensible. Essai de théorisation d’une philosophie de l’art à partir de la peinture renaissante / Sense and sensitive shape : An attempt at theorising philosophy of art based on Renaissance painting

Gress, Thibaut 06 December 2011 (has links)
Il s’agit dans cette thèse de penser les conditions de possibilité d’une philosophie de l’art à partir d’un examen précis et rigoureux de la production artistique picturale de la Renaissance italienne. Cherchant d’abord à définir une méthode, nous étudions en détail les présupposés de l’iconologie afin d’établir ce qui nous en semble être les limites. Puis, forts de cette analyse, nous en déduisons la nécessité d’une philosophie de l’art qui, loin de se contenter d’une analyse érudite de l’icône, cherche à extraire la signification de l’œuvre à partir de sa forme sensible. Si les pensées de Platon, Hume et Kant nous semblent échouer à proposer pareille démarche, les leçons de Hegel consacrées à l’Esthétique nous offrent un schéma analytique opérant, grâce auquel l’espace, le dessin et le coloris fournissent le lieu même à partir duquel peut surgir le sens. C’est ainsi que les œuvres de Fra Angelico, Botticelli, Léonard de Vinci et Michel-Ange constituent le matériau artistique grâce auquel nous mettons à l’épreuve la pertinence du triptyque espace-dessin-coloris, tel qu’il fut élaboré par Hegel. En outre, ce sont les pensées philosophiques consacrées au lieu, à la lumière ou encore à la couleur que nous convoquons – tant chez Thomas d’Aquin que chez Marsile Ficin, chez Albert le Grand que chez Plotin, chez Aristote que chez Nicolas de Cues – afin de proposer un sens philosophique des œuvres picturales, que ne nous semblent paradoxalement pas pouvoir délivrer les théories de l’art que proposent ces derniers. Chercher le sens philosophique des œuvres à même leur sensibilité et non dans une théorie de l’image, tel est donc le projet essentiel de cette thèse. / This thesis discusses the conditions of possibility for a philosophy of art based on a precise and rigorous analysis of the pictorial artistic production of the Italian Renaissance. After attempting at defining a method, the presuppositions of iconology are studied in detail with a view to establishing what appear to be their limits. On the basis of this analysis, the author deduces the need for a philosophy of art which, rather than just carrying out an erudite analysis of the icon, endeavours to extract the meaning of a work of art on the basis of its sensitive shape. While Plato, Hume and Kant’s thoughts seem to fail in proposing such an approach, Hegel’s teachings dedicated to aesthetics offer an operational analytical framework, thanks to which space, drawing and colour provide the very place out of which sense can come into being.Hence the works of Fra Angelico, Botticelli, Leonardo da Vinci and Michelangelo constitute the artistic material out of which the relevance of the space-drawing-colour triptych, as developed by Hegel, is put to the test. Furthermore, reference is made to the philosophical thoughts on space, light and colour – as expressed by authors like Thomas Aquinas, Marsilio Ficino, Albert the Great, Plotinus, Aristotle and Nicholas of Kues – with a view to proposing a philosophical sense of pictorial works of art, which paradoxically the theories of art provided by these authors do not seem able to deliver. It is the fundamental aim of this thesis to look for the philosophical sense of works of art through their own sensitiveness and not through a theory of the image.
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Rabelais et la magie / Rabelais and magic

Sekimata, Kenichi 14 February 2015 (has links)
La présente étude se consacre à examiner les attitudes de Rabelais vis-à-vis de la magie. Sous l’angle biographique il est connu que notre humaniste ne manque pas d’occasions de se familiariser avec ce courant de pensée. Ses connaissances de l’occultisme se reflètent profondément dans son oeuvre. L’ironie de Rabelais face à la magie, qui existe certes dans son texte, n’est pourtant pas totale, vu qu’il puise son inspiration sincère dans le réservoir magique. Le sujet de la magie chez Rabelais, constituant une problématique complexe, attire souvent l’attention des critiques, mais fait rarement l’objet d’études sérieuses malgré son importance. En prenant comme fil conducteur le manuel de magie à grand succès, De occulta philosophia, d’Henri-Corneille Agrippa von Nettesheim, notre thèse tente d’éclaircir ce que Rabelais doit à des humanistes versés dans la magie, tels que Marsile Ficin ou Coelius Rhodiginus. Suivant la classification d’Agrippa, notre analyse textuelle porte successivement sur la magie céleste, la magie naturelle et la magie cérémonielle, ainsi que la magie démonique. En s’inspirant de saint Augustin et de Ficin, Rabelais distingue la magie blanche de type nécessaire, studieux et scientifique de la magie noire de caractère vain, curieux et ostentatoire. Mais en même temps, la stratégie littéraire de Rabelais laisse en suspens des choix possibles et variés pour expliquer les phénomènes admirables en parsemant son texte d’indices fabuleux pour inciter le lecteur à plus haut sens.a mon avis, Rabelais subit leur influence de façon plus profonde qu'on ne le dit, et puise son inspiration dans la lecture de leurs livres. l'hermétisme étant à la fois une pensée philosophique, religieuse, chimique et syncrétique, mon sujet nous permet de réexaminer globalement des problèmes variés concernant Rabelais. tout cela contribuera à l'interprétation de l'œuvre de Rabelais. / The present study aims to examine Rabelais’s attitudes towards magic. From a biographical point of view, it is known that our humanist did not lack opportunities to familiarise himself with this current of thought. And hisknowledge of occultism is profoundly reflected in his works. Although Rabelais can be seen to treat the topic of magic with a degree of irony, he nonetheless appears to draw sincere inspiration from magical works and texts. While magic in Rabelais’s works, and its resultant complexities, have always attracted the attention of critics, its use and significance have not been sufficiently investigated in previous studies. Led by clues found in the bestsellingmanual of magic, De occulta philosophia by Heinrich Cornelius Agrippa von Nettesheim, this study attempts to clarify the influence on Rabelais of humanists well-versed in the art of magic, such as Marsilio Ficinoor Coelius Rhodiginus. Employing Agrippa’s classification taxonomy, our textual analysis deals successively with celestial magic, natural magic and ceremonial magic, as well as demonic magic. Analysis reveals that Rabelais, inspired by Saint Augustine and Ficino, distinguishes white magic of necessary, studious, and scientific type from black magic of vain, curious, and ostentatious character. The literary strategy of Rabelais, however, leaves open a number of possible method of elucidating admirable phenomena, scattering the text with fabulous indices in order to invite readers to interpret them in a higher sense.

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