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Travailleurs étrangers temporaires au Canada : vers une mise à jour des catégories et indicateurs démographiques ?

Depatie-Pelletier, Eugénie January 2008 (has links)
Mémoire numérisé par la Division de la gestion de documents et des archives de l'Université de Montréal.
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Logiques des migrations intérieures en Chine et rationalité du système du Hukou / Logics in internal migrations within China and the rationale of the Hukou system

Wang, Jing 21 September 2011 (has links)
Les migrations intérieures en Chine sont régulées par le système du Hukou. Celui-ci distingue la population rurale de la population urbaine et matérialise le droit d’accès aux biens publics du lieu d’enregistrement. Deux types de migration sont à distinguer selon que l’individu a pu convertir/ transférer ou non son Hukou en déplacement : migration permanente et migration temporaire. Notre recherche adopte donc une approche dichotomique et comparatiste en vue d’avoir une vue plus intégrale de la migration intérieure en Chine.D’abord, nous nous interrogeons sur les déterminants du choix de la localisation. Le résultat économétrique montre que la migration temporaire est plus déterminée que la migration permanente par les caractéristiques du marché du travail (salaire et chômage). Par ailleurs, les afflux de l’IDE et le développement de l’entreprise rurale représentent un attrait significatif pour les migrants temporaires, contrairement aux migrants permanents. L’autre remarque consiste dans l’attraction des régions autonomes de minorité à l’égard des migrants permanents.Ensuite, nous nous demandons si les deux types de migration créent des différences en termes de profils individuels et d’insertions professionnelles des migrants. Les permanents sont plus qualifiés que les natifs urbains alors que les temporaires sont loin derrière. Quant aux insertions professionnelles, deux indicateurs sont choisis : accès à l’emploi et rémunération. Les temporaires gagnent de 14 à 20% de moins, même si les attributs du capital humain sont contrôlés. Sans discrimination institutionnelle, ils verraient leur proportion dans l’auto-recrutement baisser de 34 %, alors qu’elle augmenterait de 11% pour l’employé et de 50% pour l’ouvrier, toutes choses égales par ailleurs. Or, les permanents sont beaucoup mieux insérés. Ils connaissent seulement une légère discrimination salariale, mais une « discrimination positive » pour l’accès à l’emploi par rapport aux natifs.A la fin de la thèse, nous nous intéressons aux rationalités du système du Hukou. D’une part, la ville d’accueil se sert du Hukou, grâce à la migration permanente, pour attirer les facteurs de production dont elle a besoin : capital et travail qualifié. D’autre part, elle peut bénéficier de la main-d’oeuvre de moindre coût, sans assumer les coûts sociaux à travers la migration temporaire. La Chine en a retiré des gains considérables, tels que la sécurité alimentaire, l’industrialisation à faible coût et la diminution du chômage urbain. Mais les coûts du maintien de ce système sont devenus plus préoccupants à l’heure actuelle, dans la mesure où il renforce la disparité économique, restreint la demande intérieure et forme une attention insuffisante sur les droits et l’égalité. C’est pourquoi nous proposons des mesures de réforme en insistant sur le rôle du gouvernement central. / In China, internal migrations are governed by the Hukou system. This system distinguishes between rural and urban residents and gives citizens' right to public service of the place of registration. We distinguish two types of migration depending on whether the individual was able to convert/transfer his/her Hukou during his/her moves: permanent and temporary migrations. This study will adopt a dichotomous and comparatist approach so as to have a more comprehensive view of internal migrations in China.First of all, we will analyze the determining factors of location purposes. The econometric result suggests that, compared to permanent migration, temporary moves are caused by variations in the labour market (wages, unemployment). Furthermore, the FDI inflows, and EVB (village enterprise) development are great incentives for temporary migration unlike permanent migration. Another observation is related to the attractiveness of autonomous minority regions for permanent migrants.Secondly, we wonder if both types of migration generate some differences in the individual profiles and the integration of workers. Permanent migrants are more qualified than urban residents, while temporary migrants are far behind them. As far as vocational integration is concerned, two indicators have been selected: access to employment and wages. The temporary workers earn 14 to 20% less than the others; their ratio in self-recruitment would otherwise be 34% lower but it would be 11% higher for the employee and 50% for the worker, all things being equal. On the other hand, the permanent migrants are only faced with low wage discrimination, and to a “positive discrimination” as far as access to employment is considered.At the end of the thesis, we will focus on the rationale of the Hukou system. The host towns resort to the Hukou system to attract permanent migrants in order to obtain the production factors they need: investment and skilled labour. Through temporary migration, they can take benefit from low-cost manpower without accepting the social costs. It is obvious that China has substantially gained by the contemporary Hukou system: food security, low-cost industrialization, and control over urban unemployment. However, the cost of maintaining it is increasingly worrying since it reinforces economic disparity, reduces domestic demand, and causes the policy to depart from aim of right and equality. In this case, it will be an opportunity to propose reforms while emphasising the role of the central government.
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Travailleurs étrangers temporaires au Canada : vers une mise à jour des catégories et indicateurs démographiques ?

Depatie-Pelletier, Eugénie January 2008 (has links)
Mémoire numérisé par la Division de la gestion de documents et des archives de l'Université de Montréal
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Les « experts » de la migration temporaire: une économie politique au quotidien de l'industrie migratoire entre le Guatemala et le Québec

Coderre-Proulx, Mylène 23 December 2023 (has links)
Aujourd'hui, on estime qu'environ 170 millions de personnes sont des travailleurs migrants internationaux. Une part importante d'entre eux accèdent à des emplois à l'extérieur de leur pays d'origine par le biais de programmes de migration de travail temporaire (PMTT) destinés à gérer la mobilité humaine en fonction des besoins et intérêts économiques des États. Une vaste littérature s'est employée à documenter les intersections entre les politiques migratoires et le marché du travail ainsi que leurs multiples effets sur les expériences d'immigration et d'emploi des travailleurs migrants temporaires. En revanche, nous en savons encore très peu sur les processus et les acteurs qui font tourner les rouages de la migration temporaire au quotidien. Ma thèse souhaite mieux comprendre ces dynamiques internes de la migration en prenant comme angle d'étude l'industrie migratoire formée par les intermédiaires responsables du recrutement et du placement en emploi des travailleurs migrants. À partir d'une perspective théorique de l'économie politique internationale au quotidien, elle cherche à expliquer les sources, la nature et les manifestations du pouvoir de cette industrie migratoire dans la gestion de la migration temporaire. La thèse étudie plus spécifiquement les dynamiques transnationales d'intermédiation qui sous-tendent la présence croissante de travailleurs migrants temporaires guatémaltèques dans l'agriculture québécoise. À partir d'une recherche qualitative réalisée au Guatemala et au Québec, comprenant des entretiens avec des travailleurs migrants, des producteurs agricoles et des agences de recrutement et de liaison, j'ai voulu identifier les différents sites de pratiques quotidiennes d'intermédiation et analyser comment ils façonnent l'(im)mobilité des travailleurs migrants. Je démontre que par leur savoir-faire et réseaux, les intermédiaires exercent une influence sur l'ensemble du processus migratoire, du recrutement dans le pays d'origine, en passant par le séjour de travail au Québec, jusqu'au retour au Guatemala. Ils sont dotés d'un pouvoir invisible, mais relativement autonome qui se déploie dans tous les interstices de la migration et qui vise à faciliter et contrôler l'(im)mobilité des travailleurs guatémaltèques de sorte qu'elle cadre avec la logique utilitaire des PMTT. Ainsi, par leur présence et travail sur le terrain, les intermédiaires deviennent des « experts » qui mettent en marche et assurent la reproduction quotidienne de la migration temporaire.
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Mobilités de travail et (re)construction des rapports sociaux au sein d’une communauté Hmong de Chine (province du Guizhou)

Carrier, Sébastien 03 1900 (has links)
La mobilité rurale-urbaine est sans contredit l’un des phénomènes les plus marquants que la Chine a connus depuis ses réformes des années 1980. D’une ampleur colossale, elle a constitué un fondement essentiel de sa transition et de son développement économiques. Or, si l’impact social de cette mobilité a été abondamment étudié dans les villes où séjournent les paysans, il demeure peu connu dans leur communauté d’origine, et encore moins en contexte de « nationalité minoritaire ». Reposant sur une enquête de terrain de plus d’une année, cette thèse en géographie sociale examine la (re)construction sociale dans une communauté rurale et minoritaire (c.àd. Hmong ou Miao) de Chine en lien avec le phénomène de la mobilité de travail. D’une intensité croissante, la pratique de la mobilité de travail par les membres de cette communauté est double. Les migrants sont soit des herboristes ambulants dans les villes de l’espace régional, soit des travailleurs salariés dans les villes orientales du pays. L’utilisation d’une approche du changement social intégrant les sphères du réel et de l’imagination et prenant en compte les dimensions territoriale et économique du phénomène migratoire est originale. De même, l’importance égale portée aux discours et aux actions des migrants et des non-migrants dans le processus de transformation sociale se veut novatrice. Dans ses résultats, cette thèse fait état, premièrement, d’une refonte des logiques territoriales et économiques de la communauté étudiée sous l’effet du phénomène migratoire. De toute évidence, les fondements géographiques de son territoire se sont récemment complexifiés et multipliés. Désormais, une variété de lieux, de frontières, de réseaux sociaux et d’échelles se dessine dans les configurations territoriales de ses membres. Les implications économiques sont tout aussi patentes. Outre la forte dominance des transferts d’argent des migrants dans les budgets familiaux, les questions du développement et des inégalités aux différentes échelles de la communauté renvoient aujourd’hui essentiellement au fait migratoire. Deuxièmement, cette thèse montre la forte empreinte laissée par la mobilité dans la sphère sociale. Nécessitant soutien aux extrémités de leur parcours, les migrants sollicitent de plus en plus l’aide de leurs réseaux lignagers, claniques, villageois et matrilinéaires. Et dans ce processus, il n’est pas rare qu’ils enfreignent consciemment les principes hiérarchiques traditionnels de leurs rapports familiaux. Aussi, au travers de la mobilité, des groupes longtemps marginalisés, tels les femmes et les jeunes adultes, ont acquis estime, autonomie et pouvoir décisionnel. Parallèlement, l’ordre social s’est bouleversé. Ce n’est plus le volume de la production agricole, mais le nombre de travailleurs migrants qui détermine aujourd’hui les différentes classes sociales de la communauté. Finalement, dans le contexte plus large des populations rurales et minoritaires de Chine et du Massif sud-est asiatique, cette thèse fait ressortir l’importance d’aborder la question de l’impact social de la mobilité au-delà des paradigmes de la modernisation et de l’intégration. Contrairement à la plupart des écrits touchant à cette question, il ne suffit pas de porter le regard sur l’influence que les urbains et leur mode de vie soi-disant moderne exercent sur les migrants. Il est également nécessaire de reconnaître les capacités d’initiative et d’innovation sociale des membres de ces populations, migrants et non-migrants. Mais aussi, cette recherche démontre que la question identitaire se doit d’être prise en compte. Les sentiments de marginalité et de subordination demeurent vivaces au travers du phénomène migratoire. Et de tels sentiments semblent se traduire, le plus souvent, par un renforcement des liens sociaux et intracommunautaires au sein même de ces populations minoritaires. / Rural-urban mobility is unquestionably one of the most striking phenomena that China has experienced since the wide-ranging reforms of the 1980s. Besides its unparalleled magnitude, it has been an essential foundation of its economic transition and development. But if the social impact of mobility has been extensively studied in cities where ‘peasants’ (as farmers are called in China) sojourn, little is known of the effects of mobility in their community of origin, and even less when the community belongs to a ‘minority nationality’. Based on fieldwork conducted over an 18-month period, this dissertation examines the impact of labor migration on the social (re)construction of a Hmong (Miao) community in rural China. Practices of mobility for work purposes are twofold in the studied community: migrants are either itinerant herbalists in close-by cities or factory workers in the eastern cities of the country. An original approach to social change has been used, integrating the spheres of imagination and practice, and takes into account the economic and spatial components of the migration phenomenon. Moreover, this research proposes an innovative theoretical model, by giving equal importance to the discourses and the actions in the process of social change of both migrants and non-migrants. First, this study reveals the recent remodeling of the spatial and the economic foundations of the studied community. It shows that places, scales, social networks and borders all structure the community’s territory – in both real and imaginary spheres – and that they have become more complex and numerous as a result of the unprecedented circular migration of its inhabitants to and from their village. At the economic level, besides confirming dominance of remittances at the household level, it also appears that development and inequality issues are now addressed by members of the community primarily through the phenomenon of migration. Second, the results expose the strong imprint of mobility in the social sphere. In need of support, migrants and left-behinds are increasingly seeking help within their lineage, clan, village, and matrilineal networks. In this process, it is not uncommon for them to consciously go against the traditional family hierarchies. Through mobility, long marginalized groups such as women and young adults, have now gained esteem, autonomy and decision-making power. Meanwhile, the social order has shifted. It is no longer the volume of agricultural production, but the number of migrant workers, which now determine the social classes within the community. Finally, in the broader context of minorities in China and the Southeast Asian Massif, this dissertation addresses the debate about the social impact of mobility beyond the paradigms of modernization and integration. Unlike most of the literature pertaining to this issue, this research provides evidence that it is not enough to focus on the changes experienced by migrants through contact with urban dwellers and their so-called modern way of life. It shows that it is necessary to recognize the capacity for initiative and social innovation of all the members of these minorities, migrants or non-migrants. It also stresses the centrality of the question of identity. Feelings of marginality and subordination remain strong and they do not seem to fade as a result of migration. On the contrary, these feelings seem to most often result in a strengthening of social and community bonds within these minorities.
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Mobilités de travail et (re)construction des rapports sociaux au sein d’une communauté Hmong de Chine (province du Guizhou)

Carrier, Sébastien 03 1900 (has links)
La mobilité rurale-urbaine est sans contredit l’un des phénomènes les plus marquants que la Chine a connus depuis ses réformes des années 1980. D’une ampleur colossale, elle a constitué un fondement essentiel de sa transition et de son développement économiques. Or, si l’impact social de cette mobilité a été abondamment étudié dans les villes où séjournent les paysans, il demeure peu connu dans leur communauté d’origine, et encore moins en contexte de « nationalité minoritaire ». Reposant sur une enquête de terrain de plus d’une année, cette thèse en géographie sociale examine la (re)construction sociale dans une communauté rurale et minoritaire (c.àd. Hmong ou Miao) de Chine en lien avec le phénomène de la mobilité de travail. D’une intensité croissante, la pratique de la mobilité de travail par les membres de cette communauté est double. Les migrants sont soit des herboristes ambulants dans les villes de l’espace régional, soit des travailleurs salariés dans les villes orientales du pays. L’utilisation d’une approche du changement social intégrant les sphères du réel et de l’imagination et prenant en compte les dimensions territoriale et économique du phénomène migratoire est originale. De même, l’importance égale portée aux discours et aux actions des migrants et des non-migrants dans le processus de transformation sociale se veut novatrice. Dans ses résultats, cette thèse fait état, premièrement, d’une refonte des logiques territoriales et économiques de la communauté étudiée sous l’effet du phénomène migratoire. De toute évidence, les fondements géographiques de son territoire se sont récemment complexifiés et multipliés. Désormais, une variété de lieux, de frontières, de réseaux sociaux et d’échelles se dessine dans les configurations territoriales de ses membres. Les implications économiques sont tout aussi patentes. Outre la forte dominance des transferts d’argent des migrants dans les budgets familiaux, les questions du développement et des inégalités aux différentes échelles de la communauté renvoient aujourd’hui essentiellement au fait migratoire. Deuxièmement, cette thèse montre la forte empreinte laissée par la mobilité dans la sphère sociale. Nécessitant soutien aux extrémités de leur parcours, les migrants sollicitent de plus en plus l’aide de leurs réseaux lignagers, claniques, villageois et matrilinéaires. Et dans ce processus, il n’est pas rare qu’ils enfreignent consciemment les principes hiérarchiques traditionnels de leurs rapports familiaux. Aussi, au travers de la mobilité, des groupes longtemps marginalisés, tels les femmes et les jeunes adultes, ont acquis estime, autonomie et pouvoir décisionnel. Parallèlement, l’ordre social s’est bouleversé. Ce n’est plus le volume de la production agricole, mais le nombre de travailleurs migrants qui détermine aujourd’hui les différentes classes sociales de la communauté. Finalement, dans le contexte plus large des populations rurales et minoritaires de Chine et du Massif sud-est asiatique, cette thèse fait ressortir l’importance d’aborder la question de l’impact social de la mobilité au-delà des paradigmes de la modernisation et de l’intégration. Contrairement à la plupart des écrits touchant à cette question, il ne suffit pas de porter le regard sur l’influence que les urbains et leur mode de vie soi-disant moderne exercent sur les migrants. Il est également nécessaire de reconnaître les capacités d’initiative et d’innovation sociale des membres de ces populations, migrants et non-migrants. Mais aussi, cette recherche démontre que la question identitaire se doit d’être prise en compte. Les sentiments de marginalité et de subordination demeurent vivaces au travers du phénomène migratoire. Et de tels sentiments semblent se traduire, le plus souvent, par un renforcement des liens sociaux et intracommunautaires au sein même de ces populations minoritaires. / Rural-urban mobility is unquestionably one of the most striking phenomena that China has experienced since the wide-ranging reforms of the 1980s. Besides its unparalleled magnitude, it has been an essential foundation of its economic transition and development. But if the social impact of mobility has been extensively studied in cities where ‘peasants’ (as farmers are called in China) sojourn, little is known of the effects of mobility in their community of origin, and even less when the community belongs to a ‘minority nationality’. Based on fieldwork conducted over an 18-month period, this dissertation examines the impact of labor migration on the social (re)construction of a Hmong (Miao) community in rural China. Practices of mobility for work purposes are twofold in the studied community: migrants are either itinerant herbalists in close-by cities or factory workers in the eastern cities of the country. An original approach to social change has been used, integrating the spheres of imagination and practice, and takes into account the economic and spatial components of the migration phenomenon. Moreover, this research proposes an innovative theoretical model, by giving equal importance to the discourses and the actions in the process of social change of both migrants and non-migrants. First, this study reveals the recent remodeling of the spatial and the economic foundations of the studied community. It shows that places, scales, social networks and borders all structure the community’s territory – in both real and imaginary spheres – and that they have become more complex and numerous as a result of the unprecedented circular migration of its inhabitants to and from their village. At the economic level, besides confirming dominance of remittances at the household level, it also appears that development and inequality issues are now addressed by members of the community primarily through the phenomenon of migration. Second, the results expose the strong imprint of mobility in the social sphere. In need of support, migrants and left-behinds are increasingly seeking help within their lineage, clan, village, and matrilineal networks. In this process, it is not uncommon for them to consciously go against the traditional family hierarchies. Through mobility, long marginalized groups such as women and young adults, have now gained esteem, autonomy and decision-making power. Meanwhile, the social order has shifted. It is no longer the volume of agricultural production, but the number of migrant workers, which now determine the social classes within the community. Finally, in the broader context of minorities in China and the Southeast Asian Massif, this dissertation addresses the debate about the social impact of mobility beyond the paradigms of modernization and integration. Unlike most of the literature pertaining to this issue, this research provides evidence that it is not enough to focus on the changes experienced by migrants through contact with urban dwellers and their so-called modern way of life. It shows that it is necessary to recognize the capacity for initiative and social innovation of all the members of these minorities, migrants or non-migrants. It also stresses the centrality of the question of identity. Feelings of marginality and subordination remain strong and they do not seem to fade as a result of migration. On the contrary, these feelings seem to most often result in a strengthening of social and community bonds within these minorities.
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«Ils viennent pour travailler» : l'utilitarisme migratoire et les ouvriers agricoles saisonniers au Québec

Castracani, Lucio 09 1900 (has links)
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L’usage par les travailleurs étrangers temporaires des ressources proposées par le droit du travail : une contribution aux études portant sur l’effectivité du droit

Gesualdi-Fecteau, Dalia 09 1900 (has links)
Au Canada, le nombre de travailleurs étrangers temporaires est en forte hausse et ce, depuis 2003. Les travailleurs étrangers temporaires ne disposent ni de la citoyenneté politique, ni de la résidence permanente; leur mobilité professionnelle est restreinte et leur durée de séjour est limitée et prédéterminée. Sur le plan formel, ces travailleurs bénéficient des protections prévues par le droit du travail nonobstant leur statut migratoire. Toutefois, plusieurs travaux ont démontré que les travailleurs étrangers temporaires occupant des emplois qui requièrent un niveau réduit de formation sont généralement moins enclins à dénoncer la violation de leurs droits au travail. Le droit du travail constitue-t-il un rempart utile pour ces travailleurs? À l’aide d’une méthodologie mixte impliquant notamment une enquête de terrain auprès des acteurs-clé, la présente thèse poursuit deux objectifs distincts. Sur le plan empirique, elle permet de mettre en lumière l’incidence du système d’emploi singulier dans lequel s’insèrent les travailleurs étrangers temporaires sur leur usage des ressources proposées par le droit du travail. Le recours à ces ressources n’est pas contingent et prédéterminé; il est inextricablement lié aux opportunités et aux contraintes avec lesquelles ces travailleurs composent. Cette recherche révèle également que les stratégies échafaudées par différents acteurs qui ne sont pas, sur le plan juridique, des parties au rapport salarial, ont une incidence significative sur l’usage du droit par ses destinataires ; leur impact dépend largement du pouvoir dont ces acteurs disposent dans le système d’emploi. Sur le plan théorique, cette thèse s’inscrit dans le champ plus large des études portant sur l’effectivité du droit; elle propose de distinguer entre l’étude des effets du droit et l’analyse de son usage. Elle présente, à cette fin, un cadre analytique permettant de saisir le rapport qu’entretiennent les destinataires avec le droit. / In Canada, the number of temporary foreign workers has been steadily increasing since 2003. Temporary foreign workers have neither political citizenship nor permanent residency; their professional mobility is restricted and their length of stay limited and predetermined. Formally, these workers can benefit from the protection of labour law despite their migratory status. Many studies have however shown that “low-skilled” temporary foreign workers are generally less likely to report the violation of their labour rights. Does labour law constitute a useful buttress for these workers? Using a mixed methodology involving a field study with key actors, this study pursues two objectives. On the empirical level, it allows to shed light on the impact of the singular employment system of these workers on their mobilization of labour law’s protections. Such mobilization is neither contingent nor predetermined; it depends on the constraints and on the opportunities arising from the employment system. Our research also reveals that strategies elaborated by actors who are not, from a legal perspective, parties to the employment relationship, also have a significant impact on the way these workers take advantage of labour law's ressources ; such impact largely depends on the power these actors have in the employment system. On the theoretical level, this study is situated in the broader field of studies concerning the effectiveness of law. It purports to distinguish between the study of the effects of the law and the analysis of its use. It elaborates an analytical framework addressing the relationship between the law and its recipients.
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Labour Migration Program Declared a "Modern Form of Slavery" under Constitutional Review : Employer-Tying Measure's Impact vs Mythical "Harm Reduction" Policies

Depatie-Pelletier, Eugénie 06 1900 (has links)
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