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La mobilité spatiale locale : l'influence de la mobilité quotidienne sur la mobilité résidentielle : l'exemple des résidants actifs luxembourgeois / The local spatial mobility : the daily mobility influence on residential mobility process : the example of Luxemburg’s resident workers

Epstein, David 26 June 2013 (has links)
Les questions de mobilité et de logement sont aujourd’hui au centre des enjeux du développement urbain. La hausse du taux de motorisation, de la pression sur le marché du logement, poussent à une déstructuration des liens de proximité et génèrent aujourd’hui une saturation du système de transport. De cette difficulté à se déplacer naissent des tensions (augmentation du temps de trajet, risque de retard, etc.). L’objectif de cette thèse est alors d’étudier le poids de ces tensions dans la décision de déménager. Une enquête a été réalisée auprès de 500 résidants actifs luxembourgeois ayant déménagé sans changer de lieu de travail. Les résultats montrent que certains individus se sont bien rapprochés de leur lieu de travail dans le but de réduire ces tensions. Cette recherche a donc permis de mettre en évidence des liens de conjonction entre la mobilité quotidienne et résidentielle et d’aboutir à une meilleure compréhension du système de la mobilité spatiale locale des individus. / Mobility and housing are today at the centre of the urban development issues. Indeed, the raise of the motorization rate, combined with the increasing property market pressure, are leading to a disruption of proximity links and tend to generate transportation system saturation. Those difficulties affecting mobility gives tensions (increased travel time, risk of delay, etc.). The objective of this thesis was to study the weight of those tensions in the residential mobility process. A survey was conducted among 500 active’s Luxemburg residents. Those people have recently changed housing without having changed their workplace. Results show that some people get now closer to their workplace in order to reduce their daily mobility tensions. This research helped highlighting links between daily mobility and residential mobility conjunction and lead to a better understanding of the local spatial mobility system of individuals.
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Les transferts sociaux locaux, entre interactions stratégiques et déterminants des choix résidentiels : une contribution empirique / Local social transfers, between strategic interactions and determinants of residential choices : an empirical contribution

Emond, Céline 27 June 2016 (has links)
Les politiques françaises de redistribution locale sont relativement méconnues et ne font pas l'objet de beaucoup de travaux. Elles représentent pourtant un enjeu important. Elles regroupent une multitude de prestations sociales qui s'adaptent aux configurations familiales et territoriales. Elles sont un outil flexible, largement utilisé par les collectivités locales et peuvent avoir des effets non négligeables notamment sur les ménages en situation précaire.Le caractère décentralisé des politiques de redistribution locale fait émerger deux problématiques correspondant aux deux aspects étudiés dans cette thèse. D'une part, nous interrogeons les choix politiques qui guident l'offre de transferts sociaux locaux. Nous inscrivons notre réflexion dans le cadre des théories sur les interactions stratégiques, qui avancent que les élus locaux adoptent des comportements stratégiques basés sur la comparaison et prennent leurs décisions en fonction des collectivités voisines. Partant du constat que de nombreux travaux, dans plusieurs pays font état de la présence d'interactions stratégiques dans la fixation des taux d'imposition, nous nous concentrons sur l'aspect dépenses sociales. Nous montrons leur présence dans des choix de transferts sociaux au niveau local. Nous observons en effet des phénomènes de mimétisme. Notre analyse montre également que, entre les deux origines de ce mécanisme souvent avancées, la comparaison politique et la mobilité, la seconde joue un rôle significatif. Les collectivités locales tendent à augmenter leur niveau de générosité avec la faible mobilité des individus.En second lieu, cette thèse s'intéresse aux conséquences de la décentralisation des transferts sociaux locaux sur la demande des différents types de ménages en faveur de redistribution. Nous étudions les choix des ménages en termes de mobilité résidentielle et de localisation en fonction de l'offre de biens et services publics locaux. Nous questionnons ainsi les phénomènes de sélection adverse liés aux choix politiques locaux. Les résultats mettent l'accent sur le fait que les ménages défavorisés sont peu mobiles et connaissent plus de trajectoires résidentielles descendantes. Nous montrons également que la générosité des villes joue un rôle significatif dans la localisation des ménages. / French policies of redistribution set at the local level are little known and have not been the topic of many works. Yet they represent a major challenge. They include a multitude of benefits that fit family configurations in different territories. They are a flexible tool, widely used by local governments and which may have a significant impact on poor households.The decentralized nature of local redistribution policies naturally raises two main questions corresponding to the two aspects studied in this thesis. First, we question the political choices that guide the provision of local social transfers. We base our analysis on the literature about strategic interactions which suggests that local policy-makers adopt strategic behavior relying on the comparison of surrounding governments. Numerous studies in many countries have reported the presence of strategic interactions in the setting of local tax rates. Those focusing on the spending side are less frequent. We show that strategic interactions also exist when deciding the level of social transfers at the local level. One can observe mimicry mecanisms. Our work shows that, between the two origins of this phenomenon that are usually put forward, yardstick comparison and mobility, the second plays a significant role. Local authorities tend to increase their level of generosity when the mobility levels of individuals are low.Second, the other consequence of the decentralization of local social transfers is related to the different types of households' demand for redistribution. We study the choices of households in terms of residential mobility and location associated with the supply of local public goods and services. We question the adverse selection phenomena related to local political choices. The results emphasize the fact that poor households are less mobile and experience more downward residential trajectories. We also show that the generosity of cities plays a significant role in the location of the households.
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La copropriété dégradée, le relogement et après ? Professionnels et habitants dans une opération rénovation urbaine / Privately-owned buildings, re-housing, what next steps ? Professionnals and inhabitants involved in an urban renewal operation

Habouzit, Rémi 30 June 2017 (has links)
Depuis 2003, plus de 400 quartiers populaires classés en Zones Urbaines Sensibles (ZUS) et 4 millions d’habitants sont devenus les destinataires d’un Programme de Rénovation Urbaine (PRU) instauré par la « loi Borloo » d’orientation et de programmation pour la ville. Dans un objectif de transformation des quartiers et de mixité sociale, ces programmes entraînent des opérations de démolition/reconstruction de logements, la réhabilitation du parc existant et la redéfinition des espaces urbains collectifs (voirie, espaces verts, etc.).Les communes de Clichy-sous-Bois et de Montfermeil en Seine-Saint-Denis font l’objet d’un de ces PRU. Tout en étant le plus important de France (en termes de budget et de logements détruits), il a aussi la particularité d’entraîner la démolition d’immeubles en copropriétés privées dégradées : les Bosquets à Montfermeil et la Forestière à Clichy-sous-Bois. À leur place, toutes les nouvelles constructions et les relogements se font dans le parc social. L’ensemble des habitants relogés passe donc du statut de propriétaires occupants ou locataires du parc privé à celui de locataires du parc social. Outre ce changement de statut résidentiel, cette situation s’accompagne de la mise en interactions régulières de ces « délogés » aux professionnels (de la ville, associatifs et des bailleurs) qui interviennent sur ce quartier, dans ces immeubles dans le cadre d’accompagnement pré et post relogement.Basée sur une enquête conduite par entretiens, observations et archives, cette thèse vise autant à saisir la genèse de cette politique, que les effets de la volonté de transformation des quartiers, par la généralisation du parc social, sur les pratiques professionnelles et les trajectoires des habitants relogés.Dans cette optique, les archives et les entretiens donnent à comprendre que la dégradation des anciennes copropriétés s’explique en priorité par leurs conditions de commercialisation, de production et de gestion. Or, toutes les mesures d’actions publiques, jusqu'à la signature du programme de rénovation urbaine, présentent systématiquement les habitants et leurs caractéristiques (populaires et immigrées) comme les principaux responsables de cette dégradation.L’ethnographie des pratiques professionnelles illustre ensuite comment dans les résidences neuves, ces acteurs se servent des interactions avec les habitants pour encadrer leurs manières d’habiter. Ce travail se faisant dans l’idée d’éviter une nouvelle dégradation des bâtiments.Enfin, les entretiens auprès des habitants (réalisés avant et après relogement) dévoilent comment le relogement et la rencontre avec les professionnels les déstabilisent dans leurs ancrages individuels et ébranlent le sens des hiérarchies internes à ce groupe social. Alors que les anciens propriétaires constituaient dans la copropriété la frange supérieure de ce groupe, ils sont aujourd’hui ceux qui se sentent le plus déclassés. À l’inverse, les locataires qui dans la copropriété occupaient les positions les plus dominées sont aujourd’hui les plus réhabilités.Au-delà des résultats empiriques, ces pistes analytiques situent les enjeux de la thèse à plusieurs échelles. D’abord, c’est dans une perspective constructiviste que ce travail illustre comment ces copropriétés et leurs occupants ont été construits comme un problème et une catégorie d’action publique. Ensuite, c’est en partant de la pratique des professionnels que cette thèse dévoile comment dans l’espace de la politique de la ville se maintiennent des formes d’encadrement et de domination à l’égard de certains publics cibles (ici issus des catégories populaires et immigrées). Enfin, cette thèse s’inscrit dans une sociologie des classes populaires autant attentives à leurs différences internes qu’aux modalités de réception variée d’une mesure d’action publique. / Since 2003, more than 400 popular districts categorized as sensitive urban zones and 4 million inhabitants have become part of a program initiated by the Framework Act on Town Planning and Urban Renewal (so-called “Borloo law”). In order to achieve district transformation and social diversity, the program has led to demolition/rebuilding operations, the refurbishment of existing dwellings and the redefinition of public urban areas (street network and green spaces, etc.)The municipalities of Clichy-Sous-Bois and Montfermeil in the Seine-Saint-Denis region were part of this program. Whilst being the largest program in France (in terms of allocated budget and demolished dwellings), it also had the singularity to involve the destruction of dilapidated privately-owned buildings such as Les Bosquets in Montfermeil and La Forestière in Clichy-sous-Bois. All the new buildings reconstructed there are under social housing management.All re-housed inhabitants consequently moved from the status of owner-occupiers or private housing tenants to that of social housing tenants. In addition to their change in status, this situation implies regular interactions between these ‘displaced’people and the professionals (of the city, of nonprofit organizations, social landlords who operate in the area, in these buildings within the frame of pre- and post-rehousing accompaniment.Based on an analysis supported by interviews, observations and archives, this thesis aims at understanding the genesis of this policy as much as the effects of the will for district transformation through generalizing social housing, on professional practices and the trajectories of the re-housed inhabitants. To this end, archives and interviews help understanding that the degradation of the former co-ownership properties was attributable primarily to their conditions of marketing, construction and management. Yet, all the measures of public action, up to the signature of the urban renewal program, systematically present the inhabitants and their features (popular classes or migrants) as solely responsible for this deterioration.The ethnography of professional practices then shows how in the new homes the professionals use the interactions with the inhabitants to regulate the way they live there. This work is done with a view to avoiding new damage to the buildings.Eventually the interviews with the inhabitants (made before and after re-housing) illustrate how re-housing and the interactions with professionals destabilize them within their individual anchorages and shake the sense of hierarchies within this social group. While former owners made up the upper class in their previous housing, they now feel the most downgraded. Conversely, tenants who were the most dominated are today the most rehabilitated.Beyond empirical results, this analytical approach rates the issues of the thesis on sevral scales. First, this work illustrates how, in a constructivist perspective, these co-ownership properties and their inhabitants have been built as a problem and a category of public action. Then, starting from the practices of professionals, this thesis discloses how within the frame of urban policy, some forms of regulation and domination over certain targeted publics (here working classes and migrants) are still exerted. Finally this thesis is consistent with a sociology of popular classes who are attentive to their internal differences as much as to the various ways a measure of public action can be perceived.
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Influence des attitudes, des préférences et des contraintes sur la localisation résidentielle des ménages en contexte d'étalement urbain dans la région de Québec

Turcotte, Simon 05 April 2024 (has links)
L’étalement urbain est un phénomène inhérent à l’organisation du territoire nord-américain et marqué par l’actualisation des valeurs libérales (liberté individuelle, droit à la propriété privée, etc.). Cet étalement est surtout attribuable à l’installation des ménages en périphérie des pôles urbains, dans des zones de faible densité démographique, générant de la congestion automobile, de même que de nombreuses conséquences sur la santé des populations, sur la gouvernance et sur le lien social. Dans ce contexte, il importe de mieux comprendre les facteurs qui orientent les ménages vers un lieu excentré, afin d’orienter avec justesse les politiques et pratiques en aménagement du territoire. Considérant la complexité du processus décisionnel lié au choix d’un lieu de résidence et les défis empiriques associés à son étude, ce mémoire documente et modélise les facteurs qui influencent le processus de choix résidentiel des ménages de la zone urbaine de Québec. Il s’articule autour des trois questions suivantes : 1) Dans quelle mesure la localisation résidentielle reflète-t-elle les attitudes, les préférences et les contraintes des ménages? 2) Quels facteurs sont les plus déterminants? 3) Comment les ménages ayant une localisation divergente (dissonante) de la tendance générale se spatialisent-ils sur le territoire? La situation de la région de Québec apparaît préoccupante dans la mesure où la superficie de la zone urbaine a crû de 630% entre 1950 et 2000, alors que sa population n'a augmenté que de 35%. À l’aide d’une analyse de données secondaires effectuée à partir des données issues de l’Enquête demain-Québec, de l’Enquête origine-destination et du répertoire des immeubles du MAMOT, un modèle d’équations structurelles a été généré. Cette analyse a permis de montrer que les contraintes économiques conduisent un grand nombre de ménages à s’établir à l’extérieur du centre-urbain, notamment ceux avec enfants. Malgré une préférence pour un lieu de résidence situé dans la zonecentre, ces ménages s’établissent néanmoins en périphérie en raison de l’attractivité d’une résidence de type pavillonnaire, dans un quartier perçu comme étant sécuritaire, tranquille et agréable. L’analyse révèle également que le type d’environnement dans lequel les ménages ont vécu leur enfance exerce une influence significative sur le type de logement souhaité. Enfin, la perception des ménages, tant sur la zone-centre que sur la zone périphérique, exerce une influence sur le choix de localisation résidentielle.
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Cambios socio-espaciales en el centro de Santiago de Chile: Formas de anclarse y prácticas urbanas de los nuevos habitantes

Contreras, Yasna 19 March 2012 (has links) (PDF)
La thèse a comme objet géographique la commune de Santiago, située dans la partie centrale de la ville de Santiago, spécifiquement quatre zones caractérisées par une profonde transformation sociale, urbaine et territoriale, que ce soit en raison de l'arrivée de nouveaux habitants, de la construction de nouveaux édifices, des travaux urbains et de l'amélioration des infrastructures routières, et également de l'apparition de nouvelles offres commerciales et culturelles, autant d'indices de processus de changements socio-urbains. La thèse aborde donc les choix et ancrages résidentiels des habitants disposant de revenus moyens ou moyens supérieurs qui arrivent dans des logements nouveaux et recyclés dans quatre zones de transformation de la commune de Santiago depuis le début des années 90. Il ne faut pas perdre de vue que dans le centre de Santiago arrivent également des habitants disposant de revenus inférieurs, en particulier de jeunes pauvres urbains représentés par des immigrants internes et latino-américains pour qui le centre de Santiago est devenu un espace significatif dans les dix dernières années. Dans ces quatre zones se conjuguent un nombre significatif de mutations socio-urbaines qui révèlent l'arrivée d'habitants disposant de revenus plus élevés ou de revenus similaires à ceux des résidents pré-existants : verticalisation à travers la construction d'édifices en hauteur, recyclage et réhabilitation d'anciennes constructions et récupération d'espaces publics. A cela s'ajoutent la rénovation et la création d'offres commerciales comme les cafés, galeries d'art, restaurants, salons de thé, entre autres modalités de consommation de plus en plus sophistiquées qui seraient le signe d'un processus de gentrification résidentiel, culturel et de changement socio-spatial. La gentrification abordée par la thèse se réfère à un processus de changement socio-spatial, commercial et culturel des quartiers centraux. Toutefois, dans le cas de Santiago, la gentrification est différente : elle ne suppose pas une expulsion des habitants disposant de plus faibles ressources, sinon plutôt l'invasion, la succession ou le remplacement d'habitants disposant de revenus similaires ou supérieurs à ceux des habitants pré-existants, mais avec une plus forte demande en termes de biens et services de consommation culturelle et commerciale.
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Operational research on an urban planning tool : application in the urban development of Strasbourg 1982 / Approche empirique de la restructuration urbaine : application d'un Système Multi Agent (SMA) à Strasbourg 1982

Kaboli, Mohammad Hadi 28 June 2013 (has links)
L’Impact des caractéristiques spatiales sur les dynamiques de développement urbain est d’un grand intérêt dans les études urbaines. L’interaction entre les résidents et les caractéristiques spatiales est d’un intérêt particulier dans le contexte des modèles urbains car de nombreux modèles urbains sont fondés sur le processus d’installation des individus dans des parties spécifiques des villes. Il s’agit d’une étude sur la dynamique de développement urbain avec des Automates Cellulaires et un Système Multi-Agent. Le développement urbain de cette étude recouvre le « urban renewal » et la mobilité résidentielle. Il correspond à la mobilité résidentielle des ménages qui sont attirés par le confort résidentiel et le confort de centralité ; ces conforts sont localisés dans quelques quartiers de Strasbourg. La diversité et la qualité de ces conforts deviennent des critères pour les choix résidentiels de telle façon que chaque ménage recherche la proximité de ces conforts. Dans cette étude l’Automate Cellulaire modélise les caractéristiques techniques des unités spatiales, celles-ci sont identifiées par des attributs inhérents qui sont égaux aux conforts dans les résidences et dans les zones urbaines. Dans le Système Multi-Agent la population de la ville de Strasbourg interagit entre elle et avec la ville. Les agents représentent les classes socio-professionnelles des ménages. Pendant un changement spatio- temporel, l’aspiration des ménages forme le développement socio-spatio-temporelle de la ville. / The impact of spatial characteristics on the dynamics of urban development is a topic of great interest in urban studies. The interaction between the residents and the spatial characteristics is of particular interest in the context of urban models where some of the most famous urban models have been based on the process of individual settlements in some specific parts of cities.This research investigates the dynamism of urban development modeled by Cellular Automata and Multi-Agent System. The urban development, in this study embraces urban renewal and residential mobility. It corresponds to the residential mobility of households, attracted by residential and centrality comfort; these comforts are crystallized in some areas and residences of Strasbourg. The diversity and quality of these comforts become criteria for residential choice in a way that the households seek for proximity to these comforts.The Cellular Automata in this study, models the spatial characteristics of urban spatial units and they are identified by some inherent attributes that are equal to the comfort in residences and urban areas. The Multi- Agent System represent a system in which the population of the city interact between them and between them and the city; the agents delegate the socio-professional classes of households. During the spatiotemporal change, the aspiration of households forms the socio-spatio-temporal development of the city.
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Le rapport au logement chez les femmes chefs de famille monoparentale du Plateau Mont-Royal : itinéraires et enjeux

Mondor, Françoise January 1989 (has links)
Mémoire numérisé par la Direction des bibliothèques de l'Université de Montréal.
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L'impact de la politique familiale de 1997 sur le choix de localisation des ménages québécois

Comtois-Rousseau, Émilie 17 April 2018 (has links)
La politique familiale québécoise instaurée au Québec en 1997 comprenait originellement les trois volets suivants : l'allocation unifiée pour enfant (AUE), le réseau de centres de la petite enfance (CPE) et le régime québécois d'assurance parentale. Cette politique a eu plusieurs impacts importants sur les familles québécoises. Un certain nombre de travaux ont déjà démontré que suite à l'instauration de la réforme, les mères de familles monoparentales et biparentales ont accru leur présence sur le marché du travail. Le nombre d'heures de garde des enfants d'âge préscolaire a augmenté et les ménages ont substitué aux services de garde informels des services de garde gouvernementaux subventionnés. Le présent travail analyse l'impact de cette politique sur le choix de localisation des ménages québécois avec jeunes enfants. Nous posons l'hypothèse que le retour des mères sur le marché du travail ainsi que la plus grande facilité d'accès aux services de garde subventionnés ont pu inciter les ménages à déménager pour se rapprocher des grands centres. Peu d'études ont été effectuées dans un contexte canadien ou québécois pour tenter de comprendre comment les politiques de redistribution peuvent affecter les mouvements migratoires. Nous utilisons une approche de type différence-en-différences que nous appliquons sur des données de panel provenant de l'Enquête longitudinale nationale sur les enfants et les jeunes (ELNEJ) de Statistique Canada. Nos résultats confirment que la politique familiale de 1997 a accéléré les mouvements migratoires des ménages avec jeunes enfants vers les grands centres et a eu comme conséquence de diminuer la proportion d'enfants vivant dans des ménages dont l'un des membres est propriétaire. De plus, la réforme a favorisé le choix de logements plus petits et a augmenté le sentiment d'insécurité des ménages avec jeunes enfants à l'égard de leur quartier.
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Étude longitudinale de la mobilité quotidienne et de ses rapports avec les choix résidentiels : l'expérience d'un groupe d'aînés vieillissant en banlieue pavillonnaire

Lord, Sébastien 16 April 2018 (has links)
Cette thèse s'intéresse à l'évolution de la mobilité des personnes âgées, objet de recherche qu'elle structure dans une perspective plus large de la transformation de l'expérience résidentielle de l'aîné. Supportée par un cadre conceptuel interdisciplinaire, une étude longitudinale (1999-2006) analyse les transformations des pratiques et des représentations socio-spatiales du territoire d'un groupe d'aînés (n=1 02). Âgées de 61 à 89 ans, ces personnes résident dans des banlieues pavillonnaires vieillissantes de l'agglomération de Québec au Canada. La mobilité de l'aîné est étudiée dans ses dimensions objectives, subjectives et temporelles. Un cadre opératoire structuré en quatre articles de recherche croise des méthodes qualitatives et quantitatives articulées avec des techniques d'analyse spatiales. Dans l'évolution des déplacements sur le territoire de ces personnes âgées aspirant à demeurer le plus longtemps possible en banlieue, l'âge ne se révèle pas être un déterminant de leur mobilité quotidienne. Différentes pratiques spatiales sont observées, lesquelles renvoient à des rapports distincts à l'automobile, à la ville et à vieillesse. Pendant que, globalement, ces banlieusards âgés ont su adapter leur mobilité à l'évolution de leurs quartiers, les individus aux modes de vie les moins mobiles ont adapté plus facilement et naturellement leurs pratiques spatiales que ceux davantage mobiles. Vieillir en banlieue et adapter sa mobilité jusqu'à l'épuisement des ressources dirigent l'aîné vers une transformation radicale de l'expérience de la ville. L'attachement au mode de vie banlieusard est au coeur d'un processus complexe d'adaptation, autant de transformations qui contribuent à l'émergence de nouvelles pratiques et représentations, mais aussi à la conservation d'un statut de personne autonome.
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Les déplacements liés à la consommation de résidents de la périphérie de Québec

Rioux, Jacky 18 April 2018 (has links)
L'étalement urbain se poursuit toujours, et ce, même en contexte de changements climatiques. La population augmente davantage en territoire périurbain et de nouveaux espaces commerciaux, les mégacentres, apparaissent aux abords des autoroutes encourageant davantage l'usage de l'automobile. L'objectif de ce mémoire est de cerner les comportements de mobilité liés à la consommation de résidents de la périphérie de Québec afin de savoir quel territoire commercial ils fréquentent et pourquoi ? Fréquentent-ils davantage les mégacentres ou plutôt les commerces de leur quartier ? Est-ce que la localisation des mégacentres à la périphérie de la ville incite des individus à habiter en territoire périurbain ? Une analyse centrographique a permis de spatialiser les déplacements de résidents et d'identifier une typologie de leurs espaces d'action que l'analyse de leurs discours a permis d'interpréter. La proximité des commerces et services, sans nécessairement être très importante, a joué un plus grand rôle pour les résidents fréquentant davantage le quartier de résidence que ceux ne le fréquentant pas. Paradoxalement, ces derniers sont plus nombreux à souhaiter des commerces plus près, notamment à grande surface. Cette différence s'explique par le fait qu'ils ont une identité sociospatiale différente. Les localistes et les périlocalistes sont attachés à leur quartier et sont plus souvent issus du milieu où ils vivent, qui leur apparaît plus comme un village à cause des liens qu'ils y ont développés au fil des ans et qu'ils continuent d'y entretenir. Ils désirent de nouveaux commerces uniquement si ces derniers contribuent à renforcer le caractère villageois de leur milieu de résidence. Les mobiles et les stratégiques s'identifient davantage à la Communauté métropolitaine en général et considèrent leur milieu de vie comme la campagne et près de la nature; ils souhaitent des commerces « proches », mais pas dans leur campagne. Les mégacentres aux abords des autoroutes sont certainement utiles pour eux étant donné qu'ils ne nuisent pas à leur milieu de vie et sont localisés entre leur lieu de travail et de résidence.

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