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Le donné en question : les critiques du donné sensible dans le néokantisme et la phénoménologie au tournant du XXème siècle / The given in question : Critics of the Given in Neo-kantianism and Phenomenology at the Turn of the XXth Century

Palette, Virginie 15 November 2013 (has links)
La présente étude se donne pour objectif principal de reconstruire les diverses (re-)mises en question de la notion de donné sensible dans le néokantisme et la phénoménologie sur la scène philosophique allemande au tournant du XXème siècle. À la question cruciale de savoir quel est l’intérêt d’ouvrir en 2013 un tel dossier vieux déjà de plus d’un siècle, nous répondons qu’il est au moins double : d’abord, nous voulons montrer que les critiques du donné ont joué un rôle capital dans la genèse des trois principaux mouvements présents sur la scène philosophique austro-allemande à la fin du XIXème siècle, à savoir le positivisme, la phénoménologie et le néokantisme. Ensuite, ce travail présente un intérêt tout à fait actuel, puisqu’il se conçoit comme une exploration de l’arrière-plan historique et continental de la controverse autour du « mythe du donné » (the Myth of the Given) initiée par Wilfrid Sellars en 1956, controverse qui continue à occuper une place de choix aujourd’hui, notamment dans les débats sur la perception dans la Philosophy of Mind. / This study is a reconstruction of the different ways neo-kantians and phenomenologists have questioned the notion of the sensory given. Why is it interesting to open—in 2013—this old dossier of criticisms of the given in german philosophy at the turn of the XXth. Century? First, it is shown that critiques of the given have played an essential role in the genesis of the three most important movements of german and austrian philosophy at the end of the XIXth century, namely, positivism, phenomenology, and neo-kantianism. Century. Second, this work contributes to live discussion because it is an exploration of the historical background in continental philosophy of the « Myth of the Given » introduced by Wilfrid Sellars in 1956, which still occupies a central place in contemporary debates about perception in philosophy of mind.
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Le journalisme et la désymbolisation du monde pour une critique dialectique de la crise contemporaine du journalisme

Martin, Éric January 2007 (has links) (PDF)
Ce mémoire cherche à resituer la crise contemporaine du journalisme dans un contexte de mutation des sociétés politico-institutionnelles vers le modèle opérationnel-décisionnel propre à l'horizon idéal-typique des sociétés dites « postmodernes », d'après la sociologie critique du journalisme de Jean Pichette, professeur à l'École des médias de l'UQAM et la sociologie politique dialectique de Michel Freitag, professeur associé au département de sociologie de l'UQAM. La réflexion théorique présentée dans les pages qui suivent montre d'abord que les critiques contemporaines du journalisme dites « de gauche » les plus répandues se trouvent dans une impasse qui les conduit ou bien à une position idéaliste abstraite, ou encore à un antidémocratisme latent, tenté d'être hostile à toute forme institutionnelle ainsi qu'à toute représentation symbolique du monde, assimilées au Pouvoir et à la domination. En deuxième et troisième partie, nous tâchons de dépasser dialectiquement l'impasse de la critique actuelle en réintroduisant le concept hégélien de médiation et l'idée de l'existence de la société comme totalité. Cela permet, d'une part, d'éclairer les problèmes ontologiques sous-jacents (mais rarement explicités) chez les critiques dites « radicales ». Cela permet ensuite d'historiciser la crise du journalisme dans un contexte de désymbolisation du monde, c'est-à-dire de dissolution des médiations symboliques et politico-institutionnelles par un processus d'instrumentalisation du langage, celui-ci étant livré à des puissances économiques et technologiques qui tendent à s'autonomiser et à s'autofinaliser. Nous concluons en ébauchant une proposition de critique qui prend acte du caractère fétichiste (Marx) des rapports sociaux dans le capitalisme et du caractère symbolique indépassable de tout rapport humain au monde, de tout engagement humain dans le monde. Cela implique que la critique qui cherche à « libérer » le journalisme de la domination du Pouvoir (économique et politique) doit également reconnaître qu'elle ne saurait triompher via le « rapport de force » immédiat, et qu'elle doit au contraire inscrire son propos et son action dans le respect des formes ontologiques, symboliques et politiques constitutives du monde humain, faute de quoi elle risque de participer elle-même à l'avènement d'une société du silence. ______________________________________________________________________________ MOTS-CLÉS DE L’AUTEUR : Journalisme, Dialectique, Symbolique, Michel Freitag, Jean Pichette.
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Le relationnisme philosophique de Georg Simmel : une idée de la culture / Georg Simmel's philosophical relationism : an idea of culture

Amat, Matthieu 25 November 2016 (has links)
Nous proposons de lire l'oeuvre de Georg Simmel comme un effort de détermination d'une idée de culture adéquate à une modernité dominée par des processus d'objectivation et de fonctionnalisation, et où s'observe partout la « discordance » entre la « culture subjective » et la « culture objective ». Simmel n'est pas seulement un Kulturkritiker, qui s'arrêterait à la description de ce problème, mais un philosophe de la culture, qui cherche à déterminer la structure ontologique et axiologique du problème et à le résoudre. Cet effort se présente comme l'accomplissement d'un programme théorique, nommé « relativisme », et que nous rebaptisons « relationnisme philosophique ». Ce relationnisme voudrait, après avoir rendu compte de la validité propre aux formations culturelles – dans la forme d'une théorie de la valeur et de l'esprit objectif –, l'élever à une validité de second ordre, individuelle et vivante : à la forme de la culture individuelle. Ce faisant, le relationnisme se constitue en « concept cosmique » de philosophie, non sous la forme d'un système, mais d'une métaphysique fonctionnelle, tandis que l'opposition statique du sujet et de l'objet est dépassée en direction d'une « objectivation du sujet » et d'une « désubjectivation de l'individuel ». / We suggest reading Georg Simmel's work as an endeavor to determine an idea of culture that is suitable to a modernity dominated by objectivation and functionalization processes, and where one can observe the "discrepancy" between the "subjective culture" and the "objective culture". Simmel is not only a Kulturkritiker, who would merely describe this problem, he is also a philosopher of culture, who seeks to determine the ontological and axiological structure of the problem and solve it. This effort appears as the fulfillment of a theoretical program known as "relativism", which we rename "philosophical relationism". This relationism, after having accounted for the specific validity of the cultural formations - within the form of a theory of value and objective spirit -, aims at promoting it to a second order validity, individual and alive, that is: to the form of individual culture. Thus, relationism constitutes itself as a "cosmic concept" of philosophy, which doesn't take the form of a system, but that of a functional metaphysics, while the static opposition between the subject and the object is outmatched towards an "objectivation of the subject" and a "desubjectivation of the individual".
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L’étalonnage des instruments de mesure en physique expérimentale : le cas du télescope spatial James Webb

Calvi, Carlo 08 1900 (has links)
Philosophes et scientifiques ont souvent adopté la version orthodoxe de l’étalonnage qui consiste à normaliser un instrument en utilisant un phénomène connu. Le lien essentiel entre concepts théoriques et données empiriques, en philosophie de la mesure, a engendré la formulation de principes de coordination, synthétiques a priori, et révisables. La pensée opérationaliste a voulu limiter l’étendue des concepts aux opérations de mesure effectivement réalisables. La perspective cohérentiste en philosophie de la mesure a opéré une récupération de l’épistémologie coordinationniste et de l’opérationalisme, en s’appuyant sur un nombre minime de principes ontologiques. Les modèles d’un instrument impliquent un engagement à la séparation entre les théories idéalisées et les choses matérielles. Toutefois, philosophes et métrologues ont préconisé l’exigence d’un riche contenu théorique dans la modélisation des instruments de mesure. Selon d’autres contributions, le privilège épistémique de la mesure précède une théorie d’arrière-plan et sa robustesse réside dans le libre contact avec les données empiriques. De plus, le régime d’applicabilité d’une théorie dicte ses conditions aux limites, qui guident l’expérimentateur dans la conception d’instruments de mesure et fournissent le fondement de l’opérationnalisation du sens des termes théoriques. Je soutiens un pluralisme opérationnel, des opérations de mesure impliquant différents indicateurs physiques, accompagné d'un cohérentisme dynamique. Le programme d’étalonnage du télescope spatial James Webb est un cas significatif. Les observations des étoiles d’étalonnage par différents procédés sont utilisées pour calculer les facteurs qui convertissent une mesure en unités instrumentales en unités physiques. / Philosophers and scientists have often adopted the orthodox version of calibration which involves standardizing an instrument using a known phenomenon. The essential link between theoretical concepts and empirical data, in the philosophy of measurement, has generated the formulation of principles of coordination, synthetic a priori, and revisables. Operationalist thinking wanted to limit the scope of concepts to operations of measurement that are actually achievable. The coherentist perspective in the philosophy of measurement has operated a recovery of coordinationist epistemology and operationalism, relying on a minimal number of ontological principles. Models of an instrument involve a commitment to separation between idealized theories and material things. However, philosophers and metrologists have advocated the requirement of a rich theoretical content in the modeling of measuring instruments. According to other contributions, the epistemic privilege of measurement precedes a background theory and its robustness lies in the free contact with empirical data. Moreover, the applicability regime of a theory dictates its boundary conditions, which guide the experimenter in the design of measuring instruments and provide the basis for operationalizing the meaning of theoretical terms. I support operational pluralism, measurement operations involving different physical indicators, accompanied by dynamic coherentism. The James Webb Space Telescope calibration program is a significant case. Observations of calibration stars by various methods are used to calculate the factors that convert a measurement in instrumental units to physical units.
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Étude sur l’épistémologie naturalisée de Hermann von Helmholtz et Friedrich-Albert Lange dans la seconde moitié du XIXe siècle et ses analogies argumentaires avec l’épistémologie naturalisée de W.V.O. Quine au XXe siècle.

Descarreaux, Samuel 19 January 2024 (has links)
Cet ouvrage est consacré au kantisme non orthodoxe de Friedrich-Albert Lange (1828-1875) et Hermann von Helmholtz (1821-1894) développé dans la seconde moitié du XIXe qui propose une révision psychophysique de l’épistémologie kantienne. On affirme que ce procédé n’aboutit pas à une réduction psychologique de la connaissance qui aurait pour conséquence d’éliminer une objectivité judicative (contrairement à ce que prétendent plusieurs commentateurs) ; en revanche, ce procédé apporte des modifications significatives aux conditions de possibilité nécessaires et universelles de l’expérience qui légitiment chez Kant une objectivité judicative. On démontre que l’épistémologie développée par ces deux auteurs peut être qualifiée de « naturalisme méthodologique » et partage avec l’épistémologie naturalisée développée au XXe siècle par Willard von Orman Quine (1908-2000) une série de stratégies argumentaires analogues qui expliquent essentiellement « how evidence relates to theory, and in what ways one's theory of nature transcends any available evidence. » (Quine, 1969, 83) Ainsi afin de soutenir qu’il existe une telle épistémologie naturalisée au XIXe siècle, on divise l’ouvrage en trois parties. La première section (chapitres premier et deuxième) introduit le concept de « naturalisme épistémologique » et étudie ses conséquences doctrinales et conceptuelles. La seconde section (chapitres troisième, quatrième et cinquième) argumente que l’inscription de l’épistémologie kantienne dans un cadre conceptuel naturalisé n’implique pas l’élimination d’une réflexion de second ordre sur les raisons qui légitiment une objectivité judicative au profit d’une simple étude des causes psychophysiques de la perception et des jugements qui s’y rapporte. La troisième section (chapitres sixième et septième) est consacrée à la question de l’objectivité des jugements logico-mathématiques et plus particulièrement à leur signification intuitive dans le cadre de l’expérience psychophysique. À partir de ces trois sections, on prétend pouvoir démontrer que l’épistémologie naturalisée de Helmholtz, Lange et Quine mobilise des stratégies argumentaires structurellement analogues malgré des contextes historiques et conceptuels radicalement différents. On retrouve à la fin de chaque section des remarques conclusives comparatives qui mettent en valeur (autant que faire se peut) ces stratégies argumentaires analogues utilisées au XIXe et au XXe siècle.

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