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Le statut théologique du mythe chez ProclusCohen, Daniel D 14 February 2007 (has links)
Examen, dans la tradition néoplatonicienne, et plus particulièrement dans l’œuvre de Proclus, des différentes méthodes de traitement philosophique des données mythologiques recueillies dans diverses traditions du paganisme, et mise en évidence de l’avènement d’une théologie « scientifique ».
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Infini divin et causalité du premier principe chez ProclusGraveline, Pascal January 2007 (has links)
Mémoire numérisé par la Division de la gestion de documents et des archives de l'Université de Montréal.
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Infini divin et causalité du premier principe chez ProclusGraveline, Pascal January 2007 (has links)
Mémoire numérisé par la Division de la gestion de documents et des archives de l'Université de Montréal
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Raison et mystique dans le néoplatonisme : antagonisme ou convergence ?Mazilu, Daniel January 2004 (has links)
Thèse numérisée par la Direction des bibliothèques de l'Université de Montréal.
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L'itinéraire antihésychaste de Jean de Cyparission, le Sage (XIVe s.). Héritages et transformationsPalaiologou, Polytimi-Maria PM 10 May 2010 (has links)
La présente recherche doctorale porte sur la contribution philosophico-théologique de Jean de Cyparission(XIVe s.). Opposé aux interprétations théologiques et ecclésiologiques d'une grande partie du courant hésychaste, le penseur nous propose un commentaire favorable à l'union ecclésiale, ainsi qu'à la bonne organisation spirituelle de l'Église orientale. L'élaboration des textes inédits et l'étude codicologique de divers manuscrits qui conservent la littérature antihésychaste de Jean, sont accompagnées d'une recherche prosopographique sur l'auteur, ainsi que d'un commentaire sur son appropriation des sources aristotéliciennes, néoplatoniciennes, stoïciennes, patristiques et byzantines.
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Les Soliloques d’Augustin. Introduction, texte critique, traduction et notes complémentaires / Augustine’s Soliloquies. A Study with General Introduction, Critical text, New Translation and Complementary NotesLefort, Catherine 25 February 2011 (has links)
Notre thèse est une monographie consacrée aux Soliloques d’Augustin, le quatrième de ses dialogues philosophiques écrit en 386-387, immédiatement après sa conversion au christianisme. Elle comporte deux volets. La première partie, doctrinale, propose une nouvelle interprétation du dialogue en voyant dans l’opuscule le lieu de l’interrogation de l’expérience de la conversion. Elle montre que les deux livres, sur la base du spiritualisme néoplatonicien qui vient nourrir en profondeur l’entreprise, se présentent comme deux anagogies qu’on examine donc successivement. Cette perspective permet ainsi de mettre à jour les sources philosophiques du jeune Augustin, et surtout comment, dès 386, apparaissent presque définitivement structurées plusieurs intuitions majeures de sa pensée. La deuxième partie de ce travail est consacrée à l’étude de la tradition manuscrite de ce dialogue de jeunesse, dont on propose une édition révisée et une nouvelle traduction, assorties d’un ensemble de vingt-et-une notes complémentaires. / Augustine’s Soliloquies, a philosophical dialogue, were written in 386-387, straight after the author’s conversion to Christianity. The aim of this dialogue is to reach a firm knowledge of what soul and God are. The first, interpretative part of this doctoral work shows that, beyond the neo-platonician spirituality that deeply fills Augustine’s writings, this dialogue constitutes the inaugural meditation on the experience of conversion. Thus, such a perspective allows considering this dialogue as the first step of a continuous thought that will eventually lead to the Confessions ; it also allows analysing Augustine’s intellectual horizon in a newly oriented way that brings into light his philosophical sources ; lastly, it allows seeing how some intuitions, among the major ones of his thought, appeared in an almost definitively structured way as soon as 386. The second part of this doctoral work is dedicated to the study of manuscripts tradition of this early year dialogue, of which a new translation is being proposed, with a set of twenty-one complementary notes.
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La Superstition raisonnable, représentation de la mythologie égyptienne dans la littérature française du XVIIIe siècle / The reasonable superstition, representation of the Egyptian mythology in French literature of eighteen centuryNeaimi, El-Sadek 25 February 2011 (has links)
La "Superstition raisonnable" est titre qui apparaît contradictoire, mais il donne en deux mots l'ensemble de la pensée des Lumières sur la culture et la civilisation pharaoniques. Les philosophes et les écrivains du XVIIIe siècle considèrent que l'Egypte ancienne est le berceau des arts et des sciences, mais aussi elle est l'origine des cultes irrationnels. Cependant, la production littéraire et philosophique des Lumières ne se contente pas à étudier cette question d'origine des cultes en évoquant le pharaonisme, mais elle s'y inspire aussi dans certains romans tels Le Taureau blanc, Séméramis. Et Durant tout le XVIIIe siècle, le sujet Egyptien est présent, chez les franc-maçons, les antiquaires, les historiens d'arts, les érudits les historiens, comme chez certains poètes et romanciers. C'est pourquoi, une des difficultés qui surgit est de trouver un fil conducteur pour étudier la représentation de l’Egypte antique dans la pensée du XVIIIe siècle en raison de la diversité de la représentation de l’Egypte, non pas seulement au cours du siècle, mais aussi à l’intérieur d’un même ouvrage. C’est en raison de ces diverses approches du pharaonisme par les écrivains des Lumières que cette thèse emprunte des chemins interdisciplinaires, qui se reflètent dans la diversité de la bibliographie. Ainsi Cette étude essaie de donner quelques éclaircissements sur des textes qui n’ont pas fait l’objet de réflexion suffisante de la part des dix-huitiémistes alors qu’ils le méritent, car ces textes sont représentatifs de l’inquiétude philosophique. / The reasonable superstition, representation of the Egyptian mythology in French literature of eighteen century, The title of this thesis appear contrast but it gave us a good idea about Pharaoh representation in enlightenment century. This thesis studies how is about the civilization and the culture of the ancient Egypt in the philosophy writing and the literature : novels, dramas and poetry in eighteen century. The philosophers and the writers of eighteen century thinks that the ancient Egypt was the origin of the science and the art, but this country was also the origin of superstition like in the writing of Boulanger L'Antiquité devoilée pas elle-elle même. But the writers and the philosophers don't satisfy to study this question of originin the Egyptian myth, but in the same time they find some inspirations in the mythology of Isis and Osiris in some novels like Le Taureau blanc and Semeramis of Voltaire. Some dramatists inspire also in this mythology like Tanis et Zelide and les lois de Minos of Voltaire, also in his poem Sesostris and in the creation of another writers Banier, Boulanger, Charles de Brosses, Caylus dramatist and poets Bitaubé, Rocher. Also this thesis is an interdisplinary study because this subject have a multiple approachs.
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Émanation et métaphysique de la lumière dans Vérité et méthode de GadamerDoyon, François 10 1900 (has links)
Ma thèse montre la présence et le rôle de la métaphysique dans Vérité et méthode. Elle tente de démontrer que Gadamer s'inspire du néoplatonisme pour surmonter le subjectivisme de la modernité et propose une métaphysique à cette fin. Après avoir expliqué comment Gadamer se réapproprie l’héritage de la pensée grecque pour critiquer la modernité en situant son interprétation de Platon par rapport à celle de Heidegger, je montre que Gadamer s’approprie la conception de l’être de Plotin de façon telle qu’il peut s’y appuyer pour penser l’autoprésentation de l’être dans l’expérience herméneutique de la vérité. L’art va, pour ce faire, redevenir sous la conduite du néoplatonisme source de vérité. Gadamer redonne en effet une dignité ontologique à l’art grâce à la notion d’émanation, notion qui permet de penser qu’il y a une présence réelle du représenté dans sa représentation, celle-ci émanant du représenté sans l’amoindrir, mais lui apportant au contraire un surcroît d’être. La notion d’émanation permet ensuite à Gadamer d’affirmer le lien indissoluble qui unit les mots aux choses. En effet, la doctrine du verbe intérieur de Thomas d’Aquin implique ce lien que Platon avait occulté en réduisant le langage, comme la logique, à n’être qu’un instrument de domination du réel. L’utilisation de la notion néoplatonicienne d’émanation permet donc de dépasser la philosophie grecque du logos et de mieux rendre compte de l’être de la langue. Je montre ensuite comment Gadamer radicalise sa pensée en affirmant que l’être qui peut être compris est langage, ce qui veut dire que l’être, comme chez Plotin, est autoprésentation de soi-même. Pour ce faire, Gadamer rattache l’être du langage à la métaphysique néoplatonicienne de la lumière. Les dernières pages de Vérité et méthode rappellent en effet que la splendeur du beau est manifestation de la vérité de l’être. On rattachera alors le concept de vérité herméneutique à ses origines métaphysiques. La vérité est une manifestation de l’être dont on ne peut avoir part que si on se laisse submerger par sa lumière. Loin d’être affaire de contrôle méthodique, l’expérience de la vérité exige de se laisser posséder par ce qui est à comprendre. Je démontre ainsi que Gadamer a découvert dans le néoplatonisme des éléments permettant de s’opposer à la dictature du sujet moderne, dictature qui doit être renversée, car elle masque le réel rapport de l’homme à la vérité en faisant abstraction de la finitude de son existence concrète. La critique du subjectivisme moderne sous la conduite du néoplatonisme ouvre ainsi le chemin vers une métaphysique de la finitude. / My thesis shows the presence and role of metaphysics in Truth and Method. It attempts to show that Gadamer builds upon Neoplatonism to overcome the subjectivism of modernity and offers a metaphysics in this regard. It explains how Gadamer reclaims the legacy of Greek thought to criticize modernity, placing his interpretation of Plato compared to that of Heidegger, I argue that Gadamer appropriates Plotinus’ concept of being in such a way that it may lean to think of self-presentation of being in the hermeneutic experience of truth. In that sense, art is going to be a source of truth under the leadership of Neoplatonism. Gadamer gives an ontological dignity to art through the concept of emanation, a concept which suggests that there is a real presence of the represented in its representation, the latter derived from the represented without weakening it, providing it instead with more being. The concept of emanation then gives Gadamer an opportunity to affirm the indissoluble bond that unites words and things. Thomas Aquinas’ doctrine of the inner word indeed implies the link that Plato had covered up by making language, like logic, a mere domination instrument of the real. The use of the Neoplatonic concept of emanation makes it possible to overcome the logos of Greek philosophy and to better account for the being of language. I then show how Gadamer radicalized his thinking as he says that the being that can be understood is language, which means that being, as in Plotinus, is self-presentation. To this end, Gadamer links the being of language to Neoplatonic metaphysics of light. The last pages of Truth and Method recall indeed that the splendor of beauty is an expression for the truth of being. The concept of hermeneutic truth is then connected to its metaphysical origins. Truth is a display for the being in which we can partake only if one gets overwhelmed by its light. Far from being a matter of methodical control, the experience of truth requires to be possessed by what must be understood. In this way, I demonstrate that Gadamer found in Neoplatonism elements to challenge the dictatorship of the modern subject, which must be reversed because it hides the real relationship of man with truth by ignoring the finitude of its concrete existence. The criticism of modern subjectivism led by Neoplatonism opens the way to a metaphysics of finitude.
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Émanation et métaphysique de la lumière dans Vérité et méthode de GadamerDoyon, François 10 1900 (has links)
Ma thèse montre la présence et le rôle de la métaphysique dans Vérité et méthode. Elle tente de démontrer que Gadamer s'inspire du néoplatonisme pour surmonter le subjectivisme de la modernité et propose une métaphysique à cette fin. Après avoir expliqué comment Gadamer se réapproprie l’héritage de la pensée grecque pour critiquer la modernité en situant son interprétation de Platon par rapport à celle de Heidegger, je montre que Gadamer s’approprie la conception de l’être de Plotin de façon telle qu’il peut s’y appuyer pour penser l’autoprésentation de l’être dans l’expérience herméneutique de la vérité. L’art va, pour ce faire, redevenir sous la conduite du néoplatonisme source de vérité. Gadamer redonne en effet une dignité ontologique à l’art grâce à la notion d’émanation, notion qui permet de penser qu’il y a une présence réelle du représenté dans sa représentation, celle-ci émanant du représenté sans l’amoindrir, mais lui apportant au contraire un surcroît d’être. La notion d’émanation permet ensuite à Gadamer d’affirmer le lien indissoluble qui unit les mots aux choses. En effet, la doctrine du verbe intérieur de Thomas d’Aquin implique ce lien que Platon avait occulté en réduisant le langage, comme la logique, à n’être qu’un instrument de domination du réel. L’utilisation de la notion néoplatonicienne d’émanation permet donc de dépasser la philosophie grecque du logos et de mieux rendre compte de l’être de la langue. Je montre ensuite comment Gadamer radicalise sa pensée en affirmant que l’être qui peut être compris est langage, ce qui veut dire que l’être, comme chez Plotin, est autoprésentation de soi-même. Pour ce faire, Gadamer rattache l’être du langage à la métaphysique néoplatonicienne de la lumière. Les dernières pages de Vérité et méthode rappellent en effet que la splendeur du beau est manifestation de la vérité de l’être. On rattachera alors le concept de vérité herméneutique à ses origines métaphysiques. La vérité est une manifestation de l’être dont on ne peut avoir part que si on se laisse submerger par sa lumière. Loin d’être affaire de contrôle méthodique, l’expérience de la vérité exige de se laisser posséder par ce qui est à comprendre. Je démontre ainsi que Gadamer a découvert dans le néoplatonisme des éléments permettant de s’opposer à la dictature du sujet moderne, dictature qui doit être renversée, car elle masque le réel rapport de l’homme à la vérité en faisant abstraction de la finitude de son existence concrète. La critique du subjectivisme moderne sous la conduite du néoplatonisme ouvre ainsi le chemin vers une métaphysique de la finitude. / My thesis shows the presence and role of metaphysics in Truth and Method. It attempts to show that Gadamer builds upon Neoplatonism to overcome the subjectivism of modernity and offers a metaphysics in this regard. It explains how Gadamer reclaims the legacy of Greek thought to criticize modernity, placing his interpretation of Plato compared to that of Heidegger, I argue that Gadamer appropriates Plotinus’ concept of being in such a way that it may lean to think of self-presentation of being in the hermeneutic experience of truth. In that sense, art is going to be a source of truth under the leadership of Neoplatonism. Gadamer gives an ontological dignity to art through the concept of emanation, a concept which suggests that there is a real presence of the represented in its representation, the latter derived from the represented without weakening it, providing it instead with more being. The concept of emanation then gives Gadamer an opportunity to affirm the indissoluble bond that unites words and things. Thomas Aquinas’ doctrine of the inner word indeed implies the link that Plato had covered up by making language, like logic, a mere domination instrument of the real. The use of the Neoplatonic concept of emanation makes it possible to overcome the logos of Greek philosophy and to better account for the being of language. I then show how Gadamer radicalized his thinking as he says that the being that can be understood is language, which means that being, as in Plotinus, is self-presentation. To this end, Gadamer links the being of language to Neoplatonic metaphysics of light. The last pages of Truth and Method recall indeed that the splendor of beauty is an expression for the truth of being. The concept of hermeneutic truth is then connected to its metaphysical origins. Truth is a display for the being in which we can partake only if one gets overwhelmed by its light. Far from being a matter of methodical control, the experience of truth requires to be possessed by what must be understood. In this way, I demonstrate that Gadamer found in Neoplatonism elements to challenge the dictatorship of the modern subject, which must be reversed because it hides the real relationship of man with truth by ignoring the finitude of its concrete existence. The criticism of modern subjectivism led by Neoplatonism opens the way to a metaphysics of finitude.
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La Description du Tableau représentant le monde par Jean de Gaza : édition, traduction, commentaire / The Description of the Depiction of the World by John of Gaza : edition, French Translation, CommentaryRenaut, Delphine 07 December 2009 (has links)
Ce travail de thèse porte sur l’édition, la traduction et le commentaire de la Description du Tableau représentant le monde par Jean de Gaza. Ce poème de sept cent trente-deux vers (29 trimètres iambiques et 703 hexamètres) écrit en grec est datable de la première moitié du VIe siècle. La nouvelle édition s’appuie non seulement sur l’examen du témoin principal, le Parisinus Suppl. gr. 384, mais aussi sur la mise en perspective des copies apographes et des éditions anciennes. La traduction, en français, est le premier travail de ce type proposé dans une langue moderne. Les notes ont pour finalité d’aider la compréhension de la lettre du texte. Le commentaire, quant à lui, s’organise autour de deux thèmes : d’une part la relation entre la Description rhétorique et l’iconographie qui peut lui être associée, de l’autre des considérations sur la poétique de Jean de Gaza à travers l’étude littéraire, intertextuelle et philosophique du poème. Les Annexes comportent un lexique, la scansion intégrale du poème, les illustrations, la bibliographie, les indices et tables et la table des matières. / The aim of the present doctoral dissertation is to edit, translate and comment the Description of the Depiction of the World by John of Gaza. One can date this seven hundred and thirty two verses poem (29 trimetres and 703 hexametres) written in Greek to the first part of the VIth Century A.D. The new edition of the poem relies on studying the main manuscript (Parisinus Suppl. gr. 384) as well as considering the apograph copies and the ancient editions. The translation into French is the first work of that type ever offered in any modern language.The notes help the direct understanding of the text. The commentary is divided according to two prospective: first, the relation between the rhetorical Description and the associated iconography, second, some considerations about John of Gaza’s Poetic through the literary, intertextual and philosophical study of his poem. The Annexes contain a lexicon, the integral scansion of the poem, illustrations, bibliography, indices and tables and the general table of contents.
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