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Music Drama as Modernist Text. «Erfahrung» and «Erlebnis» in Wagner's «Ring» CycleDaverio, John 08 January 2020 (has links)
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Entfremdung und Erinnerung. Zu Wagners ”Götterdämmerung”Dahlhaus, Carl 13 January 2020 (has links)
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Richard Wagners Skizzen zur neuen Venus-SzeneAbbate, Carolyn 13 January 2020 (has links)
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Beiträge zum Symposium Wagner-Lesarten – Richard Wagners »Der Ring des Nibelungen« im Blickfeld der ›Historischen Aufführungspraxis‹Müller, Kai Hinrich 26 June 2019 (has links)
Ein Volltext für den Gesamtband liegt nicht vor. Die mit diesem Datensatz verknüpften Beiträge enthalten die PDFs des jeweiligen Einzelaufsatzes.
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Germanic mythology in Richard Wagner's 'Der Ring'Berger, Emile. January 2002 (has links)
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A Psychological Approach to the Character of Wotan in Richard Wagner's Der Ring Des NibelungenElam, Donald W. (Donald Willis) 06 1900 (has links)
The ancient Germanic god that Richard Wagner resurrected in his operatic style Der Ring des Nibelungen was worshiped and feared from Greenland to Asia Minor for 1,000 years after the birth of Christ. This thesis examines the psychological aspects of Wotan as he appears in the opera.
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Die Neuentdeckung eines alten Nationalepos. Zur Rezeption des Nibelungenliedes in der Theaterinszenierung von Andreas Kriegenburg nach dem Trauerspiel „Die Nibelungen“ von Friedrich Hebbel / Senų nacionalinių epų atradimas iš naujo. Nibelungų giesmės interpretavimas Andreas´o Kriegenburgo teatrinėje inscenizacijoje pagal Friedricho Hebbelio dramą „Die Nibelungen“ / Discovery of the old national epics. Interpretation of The Song of the Nibelungs in the theatrical pageant by Andreas Kriegenburg according to drama of Friedrich Hebbel "Die Nibelungen"Jūrevičiūtė, Julija 16 June 2011 (has links)
In der Einleitung werden das Thema, Ziele, Struktur der Arbeit bekannt gemacht. Die Arbeit besteht aus zwei Teilen, einem theoretischen und einem praktischen. In dem theoretischen Teil der Arbeit werden zuerst zwei Brgriffe Aufführung und Inszenierung, die zu dem Theaterwissenschaft gehören, im Bezug auf die Begriffs- und Analyseaspekten, Beziehung zwischen den Begriffen analysiert. Dabei wird die semiotische Methode der Analyse der aufgeführten Inszenierung untersucht.In demzweitem Kapitel des theoretischen Teils beschäftigt man mit der Entstehung des Stoffes. Dabei werden literarische, inhaltliche Nuancen, historischer Kontext überblicht, auch erforsch, wie das Nibelungenlied zu dem Nationalepos wurde, die Rolle des Nibelungeliedes in eigenen historischen Ereignissen, Literatur, Malerei, Kino. Dabei werden die Variationen der Form und des Inhalts des Nibelungenliedes überblickt. / Įvade supažindinama su darbo tema, tikslais struktūra. Darnas susideda iš teorinės ir praktinės dalies. Pirmiausia teorinėje darbo dalyje aptariamos dvi su teatro mokslu susijusios sąvokos - spektaklis ir inscenizacija, apžvelgiant jų apibrėžimo ir analizės aspektus, šių sąvokų tarpusavio ryšį. Taip pat aptariamas semiotinis metodas, kuris taikomas ant scenos pateiktai teatrinei inscenizacijai analizuoti. Antrame teorinės dalies skyriuje tirimas Nibelungų giesmės atsiradimas. Todėl analizuojami literatūriniai, turinio niuansai, istorinis kontekstas, taip pat Nibelungų giesmės tapimas nacionaliniu epu bei Nibelungų giesmėje vyraujančių temų ir motyvų svarba istoriniams įvykiams, literatūrai, dailei, kinui. Todėl apžvelgiamos Nibelungų giesmės turinio ir formos variacijos. / The introduction presents the thesis, the objective structure. The work consists of both theoretical and practical part First, the theoretical part deals with two related concepts in science theater – theatrical pageant and spectacle, reviewing the definition and analysis of aspects of the relationship between these concepts. It also discusses the semiotic approach, wich is used to analysed of the theatrical pageant. The second chapter of the theoretical part studied song of the Nibelungs appearance. Therefore, analysis of literary content of nuance, historical context, as well as becoming a national hymn and importance of the dominant themes and motives of the song of the Nibelungs to historical events, literature, visual arts, cinema. Therefore variations and form of the song of the Nibelungs are reviewed.
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The Ambiguity of otherness in adaptations of the Nibelungen myth: "Das Nibelungenlied" and Fritz Lang's "Die Nibelungen".Bickert, Neale G. 02 May 2012 (has links)
Over eight hundred years ago anonymous poets set the orally transmitted Nibelungen myth to parchment. This action started a trend of adapting the myth for contemporary audiences, a trend that has lasted since the High Middle Ages. Since then, the Nibelungen myth has become a sustaining element of the self-mythologization of German national identity. The problem, however, with adapting the Nibelungen myth for the purpose of creating a German identity, be it in the medieval epic, the Nibelungenlied, or Fritz Lang's 1924 film, Die Nibelungen, is that this model of identification is flawed – flawed because it consists of systematic binary divisions positing self-other dichotomies. What becomes evident is that in the adaptations of Nibelungen myth, the representations of alterity are contradictory and ambiguous, provoking the question: why is the Nibelungen myth an effective source from which one can project a national identity? / Graduate
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Chausson dans l'ombre de Wagner? : de la genèse à la réception du Roi ArthusBenoit-Otis, Marie-Hélène 02 1900 (has links)
Thèse réalisée en cotutelle avec la Freie Universität Berlin. La version intégrale de cette thèse est disponible uniquement pour consultation individuelle à la
Bibliothèque de musique de l’Université de Montréal (www.bib.umontreal.ca/MU). / Ce travail aborde l’aspect spécifiquement compositionnel du phénomène
wagnérien en France dans les dernières décennies du XIXe siècle, par le
biais d’une étude de cas centrée sur l’opéra Le Roi Arthus d’Ernest
Chausson (1855-1899). Exceptionnellement bien documenté grâce à de
nombreuses sources dont une bonne part sont inédites (brouillons et
esquisses du livret et de la partition, correspondance, etc.), cet opéra
composé de 1886 à 1895 et créé en 1903 au Théâtre de la Monnaie de
Bruxelles offre en effet un aperçu privilégié de la relation complexe
qu’entretiennent les compositeurs français de cette époque avec l’imposante
figure de Wagner.
La question de l’influence wagnérienne dans Le Roi Arthus est abordée
ici dans le cadre d’une démarche appliquant, dans une perspective
historique, la méthode sémiologique développée par Jean Molino et
Jean-Jacques Nattiez. L’analyse de la genèse, de la version finale et de la
réception de l’oeuvre au moment de sa création permet d’obtenir une vue
d’ensemble inédite des rapports s’établissant entre l’opéra de Chausson et
les drames lyriques de Wagner, en particulier Tristan und Isolde. Il en
ressort que des premières esquisses à la création de l’opéra, Le Roi Arthus
a évolué dans une dialectique complexe avec un modèle à la fois craint et
admiré.
Ardent wagnérien dès son plus jeune âge, Chausson ne souhaite pas
pour autant devenir un épigone de Wagner. Sur les conseils d’Henri
Duparc, il déploie donc de grands efforts pour « déwagnériser » le livret du
Roi Arthus, qu’il rédige lui-même à partir d’un sujet mythique rappelant
fortement Wagner. La version finale du livret, si elle présente encore quelques points de contact avec Tristan und Isolde et Der Ring des
Nibelungen, incarne cependant une vision du monde très éloignée de celle
de Wagner, et dans laquelle des valeurs comme l’honneur et la fidélité
l’emportent sur un amour interdit apparaissant condamné d’avance. Cette
dramaturgie aux antipodes de celle de Tristan s’appuie, paradoxalement,
sur des références musicales wagnériennes que Chausson intègre et précise
graduellement au fil de la genèse de la partition, et dont la mise en oeuvre
souligne habilement tout ce qui sépare Lancelot et Genièvre, amants
dépareillés, du couple indissociable formé par Tristan et Isolde.
Dans cet opéra conçu, mais jusqu’à un certain point seulement, dans
l’ombre de Wagner, ce sont les ressemblances musicales et surtout
dramatiques avec Tristan und Isolde qui ont le plus frappé les critiques des
premières représentations, donnant lieu à une réception où la question de
l’influence wagnérienne occupe une place prépondérante. Mais si tous les
recenseurs abordent cette question, ils le font sous des angles variant en
fonction de facteurs extérieurs à l’oeuvre, comme leur formation antérieure,
leur propre position face à Wagner et les liens qu’ils ont entretenus avec
Chausson alors qu’il était encore vivant.
Au-delà des connaissances qu’elle permet d’acquérir sur l’oeuvre, et plus
particulièrement sur sa genèse, l’étude du Roi Arthus dans une triple
perspective poïétique, immanente et esthésique s’ouvre donc sur un
portrait du rôle central joué par le « Maître de Bayreuth » dans
l’imaginaire musical de la fin du XIXe siècle, tout en jetant les bases d’une
synthèse encore à faire des stratégies créatrices employées par les
compositeurs d’opéra français face au modèle de Wagner. / This thesis examines the compositional aspect of Wagnerism in France
during the final decades of the 19th century, through a case study of Ernest
Chausson’s (1855-1899) opera Le Roi Arthus. Exceptionally well
documented thanks to a large number of sources, most of which are
unpublished (drafts and sketches of the libretto and score, correspondence,
etc.), this opera, composed between 1886 and 1895 and premiered at the
Théâtre de la Monnaie in Brussels in 1903, in fact allows a remarkable
glimpse into the relationship between French composers of the period and
the imposing figure of Wagner.
The question of Wagnerian influence in Le Roi Arthus is here
approached through a methodology that applies the semiotic model
developed by Jean-Jacques Nattiez and Jean Molino in a historical
perspective. An analysis of the genesis of the opera, its final version and
the reception of its premiere provides a fresh overall view of the connection
between Chausson’s opera and Wagner’s music dramas, particularly
Tristan und Isolde. What emerges is a complex dialectic between Le Roi
Arthus—from the first sketches to the opera’s premiere—and a model that
provoked both disquiet and admiration.
Though an ardent Wagnerian from an early age, Chausson did not
want to merely become an epigone of the German composer. Following
advice from Henri Duparc, Chausson therefore expended considerable
effort in “dewagnerizing” the libretto of Le Roi Arthus, which he wrote
himself, based on a mythical subject strongly reminiscent of Wagner. The
final version of the libretto, while it maintains some links with Tristan und
Isolde and Der Ring des Nibelungen, otherwise projects a worldview quite unlike Wagner’s, in which values such as honor and fidelity outweigh a
forbidden love that seems doomed from the start. Paradoxically, this
un-Tristanesque dramatic setup rests in part on Wagnerian musical
references that Chausson integrated and honed gradually as he composed
the score, and whose treatment cleverly underscores what separates
Lancelot and Genièvre, poorly matched lovers, from the integrated couple
formed by Tristan and Isolde.
In this opera conceived, but only up to a point, in Wagner’s shadow,
the musical and especially dramatic resemblances with Tristan und Isolde
are what have most struck the critics of the first performances, which has
given rise to a reception where the question of Wagnerian influence
dominates. However, even though all critics touched on this question, they
did so from points of view that vary according to factors extrinsic to the
work, such as their own prior training, their personal positions on Wagner
and the relationships they had had with Chausson during his lifetime.
Beyond the knowledge it allows us to gain on the work itself, and more
particularly on its early development, the study of Le Roi Arthus from
poietic, immanent and esthesic perspectives opens onto an understanding
of the central role played by the “Bayreuth Master” in late 19th-century
musical imagination, while creating the basis necessary to undertake a new
synthesis of the creative strategies used by composers of French opera
faced with the Wagnerian model.
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Neue Funktionen für eine alte Bühnentradition - Richard Wagners Musik auf dem Theater / New Functions for an Old Stage-Tradition - Richard Wagner´s On-Stage-MusikFink, Gerald January 2008 (has links) (PDF)
„Musik auf dem Theater“ bildet eine lange Tradition, die Schauspiel und Oper großteils gemeinsam haben. Die Bezeichnung „Inzidenzmusik“ verweist auf die enge Bindung an die Handlung, in die sie „einfällt“. Richard Wagner, der alle seine musikdramatischen Werke mit Bühnenmusik versieht, knüpft an diese Tradition an. Dabei können drei Traditionsstränge unterschieden werden: Die inzidierende Musik, die sich dadurch auszeichnet, dass sie nach der Konvention feststehender Instrumenten-Emblematik im gesprochenen wie im gesungenen Drama eingesetzt wird, findet bei Wagner regelmäßig Anwendung. Die banda sul palco, die dagegen als Opernspezifikum zu betrachten ist, setzt er nur in seinen ersten Opern ein. Relativ selten treten gemischte, meist nicht sichtbar hinter der Bühne positionierte Instrumentengruppen auf, die mit transzendierender Musik eine jenseitige Welt repräsentieren sollen. Wagner weist der Bühnenmusik, neben ihren konventionellen Funktionen, weitere, neue Aufgaben zu. Die Musik auf dem Theater, die oft eher im Zusammenhang aufführungsbedingter Praxis denn als Teil auktorialer Originalität gesehen wird, erhält dadurch einen entscheidenen Platz in der Gesamtkonzeption und kann nicht beliebig ausgetauscht oder weggelassen werden. Ihre substantielle Rolle zeigt sich bereits im Kompositionsprozeß: Die Skizzen zur Bühnenmusik entstehen sehr früh, häufig weisen sie sogar in die Zeit der ersten Inspiration. Ihr motivisches Material hat Einfluß auf die Anlage des Werkganzen, formuliert aber auch in Form höchstverdichteter musikalischer Chiffren die wesentliche Aussagen des Gesamtwerkes. Am „fertigen“ Musikdrama zeigt sich, dass sie häufig Einsatz an den dramaturgisch wichtigen Stellen der Aktanfänge und -zäsuren findet. Als eine „ursprüngliche Sprache“ repräsentiert sie außerdem (ästhetisch gesehen) eine Sphäre, die sich von der Musik aus dem Orchestergraben deutlich unterscheidet. Obwohl Wagner die Bühnenmusik in seinen theoretischen Schriften kaum thematisiert, vertraut er ihr in allen Phasen seines Schaffens wesentliche Aufgaben an. Die herausgehobene Stellung der Musik auf dem Theater stellt eine bedeutende Konstante im Werk Richard Wagners dar. / On-Stage-Music are found in all operas of Richard Wagner. On one hand they follow old traditions, as the "banda sul palco". On the other hand Wagner gives new functions to incidental music.
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