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Vérification de l'identité d'un visage parlant. Apport de la mesure de synchronie audiovisuelle face aux tentatives délibérées d'imposture

Bredin, Hervé 13 November 2007 (has links) (PDF)
La biométrie est le domaine technologique traitant de la vérification d'identité et/ou de l'identification de personnes par leurs caractéristiques physiques individuelles, morphologiques ou comportementales. En plus d'être une des modalités biométriques les moins intrusives et donc plus facilement acceptée, la modalité « visage parlant » est intrinsèquement multimodale : elle regroupe la reconnaissance du visage, la vérification du locuteur et une troisième modalité portant sur la synchronie entre la voix et les lèvres. Les protocoles d'évaluation classiquement utilisés ne tiennent pas compte des tentatives délibérées d'imposture. Aussi, nous confrontons, dans la première partie, un système de référence (basé sur la fusion des scores de vérification du locuteur et du visage) à quatre types d'imposture délibérée de type rejeu et mettons en évidence ses faiblesses. Dans la seconde partie, nous étudions la synchronie audiovisuelle entre le mouvement des lèvres acquis par la caméra et la voix acquise par le microphone. Plusieurs nouvelles mesures de synchronie basées sur l'analyse de corrélation canonique et l'analyse de co-inertie sont évaluées sur la tâche de détection d'asynchronie. Une nouvelle modalité biométrique basée sur la mesure de synchronie dépendante du client est proposée. Sa robustesse intrinsèque aux attaques de type rejeu est mise en évidence. La complémentarité entre le système de référence et cette nouvelle modalité est utilisée dans le cadre de stratégies de fusion originales, de façon à trouver un compromis entre performances brutes et robustesse à l'imposture.
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Vérification de l'identité d'un visage parlant.<br />Apport de la mesure de synchronie audiovisuelle face aux tentatives délibérées d'imposture.

Bredin, Hervé 13 November 2007 (has links) (PDF)
La sécurité des personnes, des biens ou des informations est l'une des préoccupations majeures de nos sociétés actuelles. L'authentification de l'identité des personnes est l'un des moyens permettant de s'en assurer. La principale faille des moyens actuels de vérification d'identité est qu'ils sont liés à ce qu'une personne possède (un passeport, un badge magnétique, etc.) et/ou ce qu'elle sait (un code PIN de carte bancaire, un mot de passe, etc.). Or, un badge peut être volé, un mot de passe deviné ou cassé par force algorithmique brute. La biométrie est le domaine technologique traitant de la vérification d'identité et/ou de l'identification de personnes par leurs caractéristiques physiques individuelles, pouvant être morphologiques ou morpho-comportementales. Elle apparaît comme une solution évidente au problème soulevé précédemment : l'identité d'une personne est alors liée à ce qu'elle est et non plus à ce qu'elle possède ou sait.<br /><br />En plus d'être une des modalités biométriques les moins intrusives et donc plus facilement acceptée par le grand public, la vérification d'identité basée sur les visages parlants est intrinsèquement multimodale : elle regroupe à la fois la reconnaissance du visage, la vérification du locuteur et une troisième modalité relevant de la synchronie entre la voix et le mouvement des lèvres.<br /><br />La première partie de notre travail est l'occasion de faire un tour d'horizon de la littérature portant sur la biométrie par visage parlant et nous soulevons le fait que les protocoles d'évaluation classiquement utilisés ne tiennent pas compte des tentatives délibérées d'imposture. Pour cela, nous confrontons un système de référence (basé sur la fusion des scores de vérification du locuteur et du visage) à quatre types d'imposture délibérée de type rejeu et mettons ainsi en évidence les faiblesses des systèmes actuels.<br /><br />Dans la seconde partie, nous proposons d'étudier la synchronie audiovisuelle entre le mouvement des lèvres acquis par la caméra et la voix acquise par le microphone de façon à rendre le système de référence robuste aux attaques. Plusieurs nouvelles mesures de synchronie basées sur l'analyse de corrélation canonique et l'analyse de co-inertie sont présentées et évaluées sur la tâche de détection d'asynchronie. Les bonnes performances obtenues par la mesure de synchronie basée sur un modèle dépendant du client nous encouragent ensuite à proposer une nouvelle modalité biométrique basée sur la synchronie audiovisuelle. Ses performances sont comparées à celle des modalités locuteur et visage et sa robustesse intrinsèque aux attaques de type rejeu est mise en évidence. La complémentarité entre le système de référence et la nouvelle modalité synchronie est soulignée et des stratégies de fusion originales sont finalement mises en place de façon à trouver un compromis entre les performances brutes du premier et la robustesse de la seconde.
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L’énoncé étymologique latin : formes et sens / Latin Etymological Speech : Forms and Meaning

Alizon, Aude 28 November 2011 (has links)
Dans la conception antique du langage, le signe linguistique doit rendre compte de la réalité qu’il dénote, au contraire de la conception moderne qui repose sur l’arbitraire du signe. L’étymologie consiste alors à donner l’origine des mots en mettant au jour leur motivation (unde et cur uerba rebus imposita sint « d’où et pourquoi les mots ont été appliqués aux choses »). La théorie étymologique des grammairiens latins ne nous est malheureusement parvenue que de manière très lacunaire ; les énoncés étymologiques, en revanche, lieu privilégié de l’expression linguistique du sujet parlant, sont pléthore. Afin d’étudier le sens de l’étymologie antique, longtemps considérée comme « fantaisiste », « fausse » ou « populaire », ce travail s’appuie sur un corpus de 1800 énoncés étymologiques, puisés chez Varron, Cicéron, Aulu-Gelle et Isidore de Séville. La première partie étudie les différentes structures formelles susceptibles d’accueillir les énoncés étymologiques. On y voit ainsi que, malgré la présence de balises métalinguistiques, l’amalgame constant entre l’usage et la mention révèle la fusion qu’opère le sujet parlant entre le signifiant, le signifié et le référent. La seconde partie étudie les facteurs expliquant que le rapprochement entre un lexème explicandum et son étymon semble souvent se faire d’après une ressemblance formelle assez vague : cette hyperlaxité phonétique résulte de l’extension abusive de certains phénomènes observés par le locuteur et théorisés dans un schéma selon lequel les phonèmes peuvent être ajoutés, supprimés, transformés ou déplacés dans le mot. Le mot est ainsi une entité susceptible de variations formelles sans changement du signifié véhiculé. La troisième partie, après avoir rappelé les définitions et les caractéristiques de l’étymologie antique, montre, en en étudiant les processus de dérivation, que cette dernière est avant tout une quête du sens, ce que confirme ensuite l’étude des lexèmes (ré)analysés comme étant constitués de plusieurs éléments sémantiques qui doivent décrire le référent extralinguistique qu’ils dénotent. L’étude se conclut sur l’idée que les énoncés étymologiques latins visent à retrouver l’éponymie d’un nom, une autre manière de « dire le vrai ». / In the ancient idea of language, the linguistic sign has something to do with the object denoted, whereas the modern idea is based on the arbitrariness of the sign. Then, etymology consists in giving the origin of words mainly as the reason why things are called that way (unde et cur uerba rebus imposita sint “whence and why words have been applied to things”). Unfortunately, etymological theory of Latin grammarians came to us with many blanks, but etymological utterances, which are the very place for the linguistic expression of the speaker, are overabundant. In order to study the meaning of ancient etymology, which has long been considered as “fanciful”, “false” or “folk”, this work is based on a corpus of 1,800 etymological utterances taken from Varro, Cicero, Aulus Gellius and Isidore of Seville. The first part looks into the different formal structures which can contain etymological utterances, and we find that in spite of metalinguistic marks, the constant amalgam between usage and mention reveals the confusion of the speaker between signifier, signified and object. The second part explains why the relation between an explicandum and its explicans seems most of the time established from a rather faint formal similarity. This phonetical hyperlaxity comes from the overextension of certain phenomena observed by the speaker and theorized in a pattern according to which phonemes can be added, suppressed, transformed or moved in a word: the word is an entity likely to present variations in its form with no change of the signified. The third part mentions definitions and specificities of ancient etymology, then, shows by the study of derivation processes that etymology is above all a search for signification, which is confirmed by the study of the words (re-)analyzed as formed with several semantical elements. This work comes to the conclusion that Latin etymological speech has a lot to do with eponymy, which is another way to “tell the truth”.
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O aspecto fônico da língua : uma reflexão sobre o lugar do ouvinte na proposta Saussuriana

Stawinski, Aline Vargas January 2016 (has links)
Il y a cent ans, Ferdinand de Saussure avait été pour toujours inscrit dans l’histoire des sciences. Considéré comme le fondateur de la linguistique que nous connaissons aujourd’hui, l’érudit a acquis une renommée grâce à la publication du Cours de linguistique générale, en 1916, ouvrage qui continue à provoquer l’intérêt des spécialistes du langage, au-delà de sa valeur historique. Parmi de différentes lectures, recherches et découvertes de textes manuscrits, les réflexions du genevois ont donné lieu à la discussion sur la définition de l’objet de la linguistique. Saussure a également été responsable de tracer le chemin pour les futures générations de linguistes, dont la tâche serait, enfin, d’établir des théories et des méthodes qui pensassent la langue comme un objet construit à partir d’un certain point de vue, compte tenu de son fonctionnement sémiologique via la notion de système. Ce travail propose de relire Saussure partant de la matérialité sonore, afin de regarder celle-ci en tant que signifiant linguistique, et ce, en raison de l’historique suppression du fait concret, par le fait abstrait dans des interprétations sur la pensée du genevois. Étant donné le rôle crucial de l’auditeur dans la délimitation des unités linguistiques et son rapport avec la notion de signifiant, on a pour but, ainsi, de réfléchir à la place de l’auditeur dans les propositions de Saussure. Nous nous demandons donc quelle est l’importance de la notion d’auditeur pour la définition de signe linguistique, et dans quelle mesure cette position est insérée dans la réflexion générale de la théorie conçue par Saussure. Pour notre recherche, on utilise principalement le Cours de linguistique générale (2006), les Écrits de linguistique générale (2004) et les manuscrits de Harvard, présents dans Phonétique (1995), une fois que nous sommes aperçus, en lisant ces matériaux, un nombre pertinent de considérations qui renvoient à la position d’auditeur dans la langue. Nos lectures seront guidées par des concepts-clés de la théorie de Saussure, en particulier les notions qui dialoguent directement avec le thème de notre travail, les questions liées au signe, signifiant, sujet parlant, auditeur, valeur et découpage de l’unité. La lecture du corpus de recherche, dans la quête de la place de l’auditeur, nous a permis d’entrevoir l’importance de la forme sonore de la langue dans la réflexion théorique, à partir d’un point de vue qui paraît étroitement lié aux principes généraux de la proposition saussurienne. Nous avons été en mesure de discerner la place cruciale occupée par l’auditeur dans la définition de ce qui peut être pris comme unité linguistique tout en envisageant l’inséparabilité fondamentale entre l’aspect phonique de la langue et la possibilité de la signification. / Há cem anos, Ferdinand de Saussure fora gravado para sempre na história das ciências. Considerado fundador da linguística como hoje a conhecemos, o estudioso ganhou fama graças à publicação do Cours de Linguistique Générale em 1916, obra que continua provocando o interesse de estudiosos da linguagem para muito além do seu valor histórico. Em meio às mais variadas leituras, pesquisas e descobertas de textos manuscritos, as reflexões do genebrino deram lugar à discussão sobre a definição do objeto da linguística e fora responsável por projetar caminhos para as futuras gerações de linguistas, cuja responsabilidade seria a de, enfim, estabelecer teorias e métodos que pensassem a língua como objeto construído a partir de um determinado ponto de vista, considerando seu funcionamento semiológico via noção de sistema. O presente trabalho propõe-se a reler Saussure partindo da materialidade sonora a fim de olhar para seu valor como significante linguístico, em decorrência do constante apagamento do fato concreto em detrimento do fato abstrato realizado por interpretações dos ensinamentos do genebrino. Tem-se como objetivo, assim, pensarmos o lugar do ouvinte na proposta saussuriana, em razão do papel crucial operado por este na delimitação das unidades linguísticas. Nos questionamos, portanto, qual a importância da noção de ouvinte para a definição do signo linguístico, e em que medida esta posição está inserida na reflexão geral da teoria projetada por Saussure. Para nossa investigação, lançaremos mão prioritariamente do Curso de Linguística Geral (2006), dos Escritos de Linguística Geral (2004) e dos manuscritos de Harvard presentes em Phonétique (1995), visto que percebemos, na leitura destes materiais, uma presença significativa de considerações que levam em conta a posição de ouvinte na língua. As leituras serão guiadas por conceitos-chave da teoria saussuriana, em especial às noções que dialogam diretamente com a temática do trabalho, como as questões relacionadas ao signo, significante, falante, ouvinte, valor e recorte da unidade. A leitura do corpus de pesquisa à procura do lugar do ouvinte permitiu-nos vislumbrar a importância da forma sonora da língua na reflexão teórica a partir de um ponto de vista que mostra-se estritamente vinculado aos princípios gerais da proposta saussuriana. Foi-nos possível divisar o lugar crucial ocupado pelo ouvinte para a definição do que pode ser tomado como unidade linguística, vislumbrando a indissociabilidade fundamental entre o aspecto fônico da língua e a possibilidade da significação.
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O aspecto fônico da língua : uma reflexão sobre o lugar do ouvinte na proposta Saussuriana

Stawinski, Aline Vargas January 2016 (has links)
Il y a cent ans, Ferdinand de Saussure avait été pour toujours inscrit dans l’histoire des sciences. Considéré comme le fondateur de la linguistique que nous connaissons aujourd’hui, l’érudit a acquis une renommée grâce à la publication du Cours de linguistique générale, en 1916, ouvrage qui continue à provoquer l’intérêt des spécialistes du langage, au-delà de sa valeur historique. Parmi de différentes lectures, recherches et découvertes de textes manuscrits, les réflexions du genevois ont donné lieu à la discussion sur la définition de l’objet de la linguistique. Saussure a également été responsable de tracer le chemin pour les futures générations de linguistes, dont la tâche serait, enfin, d’établir des théories et des méthodes qui pensassent la langue comme un objet construit à partir d’un certain point de vue, compte tenu de son fonctionnement sémiologique via la notion de système. Ce travail propose de relire Saussure partant de la matérialité sonore, afin de regarder celle-ci en tant que signifiant linguistique, et ce, en raison de l’historique suppression du fait concret, par le fait abstrait dans des interprétations sur la pensée du genevois. Étant donné le rôle crucial de l’auditeur dans la délimitation des unités linguistiques et son rapport avec la notion de signifiant, on a pour but, ainsi, de réfléchir à la place de l’auditeur dans les propositions de Saussure. Nous nous demandons donc quelle est l’importance de la notion d’auditeur pour la définition de signe linguistique, et dans quelle mesure cette position est insérée dans la réflexion générale de la théorie conçue par Saussure. Pour notre recherche, on utilise principalement le Cours de linguistique générale (2006), les Écrits de linguistique générale (2004) et les manuscrits de Harvard, présents dans Phonétique (1995), une fois que nous sommes aperçus, en lisant ces matériaux, un nombre pertinent de considérations qui renvoient à la position d’auditeur dans la langue. Nos lectures seront guidées par des concepts-clés de la théorie de Saussure, en particulier les notions qui dialoguent directement avec le thème de notre travail, les questions liées au signe, signifiant, sujet parlant, auditeur, valeur et découpage de l’unité. La lecture du corpus de recherche, dans la quête de la place de l’auditeur, nous a permis d’entrevoir l’importance de la forme sonore de la langue dans la réflexion théorique, à partir d’un point de vue qui paraît étroitement lié aux principes généraux de la proposition saussurienne. Nous avons été en mesure de discerner la place cruciale occupée par l’auditeur dans la définition de ce qui peut être pris comme unité linguistique tout en envisageant l’inséparabilité fondamentale entre l’aspect phonique de la langue et la possibilité de la signification. / Há cem anos, Ferdinand de Saussure fora gravado para sempre na história das ciências. Considerado fundador da linguística como hoje a conhecemos, o estudioso ganhou fama graças à publicação do Cours de Linguistique Générale em 1916, obra que continua provocando o interesse de estudiosos da linguagem para muito além do seu valor histórico. Em meio às mais variadas leituras, pesquisas e descobertas de textos manuscritos, as reflexões do genebrino deram lugar à discussão sobre a definição do objeto da linguística e fora responsável por projetar caminhos para as futuras gerações de linguistas, cuja responsabilidade seria a de, enfim, estabelecer teorias e métodos que pensassem a língua como objeto construído a partir de um determinado ponto de vista, considerando seu funcionamento semiológico via noção de sistema. O presente trabalho propõe-se a reler Saussure partindo da materialidade sonora a fim de olhar para seu valor como significante linguístico, em decorrência do constante apagamento do fato concreto em detrimento do fato abstrato realizado por interpretações dos ensinamentos do genebrino. Tem-se como objetivo, assim, pensarmos o lugar do ouvinte na proposta saussuriana, em razão do papel crucial operado por este na delimitação das unidades linguísticas. Nos questionamos, portanto, qual a importância da noção de ouvinte para a definição do signo linguístico, e em que medida esta posição está inserida na reflexão geral da teoria projetada por Saussure. Para nossa investigação, lançaremos mão prioritariamente do Curso de Linguística Geral (2006), dos Escritos de Linguística Geral (2004) e dos manuscritos de Harvard presentes em Phonétique (1995), visto que percebemos, na leitura destes materiais, uma presença significativa de considerações que levam em conta a posição de ouvinte na língua. As leituras serão guiadas por conceitos-chave da teoria saussuriana, em especial às noções que dialogam diretamente com a temática do trabalho, como as questões relacionadas ao signo, significante, falante, ouvinte, valor e recorte da unidade. A leitura do corpus de pesquisa à procura do lugar do ouvinte permitiu-nos vislumbrar a importância da forma sonora da língua na reflexão teórica a partir de um ponto de vista que mostra-se estritamente vinculado aos princípios gerais da proposta saussuriana. Foi-nos possível divisar o lugar crucial ocupado pelo ouvinte para a definição do que pode ser tomado como unidade linguística, vislumbrando a indissociabilidade fundamental entre o aspecto fônico da língua e a possibilidade da significação.
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O aspecto fônico da língua : uma reflexão sobre o lugar do ouvinte na proposta Saussuriana

Stawinski, Aline Vargas January 2016 (has links)
Il y a cent ans, Ferdinand de Saussure avait été pour toujours inscrit dans l’histoire des sciences. Considéré comme le fondateur de la linguistique que nous connaissons aujourd’hui, l’érudit a acquis une renommée grâce à la publication du Cours de linguistique générale, en 1916, ouvrage qui continue à provoquer l’intérêt des spécialistes du langage, au-delà de sa valeur historique. Parmi de différentes lectures, recherches et découvertes de textes manuscrits, les réflexions du genevois ont donné lieu à la discussion sur la définition de l’objet de la linguistique. Saussure a également été responsable de tracer le chemin pour les futures générations de linguistes, dont la tâche serait, enfin, d’établir des théories et des méthodes qui pensassent la langue comme un objet construit à partir d’un certain point de vue, compte tenu de son fonctionnement sémiologique via la notion de système. Ce travail propose de relire Saussure partant de la matérialité sonore, afin de regarder celle-ci en tant que signifiant linguistique, et ce, en raison de l’historique suppression du fait concret, par le fait abstrait dans des interprétations sur la pensée du genevois. Étant donné le rôle crucial de l’auditeur dans la délimitation des unités linguistiques et son rapport avec la notion de signifiant, on a pour but, ainsi, de réfléchir à la place de l’auditeur dans les propositions de Saussure. Nous nous demandons donc quelle est l’importance de la notion d’auditeur pour la définition de signe linguistique, et dans quelle mesure cette position est insérée dans la réflexion générale de la théorie conçue par Saussure. Pour notre recherche, on utilise principalement le Cours de linguistique générale (2006), les Écrits de linguistique générale (2004) et les manuscrits de Harvard, présents dans Phonétique (1995), une fois que nous sommes aperçus, en lisant ces matériaux, un nombre pertinent de considérations qui renvoient à la position d’auditeur dans la langue. Nos lectures seront guidées par des concepts-clés de la théorie de Saussure, en particulier les notions qui dialoguent directement avec le thème de notre travail, les questions liées au signe, signifiant, sujet parlant, auditeur, valeur et découpage de l’unité. La lecture du corpus de recherche, dans la quête de la place de l’auditeur, nous a permis d’entrevoir l’importance de la forme sonore de la langue dans la réflexion théorique, à partir d’un point de vue qui paraît étroitement lié aux principes généraux de la proposition saussurienne. Nous avons été en mesure de discerner la place cruciale occupée par l’auditeur dans la définition de ce qui peut être pris comme unité linguistique tout en envisageant l’inséparabilité fondamentale entre l’aspect phonique de la langue et la possibilité de la signification. / Há cem anos, Ferdinand de Saussure fora gravado para sempre na história das ciências. Considerado fundador da linguística como hoje a conhecemos, o estudioso ganhou fama graças à publicação do Cours de Linguistique Générale em 1916, obra que continua provocando o interesse de estudiosos da linguagem para muito além do seu valor histórico. Em meio às mais variadas leituras, pesquisas e descobertas de textos manuscritos, as reflexões do genebrino deram lugar à discussão sobre a definição do objeto da linguística e fora responsável por projetar caminhos para as futuras gerações de linguistas, cuja responsabilidade seria a de, enfim, estabelecer teorias e métodos que pensassem a língua como objeto construído a partir de um determinado ponto de vista, considerando seu funcionamento semiológico via noção de sistema. O presente trabalho propõe-se a reler Saussure partindo da materialidade sonora a fim de olhar para seu valor como significante linguístico, em decorrência do constante apagamento do fato concreto em detrimento do fato abstrato realizado por interpretações dos ensinamentos do genebrino. Tem-se como objetivo, assim, pensarmos o lugar do ouvinte na proposta saussuriana, em razão do papel crucial operado por este na delimitação das unidades linguísticas. Nos questionamos, portanto, qual a importância da noção de ouvinte para a definição do signo linguístico, e em que medida esta posição está inserida na reflexão geral da teoria projetada por Saussure. Para nossa investigação, lançaremos mão prioritariamente do Curso de Linguística Geral (2006), dos Escritos de Linguística Geral (2004) e dos manuscritos de Harvard presentes em Phonétique (1995), visto que percebemos, na leitura destes materiais, uma presença significativa de considerações que levam em conta a posição de ouvinte na língua. As leituras serão guiadas por conceitos-chave da teoria saussuriana, em especial às noções que dialogam diretamente com a temática do trabalho, como as questões relacionadas ao signo, significante, falante, ouvinte, valor e recorte da unidade. A leitura do corpus de pesquisa à procura do lugar do ouvinte permitiu-nos vislumbrar a importância da forma sonora da língua na reflexão teórica a partir de um ponto de vista que mostra-se estritamente vinculado aos princípios gerais da proposta saussuriana. Foi-nos possível divisar o lugar crucial ocupado pelo ouvinte para a definição do que pode ser tomado como unidade linguística, vislumbrando a indissociabilidade fundamental entre o aspecto fônico da língua e a possibilidade da significação.
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THE DESCENDANTS OF ANCESTORS

Fidjeland, Aron January 2015 (has links)
The thesis project the Descendants of Ancestors explores the eccentric and strangely figurative qualities of Claude Nicolas Ledoux’s (1736-1806) architectural oeuvre.  The project focuses on Ledoux’s engravings and through careful reading (and deliberate mis-reading), transforms them into architectural characters. I regard these characters as Descendants of Ledoux, belonging to the same bloodline but unmistakably shaped by their conception in contemporary times. / Examensprojektet “the Descendants of Ancestors” undersöker de excentriska och figurala kvaliteterna i arkitekten Claude Nicolas Ledoux (1736-1806) verk. Projektet fokuserar på Ledoux gravyrer och översätter dem genom en noggrann läsning till arkitektoniska karaktärer. Jag ser dessa karaktärer som ättlingar till Ledoux, tillhörande samma släktträd men otvetydigt formade av deras tillkomst i samtiden
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L'évolution de la notion d'objet dans les romans d'Alain Robbe-Grillet : Les Gommes, le Voyeur, La Jalousie, Dans le Labyrinthe, La Maison de Rendez-vous et Djinn / The evolution of objects in novels by Alain Robbe-Grillet : Les Gommes, le Voyeur, La Jalousie, Dans le Labyrinthe, La Maison de Rendez-vous and Djinn

Ibrahim, Enas 25 March 2011 (has links)
Cette thèse a pour objectif d’étudier la présence et l'évolution des objets dans plusieurs romans d’Alain Robbe-Grillet : Les Gommes, Le Voyeur, La Jalousie, Dans Le Labyrinthe, La Maison de Rendez-vous et Djinn. Bien qu’ils soient partout dans l’œuvre, les objets de Robbe-Grillet n’ont encore jamais été étudiés de manière spécifique, détaillée, et à partir d’un large corpus. L’approche de notre travail est littéraire mais aussi sociologique. Il convient en effet de redonner aux objets la place qu’ils occupent dans les relations humaines. C'est à la lumière des recherches d’Abraham A. Moles, Jean Baudrillard, Bernard Blandin, entre autres, que nous avons choisi de nous pencher sur les rapports qui lient l'homme aux objets. Au terme de cette exploration, nous arriverons à la conclusion suivante : les objets robbe-grillétiens sont tantôt muets et opaques, tantôt parlants. Cet effet est pleinement manifesté dans les techniques descriptives qu'adopte le romancier. / This thesis aims at investigating the presence and the evolution of objects in several novels by Alain Robbe-Grillet: Les Gommes, Le Voyeur, La Jalousie, Dans le Labyrinthe, La Maison de Rendez-vous and Djinn. Although that objects have an evident existence in Robbe-Grillet’s work, they have never been studied specifically, in details, and from a large corpus. The approach of our work is literary but it is also sociological. It is suitable to give objects the statute they occupy in human relations. In the light of the research of Abraham A. Moles, Jean Baudrillard, Bernard Blandin, among others, we have chosen to dwell on the relations that link humans to objects. After this “exploration”, we reach the following conclusion: the objects are sometimes mute and opaque, sometimes talking. These characteristics are obvious in the description techniques which the novelist uses.
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Évolution de la fréquentation des cinémas et des théâtres à Lyon (1929-1939) / Evolution of attendance in cinemas and theatres in Lyon (1929-1939)

Marignan, Marylin 08 July 2014 (has links)
C’est le 8 mars 1929 qu’on voit pour la première fois à Lyon, dans une salle de cinéma, une production américaine sonore, Les Ailes (Wings, William A. Wellman, 1927). Ce film marque les débuts du cinéma sonore et parlant dans la capitale des Gaules. Dès lors, les grands établissements de la ville s’équipent d’une installation. C’est un succès phénoménal. L’arrivée et le triomphe du cinéma parlant inquiètent le monde théâtral qui voit en lui un sérieux et redoutable concurrent. À cette époque, de nombreux articles rapprochant le septième art et l’art dramatique vont paraître, nombre d’entre eux s’interrogent alors sur l’avenir du théâtre. Mais qu’en est-il réellement des répercussions de la généralisation du parlant sur l’évolution de la fréquentation des théâtres de la ville de Lyon ? Comment réagissent-ils face à l’arrivée des films parlants ? Cette nouvelle technologie a-t-elle eu des conséquences sur leur fréquentation et sur leur fonctionnement ? Dans une approche socio-culturelle, économique et historique, cette thèse se propose donc d’étudier et d’analyser l’évolution de la fréquentation des cinémas et des théâtres lyonnais au cours des années trente. L’étude de l’impact de la généralisation du parlant, puis de la crise économique et enfin de la mise en place des nouvelles lois sociales par le Front populaire en juin 1936 est alors déterminante pour comprendre les changements de rapports qui s’établissent entre ces deux arts. / The first time that an American sound film was shown in a cinema in Lyon, was on March 8, 1929. The movie was entitled Wings (Les Ailes, William A. Wellman, 1927). This film was a starting point for sound films also known as talking pictures, in the capital of the Gauls. From that point, cinemas started to equip. It was a phenomenal success. The beginnings and the triumph of sound films worried the theatre world, which saw them as a serious and fierce rival. This is the time when a lot of articles comparing cinematographic art and drama were published, many of them wondering about the future of drama. What were the repercussions of the transition to sound films on the evolution of theatres attendance in Lyon? How did theatres react to the rise of talking pictures? Did this new technology have an impact on theatres attendance and functioning? This thesis will pay attention to the evolution of attendance in Lyon’s cinemas and theatres in the 1930s focusing on a sociocultural, economic and historic approach. The study of the impact of the transition to sound films as well as the economic crisis and the implementation of laws by the Front populaire in June 1936 are then determining to understand the evolution of the connection between drama and cinema.
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Espace graphique et oralités vivaces : lecture ethnocritique des premiers romans de Marcel Aymé / Graphic space and tenacious oralities : an ethnocritical reading of the early fiction of Marcel Aymé

Blanchemanche, Valérie 22 November 2019 (has links)
Cette étude propose de questionner les correspondances entre l’architecture apparente ou non des premiers romans de Marcel Aymé (1902-1967) et la présence des nombreux « faits d’oralité » à l’œuvre ou mis en œuvre. L’approche ethnocritique de ces récits permet de croiser une poétique du romanesque et une anthropologie du symbolique. Nous nous appuyons tout d’abord sur la théorie du « roman parlant » liée à l’entre-deux guerres, période même de l’arrivée de Marcel Aymé dans le champ littéraire. Nous cartographions ensuite la présence et la conscience de la raison graphique en observant les jeux et enjeux d’une écriture composite. En effet, nous percevons à la fois les échos intertextuels avec la littérature classique mais aussi un intérêt pour d’autres formes de langages littéraires et cinématographiques. L’attention particulière à la voix narrative, le recours au burlesque et à l’ironie participent à la compréhension des choix esthétiques du jeune romancier et au style culturel de ces romans. Au centre de cette analyse, les personnages sont interrogés dans leur quête d’identité et dans leurs façons d’être en prise avec des systèmes étatiques et sociaux qui se concrétisent en particulier dans l’état-civil. Le rapport à l’image et la puissance de la numératie complètent la dynamique complexe de cette recherche identitaire. Voix publiques ou privées, singulières ou collectives, sonnantes ou dissonantes se font entendre dans la narration et sont examinées alors comme témoins des tensions culturelles internes aux communautés représentées. Une dernière partie lit les belligérances et/ ou les coalescences de l’habitus littératien et des oralités vivaces telles qu’elles apparaissent dans les romans de notre corpus (Brûlebois, Aller retour, La Table-aux-Crevés). Cette étude se veut aussi ouverte sur le monde ayméen dans son ensemble, attentive aux passerelles entre toutes les publications de l’auteur des articles de presse aux pièces de théâtre. / This study proposes to examine the relationship between the visible or non-visible structure of the first novels by Marcel Aymé (1902-1967) and the presence of numerous aspects of orality in the novels. An ethnocritical approach to these narratives makes it possible to combine a poetics of the novel with an anthropology of symbols. We base our study first of all on a theory of the “talking novel” (“roman parlant”) related to the period between the two world wars, which corresponds to the period when Marcel Aymé began publishing his work. Then we trace the presence and awareness of writing (as opposed to orality) through an examination of the stylistic effects of what could be called a composite form of writing and the role of these effects in the overall strategy of the author. In effect, we perceive intertextual echoes of the classics but also an interest in new forms of literary and cinematographic expression. The particular attention to narrative voice, but also the presence of the burlesque and of irony, are elements that help one to understand the aesthetic choices of the young author and the cultural style of his novels. In the central part of this analysis the characters are studied in the perspective of their search for identity and of their way of coming to terms with the public and social systems with which they are confronted through events involving their civil status (marriage, death, etc.). Their relationship with the image and power of numeracy is another important dimension of the complex dynamics of this search for identity. The voices that one hears in the narration, public or private, individual or collective, consensual or dissenting, are examined for the clues they yield concerning the cultural tensions present within the communities represented in the novels. The last part of the thesis examines the conflict and convergence between literacy as a “habitus” and the living traces of orality as they appear in the novels of the corpus (Brûlebois, Aller retour, La Table-aux-Crevés). This study also aims at being open to the world of Marcel Aymé as a whole and at being attentive to the interrelations between all the publications of the author, including his newspaper articles and his plays.

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