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Le débat autour de la théologie des religions de Jacques Dupuis

Randrianarison, Désiré Thierry 12 April 2018 (has links)
Jacques Dupuis, un Jésuite belge, a élaboré une nouvelle perspective sur la théologie des religions. Dans ses deux derniers ouvrages, il a tenté d'établir une « théologie chrétienne du pluralisme religieux », non seulement de « fait » mais aussi de « droit », laquelle, d'après lui, dépasse les trois paradigmes antérieurs que sont l'exclusivisme, l'inclusivisme et le pluralisme. Il s'agit, à partir d'une christologie trinitaire, de rester fidèle à la foi chrétienne (sans tomber dans l'isolement) et de s'ouvrir aux autres traditions religieuses (sans se livrer au relativisme). Ce travail comporte une démarche en trois temps. Il s'agit d'abord de découvrir l'originalité de la théorie de Jacques Dupuis, et la méthode qu'il a privilégiée. Nous examinerons ensuite les réactions auxquelles les positions de Dupuis ont donné lieu, notamment celles de Rome. Nous tâcherons enfin d'amorcer une réflexion sur la possibilité de tracer une autre voie. / Jacques Dupuis, a Belgian Jesuit, developed a new perspective on the theology of religions. In his last two books, he tried to establish a « Christian theology of religious pluralism », not only « of fact » but « of right », which, for him, would go beyond the previous three paradigms of exclusivism, inclusivism, and pluralism. Drawing on a trinitarian christology, Dupuis's approach sought to remain faithful to the Christian faith (without falling into isolation), while being open to other religious traditions (without indulging in relativism). The present work follows a three-step process. We will first expose the originality of Jacques Dupuis's theory, and the method he retained. Then, we will examine the reactions to which Dupuis's positions gave rise, especially those from Rome. Finally, we will initiate a reflection on the possibility of opening another avenue.
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La christologie transcendantale de Karl Rahner : pour un dialogue avec les religions non chrétiennes

Doucet, Jean-Philippe January 2004 (has links)
Mémoire numérisé par la Direction des bibliothèques de l'Université de Montréal.
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École, religions et formation du citoyen : transformations au Québec (1996-2008)

Tremblay, Stéphanie January 2008 (has links) (PDF)
Cette étude sociologique s'intéresse au statut réservé à la religion dans la socialisation scolaire au Québec dans un contexte de changement paradigmatique concernant la place de la religion et la prise en compte du pluralisme des convictions dans l'école. En abordant cette question sous l'angle des questionnements ayant pris forme à l'intérieur d'un vaste débat démocratique, ce mémoire vise à clarifier les conceptions sociales dominantes et plus particulièrement les visées éducatives souhaitées à l'égard du pluralisme axiologique mises au jour par l'aménagement de la place de la religion à l'école publique. Pour répondre à cet objectif, nous avons opté pour une recherche qualitative à trois volets. Nous avons d'abord analysé l'évolution des termes du débat social sur la religion à l'école entre 1996 et 2008 puis les principaux énoncés normatifs traduisant les orientations gouvernementales consécutives à l'expression des diverses revendications sociales. En étudiant le contenu du programme d'éthique et de culture religieuse, nous avons finalement tenté d'évaluer son degré de cohérence par rapport aux débats, aux Avis des organismes-conseils du gouvernement et aux orientations politiques relatifs à la formation des jeunes en matière de religion. Notre analyse nous a permis de déceler la présence d'une tension entre deux conceptions normatives de la démocratie et des droits fondamentaux qui s'affrontaient dans le débat sur la place de la religion à l'école: une conception laïque intégrant le pluralisme religieux, d'orientation libérale, et une conception inspirée de la confessionnalité communautarienne. Cette tension entre deux sources de normativité sociale s'est également reflétée dans les orientations gouvernementales et dans quelques perspectives du programme d'éthique et de culture religieuse, révélant certains glissements entre les intentions politiques et leur mise en oeuvre dans les objectifs mêmes de ce nouveau programme scolaire. L'analyse plus fine de ses contenus de formation nous a néanmoins révélé un parti pris pour une conception résolument libérale des droits fondamentaux axée sur une ouverture au pluralisme. Il n'en demeure pas moins que celte intention de prise en compte de l'altérité est empreinte d'une part d'idéalisme lorsqu'il est question de son opérationnalisation par le mode de compétences et en thèmes pèdagogiques au sein du programme. ______________________________________________________________________________ MOTS-CLÉS DE L’AUTEUR : École publique, Québec, Pluralisme, Religion, Citoyenneté.
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Comment expliquer l'absence de conflit religieux dans un pays multiconfessionnel? : cas de l'Albanie

Lita, Laure 24 April 2018 (has links)
Huntington avait-il raison lorsqu’il déclarait que la religion serait un élément sujet à diviser ? Loin de déclarer qu’il existe une recrudescence de conflits dans le monde, force est de constater que la dimension religieuse dans les conflits est quant à elle sur le devant de la scène. Les cas du Liban, de l’Irlande du Nord ou de l’Ex-Yougoslavie, des cas classiques, illustrent parfaitement cette dimension dans l’exacerbation d’un conflit. Toutefois, ce mémoire tend à expliciter un phénomène particulier ; celui de l’Albanie. Située dans la région des Balkans, un véritable carrefour des religions d’une part et considéré comme un pays multiconfessionnel d’autre part, elle n’a jamais connu de conflit à caractère religieux. Qu’est-ce qui explique que cet État, composé de musulmans, de chrétiens orthodoxes et de catholiques, n’a jamais vu un conflit religieux émerger tandis que ce mulitconfessionnalisme est facteur de conflit chez d’autres ? Nous verrons que l’hypothèse sur laquelle nous nous appuierons est l’absence d’entrepreneurs politique. L’Albanie post-communiste a maintenu la religion séparée du monde politique tout comme ce dernier a évité la prise de parti pris en véhiculant un message de tolérance religieuse. / Was Huntington right when he stated that religion would be prone to divide? Far from claiming there is an increase in conflicts in the world, it is now obvious that the religious dimension takes a centre stage in conflicts. The case of Lebanon, North Ireland or ex-Yugoslavia, such classical cases exemplified this dimension in the exacerbation of conflicts. Nonetheless, this thesis is intended to clarify a particular situation; the case of Albania. Located in the Balkan region, Albania is regarded both as a genuine crossroads of religion and as a multi-confessional country. Yet it has never witnessed any religious conflicts. How can we explain that this State, being composed of Muslims, Orthodox Christians and Catholics, has never suffer from a religious conflict while the multi-confessional element is a contributing factor to conflict in other States? This paper is based on the assumption that there is a lack of political entrepreneurship. The post-communist Albania has managed to clearly separate religion from the political world. Indeed, the latter helped prevent partisanship by conveying a message on religious tolerance.
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Entre l'enseignement religieux et l'enseignement moral : le régime d'option et le pluralisme religieux dans les écoles secondaires de la Commission des écoles catholiques de Montréal, 1983-1998

David, Jocelyn. January 2002 (has links)
Thèses (M.A.)--Université de Sherbrooke (Canada), 2002. / Titre de l'écran-titre (visionné le 20 juin 2006). Publié aussi en version papier.
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Mission prophétique de l'église maronite dans l'espace arabo-musulman à partir du Liban

Assaf, Saliba Bou 12 April 2018 (has links)
"Thèse présentée à la Faculté des études supérieures de l'Université Laval comme exigence partielle du programme de doctorat en théologie offert à l'Université de Sherbrooke en vertu d'un protocole d'entente avec l'Université Laval pour l'obtention du grade de Philosophiae Doctor (Ph. D.)"
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Les minorités religieuses, la neutralité de l'État et les accommodements raisonnables en France et au Royaume-Uni / Religious minorities, state neutrality and reasonable accomodations in France and Great britain

Ouamba-Patas, Joseph-Nestor 28 March 2013 (has links)
Le pluralisme religieux est une réalité objective au Royaume-Uni et en France. Les minorités religieuses, demeurent un sujet récurrent qui suscite d’intarissables réflexions, d’études, de débats scientifiques et politiques. Elles sont une véritable préoccupation pour le politique, l’Europe et l’Etat ; à telle enseigne qu’il faille s’interroger sur ce que l’Etat peut leur proposer comme meilleure protection au XXIème siècle. La France et le Royaume-Uni sont confrontés à ce défi. Outre, la neutralité de l’Etat au regard de la religion rend complexes les rapports de ces minorités religieuses avec l’Etat en France où le concept de minorités religieuses n’est pas connu du droit français en vertu du caractère laïque de l’Etat français proclamé par l’article 1er de sa Constitution et la loi du 9 Décembre 1905 de la Séparation de l’Etat et de l’Eglise. Les minorités religieuses sont un non-sujet en droit français. Mais au Royaume-Uni, les minorités qualifiées de confessions religieuses sont reconnues quand bien même l’Eglise Anglicane est l’Eglise établie et officielle, avec à sa tête la Reine Elizabeth II. Il n’y a pas de séparation entre l’Eglise et l’Etat. En Ecosse, l’Eglise Presbytérienne fait figure d’Eglise établie, mais séparée de l’Etat. Aussi, toujours liée aux minorités religieuses, la question de l’application du principe d’ajustement raisonnable pour écarter des cas de discrimination en matière religieuse. L’ordre juridique britannique connaît ce principe et l’applique. Alors qu’en France, ce principe est ignoré et fait l’objet d’une application purement informelle. Certes, la globalisation apporte des faits positifs en Europe et notamment dans ces deux Etats, mais elle contient aussi des risques auxquels il faut prêter attention au XXIème siècle. Ainsi, les minorités nationales, les communautés linguistiques et les différentes unités constitutives de l’Etat demandent, en faisant appel au principe de la diversité, la reconnaissance de leurs droits collectifs, une multiplication des structures régionales et le perfectionnement de leurs prérogatives. L’apparition des « nouvelles minorités », celles des immigrants posent de nouvelles difficultés. En pratique, la religion historique du pays est privilégiée. Les religions pratiquées par les immigrés – Islam, Bouddhisme, Hindouisme, etc – sont alors l’objet d’une discrimination plus ou moins forte. Le besoin de visibilité de ces religions – et de l’Islam en occurrence – remet en cause le cadre fixé à la fin du XIXème siècle qui régit le fonctionnement des religions dans les divers Etats. Cette évolution touche plus durement les Etats laïcs de tradition catholique comme la France que les pays de tradition protestante où la place du religieux dans l’espace public est par tradition plus facilement acceptée comme le Royaume-Uni. Il faut aussi considérer que les religions importées par les populations migrantes sont souvent des « ethno-religions ». L’enjeu identitaire y est considérable, et il tend même à se substituer à celui de la liberté de croyance. Le Royaume-Uni et la France s’inscrivent dans ce registre à propos de leurs minorités religieuses. / Religious pluralism is an objective reality in France and Great-Britain. The religious minorities remain a recurring subject which inexhaustible reflections, studies, scientific and political debates. They show real concern to policymakers, Europe and State; so much so that it is necessary to wonder about what the State can propose them as better protection in the XXIst century. France and Great-Britain are confronted with this challenge. Besides the neutrality of the State with regard to the religion, makes complex relationships of these religious minorities with the State in France; where the concept of religious minorities is not known of French Law by virtue of the secularity – laic – character of the French State proclaimed by the 1st article of its Constitution and the Law of December 9th, 1905 of the Separation of the State and the Church. The religious minorities are no-subject in French Law. But in Great-Britain, the qualified religious, minorities of religious confessions are recognized when well even the Church of England is established and official Church with at its head Queen Elizabeth II. There is no separation between the Church and the State. In Scotland, the Kirk as considered as established Church and separated from the State. Also, always related to religious minorities, the question of application of reasonable principle of accommodation to draw aside from the cases of discrimination out of religious matter. The British legal order knows this principle and applies. Whereas in France this principle is ignored and is the object of purely abstract application. Admittedly, the globalization brings positive facts to Europe and in particular in these two States, but it contains also risks for which it is necessary to pay attention to the XXIst century. Thus, the national minorities, the speech communities and the various constitutional units of the State require, by calling on the principle of diversity, recognition of their collective rights, a multiplication of regional structures and improvement of their prerogative. The appearance of the “new minorities”, those of immigrants raises new difficulties. In practice, the historical religion of the country is often privileged. The religions practiced by immigrants – Islam, Buddhism, Hinduism, etc – are then the object of more or less strong discrimination. The need for the visibility of these religions – Islam I occurrence – calls into question the framework fixed at the end of XIXth century which governs the operation of religions in the various States. This evolution touches hardly the secular States of Catholic tradition like France, than the countries of Protestant tradition where the place of religious in public space is by tradition more easily accepted like Great-Britain. It as should be considered as the religions imported by migrant populations are often “ethno-religions”. The identity challenge is considerable there, and it even tends to replace that of freedom of belief. Great-Britain and France fall under this register in connection with their religious minorities.
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Les aspects collectifs et institutionnels de la liberté de religion dans la jurisprudence européenne de la Cour européenne des droits de l'homme / Collective and institutional aspects of freedom of religion in the case law of the European Court of Human Rights

Schouppe, Jean-Pierre 23 September 2013 (has links)
La liberté de religion prend de plus en plus d’importance dans la jurisprudence de la Cour européenne des droits de l’homme. Bien que le centre de gravité historique de ce droit fondamental réside dans sa dimension individuelle, les juges sont fréquemment confrontés à des aspects « institutionnels » ou communautaires de la liberté de religion : des droits revenant aux groupements religieux comme tels. En quête des prémisses de cette liberté, le chapitre 1er retrace les apports spécifiques du christianisme, du judaïsme et de l’islam en la matière. Les principaux instruments de droit international, universels et européens, ainsi que la jurisprudence de la Cour de Justice de l’Union européenne, sont abordés au chapitre 2 du point de vue de la liberté de religion collective et institutionnelle comme la toile de fond nécessaire à l’activité de la Cour de Strasbourg. Le chapitre 3 examine l’article 9 de la CEDH ainsi que d’autres articles protégeant des droits connexes à la liberté de religion avant de se pencher sur la notion de groupement religieux, dont la distinction d’avec les sectes (dangereuses) s’avère souvent problématique. Les deux derniers chapitres sont consacrés à une étude systématique de la jurisprudence de Strasbourg depuis l’admission, en 1979, de la première requête d’une « église requérante ». Le versant procédural, puis les droits substantiels sont successivement abordés. Leurs contenus seront analysés selon un double axe : d’abord, la liberté d’ « existence » du groupement, puis les plus nombreuses facettes de sa liberté d’ « action » ou de son « autonomie ». / Freedom of religion is becoming increasingly important in the case law of the European Court of Human Rights. Although the historical centre of gravity of this fundamental right lies in its individual dimension, judges are frequently confronted with “institutional” or communal aspects of freedom of religion: the rights of religious groups as such. Within the scope of the search for the premises of this freedom, chapter 1 explains the specific contributions of Christianity, Judaism and Islam in this respect. The principal instruments of international law, both universal and European, as well as the case law of the Court of Justice of the European Union are discussed in chapter 2 in terms of collective and institutional religious freedom as the background necessary to the Strasbourg Court’s activities. Chapter 3 examines article 9 of the ECHR as well as other articles protecting any rights related to freedom of religion and subsequently addresses the notion of religious groups, whose distinction from (dangerous) sects is often problematic. The two final chapters are dedicated to a systematic examination of the case law of the Strasbourg Court since the admission in 1979 of the first application by an “applicant church”. The procedural aspect and the substantive rights are discussed successively. Their contents will be analysed on the basis of a double axis: firstly a group’s freedom to “exist”, secondly the more numerous aspects of its freedom to “act” or its “autonomy”.
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Les perceptions du pluralisme culturel et religieux au Québec

Torres, Fabien January 2009 (has links) (PDF)
Ce mémoire, comme son titre l'indique, porte sur les perceptions du pluralisme culturel et religieux au Québec. Afin d'alimenter la réflexion sur ce sujet, j'ai analysé les mémoires de vingt-sept acteurs importants du Québec qui ont été déposés à la Commission de consultation sur les pratiques d'accommodement reliées aux différences culturelles. Cette dernière a vu le jour afin de répondre aux expressions de mécontentement qui se sont élevées dans la population au cours de l'année 2007 à propos des accommodements ou ajustements consentis à des individus pour des motifs religieux. Dès lors, afin de comprendre davantage dans quelle mesure la pluralité culturelle et religieuse devait être reconnue au Québec, mes objectifs de recherche furent de cerner les perceptions autour de quatre enjeux fondamentaux qui touchent la gestion de la pluralité culturelle et religieuse: soit le modèle d'intégration en vigueur au Québec, l'immigration, le principe des accommodements raisonnables et le pluralisme. Pour ce faire, j'ai donc appliqué la méthode sociologique de l'analyse de contenu, qui m'a permis d'extraire les perceptions des différents acteurs concernant ces quatre enjeux importants qui touchent la diversité. Malgré les tensions générées au cours de l'année 2007, l'hypothèse que j'émets est qu'en laissant s'exprimer certaines revendications des membres des minorités culturelles, ces ouvertures sur des pratiques culturelles minoritaires permettent une adaptation en douceur de la manière de gérer une société pluraliste, afin d'y créer une nouvelle harmonie sociale, basée sur des fondements plus ouverts et plus inclusifs. De fait, le modèle d'intégration d'une société, ses politiques d'immigration, son ouverture aux différences culturelles, sont autant d'éléments qui influencent les perceptions de la diversité. L'analyse effectuée dans ce mémoire montre que la société québécoise (ou du moins les acteurs étudiés), bien qu'étant ouverte à la diversité, manifeste plusieurs réticences, notamment quant à l'expression du religieux. Le principe d'accommodement, bien que largement valorisé comme un outil favorisant l'intégration, suscite plusieurs réticences lorsque les demandes concernent des pratiques religieuses ou des signes religieux. La remise en cause de certains consensus collectifs que provoque l'accroissement de la diversité, associé au malaise identitaire créé par le statut de société francophone minoritaire en Amérique du Nord, fragilise, aux yeux de certains, la cohésion sociale de la société québécoise. Ceci, exacerbé par la période de « crise identitaire » qu'a connue le Québec au cours de l'année 2007, peut avoir des conséquences fâcheuses sur les perceptions des membres des minorités culturelles qui vivent au Québec. ______________________________________________________________________________ MOTS-CLÉS DE L’AUTEUR : Pluralisme, Religion, Interculturalisme, Représentations, Immigration.
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Neutralité de l'État et régulation de la diversité religieuse au Québec et en France

Koussens, David 02 1900 (has links) (PDF)
Cette thèse a pour objectif d'éclairer les types dominants de la neutralité et leurs évolutions dans les modèles étatiques québécois et français relatifs à la régulation de l'expression individuelle et collective du religieux dans la sphère publique. Pour cela, elle propose une modélisation abstraite des types de neutralité décelables dans la gouvernance publique. Il s'agit de la neutralité confessionnelle qui renvoie au strict traitement égalitaire des diverses confessions religieuses, ainsi que de la neutralité référentielle qui correspond à position ne référant pas à une conception du bien présente dans la société civile dans la régulation de la diversité religieuse. La neutralité, qui est l'un des principes constitutifs de la laïcité, est appréhendée en tant qu'indicateur des modalités de régulation de la diversité religieuse au Québec et en France. Au regard du type de neutralité qui ressort de la gouvernance étatique et du poids qu'il a sur l'articulation des autres principes constitutifs de la laïcité (égalité, liberté de conscience et de religion, séparation des Églises et de l'État), la thèse s'attache à dégager la figure de laïcité émergeant dans le traitement de tel ou tel fait social. Dans ce contexte, l'analyse s'attache à identifier dans les deux sociétés les corrélations ou les divergences entre les figures de laïcités décelables dans la « laïcité narrative », c'est-à-dire dans une forme de discours idéalisé sur la laïcité, et dans la « laïcité juridique » qui correspond aux aménagements politiques et juridiques de la laïcité. La neutralité étant une exigence normative qui s'impose à l'État en limitant les raisons qu'il peut invoquer pour justifier les politiques qu'il adopte, les analyses présentées s'appuient sur des sources primaires qui ont toutes trait à l'action étatique. Pour cela, les analyses s'appuient sur les législations, les jurisprudences et les rapports publics relatifs à la régulation de la diversité religieuse dans ces deux sociétés. ______________________________________________________________________________ MOTS-CLÉS DE L’AUTEUR : laïcité, neutralité, liberté de conscience et de religion, séparation des Églises et de l'État, diversité religieuse, Québec, France

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