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La matrice idéologique et les modèles culturels des téléjournaux québécoisBelzil-Mélançon, Sarah 06 1900 (has links) (PDF)
L'auteure propose une interprétation des téléjournaux québécois afin de mieux saisir les schèmes de pensée constitutifs de la société québécoise actuelle. Présenté sous la forme d'une recherche dite « classique », ce mémoire propose de percevoir et d'analyser le journalisme télévisé sous l'angle d'un rituel symbolique. L'auteure oriente d'abord son questionnement sur les valeurs véhiculées dans le cadre des bulletins d'information télévisés, et plus particulièrement ensuite sur la représentation et la reconstruction des réalités humaines et sociales présentées aux téléspectateurs. Pour ce faire, l'auteure s'appuie sur des résultats et observations empiriques tirées de l'analyse de contenu de téléjournaux. Elle propose finalement d'appréhender le phénomène du téléjournal comme un rituel socio-symbolique au sein de l'espace public et soulève la question des enjeux reliés au processus de « construction de la réalité » tel qu'abordé par James Carey. En conclusion, les caractéristiques propres de l'information télévisée sont mises en relief dans le but d'apporter des éléments de réponse qui permettront de mieux comprendre les modèles culturels des téléjournaux québécois. À travers cette démarche, l'auteure souhaite démontrer l'importance du pouvoir culturel et social des téléjournaux, tout en soulignant ici que les médias jouent un rôle central dans l'élaboration de nos perceptions de la réalité.
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MOTS-CLÉS DE L’AUTEUR : communication, espace public, idéologie, téléjournal, médias.
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Contribution de la concertation à la démocratisation de la gestion municipale : le cas de la ville de Trois-RivièresFortier, Julie January 2009 (has links) (PDF)
Il y a à peine quelques années, la gestion municipale au Québec s'opérait de façon plus hermétique, réunissant élus et administrateurs municipaux pour prendre toutes décisions concernant les affaires de la ville. L'évolution des enjeux aux plans politique, social et économique a toutefois mené les municipalités à faire preuve, au fil des années, de plus d'ouverture et de transparence dans la gestion de leurs services et dans l'élaboration de leurs politiques. Depuis, dans la sphère de l'action publique, s'opère un changement idéologique menant à l'intégration des citoyens et des groupes organisés du milieu. Parmi les approches utilisées dans la gestion municipale visant la participation d'une pluralité d'acteurs, nous retrouvons les expressions classiques suivantes: l'information, la consultation, la concertation, le partenariat et la cogestion, selon le degré d'influence décisionnelle accordé aux citoyens et aux groupes de la société civile dans la participation publique. Le point d'intérêt de cette recherche touche la modalité de participation qu'est la concertation. Nous nous demandons de quelle façon la concertation pratiquée dans l'élaboration de politiques municipales contribue à la démocratisation de la gestion municipale. Nous postulons, à titre d'hypothèse générale, que la concertation contribue à rendre plus démocratique la gestion municipale en ouvrant un espace de discussion mettant en scène des rôles marquants. Considérons à ce propos les noyaux suivants: des élus dont la légitimité se fonde sur la démocratie représentative; des administrateurs dont la légitimité se base sur leurs connaissances professionnelles et de l'appareil municipal; des reprèsentants d'institutions publiques dont la légitimité repose sur leur vision élargie et leur expertise; des organismes communautaires dont la légitimité se fonde sur leur expertise et leur lien direct avec la population. La concertation contribue également à démocratiser la gestion municipale si elle ne limite pas le débat à quelques élites. Elle s'accompagne alors de mécanismes pouvant ouvrir la discussion à une plus grande pluralité d'acteurs; notamment, les simples citoyens. Pour répondre à cette question et vérifier cette hypothèse, nous avons étudié deux projets d'élaboration de politiques municipales; à savoir, la politique familiale et la politique de développement social; toutes deux élaborées et adoptées par la Ville de Trois-Rivières. Pour chacun des projets étudiés, des entretiens individuels et semi-dirigés furent menés auprès des acteurs ayant participé aux comités: élus et administrateurs municipaux, coordonnateurs des projets, représentants d'organismes communautaires et d'institutions et des citoyens. Au total, 28 entretiens ont été effectués. Par ailleurs, nous avons procédé à la cueillette des documents utilisés lors des rencontres des groupes de concertation et nous avons assisté aux consultations organisées dans le cadre des deux démarches à l'étude. En lien avec notre question générale et notre hypothèse principale, nos résultats révèlent que la concertation contribue à la démocratisation de la gestion municipale par l'intégration de représentants de la société civile au sein des processus de formulation des politiques initiés par le pouvoir public. La concertation contribue également à démocratiser la gestion municipale par la nature délibérative des espaces de concertation instaurés et par une ouverture d'espaces de communication parallèles à la concertation rendus accessibles aux organismes et aux citoyens externes aux comités de concertation. La qualité démocratique de la concertation varie, en outre, selon l'approche de démocratie à partir de laquelle elle est analysée. Elle se veut démocratique vue sous l'approche représentative par les acteurs qu'elle réunit (élus et représentants d'organismes) et sous l'approche délibérative en référence, notamment, à l'espace de discussion et d'échanges raisonnés qu'elle fournit aux acteurs. La concertation peut également être considérée démocratique sous l'approche participative: lorsqu'elle ouvre, comme dans les cas étudiés, des espaces publics de communication en complémentarité invitant un plus large éventail d'acteurs à participer aux projets de politiques. En outre, les résultats démontrent que l'objet au coeur de la concertation a influencé les modalités de cette dernière. Dans les cas étudiés, les objets au fondement des politiques suscitèrent un impact sur la façon dont ils furent inscrits à l'agenda, sur les règles procédurales de la concertation et sur les acteurs mobilisés. ______________________________________________________________________________ MOTS-CLÉS DE L’AUTEUR : Concertation, Démocratie, Représentation, Participation, Délibération, Espace public, Politique municipale.
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Pratiques médiatiques alternatives et espaces publics : le cas du Wapikoni mobileSerpereau, Antonin 11 1900 (has links) (PDF)
Cette thèse porte sur les pratiques médiatiques alternatives et leur rapport à la diffusion. De nombreux travaux théoriques proposent en effet de considérer que les processus sociaux et cognitifs qui ont lieu lors de la réalisation de contenus médiatiques alternatifs sont au final plus importants que leur diffusion. Ou, pour reprendre Rafael Roncagliolo, que le « procès » médiatique est plus important que le « produit » (Roncagliolo, 1991), par rapport aux objectifs d'émancipation qui sont au cœur de ces pratiques. Après avoir démontré la prégnance de cette approche dans les travaux théoriques des vingt dernières années, nous soutenons que la diffusion n'est pas aussi absente que supposée, et nous plaidons pour un cadre d'analyse qui la prenne en compte. Le propos de cette thèse est par conséquent de voir comment, dans une pratique médiatique alternative, s'articulent « procès » et « produit », processus de production médiatique et diffusion de contenus. La diffusion est abordée en relation avec l'arène médiatique et aux différentes stratégies qu'il est possible d'envisager pour de petits groupes sociaux. Nous abordons plusieurs enjeux théoriques dans ce travail. D'une part, nous discutons le potentiel émancipateur prêté aux différentes pratiques médiatiques alternatives en remettant en question le fait que le seul « procès » puisse réunir toutes les conditions nécessaires à une réelle praxis, concept qui fait l'objet d'un travail à partir de la théorie de la conscientisation (Freire, 1993,2001; Mayo, 1999; McLaren, 2000). D'autre part, nous discutons abondamment la perspective habermassienne de l'espace public, pour lui préférer la proposition de multiples espaces publics en situation de concurrence (Fraser, 1993,2005; Jameson, 1993; Negt & Kluge, 1988). Le concept de contre-public subalterne (Fraser, 2005) est également particulièrement sollicité, car il permet à notre avis de fournir une grille pertinente en manière de relations stratégiques à l'arène médiatique. Enfin, nous nous appuyons sur le travail de Cornelius Castoriadis, et notamment son concept « d'institution imaginaire instituée » (Castoriadis, 1999), qui nous semble à la fois pertinent par rapport aux considérations entourant la praxis, c'est-à-dire une pratique (en l'occurrence médiatique) qui permet la discussion puis la déconstruction de significations imaginaires instituées, et par rapport à l'analyse de stratégies médiatiques. Pour répondre à ces questions, nous avons abordé le cas du Wapikoni Mobile. Ce projet présente en effet la particularité de mettre l'accent sur un mode de production spécifique, qui permet à de jeunes Autochtones de réaliser des courts-métrages audiovisuels dans le cadre de formations qui se déroulent dans de nombreuses réserves du Québec. Aux côtés de cette activité, qui constitue son cœur de métier, il est également animé par la volonté de modifier les représentations vis-à-vis des Autochtones, et fait un travail conséquent de diffusion des films qu'il produit. Nous avons abordé ce cas à partir de trois échantillons : les diffusions réalisées entre 2004 et 2009, une étude qualitative de deux formations dispensées durant l'été 2009, et une étude d'une sélection de films parmi les plus diffusés par le Wapikoni Mobile. Ce travail nous a permis de développer un cadre d'analyse qui situe le potentiel émancipateur des pratiques médiatiques alternatives dans une praxis où le poids de la diffusion, c'est-à-dire du rapport à l'Autre, est fondamental. C'est en effet dans la réflexion autour de significations imaginaires instituées que les locuteurs veulent aborder que le « procès » médiatique prend réellement son sens en tant que pratique émancipatrice. D'autre part, nous avons proposé un cadre d'analyse des stratégies médiatiques où la place de la surdétermination reste centrale, tant en terme de vecteurs médiatiques que de types de discours possibles, ce qui permet de fournir une alternative aux théories qui critiquent l'usage de la communication dans les affaires publiques. Ce travail permet enfin de situer de manière à notre avis plus juste la portée des pratiques médiatiques alternatives, tantôt trop rapidement condamnées pour leur inefficacité à aboutir au changement social initialement visé, tantôt dotées de trop de pouvoirs dans la redéfinition d'un univers politique essentiellement perçu à travers un prisme symbolique.
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MOTS-CLÉS DE L’AUTEUR : médias alternatifs, pratiques médiatiques alternatives, espace public, espaces publics, arène médiatique, contre-public subalterne, praxis, émancipation, conscientisation, signification imaginaire instituée, stratégie médiatique, tactique.
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La manifestation publique de l'appartenance religieuse : l'argumentation d'opposants aux accommodements raisonnablesLeroux, Judith 11 1900 (has links) (PDF)
Depuis la controverse sur les accommodements raisonnables (AR), la manifestation publique de l'appartenance religieuse (MPAR) soulève d'importants débats au sein de la société québécoise. Si pour plusieurs, le port de symboles religieux visibles (SRV) fait intrinsèquement partie du respect de la liberté de conscience et de religion, d'autres ont manifesté leur opposition à la MPAR, ou du moins la nécessité de la restreindre au sein des institutions publiques et parapubliques et parfois même au sein de la sphère publique. Cette recherche vise à approfondir les arguments d'opposition à la MPAR avancés par des auteurs ayant publié sur le sujet depuis la controverse sur les AR afin d'identifier les principales catégories discursives d'opposition à la MPAR. Elle vise ensuite à identifier les conceptions de la laïcité souhaitées par les auteurs sélectionnés afin d'analyser les conséquences qu'elles peuvent engendrer sur la MPAR. Elle vise finalement à vérifier si les catégories discursives contiennent certains mécanismes du racisme. Deux conclusions principales ressortent de cette recherche. La première démontre que la conception de la laïcité souhaitée par les auteurs sélectionnés vise surtout à restreindre la MPAR. La deuxième fait constat que les principaux arguments d'opposition à la MPAR renferment certains mécanismes du racisme.
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MOTS-CLÉS DE L’AUTEUR : Manifestation publique de l'appartenance religieuse, symboles religieux visibles, laïcité, accommodements raisonnables de nature religieuse, liberté de conscience et de religion, racisme.
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Les pouvoirs domestiques entre dissimulation et affirmation une comparaison entre des femmes marocaines "d'ici et de là-bas" /Mounir, Hakima Dardy, Claudine. January 2007 (has links) (PDF)
Thèse de doctorat : Sociologie : Paris 12 : 2007. / Titre provenant de l'écran-titre. Pagination : 405 p. Bibliogr. : 290 réf.
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Ladies in the house gender, space and the parlours of Parliament in late-nineteenth-century Canada /Reid, Vanessa, January 1900 (has links) (PDF)
Thesis (M.Arch.)--McGill University, 1997. / Includes bibliographical references.
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Ladies in the house, gender, space and the parlours of Parliament in late-nineteenth-century CanadaReid, Vanessa January 1997 (has links) (PDF)
No description available.
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De la cuisine au studio : le rapport public/privé interrogé au fil des parcours d'artistes québécoises de trois générationsLupien, Anna 03 1900 (has links) (PDF)
Depuis quelques décennies, la société québécoise a été traversée par plusieurs transformations sociales déclenchées par le mouvement féministe et par le mouvement des femmes. En l'espace de quelques générations, à travers une série de luttes pour l'égalité, pour la liberté et pour l'autonomie, les femmes sont parvenues à remettre en question leur assignation à la sphère domestique et à prendre une place grandissante dans la sphère publique. Au fil des parcours d'artistes québécoises de trois générations liées à différentes mouvances artistiques, ce mémoire de maîtrise pose un regard sociologique sur les processus à travers lesquels des femmes ont investi l'art comme espace d'expression dans la sphère publique. La question est abordée sous l'angle des stratégies créatives qui ont pu être imaginées individuellement et collectivement par des femmes au cours des dernières décennies pour transformer les rapports sociaux ou pour composer avec les limites posées par les modèles dominants afin de développer une pratique sociale à l'extérieur des limites de la domesticité et de s'engager dans la sphère publique. La reconfiguration du rapport privé/public est ainsi abordée à partir des trajectoires de trois générations d'artistes québécoises, soit les femmes signataires du manifeste Refus global publié en 1948, les premières cinéastes qui ont œuvré à l'ONF dans le cadre de Studio D et de la série En tant que femmes au cours des années 70 et 80, et les artistes impliquées au Studio XX, centre d'artistes féministe voué aux arts technologiques créé en 1995. La réflexion s'articule autour de trois principaux volets. Le premier traite des positions occupées par les femmes dans le champ de l'art, d'une part en tant que sujets créateurs, et d'autre part en tant que sujets des œuvres. Le deuxième volet aborde la créativité déployée par les femmes pour investir des espaces d'expression qui ne leur étaient pas ouverts d'emblée et pour combiner leur vie de femme avec leur vie d'artiste. Il est ainsi question des tactiques, stratégies et autres bricolages du quotidien qu'elles ont élaborés pour développer et maintenir leur pratique artistique tout en composant avec les défis liés au monde de l'art ainsi qu'aux structures sociales des rapports de sexe. La troisième partie de l'analyse porte sur les différentes rencontres entre l'art et le politique provoquées par les démarches des trois générations d'artistes interviewées et sur la façon dont elles ont pu investir l'art comme espace original d'expression et d'engagement dans la sphère publique.
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MOTS-CLÉS DE L’AUTEUR : art et société, engagement social, représentations sociales, créativité, privé/public, féminisme, transformations sociales, rapports sociaux de sexe.
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Neutralité de l'État et régulation de la diversité religieuse au Québec et en FranceKoussens, David 02 1900 (has links) (PDF)
Cette thèse a pour objectif d'éclairer les types dominants de la neutralité et leurs évolutions dans les modèles étatiques québécois et français relatifs à la régulation de l'expression individuelle et collective du religieux dans la sphère publique. Pour cela, elle propose une modélisation abstraite des types de neutralité décelables dans la gouvernance publique. Il s'agit de la neutralité confessionnelle qui renvoie au strict traitement égalitaire des diverses confessions religieuses, ainsi que de la neutralité référentielle qui correspond à position ne référant pas à une conception du bien présente dans la société civile dans la régulation de la diversité religieuse. La neutralité, qui est l'un des principes constitutifs de la laïcité, est appréhendée en tant qu'indicateur des modalités de régulation de la diversité religieuse au Québec et en France. Au regard du type de neutralité qui ressort de la gouvernance étatique et du poids qu'il a sur l'articulation des autres principes constitutifs de la laïcité (égalité, liberté de conscience et de religion, séparation des Églises et de l'État), la thèse s'attache à dégager la figure de laïcité émergeant dans le traitement de tel ou tel fait social. Dans ce contexte, l'analyse s'attache à identifier dans les deux sociétés les corrélations ou les divergences entre les figures de laïcités décelables dans la « laïcité narrative », c'est-à-dire dans une forme de discours idéalisé sur la laïcité, et dans la « laïcité juridique » qui correspond aux aménagements politiques et juridiques de la laïcité. La neutralité étant une exigence normative qui s'impose à l'État en limitant les raisons qu'il peut invoquer pour justifier les politiques qu'il adopte, les analyses présentées s'appuient sur des sources primaires qui ont toutes trait à l'action étatique. Pour cela, les analyses s'appuient sur les législations, les jurisprudences et les rapports publics relatifs à la régulation de la diversité religieuse dans ces deux sociétés.
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MOTS-CLÉS DE L’AUTEUR : laïcité, neutralité, liberté de conscience et de religion, séparation des Églises et de l'État, diversité religieuse, Québec, France
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La transparence de la vie publique en France / Transparency in french politicsPuydebois, Grégori 15 November 2019 (has links)
La transparence de la vie publique correspond à un corpus de règles contraignantes visant à renouer la confiance entre les citoyens et les responsables publics. En outre, la notion de transparence se trouve quasi naturellement associée par la doctrine à l’idéal démocratique. L’analyse du droit positif montre que la transparence de la vie publique a élargi significativement le droit de la probité des responsables publics en développant une approche complémentaire de l’arsenal répressif préexistant. En trente ans, la législation a évolué dans le sens d’une plus grande effectivité. Cependant, elle présente encore de nombreuses insuffisances, particulièrement en matière de contrôle du financement de la vie politique. Par ailleurs, le potentiel démocratique de la transparence s’avère inexploité. La transparence de la vie publique n’entraîne pas de rééquilibrage entre les pouvoirs et fait une place marginale aux citoyens. Le législateur et le juge constitutionnel ne lui reconnaissent pas une valeur constitutionnelle. De plus, sa contribution à la garantie des droits politiques essentiels à la démocratie parlementaire reste mesurée. En revanche, le principe de séparation des pouvoirs et certains droits fondamentaux limitent considérablement la portée des contrôles sur les responsables publics et font obstacles à la transparence. / Transparency in public life refers to a set of restrictive rules designed for restoring trust between citizens and public leaders. Moreover, transparency is naturally associated to the democratic ideal. Analysis in positive law shows transparency in public life significantly broadens probity rules for politicians and public leaders as it develops a complementary approach to pre-existing repressive rules. For thirty years, statutes have evolved to a better efficiency. Nevertheless, they are still not enough, especially regarding controls over political funding. In addition, the transparency democratic potential has been neglected. Transparency in politics does not refund the balance between powers and only gives a marginal role for citizens. Both Parliament and Constitutional judge do not recognise it as a constitutional value. Furthermore, their contributions to guarantee political rights in a parliamentary democracy are moderate. Finally, the separation of powers and some fundamental rights limit substantially the reach of controls over public leaders.
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