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La ville et les quartiers en train de se faire au rythme des projets urbains : une sociologie de l’expérience socio-spatiale des nouveaux quartiers. / Sociological study of a processing district, rhythmed by urban projects.

Aimé, Julien 16 November 2018 (has links)
Plusieurs villes moyennes de l’est de la France se sont lancées, dans le courant des années 2000, dans la conception de nouveaux quartiers principalement dédiés à l’habitation. Dix ans plus tard, les premiers logements sont livrés aux propriétaires et aux locataires qui investissent les lieux et commencent à se les approprier. Ce travail de thèse a pour objectif de rendre compte de l’expérience socio-spatiale de ces habitants à partir d’une méthode de recherche qualitative et d’une approche sociologique compréhensive. Cette recherche porte plus précisément sur trois quartiers en train de se faire dans deux villes moyennes de l’est de la France et s’appuie sur un matériau empirique constitué d’entretiens semi-directifs et non-directifs menés auprès des habitants des quartiers, indépendamment de leur statut d’occupation, et des concepteurs (élus, techniciens, urbanistes, etc.). À la manière d’Henri Lefebvre, l’espace des nouveaux quartiers est analysé au prisme de la triplicité de l’espace, laquelle distingue l’espace conçu, l’espace perçu et l’espace vécu. Ces différents moments de l’espace sont étudiés séparément – afin de mettre en exergue la dialectique propre à chaque moment – puis assemblés à nouveau dans le but de montrer la tension qui les anime. Porter attention à l’espace conçu invite à questionner le mode de production contemporain de la ville qui s’incarne depuis les années 1980 dans la notion de projet urbain. L’espace conçu est aussi un espace vendu, un espace virtuel, modélisé en 3D dans des publicités qui présentent les lieux en construction de manière utopique et les donnent comme « prêts-à-habiter ». Pourtant, ces espaces idéaux sont aseptisés, lissés et standardisés. Les nouveaux quartiers existent également dans la pratique concrète de l’espace, dans l’espace vécu. Même si les habitants sont pris dans divers réseaux d’appartenances, mêmes s’ils pratiquent la ville à la carte, en fonction de leurs histoires, de leurs habitudes ou de leurs compétences propres de mobilité, le nouveau quartier est un espace qui fait sens, à la fois comme lieu, comme territoire et comme milieu. Seulement, la présente étude montre que le nouveau quartier ne fait pas toujours sens de la même manière, qu’il est dépendant des moments, des contextes et des situations dans lesquels il est mobilisé, qu’il est un enjeu identitaire et représentationnel / In the course of the 2000 s, several medium-size cities in the East of France decided to design new neighborhoods dedicated mostly to housing. Ten years after, the first accommodations were made available to both homeowners and tenants, who began to occupy and appropriate those locations. The aim of this research, which relies on a ‘‘comprehensive’’ sociological approach in conjunction with qualitative research methods, is to give full account of the socio-spatial experience of the residents. More precisely, this PhD focuses on three neighborhoods in the making located in two medium-size cities in the East of France and is based on empirical material that includes semi-structured as well as unstructured interviews of the residents – independently of their occupancy status – and of the designers (elected officials, technicians, city planners, etc.). The space of the developing neighborhoods is analyzed following Henri Lefebvre’s model of the “spatial triad”, which divides space into “the conceived space” (or representations of space), “the perceived space” (or spatial practice) and “the lived space” (or representational space). Each of these moments is studied separately – to highlight the dialectic behind each moment – then together again to show the tensions at work. Focusing on the conceived space invites us to question the contemporary production method of cities which is embodied since the 1980 s by the concept of ‘‘urban project’’. The conceived space is also a marketed space, a virtual space, a 3D model space appearing in advertisements presenting the accommodations which are still under construction as a ready-to-live-in utopia. However, these ideal spaces are aseptic, bland and standardized. The developing neighborhoods also exist through their concrete practice, through the lived space. Although the local residents develop multiple identities and affiliations, even if they practice the urban world differently because of their backgrounds, their habits or their own mobility capabilities, the new neighborhood is a significant place both as a location, a territory and a milieu. Nevertheless, this research shows that new neighborhoods do not always carry the same significance but are highly dependent on the moments, contexts and situations when they are mobilized, that they truly represent an identity and representational issue
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LA PLACE ET LE RÔLE DE L'AGRICULTURE À LA PÉRIPHÉRIE DES VILLES MOYENNES. Le cas des villes d'Annecy, Bourg-en-Bresse, Montbrison et Romans-sur-Isère.

Arnal, Clément 19 September 2012 (has links) (PDF)
Cette thèse s'appuie sur une enquête de terrain conduite dans quatre villes moyennes de la région Rhône-Alpes : Annecy, Bourg-en-Bresse, Montbrison et Romans-sur-Isère. Ce travail, relevant d'une analyse comparative, souhaite rendre compte des relations complexes et variées entretenues entre les villes moyennes et l'agriculture. Il envisage la manière dont l'agriculture est intégrée aux projets de territoires et aux projets urbains portés par les villes moyennes. Le lien entre ces villes et l'agriculture repose sur différents éléments : l'approvisionnement en produits locaux, héritage de leur rôle de ville-marché ; la patrimonialisation de l'agriculture, à travers notamment la valorisation des produits du terroir et l'organisation de manifestations " agriculturelles " ; l'agroalimentaire et les services agricoles, expression de la fonction agricole et agroalimentaire de ces villes. L'agriculture est intégrée à l'image des villes moyennes, et se voit instrumentalisée à des fins identitaires et d'attractivité territoriale. Elle est alors publicisée, donnée à voir aux habitants comme aux touristes, permettant ainsi de qualifier ces villes. Il subsiste toutefois des paradoxes évidents dans le positionnement des collectivités territoriales, entre un discours attentif à l'agriculture et à sa valorisation et une absence de protection du foncier agricole face à un étalement urbain marqué. Cette thèse contribue, en considérant l'ensemble de ces facteurs, à enrichir la connaissance de la place et du rôle de l'agriculture à la périphérie des villes, et à mettre en lumière les spécificités des villes moyennes à cet égard.
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Analyse des formes d’adaptation au risque dans la construction en zones inondables en région parisienne : ce pour quoi l’on décide de donner des gages et ce que l’on choisit d’ignorer / Flood risk integration in the development of urban project in the Greater Paris : logics of action and decision

Moulin, Elodie 21 July 2015 (has links)
Cette recherche s'inscrit dans un contexte de fortes pressions foncières en Ile-de-France, de reconversion de friches industrielles et de « revalorisation » du principe de densification urbaine, qui conduisent à l'urbanisation en zones inondables. Cette thèse propose d'examiner le processus d'urbanisation en zones inondables au regard des transformations en cours dans les modes de fabrication urbaine. Aujourd'hui, l'élaboration des grands projets d'aménagement nécessite l'intervention d'une multitude d'acteurs, la production d'une expertise importante, l'intégration des incertitudes inhérentes à des projets qui se conçoivent et se réalisent sur dix, vingt ou trente ans et la nécessaire conception d'un processus de projet évolutif. Chercheurs et acteurs de l'aménagement qualifient ces processus de « projet urbain ».Nous testons l'hypothèse selon laquelle les transformations observées dans les modes d'élaboration des projets urbains peuvent créer une opportunité dans les modes d'intégration du risque inondation. Les acteurs du projet vont-ils se saisir différemment du risque en utilisant une expertise plus riche, en convoquant des acteurs du risque autour de l'élaboration du projet ? Notre recherche s'appuie sur l'analyse de l'élaboration du projet des Ardoines à Vitry-sur-Seine et de Parc-en-Seine à Villeneuve-le-Roi, complétée par l'observation d'autres projets urbains dans la métropole parisienne mais aussi en Allemagne. L'intégration du risque est, bien souvent, dans les cas étudiés en France dans cette recherche, réfléchie au travers du Plan de Prévention du Risque d'Inondation (PPRI). Elle n'engendre qu'à la marge des pratiques et des formes urbaines englobant plusieurs facettes de la gestion du risque (prévention, protection et gestion de crise). L'application de la règle à l'échelle du projet urbain se transforme ainsi en dispositif de construction de l'ignorance (Jouzel, Dedieu, 2013) quant à une gestion du risque globale, intégrant toutes ces actions. Lors de l'application de la règle, les coalitions d'acteurs (Sabatier, Jenkins-Smith, 1993), au sens de groupe d'acteurs qui vont se retrouver en ce qui concerne l'intégration du risque autour d'une idée commune qui va faire projet, vont être amenées à produire une expertise technique. Cette expertise va être essentiellement centrée sur la mise en sécurité des biens et des personnes et la transparence hydraulique et représente la pierre angulaire pour traduire la règle en formes urbaines (pilotis, rez-de-chaussée surélevés, etc.), gages du bon respect de la règle. La construction de l'ignorance, qui se traduit par une méconnaissance des impacts des aménagements sur le fonctionnement du quartier et de la ville en temps de crise, peut être partiellement comblée par la mise en place d'un Etablissement public d'aménagement. En effet, ce dernier va regrouper en son sein l'Etat, à la fois protecteur et aménageur. Les exemples de projets urbains allemands convoqués dans cette thèse montrent quant à eux une inversion des logiques d'intégration du risque. La suppression de tout principe d'interdiction d'urbanisation en zone inondable conduit à la production de nouvelles règles tant en ce qui concerne les formes urbaines (bâtiments étanches, voiries surélevées…) que les obligations relatives à l'alerte et à la gestion de crise. Une fois le projet urbain réalisé, l'habitant en prenant possession du projet urbain va être l'ultime témoin de la segmentation de la gestion du risque inondation. En effet, en recevant l'information de son exposition, il ne fait pas le lien avec ce qu'implique cette exposition, c'est-à-dire le rôle qu'il aura à jouer en cas de crue. Plus de communication aurait pour conséquence de reposer la question des responsabilités de chacun et de signaler que, malgré les moyens de protection et les aménagements pour réduire l'aléa dans le projet urbain, le risque demeure présent / This study is developed against a background of high estate pressure in the Ile-de-France region, of brownfield conversion and of increased urban densification. All these processes are leading to the land-use in floodrisk areas. The aim of this thesis is to analyse urbanisation process in floodrisk areas, with regard to the current transformations in urban design methods. Large urban development projects require the intervention of several stakeholders and significant expertise. Uncertainties in projects that are designed over ten, twenty or thirty years and the need to develop a progressive process have to be evaluated. Researchers and land-use stakeholders qualify this process of “urban project”. Our primary hypothesis was that the changes observed in urban project designs may challenge flood risk integration methods. Will the urban project stakeholders seize upon the risk integration in a different way using a more significant expertise and make risk management stakeholders play a part? Our analysis focus on two urban projects: les Ardoines in Vitry-sur-Seine and Parc-en-Seine in Villeneuve-le-Roi. Our study also integrates observation of other urban projects in the Greater Paris and in Germany. In our case studies in France, the risk is often analysed through the flood risk prevention plan. However, this will raise only marginally practices and urban forms related to prevention, protection and crisis management. Based on this concept it has been pro-posed that the application of the rule at the urban project scale is transformed into the construction of the ignorance process (Jouzel, Dedieu, 2013) concerning a global risk management, integrating all these actions. During the rule application, the advocacy coalitions (Sabatier, Jenkins-Smith, 1993) will find a common idea mainly focusing on ensuring the safety of goods and people and the hydraulic transparency. This expertise will be the most important piece to translate the rule in urban forms (stilts, raised ground floor, etc.) as a guarantee of good compliance with the rule. Construction of ignorance results in a lack of awareness of the impacts of development projects on the district and the city during flood periods. This process is partially filled in by a public development authority, which includes the two figures of the state, both protector and developer. They have for mission to develop and densify an area of three hundred hectares. The examples of German urban projects used in this thesis show a reversal of risk integration methods. The removal of any principle of prohibition of urbanization in flood-risk areas leads to the production of new rules in regard to urban forms (sealed buildings, elevated roads ...) and also the obligations relating to the warning and management crisis. In conclusion, our study has shown that once an urban project is completed, the in-habitants will be the ultimate witnesses to the segmentation of the flood risk management. Indeed, receiving information from risk exposure, does not integrate the implications of this exposure - that is to say the role it will have to play in case of flood. More communication would lead to raise the question of responsibilities of each party and would highlight that the risk remains despite protection tools
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Les quartiers non-réglementaires de l'agglomération de Damas : entre les projets urbains et les initiatives des habitants / Informal settlements in the agglomeration of Damascus : between the urban projects and the initiatives of the inhabitants

Kanaan, Mouayad 19 November 2014 (has links)
Cette thèse de doctorat repose essentiellement sur notre analyse critique des études et des projets menés par différents consultants (syriens, européens, internationaux) et sur nos enquêtes de terrain à Damas, capitale de la Syrie. En 2004, près de 40 % de la population de l’agglomération de Damas vivaient dans des zones non-réglementaires. Celles-ci représentent donc une composante essentielle de l’expansion urbaine. Premièrement, la thèse analyse le phénomène de l’habitat non-réglementaire à Damas. Elle explique le marché foncier et les caractéristiques des lotissements clandestins dans trois études de cas, deux quartiers: Assad Al Din et Daf Al Chok et un village : Al Bahdalya. Elle montre également comment le maître d’œuvre effectue les étapes de sa construction. Deuxièmement, la thèse traite de la politique urbaine. Elle présente les consultants : MAM, Cities Alliance, Al Diwan, qui ont mené des études et des projets pour les zones étudiées. Elle examine ici leurs études et projets dans une analyse critique approfondie. Troisièmement, la thèse traite de la politique urbaine à l’épreuve des usagers. Elle étudie les caractéristiques socioéconomiques des habitants interviewés des zones étudiées, leur mobilité résidentielle et leurs attitudes à l’égard des projets et des études proposés. Certains des chefs de ménage interviewés pensent qu’ils seront logés, mais beaucoup pensent qu’ils seront expulsés. C'est pourquoi la thèse traite finalement la question du relogement en s’appuyant sur notre enquête de terrain dans une banlieue de relogement Al Hussainyah. / This dissertation is mainly based on our critical analysis of studies and projects by different consultants (Syrian, European, international) and on our fieldwork in Damascus, capital of Syria. In 2004, nearly 40 % of the population in the urban district of Damascus lived in informal settlements. Therefore, these settlements represent an essential component of urban expansion. Firstly, the dissertation analyzes the phenomenon of informal habitat in Damascus. It explains the land market and the characteristics of illegal settlements in three case studies, two neighborhoods: Assad Al Din and Daf Al Chok and a village: Al Bahdalya. It also shows how the builder performs the different phases of construction. Secondly, the thesis deals with urban policy. It presents the consultants: MAM, Cities Alliance, Al Diwan, who have undertaken studies and projects for the areas mentioned above. Here, the dissertation examines their studies and projects to provide critical, in depth analysis. Thirdly, the dissertation deals with the urban policy as perceived by the citizens. It studies socioeconomic characteristics of the interviewed inhabitants in the areas studied here, residential mobility and their attitudes towards projects and studies proposed to them. Some of interviewed household’s heads think they will be given a house, but many think they will be evicted. That is why the dissertation finally addresses the issue of relocation which is based on our fieldwork in the re-housing suburb of Al Hussainyah.

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