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Biais d'évaluation de compétence scolaire, distorsions cognitives et adaptation des jeunesVaillancourt, Marie-Ève 10 1900 (has links) (PDF)
La présente thèse de doctorat s'inscrit dans l'examen des biais cognitifs dans le processus de traitement de l'information. Plus spécifiquement, elle s'est intéressée aux biais d'évaluation de compétence représentant un décalage entre les perceptions de compétence scolaire et une mesure objective de l'habileté réelle de l'élève, sous l'angle de la théorie cognitive de la dépression de Beck (1963, 1967). Considérant le rôle central que Beck attribue aux biais cognitifs dans le développement de la dépression, la présence de tels biais au plan scolaire apporte son lot d'inquiétudes quant au fonctionnement scolaire et psychologique des élèves. Les quelques études ayant porté sur les biais d'évaluation de compétence scolaire ont montré qu'ils ne sont pas sans conséquence en matière de fonctionnement et de rendement scolaires, mais aussi au plan de l'adaptation psychologique des jeunes. Se posent dès lors la question des facteurs impliqués dans le développement de ces biais d'évaluation et celle de leur nature qui, selon nous, renvoient à un dysfonctionnement des processus de traitement de l'information. Cette thèse est composée de deux articles scientifiques ayant examiné ces questions chez des jeunes de la 5e et 6e année du primaire à la 1ère et 2e année du secondaire. Le premier article, de nature exploratoire, a mis l'accent sur les relations entre le biais négatif d'évaluation, aussi appelé illusion d'incompétence, et les schémas dysfonctionnels et les erreurs cognitives identifiés par Beck (1967, 1976) chez des élèves de 5e et 6e année du primaire (N = 577). Le premier objectif s'est attardé à examiner les liens entre l'illusion d'incompétence et des schémas cognitifs que sont les attitudes dysfonctionnelles liées à la réussite, à la dépendance envers autrui et à l'autocontrôle. Le second objectif visait à examiner les relations entre les schémas, incluant l'illusion d'incompétence, et quatre catégories d'erreurs cognitives : le traitement négatif de situations positives, la responsabilisation envers les aspects négatifs d'une situation, la surgénéralisation de ces aspects et l'anticipation de la catastrophe. Tout d'abord, les analyses corrélationnelles ont permis de constater que l'illusion d'incompétence était liée à plus d'attitudes dysfonctionnelles dans le domaine de la réussite, mais à moins d'attitudes dysfonctionnelles dans le domaine de l'autocontrôle. Les analyses de corrélations canoniques ont révélé, pour leur part, que les schémas étaient liés à l'occurrence d'erreurs cognitives dans le traitement des informations portant sur la compétence scolaire des jeunes. Un lien plus étroit a été observé entre l'illusion d'incompétence et l'erreur cognitive de traitement négatif des situations positives. Ces résultats viennent renforcer notre hypothèse de départ voulant que le biais d'évaluation de compétence soit un schéma cognitif guidant les processus de traitement de l'information. Le second article portait sur la dynamique d'interaction entre les biais d'évaluation de compétence et les erreurs cognitives, et leur influence sur l'adaptation des jeunes. Un devis longitudinal de trois ans a permis l'examen de cette question par l'intermédiaire d'une technique statistique semi-paramétrique fondée sur le groupement. Le premier objectif visait l'examen des trajectoires développementales univariées du biais d'évaluation de compétence et des erreurs cognitives chez des jeunes de la 5e et 6e année du primaire jusqu'à la 1ère et 2e année du secondaire (N = 632). Le second objectif, basé sur les résultats du premier, consistait à vérifier l'interdépendance des deux phénomènes en examinant leur évolution concomitante à l'aide d'analyses de trajectoires jointes. Le troisième objectif s'est attardé à examiner si l'estime de soi et l'anxiété d'évaluation de 462 jeunes à la dernière année de l'étude différaient selon leur appartenance à ces trajectoires jointes d'évolution. Nous avons observé la présence de trois trajectoires de biais d'évaluation et trois d'erreurs cognitives dont la plupart sont stables dans le temps. Les résultats portant sur l'évolution concomitante des biais d'évaluation et des erreurs cognitives ont permis de constater un jumelage élevé entre l'appartenance à une trajectoire marquée par la présence soutenue d'un biais négatif d'évaluation de compétence et l'appartenance à une trajectoire marquée par plus d'erreurs cognitives. L'adaptation des jeunes différait en fonction de la concomitance entre les trajectoires de biais d'évaluation et d'erreurs cognitives : la présence d'un biais négatif jumelée à une occurrence plus grande d'erreurs cognitives était plus néfaste pour l'adaptation que la présence d'un seul problème, qui, elle, était plus néfaste que l'absence des deux problèmes. Les résultats de notre deuxième étude, bien qu'ils ne permettent pas de statuer sur la direction des liens entre les concepts, permettent toutefois de constater que leur évolution est liée. Cela suggère, une fois de plus, la pertinence de s'appuyer sur les théories cognitives impliquant les processus de traitement de l'information pour améliorer notre compréhension du biais d'évaluation de compétence. En combinant les résultats des deux études de cette thèse, le biais d'évaluation de compétence a pu être placé au centre d'une conceptualisation permettant de mieux saisir ses origines, ou du moins ce qui paraît favoriser sa présence et ses répercussions en contexte scolaire. Notre thèse invite à porter une attention particulière à la façon dont les jeunes peuvent, par leur manière d'interpréter les informations sur leur compétence scolaire, favoriser le développement d'un biais négatif dans l'évaluation de celle-ci, qui à son tour mine leur adaptation.
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MOTS-CLÉS DE L’AUTEUR : perceptions de compétence, biais d'évaluation de compétence scolaire, illusion d'incompétence, schémas cognitifs, attitudes dysfonctionnelles, erreurs cognitives, estime de soi, anxiété d'évaluation.
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Associations entre la tension au travail, la santé mentale, l'empathie chez les infirmières des soins intensifs et la gestion de la douleurGosselin, Émilie January 2013 (has links)
Problématique : La gestion de la douleur (GD) aux soins intensifs (SI) est complexe. Selon certains auteurs, elle pourrait être influencée par la tension au travail et la santé mentale des infirmières, ainsi que par l'empathie qu'elles manifestent envers leurs patients. Le contexte de travail difficile a fort probablement un impact sur la GD. Les liens entre la tension au travail, la santé mentale, l'empathie et la GD aux SI nécessitent plus d'approfondissement. L'empathie et la GD possèdent une dimension comportementale permettant d'observer ces concepts chez les infirmières. Or, il n'existe pas d'outil pour mesurer la GD effectuée par les infirmières des SI. But : L'objectif principal est d'explorer les associations entre la tension au travail, la détresse psychologique, le bien-être psychologique, l'empathie et la GD dans un contexte de SI. Un second objectif est de développer et valider un outil d'observation pour l'évaluation de la GD effectuée par les infirmières des SI lors d'une simulation clinique standardisée (SCS). Méthode : Un devis descriptif corrélationnel transversal a été utilisé. Les données ont été amassées à l'aide de complétion de questionnaires (tension au travail, santé mentale et empathie) par des infirmières des SI et de leur observation (empathie et GD) lors d'une SCS par des évaluateurs et l'acteur. Pour la grille d'observation de la GD, les étapes de développement d'instruments de mesure ont été suivies. Au total, 26 infirmières pratiquant dans trois unités de SI d'un hôpital universitaire ont participé à l'étude. Résultats : Une des dimensions de la tension au travail, soit la demande psychologique, était associée aux deux sous-échelles de la santé mentale (la détresse psychologique de façon positive et le bien-être psychologique de façon négative). L'empathie perçue par l'acteur et par les observateurs est associée positivement à la détresse psychologique des infirmières. De façon globale, l'empathie n'était pas associée à la GD. La grille d'observation de la douleur contient 28 items se divisant en quatre sous-échelles. La cohérence interne de l'outil est faible à moyenne et la fidélité inter-juges est bonne. Les validités de contenu et apparente ont été jugées satisfaisantes. Conclusion : Il serait intéressant d'étudier plus en profondeur le lien entre la détresse psychologique et l'empathie qui est peu documenté dans les écrits. Nous avons aussi démontré la pertinence d'utiliser la SCS dans le cadre de la recherche. L'outil d'observation pour l'évaluation de la GD chez les infirmières des SI possède des qualités psychométriques satisfaisantes. Certaines modifications pourraient être apportées à l'outil afin qu'il soit utilisé pour des études futures.
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Cognition and emotion in international negotiation: a multidisciplinary perspectiveGalluccio, Mauro January 2006 (has links)
Doctorat en Sciences politiques et sociales / info:eu-repo/semantics/nonPublished
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L'influence de la perception de justice organisationnelle sur la motivation des employés et leur perception des changements : le rôle modérateur de la personnalitéBiron, Caroline 09 February 2021 (has links)
À ce jour, la plupart des recherches portant sur les réactions des survivants face à la décroissance organisationnelle ont étudié le phénomène en fonction de la justice organisationnelle. Ces études ont démontré que lorsque les employés non licenciés perçoivent que les coupures ont été effectuées de manière injuste, ils ont tendance à être moins motivés dans leur travail et à adopter une attitude négative face aux changements engendrés par la décroissance organisationnelle (Daly & Geyer, 1994; Tremblay, Senécal,& Rinfret, sous presse). La présente étude a pour but de vérifier si les cinq traits de personnalité proposés par Costa et McCrae (1991) peuvent modérer le lien entre la perception d’injustice et la motivation au travail, ainsi qu’entre la perception d’injustice et la perception des changements.
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Estimation temporelle avec interruption : les effets de localisation et de durée d'interruption sont-ils sensibles à l'incertitude ?Blier, Mylène 16 April 2018 (has links)
Lors d'études portant sur la production d'intervalles temporels avec interruption, deux principaux effets sont généralement retrouvés lorsque la localisation et la durée de l'interruption varient: les productions temporelles sont plus courtes 1) lorsque l'interruption arrive tôt dans l'intervalle de temps et 2) lorsque la durée de l'interruption est plus longue. L'effet de localisation s'explique principalement par un partage attentionnel lors de la période qui précède l'interruption, mais peut aussi refléter en partie l'effet de processus préparatoires précédant l'interruption. L'effet de durée d'interruption est expliqué par les processus de préparation qui prennent place durant l'interruption. Une façon de réduire les effets préparatoires est d'augmenter l'incertitude quant au moment d'arrivée du signal auquel on doit réagir. L'objectif principal du mémoire doctoral est de tester la sensibilité des effets de localisation et de durée d'interruption à l'incertitude dans trois expériences. Les deux premières expériences portent sur la production d'intervalle temporelle avec interruption. La dernière expérience vérifie l'effet de l'incertitude sur la préparation dans un paradigme de temps de réaction. Pour chaque expérience, deux conditions sont utilisées, soient un groupe où l'incertitude est faible et un autre où l'incertitude est élevée. Dans la première expérience, l'effet de localisation est plus fort dans le groupe où l'incertitude est faible. Aucun effet significatif n'est retrouvé dans l'expérience où la durée de l'interruption est manipulée, ce qui est expliqué principalement par la taille de l'effet de durée d'interruption. Dans la tâche de temps de réaction, l'effet de la période préparatoire est plus prononcé dans le groupe où l'incertitude est faible contrairement au groupe où l'incertitude est élevée. Les résultats permettent de conclure que l'incertitude affecte le partage attentionnel dans l'effet de localisation, mais affecte surtout l'effet de préparation qui serait impliqué dans les trois expériences. Ces résultats s'expliquent du fait que les participants montrent une meilleure préparation lorsque l'incertitude est faible.
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L'observance du plan alimentaire et la satisfaction de vie chez les personnes diabétiques : contribution à long terme de l'efficacité personnelle de l'autodéterminationJeanson, Isabelle 03 March 2021 (has links)
La présente étude vise à vérifier les contributions à long terme respectives de l'efficacité personnelle et de l'autodétermination sur l’observance et la satisfaction de vie des personnes atteintes de diabète. L’échantillon à l’étude est constitué de 278 participants ayant répondu à deux envois de questionnaires à 16 mois d’intervalle. Les résultats révèlent que le sentiment d’efficacité personnelle s’avère, à long terme, un excellent prédicteur de l’observance au plan alimentaire et de la satisfaction de vie. Ils sont cependant moins patents pour ce qui est de l'autodétermination, la valeur prédictive de celle-ci sur l’observance et la satisfaction de vie ne se voyant pas confirmée. Toutefois, la contribution de l’autodétermination n’est pas à négliger puisque son utilisation en complémentarité avec l’efficacité personnelle laisse entrevoir une voie d’avenir intéressante.
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L'utilisation des services dentaires et la condition bucco-dentaire chez les jeunes de 12 à 15 ans : leur relation avec la peur des traitements dentaires = Use of dental services and oral health status of adolescents between 12 and 15 years of aget : their relation to dental fear / Use of dental services and oral health status of adolescents between 12 and 15 years of aget : their relation to dental fearMorin, Brian A. 17 January 2022 (has links)
De récentes études démontrent que la peur des traitements dentaires est non seulement toujours présente mais, plus encore, elle a été depuis nombre d'années sous-estimée, atteignant de 15 à 20% de la population. D'autre part, les derniers rapports sur la santé bucco-dentaire des adolescents indiquent que l'utilisation des services dentaires cliniques a plafonné depuis les 5 à 1 O dernières années, avec un taux d'utilisation variant entre 70 et 80% chez les adolescents de12 à 15 ans. Aussi, près des deux-tiers des caries dentaires pour cette population se retrouvent chez seulement 10 à 12% d'entre eux. L'auteur constate que malgré qu' il existe en psychologie un lien démontrable entre la peur et l'évitement et qu'il soit logique de présumer que l'évitement des soins dentaires entraînera une mauvaise santé bucco-dentaire, aucune étude empirique n'a jusqu'à maintenant fait la démonstration de ce lien. Une étude a donc été conçue dans le but de déterminer s'il existe une différence sur le plan de la santé dentaire et de l'utilisation des services dentaires entre des groupes de sujets qui manifestent différents niveaux de peur des traitements dentaires. Dans un premier temps, le niveau de peur a été déterminé pour un échantillon de 1 063 adolescents de 12 à15 ans, à l'aide de l'Inventaire cognitif de la peur des traitements dentaires pour adolescents (Morin et coll., 1987). À partir des résultats obtenus, trois groupes de sujets manifestant respectivement une peur d'intensité faible, modérée et intense,ont été formés. Finalement, dans chaque groupe, 86 sujets ont été sélectionnés pour l'étude comparative. Leur condition bucco-dentaire a été évaluée à partir des critères de l'OMS et leur utilisation des services dentaires a également été examinée. Les résultats révèlent une utilisation des services moins élevée et des indices de morbidité dentaire (CAOD et CAOF) significativement plus élevés pour le groupe de peur intense. L'auteur conclu que la condition bucco-dentaire et l'utilisation des services sont influencées par la peur des traitements dentaires mais que cette peur doit être intense pour que l'effet soit significatif. / Recent studies have shown that the fear of clinical dental treatment (dental fear) not only remains a problem to this day, but has most likely been underestimated over the years, with a prevalence as high as 15 to 20% in the general population. Also, the latest Canadian surveys on adolescents' oral health condition, indicate that the utilization of dental health care services has reached a plateau over the last 5 to 10 years, with an attendere rate varying between 70 and 80% for adolescents between the ages of 12 and 15 years. Furthermore, and most interestingly, nearly two-thirds of all caries for that population are held by a mere 10 to 12% of them. The author observes that, although from a psychological perspective there is a well known link between fear and avoidance, and that it is logical to presume that avoidance of oral health care will cause poor dental health, no empirical study has actually established the relationship between those variables. In order to do so, a study was designed to determine whether or not there were any differences in dental health and dental service utilization between subjects with different levels of dental fear. Accordingly, 1,063 students, between 12 and 15 years of age, were screened for dental fear using the Cognitive Inventory of Dental Fear for Adolescents (Morin et al., 1987). On the basis of their scores, they were then separated into three groups corresponding to low, medium and high levels of fear. In each group, 86 subjects were selected for comparison. Their dental health status was examined using epidemiologically-based dental health indexes, as recommended by the World Health Organization. The utilization of dental services was also assessed. Results revealed a significantly lower utilization of services and significantly poorer dental health indexes (higher DMFT and DMFS scores) within the high fear group only. Thus, it would appear that oral health status and utilization of dental services may in fact be affected by dental fear. However, dental fear must be severe before any effect can be observed.
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Caractéristiques de la représentation mentale dans une tâche d'identification absolueWatier, Christian 09 March 2021 (has links)
Le présent travail porte sur l'étude psychophysique des processus perceptifs élémentaires et, plus précisément, sur les caractéristiques de la représentation mentale dans les tâches d'identification absolue (IA). Le contexte théorique présente une revue des études portant sur le domaine des jugements absolus et relatifs puis fait état des modèles de la mémoire de Wickens et de Baddeley et du concept de la double tâche. Une méthodologie et un cadre théorique propre au domaine du traitement de l'information et de la mémoire de travail sont ensuite utilisés dans une série de quatre expériences. Les résultats des Expériences 1 et 2 suggèrent que, dans une tâche d'IA, les stimuli sont représentés dans un espace à la fois amodal et multidimensionnel. Par ailleurs, les résultats des Expériences 3 et 4 démontrent que la représentation mentale en mémoire à court terme comporte une représentation spatiale et ce, à la fois pour les modalités visuelle et auditive.
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Messages correcteurs ciblés et pauses : des outils efficaces à l'atteinte du jeu responsable?Cloutier, Martin 07 May 2021 (has links)
No description available.
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Identification absolue de stimuli perceptifs simples et apprentissage de paires compatibles et incompatiblesAngers, Steve 20 April 2021 (has links)
Cette étude vise à comparer trois tâches : une tâche d’identification absolue, une tâche d’apprentissage de paires compatibles et une tâche d’apprentissage de paires incompatibles. À notre connaissance, aucune étude empirique n’a, jusqu’ici, comparé ces trois tâches. La tâche d’identification absolue implique des stimuli perceptifs (lignes de longueur variable) tandis que les tâches d’apprentissage de paires impliquent des stimuli verbaux (mots identifiant des objets de taille différente). Dans les tâches d’identification absolue et d’apprentissage de paires compatibles, les stimuli sont ordonnés de la plus petite à la plus grande magnitude et l’ordre des réponses correspond à l’ordre des stimuli. Dans la tâche d’apprentissage de paires incompatibles, l’ordre des réponses est indépendant de l’ordre entre les stimuli. Les résultats montrent une performance supérieure aux tâches d’apprentissage de paires comparativement à la tâche d’identification absolue. Aussi, les performances aux tâches d’apprentissage de paires compatibles et incompatibles sont semblables.
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