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Territoire, image et peintureDunn, Alexanne 15 September 2022 (has links)
Tout au long de ce mémoire, je navigue dans une dualité entre sujet et médium, entre territoire et peinture. Je mets d’abord en lumière la relation que j’entretiens avec les sites miniers de ma ville natale, Thetford Mines. Opposé aux enjeux liés à l’amiante se retrouve un attachement envers le paysage que j’ai côtoyé pendant l’enfance. J’approfondis ensuite mon utilisation de la photographie, outil qui me permet de faire le pont entre l’expérience du territoire et l’atelier. Je me penche finalement sur une sélection de tableaux réalisés ces dernières années. Tout en soulevant des questionnements sur la représentation de l’image en peinture, j’explore le rapport entre les photographies choisies et les choix formels qui s’en suivent.
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Temporaliser l'espace : chronosculpture et objet-séquenceTrudelle, Jérome 27 January 2024 (has links)
Faisant écho à l’exposition Chronosculpture, ce mémoire retrace mes réflexions des deux dernières années sur les principaux concepts qui habitent ma pratique sculpturale, soit les notions de réénergisation, de dynamisme potentiel et de temporalité qui émergent de la suspension d’objets. En abordant dans un premier temps les singularités qui découlent de cette technique de suspension, j’articule ce parcours réflexif autour du concept de chronosculpture, un type de sculpture qui génère une durée et un déroulement potentiel par la mise en relation d’objets-séquence dans l’espace. Ma vision temporalisée de la sculpture prend entre autres forme en tissant des liens avec la reconstitution du mouvement par la chronophotographie, le concept de durée indivisible selon Henri Bergson et certaines notions développées par Gilles Deleuze en lien avec le cinéma. / Supporting the exhibition Chronosculpture, this thesis retraces my reflections over the past two years on the main concepts that inhabit my sculptural practice, namely the notions of re-energization, potential dynamism and temporality that emerge from the suspension of objects. By first addressing the singularities that result from this technique, I articulate this reflexive journey around the concept of chronosculpture, a type of sculpture that generates a temporal unfolding and a duration by the relation of sequence objects in the space. Among other things, my temporalized vision of sculpture is articulated by referring my practice to the reconstruction of movement through chronophotography, the concept of indivisible duration according to Henri Bergson and certain concepts developed by Gilles Deleuze in connection with cinema.
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Détailler en choses distinctesArguin, Francis 27 January 2024 (has links)
Ce texte accompagne l’exposition Remplir les conditions qui aura été présentée au Lieu, centre en art actuel à Québec du 25 septembre au 4 octobre 2020. Par une approche descriptive, les trois premiers chapitres de ce texte sont consacrés au décorticage de trois œuvres réalisées entre l’automne 2018 et l’automne 2020, soit Sans titre, Résidence ouverte et Une et trois sculptures. L’essentiel de ce qui est proposé vise à montrer par quoi ces sculptures, construites à la main avec des matériaux ordinaires et des méthodes simples, prennent corps. Ces trois chapitres se conduisent et se construisent au fur et à mesure de la découverte d’aspects qui, suivant les prolongements qui en sont extraits, sont autant de poignées par lesquelles se saisir de l’œuvre. Les réflexions faites à partir de ces œuvres préparent l’appréciation du projet Remplir les conditions, dont il est question par anticipation dans le quatrième chapitre. Alors que le projet Remplir les conditions est en phase de développement, ce chapitre soulève des réflexions et des pistes de travail potentielles. L’exposition Remplir les conditions aura pris forme lors d’une résidence de création tenue au Lieu du 11 au 25 septembre 2020.
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Pratique de l'hétérogénéité en peinture : les contiguïtés de la représentationSternon, Patrick 12 November 2023 (has links)
Cette recherche s'inscrit dans la continuité d'une pratique établie de l'hétérogénéité en peinture. Elle réinvente, renouvelle, mais surtout met en examen une attitude créatrice, au même titre que les procédés et les stratégies déterminant mon parcours de production. Ainsi, un classement iconographique issu de la constitution d'une banque d'images pervertira ma démarche et ses mobiles initiaux. Au reste, mon usage de disparité de signes picturaux se circonscrira dans une dislocation des mécanismes de la représentation. Ces préoccupations participeront à l'édification d'une grille d'analyse spécifique appliquée sur le corpus résultant. Je procède là à une discrimination des opérations de restitution et de désignation selon une taxonomie personnelle inventoriant divers modes d'interventions picturales.
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Territoire, image et peintureDunn, Alexanne 13 December 2023 (has links)
Tout au long de ce mémoire, je navigue dans une dualité entre sujet et médium, entre territoire et peinture. Je mets d'abord en lumière la relation que j'entretiens avec les sites miniers de ma ville natale, Thetford Mines. Opposé aux enjeux liés à l'amiante se retrouve un attachement envers le paysage que j'ai côtoyé pendant l'enfance. J'approfondis ensuite mon utilisation de la photographie, outil qui me permet de faire le pont entre l'expérience du territoire et l'atelier. Je me penche finalement sur une sélection de tableaux réalisés ces dernières années. Tout en soulevant des questionnements sur la représentation de l'image en peinture, j'explore le rapport entre les photographies choisies et les choix formels qui s'en suivent.
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)Expériences poétiques autour de la parenthèse Gutenberg( suivi de VI_DE_DI_EU : étrangeté du texte et entremise en scène de la VOIXMatte, Hélène 10 February 2024 (has links)
Dans sa recherche-création, Hélène Matte aborde la poésie et la vocalité sous trois angles, combinant chaque fois l’expérimentation à l’approfondissement théorique. Le premier angle, pragmatique, l’a menée à concevoir un spectacle de poésie auquel douze poètes internationaux ont contribué (Mois de la poésie, 2012). VI_DE_DI_EU a été conçu à partir d’un collage sonore de voix francophones réalisé par la chercheure et sur lequel elle a performé. Les outils technologiques développés à cette occasion permettaient de manipuler et spatialiser les trames sonores et l’écriture projetée sur diverses surfaces. Elle a ensuite étudié la dimension performative en poésie, plus particulièrement son développement à partir de la seconde moitié du XXe siècle. D’un angle historique, la recherche aborde la poésie action, comprenant les poésies concrètes et sonores, pour ensuite analyser comment celles-ci ont intégré le réseau artistique de Québec et participé à ce qui est devenu aujourd’hui un réseau international d’art performance. En dernière instance, la recherche emprunte la théorie de la parenthèse Gutenberg, suivant la ligne de pensée de McLuhan (The Gutenberg Galaxy, 1962) qui suppose que l’époque de la domination de l’écriture, et par conséquent de la dévalorisation de la voix (Zumthor, La Lettre et la voix, 1987), périclite sous l’influence des nouveaux modes de communications induits par les technologies. Projetant les extrémités de la parenthèse, la chercheure a étudié les premières poésies lyriques occidentales au Moyen Âge, fermant ainsi ladite parenthèse dans une chronologie décroissante. Vocalité, avant-garde et média, poésie numérique et performance, différence et déconstruction, mise en abîme et distanciation, étrangeté et impossibilité, mort de dieu et amour courtois; à travers une recherche à la fois vaste et fragmentaire, Hélène Matte aborde des sujets qui semblent d’abord divergents, mais auxquels les extrémités de la parenthèse Gutenberg, comme la mise en scène VI_DE_DI_EU, confèrent une cohérence. Au sein de la thèse est convoquée une galerie de penseurs et de poètes. À Nietzsche, Derrida, Dumoulié, Lévesque, McLuhan et Zumthor notamment, répliquent Guillaume IX, Artaud, Chavée, Dantinne, Désy, Pey, Renaud, Tholomé, Bessette, CéZure, Edmé Étienne, Pilote the hot et Pierre Lavallée. Cherchant à débusquer les valeurs opératoires à l’origine de la recherche et de la création, — de la pensée et de la poésie — Hélène Matte, avide de connaissances, mais critique des discours, trace III dans les sillons de son investigation, un panorama historique et philosophique original, empreint de poésie. / In her creative research, Matte examines poetry and vocality using three different approaches, combining each with experimentation and theoretical refinement. The first approach was pragmatic, leading her to develop a poetry performance in which 12 international poets participated (Mois de la poésie, 2012). Titled VI_ DE_ DI_EU, the performance was based on a sound collage created by the researcher. It featured the voices of Francophone poets, over top of which Matte performed. The technological tools developed for this performance permitted the manipulation and spatialization of the soundtrack and of the written text that was projected onto different surfaces. She then studied the performative aspect of poetry and, more particularly, its development starting in the second half of the 20th century. From a historical viewpoint, this research examines action poetry, including concrete poetry and sound poetry. It then analyzes how these have integrated into Québec City’s art scene, becoming part of what is now an international performance art network. Finally, the research borrows from the theory of the Gutenberg Parenthesis, following the perspective of McLuhan (1968), who suggested that the age when writing dominated and consequently, orality was diminished (Paul Zumthor, La Lettre et la voix, 1987) has declined due to the influence of new means of communication developed through technology. Delving into the outer edges of the parenthesis, the researcher studied the earliest Western lyric poetry from the Middle Ages, thereby closing the so-called parenthesis in a decreasing chronology. Vocality, avant-garde art and media, digital poetry and performance, differance and deconstruction, mise en abîme and distancing effect, strangeness and impossibility, the death of God and courtly love; through her broad-reaching and multifaceted research, Matte examines subjects that may appear divergent at first, but that achieve a certain degree of coherence when placed on the outer edges of the Gutenberg Parenthesis and when involved in the staging of VI_DE_DI_EU. The thesis brings together a vast array of thinkers and poets. Among others, Nietzsche, Derrida, Camille Dumoulié, Claude Lévesque, McLuhan and Paul Zumthor encounter Guillaume IX, Antonin Artaud, Achille Chavée, Alain Dantinne, Jean Désy, Serge Pey, Alix Renaud, Vincent Tholomé, Carl Bessette, CéZure, Edmé Étienne, Pilote the hot and Pierre Lavallée. While seeking the operating values that lie at the origin of research and creation — or of thinking and poetry — Matte remains thirsty for knowledge, yet critical of the different perspectives. Drawing from the many avenues of her investigation, she creates a historical and philosophical overview that is both original and imbued with poetry.
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Les trente premières années du sculpteur Louis Jobin (1845-1928) : formation et premier atelierBéland, Mario, Béland, Mario 16 April 2024 (has links)
« Notre contribution vise à renouveler notre connaissance de la première période d'activité du sculpteur Louis Jobin, c'est-à-dire entre 1860 et 1875. Dans cette étude, les mécanismes du marché de la sculpture sont identifiés et analysés en fonction de leurs incidences sur la formation de l'apprenti et sur la production du premier atelier, à Montréal. Né le 26 octobre 1845 à Saint-Raymond (Portneuf), Louis Jobin passa la majeure partie de son enfance à Neuville. Au début de son adolescence, il aurait été initié à la sculpture sur bois par un oncle qui travaillait dans la construction navale, une industrie alors à son apogée dans la vieille capitale. Mais ce n'est qu'en 1865 que le jeune homme est engagé formellement comme apprenti-sculpteur par François-Xavier Berlinguet de Québec. Homme polyvalent, F.-X. Berlinguet s'est déjà signalé par la qualité de ses travaux en sculpture, notamment en statuaire. De plus, il appartient à une lignée professionnelle dont les origines remontent à l'atelier de Louis Quévillon et à l'école de Thomas Baillairgé. L'engagement de Louis Jobin à Berlinguet va relever du système d'apprentissage traditionnel, les clauses de leur entente verbale se rapprochant de celles du contrat-type passé entre apprenti et maître-sculpteur au siècle dernier. Adaptée aux exigences du marché de la sculpture, la formation à la fois polyvalente et spécialisée de Jobin chez Berlinguet est fondée sur des connaissances théoriques et techniques issues de traités classiques, ainsi que sur des travaux pratiques divers. Les aptitudes manuelles de l'élève ressortiront surtout dans l'ébauche et dans la ronde-bosse. En 1869, en relation avec les récents développements de la sculpture profane au Québec, Jobin effectue un stage de perfectionnement à New York, d'abord chez William Boulton, puis dans un atelier allemand. Ce séjour dans la "capitale" artistique de l'Amérique le familiarise avec la figure de proue du clipper ainsi, qu'avec la statue-enseigne de tabaconiste. L'année suivante, Louis Jobin installe son premier atelier à Montréal. Il y amorce une carrière qui sera dès lors marquée par les exigences spécifiques de la clientèle et par les pressions de la compétition locale. La production variée du sculpteur est alors directement reliée à certains phénomènes du marché: le déclin de la construction navale, l'essor de l'enseigne commerciale et la stabilité relative de l'art ornemental et religieux. Jobin confectionne autant des figures de proue et des enseignes animales que du mobilier liturgique et des reliefs religieux. Une spécialisation dans la statuaire de grandes dimensions destinée à l'extérieur des bâtiments émerge toutefois au sein de cette production diversifiée. La rareté des commandes profanes ainsi que la concurrence dans le secteur religieux vont amener Louis Jobin à quitter la métropole pour la vieille capitale après cinq années marquées par des expériences diverses et par des problèmes financiers. »--Pages préliminaires
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L’envolée des ténèbres. Mort et deuil dans la poésie d’Anne Hébert, Fernand Ouellette, Jacques Brault et Denise Desautels.Lamontagne, Lydia 11 January 2012 (has links)
Notre thèse tente de dégager une structure globale, un espace de la mort en lien avec l’écriture du deuil qui serait propre à la poésie québécoise telle qu’elle est représentée par Anne Hébert (1916-2000), Fernand Ouellette (1930 –), Jacques Brault (1933 –) et Denise Desautels (1945 –). La notion d’hétérotopie de Michel Foucault constitue le cœur de notre approche théorique parce qu’elle fait le pont entre un lieu localisable et un lieu non localisable dans le réel. Nous l’utilisons pour montrer l’« espace imaginaire de la mort » (Michel Ragon) de chaque poète. Deux notions bachelardiennes – le retentissement et la résonance – guident notre compréhension des images poétiques dans l’écriture de la perte. La mort n’étant pas un sujet ni un thème comme les autres, en faire un concept nous permet de tenir compte de sa particularité philosophique puisqu’il « vise à dégager l’essence d’une notion d’abord perçue comme noyée dans une gangue de contingences multiples » (Claude Bremond). D’un poète à l’autre, l’hétérotopie révèle le passage d’un imaginaire utopique de la mort à une thématisation plus axée sur la problématique de la dépouille. C’est ainsi que la traversée des ténèbres entreprise par Anne Hébert pour naître à la parole vivante ouvre la porte à l’angoisse d’une fin définitive que Fernand Ouellette apaise par sa foi en un au-delà. Son espace de la mort rejoint la notion d’horizon de Michel Collot. De son côté, Jacques Brault thématise la mort comme la fin d’un chemin marqué de nombreux deuils que seule la mémoire peut surmonter. Quant à Denise Desautels, ses poèmes-cimetières sont de petits théâtres construits d’objets et de voix qui rompent la solitude de cet être de langage qu’est la mort.
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L’envolée des ténèbres. Mort et deuil dans la poésie d’Anne Hébert, Fernand Ouellette, Jacques Brault et Denise Desautels.Lamontagne, Lydia 11 January 2012 (has links)
Notre thèse tente de dégager une structure globale, un espace de la mort en lien avec l’écriture du deuil qui serait propre à la poésie québécoise telle qu’elle est représentée par Anne Hébert (1916-2000), Fernand Ouellette (1930 –), Jacques Brault (1933 –) et Denise Desautels (1945 –). La notion d’hétérotopie de Michel Foucault constitue le cœur de notre approche théorique parce qu’elle fait le pont entre un lieu localisable et un lieu non localisable dans le réel. Nous l’utilisons pour montrer l’« espace imaginaire de la mort » (Michel Ragon) de chaque poète. Deux notions bachelardiennes – le retentissement et la résonance – guident notre compréhension des images poétiques dans l’écriture de la perte. La mort n’étant pas un sujet ni un thème comme les autres, en faire un concept nous permet de tenir compte de sa particularité philosophique puisqu’il « vise à dégager l’essence d’une notion d’abord perçue comme noyée dans une gangue de contingences multiples » (Claude Bremond). D’un poète à l’autre, l’hétérotopie révèle le passage d’un imaginaire utopique de la mort à une thématisation plus axée sur la problématique de la dépouille. C’est ainsi que la traversée des ténèbres entreprise par Anne Hébert pour naître à la parole vivante ouvre la porte à l’angoisse d’une fin définitive que Fernand Ouellette apaise par sa foi en un au-delà. Son espace de la mort rejoint la notion d’horizon de Michel Collot. De son côté, Jacques Brault thématise la mort comme la fin d’un chemin marqué de nombreux deuils que seule la mémoire peut surmonter. Quant à Denise Desautels, ses poèmes-cimetières sont de petits théâtres construits d’objets et de voix qui rompent la solitude de cet être de langage qu’est la mort.
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L’envolée des ténèbres. Mort et deuil dans la poésie d’Anne Hébert, Fernand Ouellette, Jacques Brault et Denise Desautels.Lamontagne, Lydia 11 January 2012 (has links)
Notre thèse tente de dégager une structure globale, un espace de la mort en lien avec l’écriture du deuil qui serait propre à la poésie québécoise telle qu’elle est représentée par Anne Hébert (1916-2000), Fernand Ouellette (1930 –), Jacques Brault (1933 –) et Denise Desautels (1945 –). La notion d’hétérotopie de Michel Foucault constitue le cœur de notre approche théorique parce qu’elle fait le pont entre un lieu localisable et un lieu non localisable dans le réel. Nous l’utilisons pour montrer l’« espace imaginaire de la mort » (Michel Ragon) de chaque poète. Deux notions bachelardiennes – le retentissement et la résonance – guident notre compréhension des images poétiques dans l’écriture de la perte. La mort n’étant pas un sujet ni un thème comme les autres, en faire un concept nous permet de tenir compte de sa particularité philosophique puisqu’il « vise à dégager l’essence d’une notion d’abord perçue comme noyée dans une gangue de contingences multiples » (Claude Bremond). D’un poète à l’autre, l’hétérotopie révèle le passage d’un imaginaire utopique de la mort à une thématisation plus axée sur la problématique de la dépouille. C’est ainsi que la traversée des ténèbres entreprise par Anne Hébert pour naître à la parole vivante ouvre la porte à l’angoisse d’une fin définitive que Fernand Ouellette apaise par sa foi en un au-delà. Son espace de la mort rejoint la notion d’horizon de Michel Collot. De son côté, Jacques Brault thématise la mort comme la fin d’un chemin marqué de nombreux deuils que seule la mémoire peut surmonter. Quant à Denise Desautels, ses poèmes-cimetières sont de petits théâtres construits d’objets et de voix qui rompent la solitude de cet être de langage qu’est la mort.
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