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Deux genres narratifs brefs au Moyen Âge : étude comparative des fables de Marie de France et des fabliaux contenus dans les manuscrits BnF fr. 19152 et BnF fr. 12603

Saumur, Louis-Alexandre January 2006 (has links)
Mémoire numérisé par la Direction des bibliothèques de l'Université de Montréal.
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L'esthétique du récit bref à la fin du moyen age : réécritures, marges et interférences / The aesthetic of the short narrative at the end of middle ages : rewriting, margins and interferences

Marchand, Céline 30 June 2014 (has links)
Les derniers siècles du moyen âge européen pourraient être surnommés ‘l'ère de la déconstruction.' aussi, les œuvres littéraires se caractérisent-elles par l'hybridation ou la contamination de traditions et de modèles différents. leur dissonance interpelle. l'impossibilité à les faire entrer dans un cadre de référence précis, la difficulté à les classer témoigne de cette particularité. nous aborderons la question du point de vue du récit bref, en explorant le champ diversifié, européen, de la nouvelle du xiiie au xvie siècle. les conditions culturelles et politiques (système de cours diffusant à partir d'un cadre géographique précis, déplacements des auteurs, échanges et créations entre lieux artistiques et culturels spécifiques, ritualisation des pratiques littéraires, radicalisation des formes poétiques fixes), tout conduit à adopter face à l' ‘objet' littéraire une approche à la fois rigoureuse et pragmatique. l'enjeu est de dépasser les habituels cadrages critiques. a cette fin nous programmons trois directions qui contribueront à mieux définir notre objet :1° normes littéraires et esthétiques : transformations et dépassements. les innovations, les interférences créent les conditions d'un changement d'approche de l'écriture du récit bref. héritières du fabliau et du lai, les nouvelles médiévales ne sont pas encore le produit fini d'une pratique littéraire. les expérimentations (boccace, chaucer, antoine de la sale, cent nouvelles nouvelles, evangile des quenouilles) sont des solutions de compromis entre des formulations encore hésitantes. la nouvelle ne se présente pas comme une réalisation uniforme : les textes circulent et sont modelés par des échanges entre des lieux de productions et de diffusions qui ont leur logique propre (bourgogne, anjou-provence, cités-états italiens…). c'est dans une perspective dynamique que nous nous attacherons à disséquer ces tâtonnements, à repérer des modèles unificateurs et des tensions avec des traditions locales ;2° inscription du sujet dans l'œuvre : qu'il s'agisse de productions savantes ou populaires, d'auteurs uniques ou de travaux collectifs, leur genèse est multiple et diversifiée et passe à chaque fois par une approche critique singulière. les différentes formes de récits brefs ne s'inscrivent pas dans les mêmes temporalités ni dans les mêmes espaces. dans cette exploration, se posera la question complexe de l'inscription du sujet dans la fiction. de boccace à antoine de la sale l'engagement est différent, les méthodes, les pratiques et les résultats diversifiés. d'autres paramètres peuvent rendre plus complexe l'approche critique. c'est le cas de l'evangile des quenouilles. ce recueil de nouvelles racontées oralement par des femmes subit l'empreinte cléricale au moment de la mise en forme, le récit est biaisé par une tradition écrite qui édulcore la parole originelle et la transforme. l'œuvre est ainsi le produit de plusieurs médiations qui renforcent la ‘problématicité' de la nouvelle en y ajoutant la question du ‘genre' (‘gender'). les relations de l'œuvre au réel en sont modifiées.3° la circulation des textes dans cette europe virtuelle soulève une question plus profondément philosophique relative à la crise des croyances à l'aube de la renaissance européenne : qu'il s'agisse des lieux communs, des poncifs de la théologie morale, de l'esprit d'ouverture de l'humanisme naissant ou de l'idée de réformation, les implications politiques et religieuses ne cessent de soulever un questionnement lancinant sur les enjeux des transformations des formes littéraires. la question est encore plus urgente pour la nouvelle. / At the end of the Middle Ages, literary works can be characterised by the hybridisation, or the contamination, of disparate traditions and models. Their dissonance is striking. The impossibility of shoehorning them into the same precise frame of reference and the difficulty in classifying them bears witness to this particularity.We will approach the question from the point of view of the short narrative, exploring the diversified, European domain of the novella from the 13th to the 16th century.The cultural and political conditions (system of knowledge diffusing from a precise geographical frame, authors’ movements, exchanges and collaborations between two specific artistic and cultural spaces, ritualisation of literary practices, radicalisation of fixed poetic form) all lead to applying both a rigorous and a pragmatic approach to the literary ‘object’. Our objective is to go beyond the habitual critical framework.Thus it is with this dynamic and pragmatic perspective that we will set about dissecting these experimentations, these still-hesitant formulae governed by the mutability of the medieval text, which drifts from one form to another. This is also the case for the short narrative that we see elsewhere in the ‘fabliau’, the ‘conte à rire’, the novel, and memoir. These transformations confront us with the choice of individualised approaches for each work, for the application of each short story will forever remain unique and unclassable. Is it not a reflection of a late-medieval society which is searching and has not yet found the definitive form for the expression of new aspirations? It is the only criterion which allows us to define the ‘style’ of the novella.
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Éthique et esthétique de l'ironie chez José Rodrigues Miguéis / Ethics and aesthetics of irony in José Rodrigues Miguéis’s fiction

Da Costa, Georges 02 June 2010 (has links)
José Rodrigues Miguéis [1901-1980] quitte le Portugal en 1935 et, malgré quelques tentatives de retour, il passera la plus grande partie de sa vie aux États-Unis. Cet exil, en grande partie dû à ses activités politiques contre le régime salazariste, va marquer profondément son œuvre fictionnelle. En effet, si, d’un côté, les préoccupations éthiques du militant imprègnent fortement des récits qui obéissent souvent à une stratégie littéraire globale à visée pédagogique où l’ironie classique et satirique est un instrument privilégié, de l’autre, l’écrivain fait régulièrement preuve d’une attitude critique envers soi et envers le réel et met régulièrement en scène ses doutes et ses questionnements à travers une autre ironie, romantique et moderne, qui se traduit par l’utilisation de techniques littéraires signalant un rapport réflexif à la création. Le paradoxe constitutif de toute ironie – dire simultanément l’adhésion et la mise à distance – est ainsi exacerbé par la présence de ces deux ironies contradictoires, souvent dans la même œuvre. L’objectif de ce travail est de montrer que la particularité de la fiction migueisienne réside dans cette cohabitation doublement ironique : une fiction vue comme une aire de jeu caractérisée par l’ambiguïté, où l’écrivain joue avec les conventions littéraire, avec les genres, avec les instances personnage-narrateur-auteur qu’il tend à confondre, et, surtout, avec la dimension autobiographique, prépondérante. L’ironie classique et l’ironie romantique et moderne apparaissent alors comme les deux faces littéraires d’un même drame identitaire, celui d’un écrivain exilé qui se veut et qui est, avant tout, portugais. / José Rodrigues Miguéis [1901-1980] leaves Portugal in 1935 and, despite several attempts to come back, he spends most of his life in the United States. This exile, mostly due to his political activities against the Salazar regime, will deeply influence his fictional work. Indeed, on the one hand, his ethical concerns as an activist strongly riddle his narratives which very often obey a global literary strategy with an educational intention where classical and satirical irony is a tool of choice. On the other hand, he regularly shows a critical attitude towards the self and towards the real and often stages his doubts and questionings through another irony, romantic and modern, using literary techniques pointing out a reflexive relationship to creation. The paradox constituting any irony – to say at the same time adhesion and detachment – is thus exacerbated by the presence of those two contradictory ironies, often in the same work. This study aims to prove that the particular nature of the Migueisian fiction lies in the simultaneous presence of those two ironies: a fiction considered as a playground characterized by ambiguity, where the writer plays with the conventions of literature, with genres, with the character-narrator-author categories that he tends to mix up all together and, above all, with the autobiographical dimension, which really plays a predominant role. The classical irony and the romantic and modern one then reveal themselves as the two literary faces of the same identitary drama, that of an exiled writer who wishes to be and is, above all, Portuguese.
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Éthique et esthétique de l'ironie chez José Rodrigues Miguéis

Costa, Georges da 02 June 2010 (has links) (PDF)
José Rodrigues Miguéis [1901-1980] quitte le Portugal en 1935 et, malgré quelques tentatives de retour, il passera la plus grande partie de sa vie aux États-Unis. Cet exil, en grande partie dû à ses activités politiques contre le régime salazariste, va marquer profondément son œuvre fictionnelle. En effet, si, d'un côté, les préoccupations éthiques du militant imprègnent fortement des récits qui obéissent souvent à une stratégie littéraire globale à visée pédagogique où l'ironie classique et satirique est un instrument privilégié, de l'autre, l'écrivain fait régulièrement preuve d'une attitude critique envers soi et envers le réel et met régulièrement en scène ses doutes et ses questionnements à travers une autre ironie, romantique et moderne, qui se traduit par l'utilisation de techniques littéraires signalant un rapport réflexif à la création. Le paradoxe constitutif de toute ironie - dire simultanément l'adhésion et la mise à distance - est ainsi exacerbé par la présence de ces deux ironies contradictoires, souvent dans la même œuvre. L'objectif de ce travail est de montrer que la particularité de la fiction migueisienne réside dans cette cohabitation doublement ironique : une fiction vue comme une aire de jeu caractérisée par l'ambiguïté, où l'écrivain joue avec les conventions littéraire, avec les genres, avec les instances personnage-narrateur-auteur qu'il tend à confondre, et, surtout, avec la dimension autobiographique, prépondérante. L'ironie classique et l'ironie romantique et moderne apparaissent alors comme les deux faces littéraires d'un même drame identitaire, celui d'un écrivain exilé qui se veut et qui est, avant tout, portugais.
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Conter et compter : le récit bref et la «révolution commerciale» du XIIIe siècle

Cholette, Gabriel 05 1900 (has links)
Dans la seconde moitié du XIIe siècle, une redéfinition du paysage littéraire s’effectue au moment même d’un grand essor économique que les historiens appellent la « révolution commerciale du XIIIe siècle » (1160-1330). Ce contexte culturel et social semble permettre l’émergence de nombreuses formes narratives de langue vernaculaire caractérisées par la brièveté (contes exemplaires, dits, fables, fabliaux, lais et miracles), dont la plupart ne survivront pas à la fin de cette période. Partant de cette observation, cette thèse examine les liens qui unissent les récits brefs aux discours commerciaux. Elle propose que les formes littéraires caractérisées par une économie du vers ont non seulement été un véhicule de choix pour transmettre et problématiser les idées marchandes, mais qu’elles se sont aussi instituées sur leur capacité à narrativiser des enjeux qui leur était contemporains. Véritables laboratoires poétiques et culturels, les formes brèves ont été à la fine pointe du discours social et ont participé à redéfinir le rapport à l’argent, à l’échange, à la valeur et à la dette, à un moment important du développement de la pensée économique au Moyen Âge. Divisée en huit chapitres, cette thèse s’intéresse d’abord au lexique commercial en langue vernaculaire, avant de faire des études plus pointues d’enjeux discursifs propres à l’époque. Si le vocabulaire marchand est employé dans les premiers monuments de la langue française, on remarque que les œuvres produites à partir des années 1160 l’utilisent plus fréquemment et qu’elles leur accordent désormais des sens monétaires (chapitre 1). Tout au long du XIIIe siècle, ce vocabulaire a un usage varié, puisqu’il permet à la fois d’exprimer les échanges sur terre, en même temps qu’il permet de métaphoriser l’idée chrétienne de la rédemption. L’analyse des acceptions concrètes, abstraites et « éthico-économiques » de ce lexique nous permet de faire un premier pas dans le corpus des formes brèves afin d’en marquer les spécificités (chapitre 2). Notant que les formes brèves n’utilisent pas de la même façon les termes de l’économie, nous avons établi une véritable typologie des genres à partir des différences constitutives (chapitre 3 et chapitre 4). Dans la deuxième partie de cette thèse, les composantes narratives des récits brefs ont été examinées à la lunette des discours économiques de la « révolution commerciale ». Les récits qui racontent la vente d’un cheval ont réinvesti la notion juridique du juste prix en problématisant les échanges de biens jugés équivalents (chapitre 5). La question de la fraude monétaire a nourri un nombre d’intrigues où des échanges non équivalents sont accomplis et où un personnage tente d’obtenir un surplus sur un autre, à un moment où les théologiens débattent de la notion même de superhabundantia (chapitre 6). Remanié tout au long du Moyen Âge, selon les goûts du jour et en fonction des changements d’attitudes face à l’usure, le miracle d’Abraham le juif a permis de transmettre l’idée que les dettes monétaires ne se pensent indépendamment des dettes divines (chapitre 7). Enfin, le dernier chapitre s’intéresse à l’idée d’« économie narrative », qui n’apparaît pas dans les Arts poétiques médiolatins, mais qui est rendue bien sensible par des récits brefs démesurés qui ne respectent pas la contrainte de la brièveté (chapitre 8). / During the second half of the 12th century, the redefinition of the literary landscape happens at the same time as a great economic growth that is known to the historians as the “commercial revolution of the 13th century” (1160-1330). This cultural and social context seems to have permitted the emergence of numerous narrative forms in the vernacular language that are characterised by their brevity (pious tales, dits, fables, fabliaux, lais and miracles), most of which won’t survive the end of the period. Starting from this observation, this thesis examines the links that unites the récits brefs to the commercial discourses, showing that the literary forms characterised by an economy of the verse have not only been the perfect vehicle to transmit and problematize the merchants’ ideas, but also that they have instituted themselves on their capacity to create narratives from contemporary issues. Poetic laboratories of the cultural ideas, the brief forms have been at the leading edge of the social discourse and have participated in sharpening the ways to conceive the notions of value, money, exchange and debt, during an important moment of the development of the economical thought in the Middle Ages. Divided into eight chapters, this thesis examines first the vernacular commercial lexicon, before making more in-depth studies of discursive issues specific to the time. If the commercial vocabulary is already used in first monuments of the French language, we notice that the works produced from the 1160s use it more frequently and give them monetary meanings (chapter 1). Throughout the thirteenth century, this vocabulary has a varied use, since it expresses both the exchanges on earth and the Christian idea of redemption. The analysis of the concrete, abstract and “ethico-economic” meanings of this lexicon allows us to take a first step in the corpus of short forms in order to examine their specificities (chapter 2). Noting that short forms do not use economics terms in the same way, we were then able to establish a true typology of genres from their respective uses (chapter 3 and chapter 4). In the second part of this thesis, the narrative components of the short stories were examined through the lens of the economic discourse of the “commercial revolution”. Stories about the sale of a horse have reinvested the legal notion of a justum pretium by problematizing the exchange of goods deemed to be equivalent (chapter 5). The question of monetary fraud has fuelled a number of intrigues where unequal exchanges are accomplished and where one character tries to obtain a surplus over another, at a time when theologians are debating the very notion of superhabundantia (chapter 6). Revamped throughout the Middle Ages, according to the tastes of the day and according to the changes of attitudes towards usury, the Miracle of Abraham the Jew made it possible to transmit the idea that the monetary debts are not thought independently of divine debts (chapter 7). Finally, the last chapter is interested in the idea of "narrative economy", which does not appear in the Latin poetic arts, but which is made very sensitive by disproportionate short narratives who do not respect the constraint of brevity (chapter 8).
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La justice dans les histoires tragiques de Pierre Boaistuau et François de Belleforest (1559-1582) / Justice in the tragic stories of Pierre Boaistuau and François de Belleforest (1559-1582)

Eudes-Feki, Maroua 15 December 2017 (has links)
Au XVIe siècle, nous assistons à deux types de récits criminels : dans la presse, les faits divers, produits sous la forme de « canards », et dans la littérature, les histoires tragiques, forme narrative brève essentiellement véridique et à tonalité pathétique. Lorsque Pierre Boaistuau, appelé aussi Launay, publie Les Histoires tragiques, il sélectionne six récits parmi les Novelle de Matteo Bandello. Le travail de Boaistuau ne se limite pas à la traduction de ces textes mais également à la fondation d’un genre qu’est l’histoire tragique. François de Belleforest, son ami, en poursuit la traduction et en varie les sources ; il publie entre 1559 et 1582 sept volumes d’histoires tragiques. Notre étude porte sur la justice, un thème clé pour comprendre les textes de ces deux auteurs. En effet, leurs récits révèlent un intérêt particulier pour les différentes formes de justice (humaine, naturelle et divine), pour le procès judiciaire et ses protagonistes. Nous analysons tous ces points ainsi que le thème de la transgression à travers différents crimes, principalement les crimes de paillardise (« macquerellage », rapt, viol et adultère). Notre réflexion porte également sur le châtiment et ses fonctions ainsi que sur le comportement du condamné au moment de son exécution. Enfin, nous nous intéressons aux stratégies discursives déployées par nos auteurs notamment à la rhétorique judiciaire et à la rhétorique délibérative. Les enjeux soulevés à travers l’étude du discours rhétorique permettent d’explorer les liens entre le discours judiciaire et le discours politique et donc entre justice et politique. Somme toute, la dernière partie de notre travail permet de cerner les rapports entre rhétorique, justice et politique. / In the sixteenth century, two types of criminal narratives predominate: short news items in the press, printed separately as canards, and brief narrative literary forms that constitute the tragic story genre, combining truth with a tone of pathos. When Pierre Boaistuau, also called Launay, publishes Les Histoires tragiques, he selects six stories from Matteo Bandello’s Novelle. Boaistuau's work is not limited to the translation of these texts but also establishes the tragic story genre. His friend François de Belleforest continues the translation and varies the sources; between 1559 and 1582 he published seven volumes of tragic stories. My thesis focuses on justice, a key theme for understanding the texts of these two authors. Indeed, their stories reveal a particular interest in the different forms of justice (human, natural and divine), in the judicial process and in its protagonists. I analyze all these points as well as the theme of transgression through an examination of various crimes, mainly crimes of debauchery ("macquerellage" –sex trafficking–, abduction, rape and adultery). I also consider the different functions of punishment as well as the behavior of the convicted person at the time of execution. Finally, I am interested in the discursive strategies deployed by these authors, including judicial rhetoric and deliberative rhetoric. The issues raised through the study of rhetoric make it possible to explore the links between judicial discourse and political discourse and therefore between justice and politics. The summative, final part of our work further elucidates the relationships between rhetoric, justice and politics.

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