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Saint-simonisme et système bancaire : utopie et pratique /

Yonnet, Franck. January 2000 (has links)
Th. Doct.--Sciences économiques--Evry--Université d'Evry-Val d'Essonne, 2000. / Bibliogr. p. 653-676. Notes bibliogr.
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Deutsche Pressestimmen zum Saint-Simonismus, 1830-1836 : eine frühsozialistische Bewegung im Journalismus der Restaurationszeit /

Siebers-Gfaller, Stefanie, January 1992 (has links)
Diss.--München Universität, 1991. / Bibliogr. p. 365-399. Index.
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Le fonctionnement symbolique des télécommunications /

Musso, Pierre, January 1996 (has links)
Thèse pour le doctorat--Paris--Université de Paris-I-Panthéon-Sorbonne. Ecole doctorale de science politique de la Sorbonne, 1996. / Bibliogr. p. 964-1000.
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Les idées et les opinions littéraires des saint-simoniens (1825-1835) /

Régnier, Philippe, January 1983 (has links)
Th. 3e cycle--Lettres--Paris 3, 1983. / Bibliogr. f. 799-853. Index.
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Un pionnier de l'économie sociale : vie et oeuvres de Jules Lechevalier Saint-André (1806-1862) : des socialismes "utopiques" aux modèles coopératifs : [thèse de doctorat d'histoire sous la direction de M. Jacques Marseille] /

Chaïbi, Olivier. January 2007 (has links)
Thèse de doctorat--histoire--Paris 1, 2007. / Résumés en français et en anglais. En annexes : bibliogr. des oeuvres de J. Lechevalier Saint-André suivie des sources consultées. Bibliogr. p. 394-401. Index.
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Vers une conception saint-simonienne de l'entreprise et de la société industrielle / Toward a Saint-Simonian conception of the corporation and of industrial society

Gilormini, Patrick 25 October 2018 (has links)
De la mort d’Henri Saint-Simon en 1825 à l’inauguration du Canal de Suez en 1869, les saint-simoniens se sont engagés dans de nombreux projets de création d’entreprises. Animés du désir d’achever la Révolution Française et de développer un nouvel humanisme, ils sont à l’origine de grandes entreprises capitalistes d’intérêt général et de coopératives ouvrières.L’analyse économique dominante laisse souvent de côté le rôle des institutions et de l’idéologie dans l’accélération ou le ralentissement du développement économique. Saint-Simon et ses disciples ont anticipé le rôle central à l’entreprise comme institution clé du capitalisme. La conception organiciste de l’entreprise saint-simonienne, conçue comme un système vivant associant une physiologie évolutionniste naturelle et sociale, pose la question de la nature et des frontières de la firme dans un projet d’émancipation technico-économique.Alors que la question de la responsabilité sociale de l’entreprise fait l’objet d’une attention croissante, ils nous invitent à analyser à nouveaux frais la question de l’entreprise comme objet d’intérêt général. Nous analysons dans une première partie la pensée de Saint-Simon et la façon dont elle articule l’homme, l’entreprise et la société à travers les médiations du travail et de l’industrie. Une seconde partie est consacrée à trois saint-simoniens qui inscrivent cette pensée dans leurs pratiques : Enfantin dans une perspective internationale, Buchez dans une spiritualité chrétienne et Leroux en vue d’un socialisme libéral. / Between Saint-Simon death in 1825 and the opening of the Suez Canal in 1869, saint-simonians have been engaged in a variety of entrepreneurial projects. Willing to put an end to the French Revolution and to develop a new humanism, they have initiated both large capitalist ventures of public interest and workers’ cooperatives. Mainstream economic analysis often puts aside the role of institutions and ideologies in economic development movements. Saint-Simon and his followers anticipated the central role of firm as a key capitalist institution. Based on a physiological framework they viewed corporation as a living organism inscribed in a natural and social evolution, which raises the question of the nature and the limits of the firm in the perspective of their techno-economic emancipation project.Now that corporate social responsibility is a matter of concern, this research on the history of economic thought looks at an organizational fact: the firm as common good. First, we analyse, Saint-Simon thought and the way he connects man, corporation and society via work and industry. A second part is dedicated to three saint-simonians who implemented their ways of thinking: Enfantin in an internationalist perspective, Buchez under Christian spirituality and Leroux in search of liberal socialism.
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La formation de la chronique boursière dans la presse quotidienne française (1801-1870) : métamorphoses textuelles d'un journalisme de données / The creation of the stock exchange section in the French daily press (1801-1870) : textual metamorphoses of a data journalism

Langlais, Pierre-Carl 10 December 2015 (has links)
La médiatisation des activités boursières suscite un regain d’intérêt en sciences humaines et sociales. Cette thèse aborde ce sujet sous l’angle de sa formation historique : nous cherchons à décrire le processus de codification d’une écriture journalistique. En France, la chronique boursière a une date de naissance. Le 29 janvier 1838, le banquier et idéologue saint-simonien Isaac Pereire publie une « Revue de la Bourse de Paris » dans le Journal des débats. Vingt ans plus tard, chaque grand quotidien généraliste emploie un chroniqueur boursier ou bulletinier, qui se rend quotidiennement aux séances du Palais Brongniart. Ainsi se trouvent posés les termes d’une acceptabilité : la chronique boursière se dote graduellement des traits d’une rubrique journalistique standardisée. Le sous-titre de notre thèse en énonce les trois objectifs principaux. Il est successivement question de situer l’avènement du journalisme boursier dans le cadre d’une métamorphose générale des cultures textuelles, de décrire le développement d’une écriture journalistique de la donnée et enfin, de rendre compte de l’état des archives numérisées, qui nous parviennent sous la forme d’un journalisme en données. Nous avons souhaité tirer parti de la numérisation massive de la presse ancienne pour constituer des corpus élargis. À partir de notre application Pyllica, nous avons pu récupérer les chroniques boursières hebdomadaires du Journal des débats parues de 1838 à 1870. Le traitement automatisé des données textuelles (ou text mining) permet de situer avec précision les évolutions structurelles de procédés stylistiques. Cette thèse se présente ainsi comme une contribution à l’étude informatisée des poétiques journalistiques. / The mediatization of stock exchange activities has stirred a renewed interest in social sciences. This doctoral thesis tackles this topic through its historical development : it aims to describe the codification of a journalistic writing. In France, the stock exchange section has its Anno Dominici : on the 29th January 1838, the businessman and saint-simonian thinker Isaac Pereire launches a « Revue de la Bourse de Paris » in the Journal des débats. Twenty years later, each significant French daily has recruited a stock exchange chronicler. The main purpose of our work consist in identifying the factors that brought a shapeless text into a standard journalistic section. The subtitle of this thesis addresses three subsequent ambitions : to clarify the general setting that has allowed the creation of financial journalism, to analyze the establishment of a vintage form of “data journalism” and, then, to indicate that this older form of “data journalism” has been read as a set of data. The massive digitization of old newspapers has created the opportunity to study wider corpora. We developed an application, Pyllica, to scrap the collections of the French National Library and were able to store in a database all the weekly stock exchange sections published in the Journal des Débats from 1838 to 1870. The use of text mining techniques has allowed to determine precisely the evolution of stylistic and editorial motives. This thesis thus appears as a general contribution to the digital study of newspaper poetics.
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Physiocratie, saint-simonisme, agrarisme, à travers la famille Petit / Physiocracy, Saint-Simonianism and Agrarianism Through the Experiences of the Petit Family

Jouve, Bernard 10 June 2017 (has links)
La découverte du fonds Petit aux Archives départementales de l’Indre a permis de suivre une famille adepte successivement de trois théories économiques du XVIIIe et du XIXe siècle : la physiocratie, le saint-simonisme et l’agrarisme. Mme Nicolas Petit, par son achat massif de terres et sa philosophie humanitaire, son fils Alexis Petit par son militantisme saint-simonien et son petit-fils Paul Petit par son appartenance efficace à l’agrarisme sont les exemples du passage entre ces trois mouvements. Les dossiers contenus dans les Archives départementales de l’Indre permettent également de suivre le parcours saint-simonien d’Alexis Petit, proche de Prosper Enfantin qu’il accompagna en Égypte à la recherche des vestiges du Canal de Suez. Alexis Petit tentera une expérience de ferme industrielle communautaire dans les vues saint-simoniennes. Paul Petit sera un militant agrarien, secrétaire de la Société d’agriculture de l’Indre. Cette thèse a pour but d’exploiter les nombreuses données sur le saint-simonisme à travers les correspondances inédites et à travers les documents que contiennent les Archives départementales de l’Indre et de donner une version nouvelle de ce mouvement. Son but est également de démontrer que Saint-Simon et les saint-simoniens sont un chaînon notable de la transmission entre la physiocratie et l’agrarisme. / The discovery of the Petit family collection at the archive of the Indre department allowed us to follow their successive experiences of three economic theories—physiocracy, Saint-Simonianism and agrarianism— through the eighteenth and nineteenth centuries. Mrs Nicolas Petit (because of her massive purchase of land and her humanist philosophy), her son, Alexis Petit (through his Saint-Simonian militancy) and her grandson, Paul Petit (through his effective membership of agrarianism), are most eloquent examples of the passage from one theory to the next. The files contained in the archive of the Indre department also make it possible to follow the Saint-Simonian way of Alexis Petit, who accompanied Prosper Enfantin in Egypt in search of the remains of the Suez Canal. Alexis Petit attempted an experiment of an industrial community farm in the Saint-Simonian aspects. Paul Petit was an agrarian activist and the secretary of the Agricultural Society of Indre. This thesis aims at making the most of the numerous data on Saint-Simonianism, with unpublished correspondence, and through the documents contained in this collection, in order to present a new understanding of this movement. Its aim is also to demonstrate that Saint-Simonianism is a noteworthy link between physiocracy and agrarianism.
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Imposer ou créditer. Réformes et révolutions fiscales dans les économies politiques socialistes du XIXe siècle français / To tax or to credit. Tax reforms and revolutions in socialist political economies in the 19 th century France

Coste, Clément 29 September 2016 (has links)
Les histoires de la pensée économique sont relativement discrètes à l’égard des économies politiques socialistes qui se développent en France au cours des deux décennies 1830 et 1840.La thèse se propose de réinvestir ces écrits afin de les inscrire dans une histoire de l’économie politique. La fiscalité est la porte d’entrée de cette enquête. Elle est pensée comme lieu de jonction entre espace politique et espace économique : la fiscalité est envisagée comme dispositif étatique susceptible de catalyser, d’encadrer et de désamorcer la puissance régulatrice du marché. S’intéresser à l’impôt doit ainsi permettre de rendre compte de visions articulées autour des interdépendances pensées par les socialistes entre l’État et le marché. La thèse porte sur deux grandes traditions.Au sein de l’économie politique saint-simonienne, incarnée entre autres par Barthélémy Prosper Enfantin, Michel Chevalier, Alphonse Decourdemanche, Emile et Isaac Pereire,l’impôt est appréhendé dans une perspective très fonctionnaliste. Il s’agit par l’impôt de configurer le marché en rééquilibrant les dotations matérielles et en activant la circulation des capitaux de manière à permettre la baisse du taux d’intérêt. Les saint-simoniens développent par ailleurs une théorie socio-économique de l’emprunt : le développement de l’endettement public est un moyen de socialiser le crédit et les capitaux. La deuxième tradition, celle des socialistes fraternitaires dont Louis Blanc, Pierre Leroux, Jean Reynaud, François Vidal et Constantin Pecqueur sont des représentants, réfute la théorie saint-simonienne de « l’emprunt public illimité » et propose la réforme des institutions économiques et commerciales susceptibles de fournir à la jeune République les ressources nécessaires pour financer le « droit au travail » sans avoir recours ni à l’impôt, ni à l’emprunt.Les arguments développés s’inscrivent dans des économies politiques singulières quimanifestent chacune à leur manière leur opposition à l’économie politique libérale : une économie politique capacitaire (saint-simonienne) incarnée dans un discours technique articulé aux débats financiers de l’époque, une économie politique républicaine (fraternitaire)caractérisée par un discours philosophique qui tente de réintégrer la question politique dans le traitement des affaires économiques. Réinventer la fiscalité pour réorganiser la société est un objectif important que se donnent les socialistes du XIX e siècle français. / Histories of economic thought are relatively discrete with regards to the socialist political economies which developed in France during the 1830s and 1840s. This dissertation aims to reconsider relevant writings before putting them into the context of the history of political economy. The tax system is the starting point of this study. It is thought of as the meeting point between the political and economic spheres: the tax system is envisaged as a state apparatus, able to catalyze, to structure and to neutralize the regulatory power of the market.An interest in tax thus takes into account socialist viewpoints revolving around the independencies between the State and the market. This dissertation focusses on two maintraditions. Firstly, in Saint-Simonian political economy, embodied amongst others by Barthélémy Prosper Enfantin, Michel Chevalier, Alphonse Decourdemanche, Emile and Isaac Pereire, tax was understood from a very functionalist perspective. It was through tax that the market was structured, by restoring balance to material funds and by activating the movement of capital in such a way as to decrease interest rate. Moreover, the Saint-Simonians developed a socio-economic theory of borrowing: the development of public debt was a means to socialize credit and capital. The second tradition, that of the fraternal socialists represented by Louis Blanc,Pierre Leroux, Jean Reynaud, François Vidal and Constantin Pecqueur, refuted the Saint-Simonian theory of “unlimited public borrowing”. It proposed the reform of the economic and commercial institutions likely to provide the young Republic with the necessary resources to fund the “right to work”, without recourse to tax or to borrowing.The arguments developed were part of singular political economies which demonstrated, eachin their own manner, their opposition to liberal political economy: a capability political economy (Saint-Simonian), manifested in the technical discourse articulated in the financialdebates of the time; a republican political economy (fraternal), characterized by the philosophical discourse which attempted to reintegrate politics into the treatment of economic affairs. The reinvention of the tax system in order to reorganize society was an important objective for the 19 th century French socialists.
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"L'Italiano". Un foglio letterario nella Parigi della Monarchia di Luglio. / « L’Italiano ». Une gazette littéraire dans le Paris de la Monarchie de Juillet. / «L’Italiano». A Literary Magazine in the July Monarchy Paris.

Gabbani, Ilaria 15 December 2015 (has links)
Ce travail se propose de reconstruire une page peu connue de l'histoire de la diaspora de l'époque du Risorgimento, écrite autour d'un journal littéraire publié à Paris entre les mois de mai et octobre 1836, «L’Italiano. Foglio letterario».Conçu en Suisse par Mazzini et certains de ses compagnons d'exil, «L’Italiano» vit le jour grâce à la collaboration d'un groupe d'exilés italiens résidant dans la capitale française.Par rapport à l'idée d'origine née au sein de la Jeune Italie, le journal dut se confronter à des intellectuels aux parcours culturels et politiques divers qui collaborèrent pour « inaugurer une nationalité, soit-elle littéraire ».Contrairement à son prédécesseur parisien, «L'Exilé» (1832-1834), qui avait l'ambition d'offrir au public italien et français une histoire de la littérature italienne, «L'Italiano» proposait un programme de « critique éducatrice » en s'adressant principalement aux intellectuels de la péninsule.Outre le partage d'une conception éthique et civique de la littérature, le socle culturel sur lequel reposait le journal se fondait sur l'adhésion à une philosophie spiritualiste qui, tout en se revendiquant exclusivement italienne, était alimentée par la rencontre avec certains penseurs français de la Restauration, comme Pierre Leroux et Philippe Buchez.Le programme littéraire du journal s'appuyait sur le théâtre dramatique et sur le mélodrame, considérés comme des dispositifs de mobilisation politique aptes à transposer l'idée de nation sur un plan émotif et symbolique mais aussi à toucher les classes populaires sans avoir recours à la médiation de la parole écrite. / The research aims at reconstructing a neglected episode in the cultural life of the Italian exiles in the Age of the Risorgimento and is centered on a literary magazine published in Paris, from May to October 1836: «L'Italiano. Foglio letterario».«L'Italiano» was envisaged by Mazzini in Switzerland, together with his companions ofexile, and was eventually published with the aid of a group of Italian refugees in Paris. The journal was originally conceived within the context of the «Giovine Italia», but had to face up to a number of intellectuals whose cultural and political background was extremely various and whose intent was to cooperate in order to «principiare una nazionalità, sia pure letteraria».While «L’Exilé» (1832-1834) – the nearest antecedent of this magazine – aspired to provide an history of Italian literature for the Italian and French readers, «L'Italiano» presented rather a program of «critica educatrice» and it was especially addressed to the Italian intellectuals.The circle which arised around the journal was cemented not only by an ethic and engaged conception of literature, but also by a spiritualist philosophy: even if the proponents defended the Italian character of this philosophy, it was developed through a continuous exchange with French Philosophers of the Age of Reaction, such as Pierre Leroux and Philippe Buchez.The journal's proposal was centered on dramatic theatre and melodrama, insofar as theywere considered as instruments for political mobilization, apt to set on an emotional and symbolic dimension the idea of nation, as well as to affect the working-class, without the need for written words. / Questo lavoro si propone di ricostruire una pagina poco nota della diaspora risorgimentale, sorta attorno a un giornale letterario che si pubblicò a Parigi tra il maggio e l'ottobre del 1836, «L’Italiano. Foglio letterario». Concepito in Svizzera da Mazzini e da alcuni suoi compagni d’esilio, «L’Italiano» vide finalmente la luce grazie alla collaborazione di un gruppo di esuli italiani residenti nella capitale francese. Rispetto all’idea originaria, sorta in seno alla Giovine Italia, il giornale dovette confrontarsi con intellettuali dai percorsi culturali e politici assai diversi tra loro, che si trovarono a cooperare per «principiare una nazionalità, sia pure letteraria».Diversamente dal suo precedente parigino, «L'Exilé» (1832-1834), che ambiva a offrire al pubblico italiano e francese una storia della letteratura italiana, «L'Italiano» proponeva, invece, un programma di «critica educatrice» rivolto principalmente agli intellettuali della penisola. Oltre alla condivisione di una concezione etica e civile della letteratura, il sodalizio culturale sorto attorno al giornale si fondava sull’adesione a una filosofia di stampo spiritualista che, pur rivendicando un’origine tutta italiana, si alimentava grazie al confronto con alcuni pensatori francesi della Restaurazione, come Pierre Leroux e Philippe Buchez.La proposta letteraria del giornale poggiava sul teatro drammatico e sul melodramma, in cui riconosceva dei dispositivi di mobilitazione politica che, oltre a proiettare l’idea di nazione su un piano emotivo e simbolico, potevano raggiungere le classi popolari senza la mediazione della parola scritta.

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