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A linguistic relativity appraisal of an African drama : the lion and the jewel

Adekunle, Oluwakemi Temitope 08 1900 (has links)
Submitted in fulfillment of the requirements of the degree of Master of Technology: Language Practice, Durban University of Technology, Durban, South Africa, 2015. / This research is designed to assess the validity of the Sapir Whorf hypothesis in relation to the linguistic and cultural notions of the Yoruba and Zulu language speakers’ via the evaluation of the culture enriched drama text The Lion and The Jewel by Wole Soyinka. The study, which uses both questionnaires and interviews to derive responses from participants, engages both the primary and secondary data throughout the chapters. The study queried both the hypothesis’ strong version, (language governs thought: linguistic classifications restrain and influence mental classifications); and its weak version, (linguistic classifications and their use influence thought as well as some other classes of non-linguistic activities) and their possible reliability. Participants’ ages were between 16 and 46 years old who all speak both English and isiZulu (isiZulu-speaking participants) and English and Yoruba (Yoruba-speaking participants). Questionnaires were used and interviews were conducted, the research questions were answered and the findings provided support for validity of the linguistic relativity hypothesis, that is, languages indeed influence thought. The findings also revealed that linguistic influence on cognition is not limited to different language speakers alone, but also same language speakers per level of exposure to other languages and concepts. Based on these findings, recommendations have been made. Among which is the soliciting more research on language and culture (acculturation and enculturation) such that societal peace, love, unity and development can be maintained and promoted in any monolingual, bilingual or multilingual society. Also, educators should be aware of the possibility of a psycholinguistic influence on thought and assimilate it into schools’ curriculum so that multiculturation is fully adopted and promoted in the schools.
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Semantic Shift and the Link between Words and Culture.

Dunai, Amber 12 1900 (has links)
This thesis is concerned with the correlation between cultural values and the semantic content of words over time; toward this purpose, the research focuses on Judeo-Christian religious terminology in the English language. The Sapir-Whorf hypothesis is of central interest to this study, and the implications of the hypothesis, including a bidirectional interpretation allowing for both the influence of language on worldview and culture on language, is of great relevance to the research findings and conclusions. The paper focuses on the etymology and sources of religious terminology in the English language, the prominent category of terms with both religious and secular applications attained through semantic shift, and the role of religious words as English taboo. The research findings imply that a bidirectional understanding of the Sapir-Whorf hypothesis is the correct one. This is achieved both through analysis of historical events and linguistic development which emphasize the speaker's role in language development and through the study of societal values that are reinforced through linguistic practices, namely taboo.
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Couleur, culture et cognition : examen épistémologique de la théorie des termes basiques

Jraissati, Yasmine 11 November 2009 (has links) (PDF)
La catégorisation de la couleur, à l'interface entre lexique et perception, est un champ de recherche d'élection pour les théories qui soutiennent la dépendence/ indépendance du langage et des concepts. Le débat concernant l'interaction entre culture et cognition dans la catégorisation de la couleur oppose traditionnellement les perspectives dites ‘relativistes' et ‘universalistes', respectivement représentées par l'hypothèse Sapir-Whorf et la Théorie des termes basiques (TTB). Dans la perspective relativiste, on soutient que le langage détermine la perception et que la catégorisation des couleurs dépend du langage. Elle est donc arbitraire. Dans la perspective universaliste, on soutient qu'il y a un nombre déterminé de catégories basiques de couleur (11), communes à toutes les langues. De plus, ces catégories émergent dans le lexique suivant une séquence évolutionnaire partiellement contrainte (blanc, noir, rouge, jaune, vert, bleu, marron, rose, orange, gris, violet). En résultat, les défenseurs de la TTB soutiennent que les catégories de couleur ne sont pas déterminées par la langue et la culture de façon arbitraire. Au contraire, la perception détermine la catégorisation et la sémantique des couleurs. Aujourd'hui cependant, ces différents points de vue semblent converger, bien que la littérature considère généralement séparément la détermination du lexique ou la détermination perceptuelle. L'objectif de cette thèse est de dépasser le débat traditionnel et contraignant opposant les relativistes aux universalistes, et de contribuer à la littérature en tentant de poser les bases d'une approche de la catégorisation de la couleur à l'interface entre langage, perception et contexte. La TTB s'étant établie comme un paradigme de recherche et une théorie de référence concernant la catégorisation de la couleur et le rapport entre culture et cognition, elle sert de point de départ et de cadre théorique pour cette thèse. Dans l'établissement de son argument universaliste, la TTB se sert de plusieurs notions et concepts, dont deux sont clés : les notions de ‘terme basique de couleur' et de détermination perceptuelle'. Pour cette raison, après avoir passé en revue la TTB et son évolution entre 1969 et 2006 dans le chapitre 1, je me consacre à la notion de ‘termes basiques' dans le chapitre 2, et à celle de la détermination perceptuelle dans le chapitre 3. Plus précisément, le chapitre 2 reprend les 8 critères avancés par la TTB pour identifier les termes basiques d'un lexique. Je soutiens que cette définition opérationnelle des ‘termes basiques de couleur' ne peut pas être appliquée de façon cohérente et systématique, comme l'illustrent plusieurs cas de la littérature. Je propose le critère alternatif de ‘référence consensuelle' selon lequel sont basiques, ou cognitivement significatifs, les termes de couleur qui sont employés à travers une communauté linguistique en référence aux mêmes échantillons de couleur. Dans la mesure où la stabilité référentielle est graduelle, la ‘basicité' est donc, elle aussi, une notion graduelle. Les termes de couleur sont plus ou moins basiques ou cognitivement significatifs. A part son avantage expérimental, cette approche des termes basiques a aussi un avantage théorique, dans la mesure où elle permet conceptuellement, une considération du rôle du contexte dans la catégorisation. L'idée sous-tendant cette approche des termes basiques est la suivante : plus un terme de couleur est utilisé, plus il se stabilise, plus il est basique. Le chapitre 3 se concentre sur la nature de la détermination perceptuelle mise en avant par la TTB pour rendre compte de la régularité observée dans la catégorisation. Je soutiens dans cette partie de la thèse que la TTB a hérité d'une approche traditionnelle ‘fondationnelle' de la cognition de la couleur, incompatible avec certains de ses aspects. La TTB doit abandonner son fondationnalisme afin de pouvoir répondre aux défis auxquels elle est aujourd'hui confrontée. Sont ‘fondationnelles' toutes les approches de la cognition de la couleur qui reposent sur un petit nombre de couleurs fondamentales généralement dites ‘primaires'. Ces couleurs ‘primaires' sont considérées nécessaires dans un sens sémantique, épistémique, perceptif ou métaphysique. De plus, j'argue que dans sa dernière tentative d'explication de la régularité de la catégorisation, la TTB pourrait bien être en train d'indiquer la voie vers une approche non fondationnelle de la cognition de la couleur. En effet, dans mon interprétation de cette dernière tentative, la cognition de la couleur repose sur une notion relative de saillance perceptuelle. C'est-à-dire : a) La saillance perceptuelle est relative au positionnement des couleurs dans un espace perceptif irrégulier ; b) La catégorisation étant considérée comme ‘optimale', la saillance perceptuelle est relative au nombre existant de catégories basiques dans un lexique donné. Dans cette optique, et contrairement à ce que suggèrent les défenseurs de la TTB, ce dernier développement de la théorie n'est pas en continuité avec l'approche de la catégorisation par les couleurs focales, soutenue pendant des décennies. Les couleurs focales sont prises pour être fondées sur les couleurs pures, qui, en raison de leur qualité inhérente de ‘pureté', opèrent comme des points de repère absolus dans notre espace perceptif, alors que la saillance perceptuelle est nécessairement relative. En me basant sur cette analyse des termes de couleur ‘basiques', ou cognitivement significatifs, ainsi que sur la nature de la détermination perceptuelle, je suggère enfin dans le chapitre 4, une hypothèse sur la façon dont pourraient interagir contexte, lexique et perception dans la catégorisation de la couleur. Ma suggestion s'appuie sur deux études expérimentales. La première est une tâche de tri contraint qui a pour but de tester l'hypothèse soutenue par la TTB selon laquelle des mécanismes perceptifs et cognitifs universels déterminent la catégorisation. La deuxième expérience est une étude du lexique des bilingues libanais, qui se caractérise par l'instabilité de la région dite ‘violet' en français. Cette instabilité de la région ‘violet' ne peut être expliquée sur la base exclusive de facteurs perceptifs ou lexicaux et contextuels, et constitue un argument en faveur de notre approche de la catégorisation à l'interface entre contexte, lexique et perception.
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L'indissociabilité de la pensée et du langage

Simard, Yanik 18 December 2021 (has links)
Les écrits semblent poser en principe un lien étroit entre langage et pensée. Autant on semble affirmer le principe de l'indissociabilité de ce lien entre le langage et la pensée, autant on explique peu comment s'établit ce lien. L'objectif de ce mémoire est d'étudier de plus près comment certains auteurs expliquent ce lien indissociable. L'objet second constitue une critique de cette indissociabilité. A l'aide de certains ouvrages, dont ceux de Gusdorf, Sapir et Wittgenstein, j'ai observé que les liens entre la pensée et le langage ont des similitudes et des divergences. Par exemple, par des chemins différents, Gusdorf et Sapir ont des positions qui se ressemblent. La réciprocité et le mutualisme semblent les principaux liens qui expliquent, selon ces auteurs, l'indissociabilité entre la pensée et le langage. Dans Investigations philosophiques, Wittgenstein suggère, pour sa part, l'indissociabilité entre la pensée et le langage. Pour cet auteur, le langage est antérieur à la pensée. Et c'est le langage qui fait apparaître la pensée. Dans Tractatus logico-philosophicus, de même que dans Remarques philosophiques, la pensée et le langage semblent dissociables. La pensée est plutôt affirmée comme étant antérieure au langage. Ce n'est pas le langage qui rend nécessairement manifeste la pensée; celle-ci doit se rendre manifeste d'elle-même. Si les philosophes semblent plutôt d'accord pour affirmer l'indissociabilité entre la pensée et le langage, je suis surpris de constater que les argumentations sont peu élaborées pour expliquer cette sorte de lien. L'indissociabilité entre la pensée et le langage serait-il un principe premier? Se peut-il que la culture, l'éducation aient indirectement fait en sorte que ce principe de l'indissociabilité du langage et de la pensée ne puisse être remis en question?
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Blaue Bäume unter grünem Himmel?: Über Wahrnehmung und Benennung von Grundfarben und den übersetzungstheoretischen Umgang mit ihren Bezeichnungen

Hubert, Johannes 18 June 2013 (has links)
Die Arbeit prüft, inwieweit die Übersetzungstheorien von Otto Kade et al., Werner Koller und die Skopostheorie das Problem der kulturgebundenen Farbwortvielfalt bei der Übersetzung zu lösen versuchen. Im ersten Teil wird hierfür der Grundstein gelegt, indem interdisziplinäres Wissen auf die Bildung von Farbbezeichnungen, ihrer Herkunft und ihrer biologischen und physikalischen Grundsätze angewendet wird. In diesem Zusammenhang wird auch die Sapir-Whorf-Hypothese diskutiert. Die Etymologie bestehender Farbbezeichnungen verschiedenster Sprachen bildet dabei das Zentrum, sowohl für die Erklärung der Farbwahrnehmung und die Kulturgebundenheit ihrer Bezeichnungen als auch der Neuschöpfung von Farbbezeichnungen in den Übersetzungssituationen. Anhand fiktiver Übersetzungssituationen aus dem Alltag wird der Übersetzungsprozess für jede Übersetzungstheorie simuliert und aus ihrer Sicht verfolgt. Im Abschluss werden die Ergebnisse gegenübergestellt und diskutiert.:Inhaltsverzeichnis I Abkürzungsverzeichnis 4 1 Einleitung 5 2 Farben: Wahrnehmung und Benennung 8 2.1 Sinnesorgane . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 8 2.2 Auge und „Farbensehen“ . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 12 2.2.1 Warum Farbe . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 13 2.2.2 Farbwahrnehmung . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 14 2.2.3 Farbwahrnehmung versus Sprache und Denken . . . . . . . . . . 19 2.3 Farbe und Kultur . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 27 2.3.1 Grundfarbwörter – Berlin und Kay . . . . . . . . . . . . . . . . 30 2.3.2 Etymologie der Grundfarbbezeichnungen . . . . . . . . . . . . . 35 2.3.3 Farbbezeichnungen als Metonymie . . . . . . . . . . . . . . . . . 45 2.3.4 Grundfarbwörter diachron betrachtet . . . . . . . . . . . . . . . 46 2.4 Zusammenfassung . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 49 3 Zur Übersetzung von Grundfarbwörtern 51 3.1 Einordnung und Begriffsklärung . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 55 3.1.1 Übersetzbarkeit, Übersetzungsschwierigkeit oder Übersetzungsproblem? . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 55 3.1.2 Übersetzungssituationen . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 57 3.1.3 Übersetzungseinheit . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 60 3.1.4 Zwei Übersetzungsfälle . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 61 3.2 Leipziger Schule . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 62 3.3 Äquivalenzkonzept nach Werner Koller . . . . . . . . . . . . . . . . . . 74 3.4 Skopostheorie . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 86 3.5 Vergleich und Diskussion . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 94 4 Schluss 98 5 Literaturverzeichnis 100 A Abbildungen 106
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Nietzsche, o destino singular da linguagem / Nietzsche, the particular destiny of language

Machado, Isadora Lima, 1987- 25 February 2015 (has links)
Orientador: Eduardo Roberto Junqueira Guimarães / Tese (doutorado) - Universidade Estadual de Campinas, Instituto de Estudos da Linguagem / Made available in DSpace on 2018-08-27T07:43:20Z (GMT). No. of bitstreams: 1 Machado_IsadoraLima_D.pdf: 2842339 bytes, checksum: 659cbcc46726a0c74148485f516b65ef (MD5) Previous issue date: 2015 / Resumo: A partir da perspectiva da História das Ideias Linguísticas, a tese investiga as filiações a Friedrich Wilhelm Nietzsche nas Ciências da Linguagem. A hipótese do trabalho é a de que a enunciação nietzscheana é um acontecimento na história da reflexão sobre a linguagem. Compreende-se o acontecimento, tal como o define Eduardo Guimarães, ou seja, não enquanto um fato no tempo, mas como aquilo que produz diferença em sua própria ordem. Tomada como acontecimento, a enunciação nietzscheana instaura sua própria diferença, e nela consideramos duas temporalidades distintas: por um lado, a que produz a filiação de Edward Sapir a Nietzsche, e que recorta Wilhelm von Humboldt como memorável; por outro, a que produz a filiação de Michel Pêcheux e Eni Orlandi a Nietzsche. A possibilidade de pensar as temporalidades em sua equivocidade demonstra que há um caminho na reflexão sobre a linguagem a ser trilhado nas sendas de um materialismo trágico ¿ a consideração de que a determinação histórica não é fruto de um processo maquínico, motorizado, mas que há algo do acaso que comparece, e que, nesse acaso, intervalo entre o equívoco e a linguagem, há ainda um espaço para a arte, para a criação, para r-existir ao sedentarismo dos sentidos / Abstract: From the perspective of the History of the Linguistic Ideas, this thesis investigates the affiliations to Friedrich Wilhelm Nietzsche in Language Sciences. The hypothesis of this work is that Nietzsche's enunciation is an event in the history of the reflection on language. We understand the event, as defined by Eduardo Guimarães, i.e., not as a fact in time, but as something that produces a difference in its own order. Taken as an event, Nietzsche¿s enunciation establishes its own difference, and in it we consider two different time frames: on the one hand, the one that produces Edward Sapir¿s affiliation to Nietzsche, and that highlithts Wilhelm von Humboldt as memorable; on the other hand, the one that produces Pêcheux and Eni Orlandi¿s affiliation to Nietzsche. The possibility of thinking temporalities in its own equivocity demonstrates that there is a path in the reflection on language to be taken in the paths of a tragic materialism - the consideration that the historical determination is not a result of a machine and motorized process, but that there is something from chance that appears, and that, in that chance, an interval between the misunderstanding and the language, there is still a space for art, for creation, to resist to the sedentary senses / Doutorado / Linguistica / Doutora em Linguística
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Moc jazyka ve výchovné metodě "Respektovat a být respektován" / Power of Language in "To Respect and To Be Respected" educational method

Fialová, Lucie January 2012 (has links)
This diploma thesis deals with the power of language and the relation between language and thought, perception and experience. The topic is viewed through the "Respektovat a být respektován" (To Respect and To Be Respected) educational method. The main assumption of this method is that the way the parent communicates with the child affects educational success as well as the behaviour of the child and the values and attitude he or she will have as an adult. This premise is empirically tested by interviews with parents and observations in families, which show how the specific way of communication (which is based on particular grammatical and pragmatic rules) influences the behaviour and experience of both the child and the parent.

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