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Nicole Oresme et la querelle des universaux

Girard, Philippe January 2009 (has links) (PDF)
Le problème du statut ontologique des universaux fut et demeure un des problèmes majeurs de la philosophie. Différentes réponses peuvent être apportées à ce problème. Nous chercherons ici à déterminer ce qu'aurait été la position défendue par Nicole Oresme. En nous fondant sur des questions tirées de son traité Expositio et Quaestiones in Aristotelis De Anima, nous exposerons la pensée oresmienne de la connaissance afin de nous donner l'instrumentation nécessaire à la réalisation du projet. La théorie de la connaissance qui émergera de ces questions sera comparée avec deux contemporains d'Oresme, à savoir Guillaume d'Ockham et Jean Buridan. Les théories de la connaissance de ces deux auteurs servent de références dans l'élaboration de la théorie de la connaissance d'Oresme et du statut ontologique à attribuer aux universaux. Nous chercherons à établir le nominalisme d'Oresme. De là émergera un nouveau problème: est-ce que l'on acquiert la connaissance d'une chose par l'entremise d'un concept avec comme représentation la singularité, ou bien est-ce que c'est par l'entremise d'un concept avec comme représentation l'universalité? L'hypothèse à laquelle notre recherche nous a conduit consiste à dire que chez Oresme il y a un concept qui est à la fois singulier et universel. La question se pose alors de savoir si on connaît premièrement une chose par l'entremise de l'universalité ou de la singularité de ce concept.
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Edmund Husserl e Ernst Cassirer : un confronto tra le Logische Untersuchungen et Substanzbegriff und Funktionsbegriff / Edmund Husserl et Ernst Cassirer : une comparaison entre les Logische Untersuchungen et Substanzbegriff und Funktionsbegriff / Edmund Husserl and Ernst Cassirer : a comparison between the Logische Untersuchungen and Substanzbegriff und Funktionsbegriff

Carroccio, Andrea 23 March 2016 (has links)
La thèse que nous présentons concerne une comparaison entre les figures de Edmund Husserl et Ernst Cassirer. L’intérêt qui meut cette thèse est ce de voir comme les deux courants de pensée, le phénoménologique et le néo-critique, se sont rapprochée beaucoup (surtout par rapport à Natorp et Husserl), pour prendre après deux chemins différents. D’abord la thèse veut se concentrer sur le rapport entre Husserl et Cassirer, en analysant la correspondance entre les deux, qui sont repérables dans l’édition des manuscrits de Cassirer par Meiner et dans les Dokumente de la Husserliana, ainsi que les manuscrit husserliens. Toutefois, il faut accéder au domaine des notions fondamentales pour montrer les problèmes cruciaux de comparaison entre les deux philosophes. La théorie de l’abstraction est au centre de la thématique de la formation des concepts, parce que le passage de l’expérience individuelle au concept universel représente un problème bien difficile à résoudre. Husserl et Cassirer, l’un comme l’autre, reprennent le thème de la querelle des universaux pour critiquer les théories empiristes de l’abstraction, bien que les résultats soient différents. Afin d’éclairer les structures fondamentales de la conscience, la thèse renvoie à deux points : le rapport entre le général et le particulier et le problème de l’individualité. / The doctoral thesis focuses on a confrontation between two philosophers: Edmund Husserl and Ernst Cassirer. The aim of this thesis is to analyse how the phenomenological and the neo-Kantian movements were well close together at a first time (most of all in the persons of Natorp and Husserl), and how they took different directions afterwards. At the beginning, the thesis stresses the relations between Husserl and Cassirer by analysing the correspondence that we can find in the edition of Cassirer’s Opera omina by Meiner, or in the Husserliana – Dokumente and the manuscripts of Husserl. Nevertheless, we concentrate on the main notions of the two philosophers to show which problems we have to face in order to compare the philosophical thought of the two philosophers. The theory of abstraction is a central point of the formation of the concepts, because the passage from the experience of individuals to the universal concept is a very difficult problem to solve. Husserl and Cassirer converge on the problem of universals in order to critique the empiricist theory of abstraction, even if their results are different. So as to clarify the fundamental structures of consciousness, the thesis refers to two points: the relation between general and particular, and the problem of individuality.
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La relation entre l'imagination et l'intelligence en science spéculative

George, Marie I., George, Marie I. 04 December 2024 (has links)
La nature de l'imagination, son rôle dans la connaissance et particulièrement ses rapports avec l'intelligence sont des questions qui ont suscité l'intérêt des philosophes au cours des âges. Les réponses apportées, surtout dans les temps modernes, sont les plus diverses et les plus opposées, car pour certains l'imagination est la source principale des erreurs, pour d'autres elle se confond plus ou moins avec l'intelligence et pour d'autres encore elle constitue la puissance cognitive suprême de l'homme. Dans cette thèse, nous nous proposons d'examiner la position d'Aristote et de son école (particulièrement St. Thomas d'Aquin) sur le rôle que joue l'imagination dans la démarche de l'intelligence, plus particulièrement lorsque celle-ci s'applique à l'acquisition des sciences spéculatives. Dans un premier temps nous examinons brièvement la nature des deux puissances en question. Ainsi, notre première partie est consacrée à une considération générale de l'imagination et la seconde a un examen de l'intelligence. Dans un deuxième temps nous passons à la comparaison entre les deux, dans le contexte des rapports généraux entre les sens et l'intelligence. Trois conclusions se dégagent de cet examen: premièrement, l'image agit comme cause efficiente dans l'acquisition de la connaissance intellectuelle; deuxièmement, une fois cette connaissance acquise, l'image reste un instrument nécessaire à la considération de cette connaissance; finalement, comme corollaire, nous concluons à l'impossibilité de penser sans images. A la suite de ces considérations générales, un certain nombre d'autres questions sont abordées également dans cette troisième partie: l'imagination et l'acte de jugement propre à chaque science spéculative; le rôle du langage dans la connaissance et ses rapports avec l'imagination; le rôle de l'imagination dans la découverte; et, finalement, la possibilité des habitudes dans l'imagination. A la suite de toutes ces considérations, nous concluons que l'imagination n'est ni la puissance suprême de l'homme, ni l'ennemi de la vérité, mais un instrument indispensable de la pensée.
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La nature et la destinée de l'intellect humain selon Aristote

Roberge, Maurice. 04 December 2024 (has links)
No description available.
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La définition du sophisme de l'accident dans la tradition grecque

Grégoire, Stéphanie 29 October 2021 (has links)
L'objet du sens, à partir duquel procède toute connaissance humaine, est extérieur à l'essence des choses, de sorte que le savoir ne peut se passer de l'accident, qui se trouve au principe même de sa démarche. Or l'accident est aussi le ressort du premier et semble-t-il du plus pernicieux des sophismes extra-verbaux, ces derniers étant une division principale des treize manières de tromper répertoriées par Aristote dans ses Réfutations sophistiques. Sa compréhension, ainsi que celle de tous les mécanismes qui sont à la source des paralogismes, est indispensable à l'intellectuel qui veut mener droitement ses recherches et se protéger des erreurs. C'est dans le but de contribuer à une telle étude que ce mémoire se propose d'exposer la conception grecque de la définition du sophisme de l'accident posée par le philosophe. Il rend d'abord compte de la vision qu'ont ces commentateurs des trois choses impliquées dans la définition de ce procédé, des relations qu'elles entretiennent et du vice que ces relations comportent. On y retrouve ensuite leur analyse d'exemples du sophisme et leur opinion quant à des modalités sous lesquelles il peut se produire. La conclusion fait enfin le bilan des gains acquis et des problèmes laissés en suspens.
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Two essays on the problem of meaning

Oesterle, John A. 11 April 2018 (has links)
No description available.
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Le monde, l'autre et moi : méditation sur le phénomène de la connaissance

Bonenfant, Hugues 05 November 2021 (has links)
L'amour de la sagesse impose à la connaissance rationnelle de trouver ses propres assises et celles-ci, depuis l'oracle delphique, ne peuvent émerger clairement que d'un repli radical et critique du je sur lui-même, hors de la turbulance du Monde. À ce titre, l'intentionnalité réflexive dans la phénoménologie de Husserl se dévoile comme fondation possible, à la fois originaire et ultime, de toute connaissance pouvant être jugée certaine. Cependant, l'Homme vit dans le monde, il ne se réduit pas en la sublimation d'un pur ego. Comment pourra-t-il espérer connaître le Monde s'il en est partie prenante? Comment pourra-t-il espérer connaître Autrui si ce dernier peut aussi se mettre en marge du Monde? Et Soi-même? Il nous semble que seul l'Amour bien compris nous permette d'unir réellement tant l'immanence que la transcendance, au sein de la subjectivité connaissante. Tout notre présent effort tend à l'harmonisation concrète de la subjectivité et de la connaissance véritable.
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Saisir la main

Létourneau, Isabelle 04 March 2021 (has links)
Une étonnante convergence de témoignages et une abondance de faits se rapportant à l'atrophie de la main dans notre société techniciste, nous amènent à renouveler la réflexion sur la main humaine. Plus précisément, l'objet de notre travail consistera à chercher réponse à la question suivante: Pourquoi l'homme est-il pourvu de mains? Pour ce faire, nous tâcherons de saisir ce qu'est la main humaine. D'abord, nous aborderons quelques notions préliminaires touchant les êtres animés et exposerons la méthode à suivre en philosophie naturelle et en biologie. Suivant cela, nous étudierons le mot main afin d'y dégager les conceptions communes relatives à la main humaine. De là, la recherche des causes de la main sera entreprise. Nous y verrons alors en quoi son origine, son anatomie, ses fonctions, son principe et sa fin se rapportent tous, à leur façon, à l'intelligence humaine. Ainsi, nous serons amenés à voir que la main est instrument de la perfection de l'homme en tant qu'homme.
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Les racines philosophiques et anthropologiques du destin de l'ordre catallactique chez Friedrich August von Hayek

Rowley, John Eric January 2016 (has links)
Cette thèse s’intitule Les racines philosophiques et anthropologiques du destin de l’ordre catallactique chez Friedrich August von Hayek. Von Hayek fut économiste, psychologue théorique, juriste et historien. Mais l’étude de son oeuvre montre aussi qu’il fut philosophe et anthropologue. Et, dans une certaine mesure, même s’il ne respectait pas toujours les politiciens, il fit, à sa manière, de la politique, dans son acception non politicienne, puisqu’il eut une réelle compréhension et un très grand respect pour la démocratie. Il tenta plutôt d’influencer, à l’université, lors de conférences internationales, dans ses ouvrages, les intellectuels, spécialement les rationalistes constructivistes, les hommes d’État ou de gouvernement, particulièrement les socialistes et les conservateurs, et, surtout, l’homme de la rue, finalement sur qui portait tout le poids de l’avenir de la civilisation occidentale. À ce sujet précis, il eut tellement de choses à dire. Et ces choses furent le prétexte à l’écriture d’un ouvrage philosophique. En effet, 1943 fut une date importante, pour lui. Il fit paraître La Route de la servitude. Déjà le titre était annonciateur. Dans cet ouvrage, von Hayek voulait alerter le monde des intellectuels, des hommes politiques et administratifs et de l’opinion publique au sujet de la prison vers laquelle tout ce monde, nonchalamment, volontairement, se dirigeait. Et en s’asservissant ainsi, l’homme du XXe siècle menaçait de mort ou d’appauvrissement, à terme, insidieusement, l’Occident. La mort ou l’appauvrissement de la civilisation occidentale, pour von Hayek, serait cataclysmique. Des milliards de personnes, au XXe siècle, survivaient justement grâce à ce qui avait permis à cette grande civilisation de la liberté de l’homme d’apparaître, de se développer et de se maintenir : il s’agissait de l’ordre catallactique. Mais qu’arrivait-il, au XXe siècle, à cet ordre catallactique riche de vies humaines? En fait, ce questionnement portait justement sur cet ordre et surtout sur son destin de plus en plus incertain. L’ordre catallactique, qui apparut, se développa et se maintint, s’affaiblissait ou disparaissait de plus en plus au XXe siècle et ce, malgré le fait qu’il favorisa, il y a des millénaires de cela, la vie à travers un mode différent et nouveau de survie. C’est pourquoi la déchéance de cet ordre, au XXe siècle, le préoccupa et le fit penser et écrire. L’objet de ses réflexions à l’égard du destin incertain de l’ordre catallactique est précisément ce que vise cette thèse : élucider et exposer, dans une perspective exégétique, les racines philosophiques et anthropologiques qui, dans la pensée de von Hayek, ont favorisé l’apparition, le développement et le maintien de l’ordre catallactique et de son déclin. Ainsi, nous avons eu besoin de nous appuyer sur quatre parties, qui sont, elles-mêmes, distribuées en sept chapitres. Première partie et ses deux chapitres. D’abord, nous avons tracé le profil biographique de Friedrich August von Hayek et enfin nous avons présenté une thématique intégratrice autour de laquelle gravite sa réflexion à l’égard du destin de l’ordre catallactique : il s’agit de la vie qui est essentiellement comprise comme une survie. Deuxième partie et son seul chapitre. Nous avons présenté la théorie de la connaissance de von Hayek, qui pourrait se ramener à l’idée suivante : l’homme ou l’intellectuel, du reste, reste un être de limites et d’ignorance. Cette conception, qui peut sembler étrange, possédait le mérite, selon von Hayek, de pouvoir voir au-delà de ce que les sens offrent à l’observation : l’invisible, l’inobservable et l’intangible qui caractérisent les pratiques économiques et les règles juridiques catallactiques qui apparurent, se développèrent et se maintinrent de façon spontanée, abstraite et complexe. Troisième partie et ses trois chapitres. En fait, ils viendront élucider et exposer les racines philosophiques et anthropologiques du destin incertain de l’ordre catallactique. D’abord, nous présenterons les concepts économiques et juridiques d’ordre et de catallaxie, qui sont à la base de l’ordre catallactique. Ensuite, nous tracerons le profil psychologique et anthropologique de l’homme : l’homme sensoriel ou phénoménal, l’homme biologique et l’homme culturel, qui furent à la base de la naissance de l’ordre catallactique et de son déclin. Enfin, nous avons repéré cette biologie immémoriale et psychophysiologique, et cette culture récente et lente au sein de l’histoire de l’évolution humaine afin d’y détecter des mouvements d’évolution – de la biologie à la culture – et d’autres de retour en arrière – de la culture vers la biologie. Quatrième partie et son chapitre. Nous avons présenté la problématique morale ou éthique que le destin de l’ordre catallactique, incertain au XXe siècle, portait en lui. En effet, pour certaines raisons, le système moral ou éthique catallactique n’arrivait plus, au XXe siècle, à concurrencer le système moral ou éthique socialiste ou socialisant issu de la pensée rationaliste constructiviste.
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Le rôle des idées dans la connaissance singulière chez John Locke

Kado, Déborah January 2009 (has links) (PDF)
Ce mémoire a pour objectif de présenter le rôle des idées dans la connaissance singulière chez John Locke. Les « idées » constituent la pierre angulaire de la théorie de la connaissance chez Locke. Selon lui, la connaissance est la « perception d'une liaison » de concordance ou de discordance entre les idées. L'idée est, pour lui, le matériau de notre connaissance. Le rôle des idées dans la connaissance singulière est de nous représenter les existants réels. Les idées singulières sont reçues et perçues par l'esprit pour former des propositions singulières. La perception de la liaison de concordance ou de discordance entre les idées constitue la connaissance singulière ou la connaissance générale. Dès lors le rôle des idées consiste à faire connaître les êtres qui existent, à établir une correspondance entre le sujet connaissant et la réalité extérieure. L'idée en tant que fondement épistémologique est le principe de toute connaissance et, précisément, de la connaissance singulière. Nous utiliserons la principale oeuvre de Locke, à savoir l'Essai sur l'entendement humain, pour réaliser cette étude. Il s'agit donc de réexaminer la pensée de Locke en épistémologie en reconstruisant les concepts du corpus de sa théorie de la connaissance sous l'angle spécifique du rôle que jouent les idées dans la connaissance singulière. Pour réaliser cette étude, nous procéderons à une analyse systématique en exposant d'abord, dans une première partie, le cadre conceptuel de la théorie lockienne des idées, puis, dans une seconde partie, nous montrerons en quoi celles-ci consistent dans la connaissance singulière. Dans la première partie du mémoire, nous présentons, la conception lockienne des idées en montrant leur origine sensible. Pour montrer le caractère sensible des idées, nous utilisons particulièrement le livre 2 de l'Essai sur l'Entendement humain. Dans le chapitre 1, nous présentons les deux sources de la connaissance. Nous discutons, ensuite, dans le chapitre 2, la cause des idées tout en nous attachant à montrer que les idées sont causées par les pouvoirs des objets extérieurs que Locke appelle qualités. Et, dans le chapitre 3, nous analysons les opérations de l'esprit en montrant le rôle des idées en général. Après l'analyse de la théorie des idées, nous essayons de montrer comment les idées se déterminent en connaissance, dans la connaissance singulière, ce qui constitue l'objet des chapitres de la seconde partie. Le livre 4 de L'Essai sur l'entendement humain est ici notre référence principale. Dans notre chapitre 4, nous tentons de définir la connaissance singulière. Dans le chapitre 5, nous analysons la connaissance de l'existence des êtres réels en montrant le rapport des idées aux choses existantes et la certitude. Ensuite, dans le chapitre 6, nous examinons les limites de la connaissance singulière liées à l'impossibilité de connaître la substance. Et, enfin, dans le chapitre 7, nous pouvons avancer ce qui nous apparaît être la position sceptique de Locke en épistémologie. ______________________________________________________________________________ MOTS-CLÉS DE L’AUTEUR : Philosophie, Épistémologie, Connaissance, Idée, Existence, Êtres réels, Locke.

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