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Les espaces fluvio-urbains rhodaniens à l’aval de Lyon : vienne, Valence, Avignon, Tarascon, Beaucaire et Arles : des territoires à la dérive ? / Urban riverspaces along the Rhône river downstream Lyon : are Vienne, Valence, Avignon, Tarascon, Beaucaire and Arles territories left to drift ?

Delahaye, Emmanuelle 23 January 2009 (has links)
Dans le contexte international de requalification des fronts d’eau urbains amorcé dans les années 1960, les espaces fluvio-urbains rhodaniens apparaissent comme singuliers. Malgré le discours des édiles locaux et un potentiel urbanistique certain, les rives urbanisées du Rhône à l’aval de Lyon ne font pas l’objet d’aménagements contemporains d’envergure. Le patrimoine urbain des rives rhodaniennes est figé ou délaissé, jusqu’à tomber parfois en déshérence. Cet immobilisme rivulaire reflète le paradoxe rhodanien de l'atonie de villes installées sur les rives d’un fleuve majestueux et profondément aménagé. Il démontre aussi que la reconquête des waterfronts n’est pas un processus systématique ni universel.La marginalisation de ces rives s’explique par la conjonction de facteurs relevant à la fois de l’hydrosystème et du sociosystème. L’hydrologie rhodanienne agit comme une contrainte sur les espaces fluvio-urbains qui sont aussi pénalisés par les dysfonctionnements d’un jeu d’acteurs lacunaire et par la pesanteur des infrastructures routières installées sur les berges. Ces éléments s’insèrent dans un cadre administratif et réglementaire complexe qui est une entrave supplémentaire à la recomposition des rives urbaines. Les faiblesses de la gestion de ces espaces s’accompagnent d’un défaut de prise en charge du risque d’inondation : les villes peinent à adopter des politiques de prévention en raison de la variabilité spécifique du risque rhodanien et de l’inertie propre au système des acteurs urbains. Cependant, le risque, en devenant objet politique, s’affirme comme un élément moteur participant à l’aménagement global du territoire rhodanien. La mise en place du « Plan Rhône », projet intégré de développement durable visant la gestion concertée du risque à l’échelle du bassin, constitue le point de départ d’un renouvellement territorial. Les villes en sont encore pour l’instant tenues à l’écart. / The urban river spaces in the lower Rhône valley are a special case in the international waterfront redevelopment process that began during the sixties. There has been no significant restructuring of Rhône riverfronts downstream of Lyon in spite of their urbanistic potential and the wishes expressed by some local authorities. The urban heritage of the Rhône riverbanks is ossified or neglected and sometimes completely abandoned. This lack of action concerning the waterfronts reflects the paradoxical situation concerning the Rhône valley: a combination of inert towns and an imposing river that has been highly developed. It also shows that waterfront redevelopment is neither a systematic nor a universal process.The marginalization of these river-banks is due to factors related to both the hydrosystem and the social system. The hydrology of the river acts as a constraint on urban planning, and the Rhône riverfronts also suffer from problems caused by deficiencies in the various bodies involved and from the heavy road infrastructures built on the river-banks. A complex administrative and legislative framework further hampers the urban redevelopment of the river spaces.Poor management of these riverfront spaces combines with failures in flood risk policies. Cities struggle to apply safety politics because the Rhône presents a specific and changing risk and because of the passivity of the urban actors. However, as the risk has become a political issue, it has turned out to be a driving force behind the development of the Rhône riverbank area. An integrated sustainable development project named “Plan Rhône” aims at coordinating risk management in the whole of the river basin, and is the first step in territorial renewal. The towns are not yet involved in this project.
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Etalement urbain et inégalités sociales et environnementales : cas de Nouadhibou - Mauritanie / Urban growth and social and environmental inequalities : Nouadhibou case - Mauritania

El Arbi, Ahmed Salem 01 July 2013 (has links)
Suite aux conséquences de fortes périodes de sécheresse (des années 1960, 1970 et 1980), lemonde nomade/rural s’est vidé de ses habitants venus subitement s’installer dans les grandscentres urbains mauritaniens. Ces changements socio-spatiaux ont bouleversé la sociétémauritanienne, composée d’arabophones (les arabo-berbères appelés Bîdhanes et les hommesaffranchis ou ex-esclaves appelés Haratines) et d’afrophones (peuls, Wolofs, Soninké etBambara). En termes d’urbanisme et de disponibilité des services sociaux de base, les villesdu pays n’étaient pas préparées pour une inclusion réussie des nouveaux migrants. Enconséquence, l’expansion des villes mauritaniennes s’est caractérisée par un développementrapide et par des disparités socio-spatiales criantes. Le littoral mauritanien abrite uniquementdeux villes : Nouakchott (capitale du pays) et Nouadhibou (la capitale économique) qui ontsubi plus de pression anthropique que les autres villes du pays, parce qu’elles offrent plusd’opportunités d’emploi et d’accès aux services urbains.Nous partons de l’hypothèse principale que l’inégalité sociale d’accès aux parcelles est àl’origine de l’étalement urbain incontrôlé de la ville de Nouadhibou. Quelle est la réaction deshabitants face à l’inégal accès aux parcelles à Nouadhibou ? Quelles sont les inégalitéssociales et environnementales produites par le processus d’étalement urbain de Nouadhibou ?Qui habitait majoritairement dans les quartiers spontanés et périphériques de Nouadhibou ?Notre démarche consiste à tracer l’évolution urbaine de Nouadhibou afin de mesurer etcaractériser l’ampleur de son étalement urbain, d'identifier ses causes ainsi que les inégalitéssociales et environnementales qui y sont associées. Nous avons d'abord utilisé des imagessatellites et des formules mathématiques afin de mesurer l’étalement urbain. Puis desentretiens avec des familles résidant dans différentes zones urbaines de la ville ont été menés,selon deux approches, quantitative (160 ménages) et qualitative (15 ménages). Nous avonscréé une base de données contenant des indicateurs mesurant les inégalités subies, et décrit levécu quotidien des habitants. Les données recueillies ont été traitées en utilisant le logicielShinx V5 et utilisées pour la réalisation d’une dizaine de cartes thématiques sur Map Info.Les résultats de notre recherche montrent que les inégalités sociales d’accès aux parcellesurbaines, via le processus d’attribution, sont criantes à Nouadhibou. Seulement 93 parcellesfurent attribuées durant la période 1975 à 1984 et ce malgré les besoins accrus en logements(au début des années 1980, la moitié des habitations furent spontanées). Entre 1990 et 2002,92,96% des parcelles concédées ont été attribuées par les autorités compétentes dans desconditions souvent louches et opaques. La genèse des quartiers spontanés (Kebba) reflète lecontre-pouvoir créé par les habitants pour faire face à ce type d'inégalité sociale. Le processusde régularisation foncière des quartiers spontanés (entamé depuis 1985), consistant à relogerles habitants dans de nouvelles zones urbaines, a conduit à un étalement urbain excessif. Laréalisation des infrastructures urbaines n’a pas accompagné le processus d’étalement, ce quiest à l’origine d'inégalités sociales (problème de transport et d’accès aux écoles, manque depharmacies…) et environnementales (difficultés d’accès à l’eau potable et à l’électricité,absence de service de collecte des ordures…) constatées, surtout dans les quartierspériphériques. Les Haratines, qui résidaient autrefois aux extrémités des campementsnomades maures, représentent 62% (de notre échantillon) des habitants des quartiersspontanés et 73% des familles enquêtées dans les nouveaux quartiers périphériques ElWeva, où l’étalement urbain de Nouadhibou s’est produit ces dernières années. / Further to the consequences of important periods of drought (1960s, 1970 and 1980), thenomadic / rural world was emptied of his inhabitants who came suddenly to settle down in thelarge Mauritanian urban centers. These socio-spatial changes transformed deeply theMauritanian society, consisting of Arabic speakers (Arab-Berber called Bîdhanes and thefreed people or ex-slaves called Haratines) and African languages speakers (Fulanis, Wolofs,Soninké and Bambara). In terms of town planning and availability of basic social services, thecities of the country were not prepared for a successful inclusion of the new migrants. As aconsequence, the expansion of the Mauritanian cities was characterized by a fast developmentand by striking socio-spatial disparities. The Mauritanian coast counts only two cities:Nouakchott (capital of the country) and Nouadhibou (the economic capital) which underwentmore anthropological pressure than the other cities in the country, because they offer moreemployment opportunities and access to urban services. Our main hypothesis is that the socialinequality to the lands’ access is at the origin of the uncontrolled urban growth ofNouadhibou. What is the reaction of the populations in front of the uneven access to the landsof Nouadhibou? What are the social and environmental inequalities produced by the processof Nouadhibou’s urban growth? Who lived mainly in the unplanned (“spontaneous”) districtsand the suburbs of Nouadhibou? Our approach consists in tracking the urban evolution ofNouadhibou to measure and characterize the scale of its urban growth, identify its causes aswell as the social and environmental inequalities which are associated to it. We used firstlysatellite pictures and mathematical analyses to measure the urban growth. Then we hadinterviews with families living in various urban zones of the city, based on two approaches,quantitative (160 households) and qualitative (15 households). We created a databasecontaining indicators that measure the undergone disparities, and described the daily real-lifeexperience of the inhabitants. The collected data were analyzed with Shinx V5 software andused for the realization of about ten thematic maps on Map Info.The results of our study show that the social inequalities of access to the urban lands, via theprocess of allocation, are striking in Nouadhibou. Only 93 lands were attributed between 1975and 1984 in spite of increased needs in housing (at the beginning of 1980s, half of thehabitations were spontaneous). Between 1990 and 2002, 92,96 % of the granted lands wereattributed by competent authorities, often in strange and opaque conditions. The genesis of thespontaneous districts (Kebba) reflects the forces of opposition created by the inhabitants toface this type of social inequality. The process of land regularization of the spontaneousdistricts (started in 1985), consisting in rehousing the inhabitants in new urban zones, led toan excessive urban growth. Realization of the urban infrastructures did not follow the processof growing, which is at the origin of social (problem of transport and access to schools, lackof pharmacies…) and environmental inequalities (difficulty of access to the drinkable waterand to electricity, absence of garbage’s collection services…), especially in suburbs.Haratines, who lived previously in the extremities of the Moorish nomadic camps, represent62 % (of our sample) of the spontaneous districts inhabitants and 73 % of the familiesconsulted in the new suburbs of El Weva, where the urban growth of Nouadhibou occurredduring the last years.
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Réflexion des champs électromagnétiques en milieu urbain et incertitude associée : analyse au moyen de fonctions de Green / Reflected electromagnetic fields in urban environment and associated uncertainty : analysis using green's functions

Mostarshedi, Shermila 01 December 2008 (has links)
Ce travail de thèse a pour objet une méthode de détermination du champ électromagnétique au voisinage des bâtiments urbains, ainsi que l’évaluation de l’incertitude associée, liée aux paramètres variables des façades. Cette étude met en oeuvre une méthode théorique, précise et rapide de caractérisation du champ électromagnétique réfléchi par des objets diffractants diélectriques de taille supérieure à quelques longueurs d’onde. La réflexion comprend la rétrodiffusion, la réflexion spéculaire et la réflexion non-spéculaire. La méthode se trouve dans la catégorie des techniques basées sur les courants équivalents et calcule le rayonnement de ces courants à l’aide des fonctions de Green associées à l’interface entre deux diélectriques semi-infinis. Les fonctions de Green tiennent compte de la présence de l’objet diffractant correctement dans toutes les directions, c’est pourquoi la méthode proposée ici présente une précision plus importante que les méthodes du même type, particulièrement dans les directions nonspéculaires. La méthode peut être appliquée dans différents domaines : radar, télédétection, géophysique, et plus particulièrement dans l’environnement urbain dans le cadre de cette thèse. Un modèle simple de bâtiment urbain, composé des murs (en béton) et des fenêtres (en verre), est adopté dans les exemples présentés au cours du manuscrit, avec l’avantage de tenir compte simplement du type et de l’épaisseur des fenêtres. La méthode des fonctions de Green étant rapide et peu exigeante en temps de calcul et en ressources informatiques, elle permet d’obtenir une caractérisation rapide du champ, et en conséquence de déterminer l’influence de plusieurs paramètres intervenant dans le calcul du champ au voisinage d’un bâtiment via des études paramétriques/statistiques. L’influence de la variation de plusieurs paramètres est approfondie par des études statistiques. Parmi ces paramètres citons : la permittivité du matériau principal de la façade, la distribution des fenêtres, les dimensions (la largeur et la hauteur) des fenêtres et le type du vitrage (l’épaisseur des fenêtres). La connaissance des paramètres influents et la quantification de leur influence sur le champ réfléchi permettront aux simulateurs de la propagation d’onde de faire des simplifications qui accélèrent le temps de calcul tout en maintenant une bonne précision des résultats. Ce travail pourra être utilisé afin d’obtenir des modèles de propagation plus précis / This study presents a theoretical, fast and accurate method for characterizing the electromagnetic fields reflected by dielectric objects larger than a few wavelengths. The method is based on equivalent currents whose radiation is calculated by the Green's functions associated with the interface between two semi-infinite dielectrics. The Green's functions take into account the presence of the diffracting object correctly in all directions ; the proposed method presents thus a greater accuracy than other methods of the same type. The method being not very demanding in computation time and computer resources, it makes possible to determine the influence of several parameters involved in calculating the field in the vicinity of a building through statistical studies. These studies will allow propagation simulators to make simplifications that speed up the computation time while maintaining good accuracy
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La movilidad espacial en los procesos urbanos : dinamicas de la vida cotidiana popular en Chosica

Vega Centeno Sara Lafosse, Pablo 25 February 2005 (has links)
Les travaux sur les processus d'occupation de l'espace par les couches populaires en Amérique Latine ont jusqu'ici privilégié la dimension résidentielle de l'habiter et l'objet logement, négligeant la dimension du déplacement, qui constitue pourtant une composante structurante de la vie quotidienne. Cette recherche veut contribuer à combler ce vide. Elle se fonde sur le cas de la ville de Chosica, située dans l'aire d'influence de la métropole de Lima au Pérou, et où sont planifiés d'importants travaux d'infrastructure qui vont bouleverser les conditions de mobilité. Dans ce contexte d'attente de projet, le travail analyse les pratiques quotidiennes de déplacement des couches populaires et l'espace qui leur sert de support. L'approche empirique du phénomène combine différentes méthodes, parmi lesquelles des entretiens semi structurés, des observations de terrain, des entretiens approfondis, des cartes mentales et des recits de vie.
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Dépersonnalisation et discours doxiques dans le roman urbain : Alexandre Chenevert de Gabrielle Roy et Gros-câlin de Romain Gary

Trad, Ismaïl January 2007 (has links) (PDF)
Peut-on envisager la reprise du discours social (de la «doxa» selon Marc Angenot) dans le roman comme une relation intertextuelle? Nous avons choisi de le faire en étudiant Alexandre Chenevert de Gabrielle Roy (1954) et Gros-Câlin de Romain Gary, mais signé «Émile Ajar» (1974). Ces oeuvres contiennent de nombreuses références au «dit» et à l'«écrit» de la société de leur auteur: des extraits de journaux, des publicités, des expressions, etc. Nous avons observé les modalités de ces inscriptions du discours social dans un corpus hétérogène en apparence; ces romans étant de factures fort différentes du point de vue de leur narration et du ton employé dans celle-ci. Tandis que la première est hétérodiégétique et classique, la seconde est autodiégétique et humoristique. Toutefois, ces romans écrits à vingt ans d'intervalle ont tous deux une métropole (Montréal et Paris) comme cadre, et sont centrés sur un personnage de col-blanc dont l'emploi est routinier et qui souffre de sa solitude et du manque d'esprit communautaire de la cité. Ainsi, nous nous sommes penché sur le rapport que ces personnages «dépersonnalisés» entretiennent avec les médias et le discours social, décelant de la compulsion chez l'un, de la subversion chez l'autre. Si nous avons davantage référé au contexte de la guerre froide de l'inquiétude et de la propagande pour traiter d'Alexandre Chenevert, dans le cas de Michel Cousin, héros de Gros-Câlin, nous avons préféré employer les notions bakhtiniennes du sot, du fripon et du bouffon ainsi qu'analyser le langage ironique et idiolectal déployé par le narrateur. Aussi, nous avons consacré une partie de cette analyse aux ressemblances qui existent entre l'écriture de Gary et celle de son pseudonyme Émile Ajar. En somme, nous avons tenté de décrire les effets littéraires que peut avoir la reprise du discours social dans deux romans ayant plus d'éléments de «fond» que d'éléments de «forme» en commun. Nous nous sommes intéressé à l'époque de leur écriture ainsi qu'à l'évolution des médias dans les sphères publiques et privées. Nous avons fait le portrait de deux citadins dont les préoccupations se rejoignent et traduisent l'anonymat et la solitude qui résultent de l'urbanisation du vingtième siècle, portrait que nous avons mis en relation avec leur rapport au discours social. ______________________________________________________________________________ MOTS-CLÉS DE L’AUTEUR : Discours social, Intertextualité, Dépersonnalisation, Roman urbain.
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La ville viable comme projet intégrateur : regard sur sa mise en oeuvre entre la planification et le design urbain

Petit, Christian January 2008 (has links) (PDF)
Cette recherche pose un regard sur la transversalité et l'interdisciplinarité du projet de ville viable, à travers la pratique du design urbain, pratique à saveur culturelle et dont les objectifs sont très rapprochés de ceux du développement durable en milieu urbain. D'une part, la culture, malgré les bonnes intentions, reste un domaine auquel on n'accorde pas l'importance qui lui revient. D'autre part, le discours concernant l'apport du design urbain à la ville viable fait souvent la preuve de la dominante environnementale sur le discours du développement durable: réduction du transport, densité, réduction de la consommation d'énergie, choix des matériaux de construction, etc. À l'ère de la « bonne gouvernance » et de la participation citoyenne, le rôle de négociation des professionnels du design urbain est de plus en plus important. IIs doivent être porteurs du projet de développement durable pour favoriser la construction collective de ce qui sera considéré comme un design urbain viable. Ainsi, leur propre perception du projet devient un facteur clé. Sur cette base, la recherche avait pour objectif de comprendre la dynamique existante entre la planifïcation de la ville viable et sa mise en oeuvre dans la pratique du design urbain, au moyen d'entretiens semi-dirigés auprès d'employés et élus municipaux. Sous forme d'études de cas, quatre villes ont été ciblées: Copenhague, Oslo, Montréal et Québec. Les résultats et l'analyse sont présentés en deux temps: d'abord selon les quatre cas à l'étude, puis selon les fonctions occupées par les personnes rencontrées lors des entretiens. Premier constat: quatre villes à l'étude et autant de stratégies différentes pour atteindre la viabilité urbaine. Mais la perception du développement durable, et surtout celle de l'environnement, est fortement tributaire du discours environnementaliste, parfois au détriment de la flexibilité souhaitée. De plus, il existe des langages professionnels qu'il importerait de faire se rencontrer, et les urbanistes semblent avoir un rôle important à jouer à ce niveau. Enfin, l'esprit de la gouvernance a déjà fait sa marque; les gens de tous horizons semblent prêts à accepter l'expertise des autres. Il ne reste plus qu'à trouver de bonnes façons de favoriser le partage. ______________________________________________________________________________ MOTS-CLÉS DE L’AUTEUR : Ville viable, Développement durable, Design urbain, Interdisciplinarité, Transversalité, Culture, Processus, Perceptions, Information.
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Hypothèses d'amarrages, une intervention artistique à Montréal : contribution à l'esthétique et à la politique du paysage urbain

Lafontaine, Simon 02 1900 (has links) (PDF)
Dans son assertion courante, le paysage urbain est habituellement compris à la manière d'une représentation fixe et continue. San Francisco a le Golden Bridge, New York la Statue de la Liberté, Paris la tour Eiffel, Toronto la tour du CN, Montréal le stade olympique et Tokyo aura bientôt le Sky Tree : à la manière d'une carte postale, le cityscape, cette image condensant l'expérience d'une ville, mise souvent sur certaines structures bâties spectaculaires évoquant une attraction jugée incontournable pour s'accoler une identité touristique et culturelle dans un monde globalisé. Le paysage urbain n'est-il destiné qu'à être une image de marque, certes fascinante dans les films d'action, les guides touristiques et sur les cartes postales, mais, avouons-le, qui n'est pas nécessairement ce qui nous a fait vibrer lorsqu'on le parcourt au quotidien? N'est-il pas également déterminé par nos déplacements, nos parcours, notre expérience de ses infrastructures et nos interactions avec d'autres citadins? À partir d'un cas d'intervention artistique en milieu urbain, les Hypothèses d'amarrages du collectif SYN-, l'auteur montre que le paysage est sans cesse retravaillé par les manières de faire des gens, leurs parcours quotidiens, ce qu'ils aperçoivent et ce dont ils rêvent. Bref, que le paysage urbain est quelque chose qui se déploie à la manière d'une vie en images, sans cesse recolorée par les usages quotidiens. L'auteur présente une description de la nature du projet artistique puis de son positionnement dans le champ de l'art actuel. La réflexion est alors menée selon deux axes reliés : la question de l'expérience vécue des citadins et des méthodes de travail par lesquelles le collectif s'y rapporte. Pour y arriver, l'auteur a choisi de se concentrer sur les propositions du philosophe Ludwig Wittgenstein, qui s'est intéressé au langage ordinaire et aux activités humaines les plus banales tout en leur conférant une dimension « praxique ». Plutôt que de fonder son cadre d'analyse sur les trop fameux « l'usage est la signification » et « tout est un jeu de langage » brandis par la doxa, l'auteur montre que ce qu'il sera convenu d'appeler une « analytique de la quotidienneté » va bien plus loin que ces assertions pragmatistes. En ce qu'elle fait l'assomption des activités quotidiennes et leur confère une puissance d'ouverture au sein du procès de signification, une analytique de la quotidienneté suggère de comprendre l'expérience vécue selon une imprévisibilité et une créativité dont les ressorts excèdent la donation de sens pour se constituer dans l'apprentissage et la pratique concrète. ______________________________________________________________________________ MOTS-CLÉS DE L’AUTEUR : paysage urbain, Montréal, art actuel, quotidien, Wittgenstein, esthétique, sociologie urbaine, épistémologie.
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L'utilisation et l'appréciation des lieux extérieurs par des enfants dans un quartier défavorisé

Castonguay, Geneviève January 2009 (has links) (PDF)
Les chercheurs qui tentent de comprendre les mécanismes d'influence du quartier sur les enfants se sont intéressés principalement aux institutions, relations et normes sociales, négligeant l'environnement physique. Pourtant, comparativement aux quartiers plus aisés, l'environnement des quartiers défavorisés se caractérise par des ressources de moindre qualité et davantage de problèmes (Evans, 2004). Même s'ils vivent dans les environnements les moins favorables, les enfants de milieu pauvre sont ceux qui utilisent le plus intensément leur quartier puisque leurs parents manquent de ressources pour leur offrir d'autres opportunités (Valentine & McKendrick, 1997). Quel potentiel les quartiers défavorisés recèlent-t-ils pour le développement des enfants qui y vivent? Cette thèse dresse un portrait de l'utilisation et de l'appréciation des lieux extérieurs par des enfants d'âge scolaire dans un quartier défavorisé de Montréal. Elle comprend deux études distinctes et complémentaires qui possèdent leurs objectifs et leur méthodologie propres. La première étude porte sur l'utilisation des lieux extérieurs par les enfants. Plus spécifiquement, cette étude a pour objectifs de 1) générer un inventaire des lieux extérieurs utilisés par les enfants et déterminer comment les enfants utilisent ces lieux; 2) établir le nombre et le type de personnes qui accompagnent les enfants dans leur utilisation des lieux extérieurs; et 3) explorer les variations dans l'utilisation des lieux extérieurs selon des variables individuelles et climatiques. Appliquant la méthode de la cartographie comportementale, 1 342 observations d'enfants âgés de 8 à 12 ans ont été consignées le long d'un parcours d'observation préétabli. Les résultats montrent que les enfants utilisent intensément les parcs et terrains de jeu pour jouer, et sont relativement absents des rues et des espaces près des résidences. Les parcs et terrains de jeu sont utilisés principalement l'été. Les activités des enfants, de même que leurs compagnons, varient selon le lieu utilisé. Les enfants sont le plus souvent non supervisés dans tous les lieux, toutefois les filles et les enfants plus jeunes ont tendance à être accompagnés d'un adulte davantage que les garçons et les enfants plus âgés. La deuxième étude traite des perceptions qu'ont les enfants des lieux extérieurs. Plus précisément, cette étude a pour objectifs de 1) établir quels lieux extérieurs sont appréciés des enfants et quels éléments sous-tendent ces perceptions; 2) analyser comment les lieux favoris des enfants se distinguent des autres lieux qu'ils apprécient; 3) établir quels lieux extérieurs ne sont pas aimés des enfants et quels éléments sous-tendent ces perceptions; et 4) explorer les variations dans les perceptions des enfants selon des variables individuelles, familiales et environnementales. Pour cette étude, 28 enfants âgés de 7 à 12 ans vivant dans un quartier défavorisé ont pris 618 photos de lieux où ils aimaient aller dans leur quartier. Au cours d'entrevues individuelles, ils ont discuté de leurs photos, sélectionné leur lieu favori et discuté des lieux qu'ils n'aimaient pas. Les résultats révèlent que les parcs et terrains de jeu sont identifiés le plus fréquemment par les enfants à la fois comme lieux aimés et non aimés, et que les espaces près de la maison d'un proche constituent leur lieu favori. Les lieux aimés varient selon l'âge des enfants et le degré de végétation dans les lieux. Les perceptions négatives des enfants quant aux lieux portent principalement sur les menaces à la sécurité. Les enfants distinguent les lieux favoris des lieux aimés seulement par le plus grand nombre de caractéristiques positives et d'activités offertes. L'étude fait ressortir la coexistence à première vue paradoxale de caractéristiques positives et négatives dans les lieux importants pour ces enfants. L'examen des résultats suggère que les enfants jouissent d'une grande liberté pour explorer leur quartier sans supervision, mais qu'ils ont peu à explorer. En effet, ce quartier défavorisé semble dépourvu d'espaces de jeu attrayants près des résidences et d'autres espaces de jeu informels, tandis que la circulation routière rend les rues inhospitalières pour les enfants. En conséquence, les enfants semblent n'avoir d'autre choix que de jouer dans les parcs et terrains de jeu, des lieux où ils craignent cependant pour leur sécurité et qui paraissent peu stimulants. Les comportements et les perceptions des enfants viennent appuyer des propositions d'interventions qui pourraient être bénéfiques non seulement à ces enfants, mais aux communautés défavorisées dans leur ensemble. ______________________________________________________________________________ MOTS-CLÉS DE L’AUTEUR : Environnement extérieur, Quartier, Enfants, Pauvreté.
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Le patrimoine des Avignonnais : la construction du caractère patrimonial de la ville par les habitants

Watremez, Anne January 2009 (has links) (PDF)
Ce mémoire ne contient pas de résumé.
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Gleichheitsdenken in deutschen Städten des 12. bis 15. Jahrhunderts : Geistesgeschichte, Quellensprache, Gesellschaftsfunktion /

Frenz, Barbara. January 2000 (has links)
Diss.--Fachbereich Geschichtswissenchaften--Frankfurt am Main--Johann Wolfgang Goethe-Universität, Wintersemester 1996/97. / Bibliogr. p. 243-270. Index.

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