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Formal frameworks for circular phenomena possibilities of modeling pathological expressions in formal and natural languages /

Kühnberger, Kai-Uwe. January 2002 (has links) (PDF)
Tübingen, University, Diss., 2001.
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Das Einfache und die Materie : Untersuchungen zu Kants Antinomie der Teilung /

Engelhard, Kristina. January 1900 (has links)
Dissertation--Philosophische Fakultät--Universität zu Köln, 2003. / Bibliogr. p. 433-447.
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Kants Kosmologie-Kritik : eine formale Analyse der Antinomienlehre /

Malzkorn, Wolfgang. January 1999 (has links)
Diss.--Philosophische Fakultät--Bonn--Rheinische Friedrichs-Universität, 1998. / Bibliogr. p. 331-339. Index.
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Pratique de l'hétérogénéité en peinture : les contiguïtés de la représentation

Sternon, Patrick 12 November 2023 (has links)
Cette recherche s'inscrit dans la continuité d'une pratique établie de l'hétérogénéité en peinture. Elle réinvente, renouvelle, mais surtout met en examen une attitude créatrice, au même titre que les procédés et les stratégies déterminant mon parcours de production. Ainsi, un classement iconographique issu de la constitution d'une banque d'images pervertira ma démarche et ses mobiles initiaux. Au reste, mon usage de disparité de signes picturaux se circonscrira dans une dislocation des mécanismes de la représentation. Ces préoccupations participeront à l'édification d'une grille d'analyse spécifique appliquée sur le corpus résultant. Je procède là à une discrimination des opérations de restitution et de désignation selon une taxonomie personnelle inventoriant divers modes d'interventions picturales.
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Das Experiment und die Metaphysik : zur Auflösung der kosmologischen Antinomien /

Wind, Edgar. Buschendorf, Bernhard. Falkenburg, Brigitte. January 2001 (has links) (PDF)
Univ., Habil.-Schr.--Hamburg, 1930.
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Le mutuellisme dans la pensée de Pierre-Joseph Proudhon

Lebrun, Pascal 09 September 2022 (has links)
La pensée de Pierre-Joseph Proudhon est encore souvent décrite comme contradictoire ou incohérente; une lecture interne proposant une interprétation cohérente de son œuvre manque toujours dans la littérature. La distinction des concepts d’antinomie et de contradiction dans la pensée de l’auteur permet d’établir cette interprétation cohérente. Chez Proudhon, l’antinomie consiste en un rapport antagonique entre deux idées, les lois déterminant les choses en lesquelles elles s’incarnent. Cet antagonisme est irréductible et demande à ce que les deux idées soient mises en équilibre l’une avec l’autre, ce qui constitue la Justice. La contradiction survient quant à elle lorsque l’équilibre n’est pas atteint. Elle consiste en une situation qui pose problème dans la société, provoquant par là la souffrance, la misère, la violence et l’instabilité. La société constitue une chose en soi, un être collectif doué de consistance ontologique nécessairement en relation avec ses parties constituantes. Parallèlement, la liberté consiste en la capacité d’agir et de se déployer en fonction de son idée. La liberté de l’être collectif, de la société, est en relation antinomique avec celle de ses parties constituantes, puisque l’une peut être maximisée au dépends de l’autre. L’État représente la contradiction découlant de l’absence d’équilibre entre les libertés. Le fédéralisme proudhonien se veut la voie moderne pour établir l’équilibre dans ce rapport antinomique. Au plan économique, la valeur d’usage et la valeur d’échange sont aussi en rapport antinomique. L’équilibre dans ce rapport permet la découverte de la vraie valeur, la valeur constituée, qui représente la Justice dans les rapports économiques. Le capitalisme représente l’ensemble des institutions économiques empêchant la formation de la valeur constituée, ce qui en fait un système économique contradictoire, non conforme à la Justice et qui provoque la souffrance. Le mutuellisme proudhonien se veut la voie moderne pour établir l’équilibre et découvrir la valeur constituée de chaque bien, c’est-à-dire accomplir la Justice dans l’activité économique de la société. Cette lecture dessine les contours d’une pensée anarchiste toute en nuance, dans laquelle l’État et la propriété privée doivent disparaitre non pas par l’abolition de leurs fonctions, mais bien par leur intégration, conforme à la Justice, dans le tissu des relations sociales.
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Tragédie, morale et politique dans l’Europe moderne : le cas César / Tragedy, ethics and politics in modern Europe : the Caesar case

Walfard, Adrien 15 October 2011 (has links)
Cette thèse étudie le rôle de la pensée morale et politique dans la tragédie moderne (XVIe-XVIIIe siècles), en se concentrant sur un ensemble de pièces néo-latines, françaises, italiennes et anglaises qui représentent la mort du dictateur romain Jules César, auxquelles on a joint Cinna de Corneille. Pour susciter les passions tragiques, la fable doit représenter un personnage, ou un groupe de personnages, qui passe du bonheur au malheur à la suite d’une « faute » moralement ou politiquement ambiguë. Cet enchaînement est particulièrement tragique lorsque la « faute » est au moins partiellement involontaire et résulte d’une forme de nécessité : la tragédie manifeste alors le poids de la « fortune morale ». L’ambiguïté de la « faute » tragique peut revêtir diverses formes ; dans les Mort(s) de César, elle réside d’une part dans le fait que les personnages sont contraints d’agir dans une situation caractérisée par plusieurs antinomies, d’autre part dans le fait que leurs motivations paraissent à certains égards contraires aux justifications qu’ils avancent. La tragédie moderne est profondément réfractaire à la pensée casuiste contemporaine – sous les diverses formes qu’elle prend dans la théorie de l’invention rhétorique, la philosophie morale et politique et l’historiographie –, car elle laisse irrésolus les « cas » moraux et politiques qu’elle expose. Mais Cinna, première « tragédie à fin heureuse » du répertoire français, montre comment il est possible de parvenir à la réconciliation et à une issue moralement et politiquement satisfaisante par-delà les antinomies tragiques. / This dissertation investigates the functions of moral and political thought in modern tragedy (16th-18th centuries), focusing on a group of Neo-Latin, French, Italian and English plays which represent the death of the Roman dictator Julius Caesar, as well as on Corneille’s Cinna. In order to provoke the tragic emotions, a fable must represent a character or a group of characters whose fall from happiness into mishap is a consequence of a morally or politically ambiguous “flaw”. This sequence is particularly tragic when the “flaw” is at least partially unintentional and results from a kind of necessity : tragedy thus manifests the importance of “moral luck”. The ambiguity of the tragic “flaw” may arise from different circumstances ; in the plays representing the death of Caesar it consists on the one hand in the antinomies which the characters must face, on the other hand in the fact that their motivations appear in some ways contrary to the arguments they use in order to justify themselves. Modern tragedy is profoundly extraneous to contemporary casuistry (as developed in the rhetorical theory of invention, in moral and political philosophy and in historical writing), in that it leaves moral and political “cases” unsolved. However, Cinna, the first happy-ending tragedy in the French theatre, shows how reconciliation and a morally and politically satisfying ending are possible despite the tragic antinomies.
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[pt] ANTINOMIA IDEAL: ESTUDO COMPARATIVO ENTRE SCHELLING E HEGEL / [en] IDEAL ANTINOMIE: COMPARATIVE STUDY ON SCHELLING AND HEGEL

MIRIAN MONTEIRO KUSSUMI 09 November 2020 (has links)
[pt] A presente tese se propõe a fazer uma comparação das obras de Schelling e Hegel. Com a diferença entre coisa em si e fenômeno, Kant teria operado uma cisão entre sujeito e objeto. A partir disso, se descortina para nós um problema epistemológico, na medida em que há a delimitação das condições para nosso conhecimento, assim como uma questão ontológica, uma vez que se tem a mudança do sentido de objetividade e, por conseguinte, de realidade exterior. Nossa investigação então se concentra nas Antinomias da razão que apresentam dois discursos filosóficos opostos (organizados como tese versus antítese), tendo como horizonte a distinção entre fenômeno e coisa em si. Dando prosseguimento a isso, Fichte não apenas retém o sentido de subjetividade proposta por Kant com o sujeito transcendental, como ainda ressignifica o argumento antinômico a partir da distinção entre Eu (sujeito) e não-Eu (objeto). Essa diferença fundamenta duas tendências do pensamento filosófico, uma idealista, mais voltada para o sujeito e outra realista, que tem o objeto como ponto de partida. Assim, buscamos propor como a filosofia de Schelling e Hegel se encaixam nessa estrutura antinômica tanto presente em Kant como em Fichte com a distinção entre Eu e não-Eu e, respectivamente, as posições do idealismo e realismo. Schelling concebe um pensamento que se volta mais para a realidade exterior, algo que analisamos tanto em relação à sua Filosofia da Natureza e da Identidade. E na medida em que há uma filosofia que se volta para explicações ontológicas, Schelling propõe a intuição intelectual e a construção como meios epistemológicos de acesso ao Todo da Natureza, assim como à Identidade primeira. Ao contrário, Hegel resgata a questão transcendental na Fenomenologia do Espírito, não apenas demonstrando um desenvolvimento histórico inerente à consciência universal e ao Espírito, como também determina o que seria o Conceito. É então que nossa tese se concentra a investigação do que seria o conceitual como meio complexo para a organização da realidade. Observamos, assim, que Schelling e Hegel trazem dois projetos opostos tanto no que tange à epistemologia quanto à ontologia. Enquanto Schelling preza por uma filosofia centrada na realidade e seu desenvolvimento e, desse modo, o conhecimento será mais intuitivo, Hegel pensa em uma realidade organizada a partir do Conceito, o que lhe garante uma ontologia em que se torna claro o aspecto intelectualista ou melhor, lógico. Essa diferença se torna mais evidente no último capítulo, em que de fato comparamos a obra dos dois a partir do recorte proposto. É nesse sentido que, para responder à questão kantiana sobre sujeito e objeto, de modo a propor uma reunificação desses dois elementos, Schelling e Hegel optam por posições opostas, o que os coloca em uma configuração antinômica por natureza. / [en] This dissertation aims to compare the works of Schelling and Hegel. Taking the difference of thing in itself and phenomenon as a starting point, Kant came up with a split between subject and object. This division is the origin of an epistemological problem, since it implies a sharp definition of the conditions for knowledge. But even more, it also suggests an ontological matter, since it proposes a change in the meaning of objectivity and, therefore, of external reality. Our research entails an analysis of the so-called Antinomies of reason that shows two opposing philosophical standpoints (arranged as thesis versus antithesis), that are constructed according to the previous distinction of phenomenon and thing in itself. Following from Kant s philosophy, Fichte not only maintains the idea of subjectivity proposed by Kant s transcendental subject, but also transforms the argument present in the Antinomies with his distinction between the I (subject) and the Non-I (object). This difference underlies two trends in philosophical thinking, one idealistic, more focused on the subject and the other realistic, which has the object as a starting point. Thus, we suggest that the philosophy of Schelling and Hegel fit into this antinomic structure both present in Kant and Fichte with the distinction between I and Not-I and, respectively, the positions of idealism and realism. Schelling develop a thought that turns more towards external reality, something that is evident when we analyze his Philosophy of Nature and the Philosophy of Identity. And insofar it concerns an ontological explanation of reality, it is possible to understand why Schelling sees the intellectual intuition and the construction of matter as the two possible epistemological access of the Whole of Nature, as well as the original Identity. On the contrary, Hegel brings back the transcendental problem in his Phenomenology of the Spirit, not only demonstrating a historical development regarding consciousness and Spirit, but also exposing what he calls the Notion (or the Concept). Therefore, we try to consider what Hegel meant with the Notion and how it is a sort of complex medium used to organize reality. It is possible to think that Schelling and Hegel bring two opposing alternatives concerning both an epistemological perspective and an ontological plan. While Schelling values a philosophy centered on reality and its development and, thus, a more intuitive kind of knowledge, Hegel thinks of reality as organized through the Concept, which clearly implies a conceptual, or even better, logical ontology. This distinction between the two philosophers becomes more evident in the last chapter, in which we compare Schelling and Hegel. In this sense, in relation to the Kantian problem about subject and object, they try to offer a reconciliation of these two terms. And they do this by formulating two different philosophical perspectives, something that place them in an antinomic position.
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Philosophie et modernité dans l’œuvre poétique d’António Ramos Rosa / Philosophy and Modernity in the poetry of António Ramos Rosa

Maximino, Jorge Augusto 20 November 2009 (has links)
António Ramos Rosa est une figure majeure dans le panorama de la poésie portugaise contemporaine, avec une œuvre singulière qui a contribué, dès les années 50, à la rénovation de l’espace poétique, en ayant un rôle d’intervention théorique et critique au sein des mouvements artistiques au Portugal Notre propos, dans cette recherche, a été d’étudier les rapports entre philosophie et poésie dans le cadre de la modernité, à partir du temps comme ligne d’orientation dans une perspective phénoménologique (Cf. Husserl, Heidegger, Derrida et Deleuze, entre autres). Considérant le langage et l’expérience esthétique comme l’enjeu privilégié de la modernité poétique, nous avons cherché à comprendre la façon dont le discours philosophique s’inscrit dans le matériau de l’œuvre poétique, et à montrer comment l’analyse des textes peut nous permettre de dégager des éléments pour une réflexion concernant leur implication sur le plan ontologique. Ainsi, dès les premières analyses, le temps a été confirmé, non seulement comme élément essentiel, mais aussi comme marqueur principal dans ce discours qui, dans cette poétique, convoque d’autres référents d’ordre phénoménologique contribuant à la structuration d’un langage novateur. Notre approche pragmatique a permis d’identifier le caractère prégnant de ces référents, dans son ensemble. C’est dans ce contexte que l’idée de transformation, de transparence et d’utopie surgissent. Il s’agit d’une situation énonciative qui rapproche poétique et dialectique dans un réseau d’images et modes du discours qui ont pour horizon l’ontologie et en matérialisant dans le langage du poème. / António Ramos Rosa is a major personality in the panorama of contemporary portuguese poetry. Since the decade of 1950, the remarkable originality of his works has been a contribution to the renovation of the poetical universe, having a theoretical and critical main role of intervention among the artistic movements in Portugal. Our project in this research, was to analyse the relations between poetry and philosophy having modernity as its framework, with the concept of time as our guide in a phenomenological perspective (Cf. Husserl, Heidegger, Derrida and Deleuze). Considering language and aesthetic experience as the privileged challenge of modernity in poetry, we have tried to understand in what way the philosophical discourse is inscribed in the poetic works of this author and to show how the analysis of texts allows us to separate the elements of a reflection with an implication on ontological plan. In that way, and since the very first analysis, the concept of time, besides from being an essential element, was to be confirmed as an important mark in the poetic discourse of António Ramos Rosa, and calls for other referents that contribute to structure an innovating language. Our pragmatic approach allows us to identify the particularity of those points, as also as to relevate the place of language and the subject in his totality. In this context the importance of transformation, transparence and utopia became clear. It is a situation of enunciation approaching poetics and dialectics within a web of images and modes of discourse having in the horizon ontology materialized in the language of the poem.
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Kants Antinomie der praktischen Vernunft /

Albrecht, Michael, January 1978 (has links)
Texte remanié de: Dissertation--Fachbereich I--Trier, 1974. / Bibliogr. p. 233-243. Index.

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