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Étude de la modulation autonome de la fréquence cardiaque en sommeil quantifiée par analyse spectrale

Richard, Maud January 2005 (has links)
Mémoire numérisé par la Direction des bibliothèques de l'Université de Montréal.
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Le diable et les démons dans la Legenda aurea du dominicain Jacques de Voragine

Jean, Marc-André January 2005 (has links)
Mémoire numérisé par la Direction des bibliothèques de l'Université de Montréal.
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Caen dans ses murs, XIe- XVIIe siècle : les clôtures urbaines : leurs effets de paroi / No English title available

Homshaw, Nicolas 02 July 2015 (has links)
Un corps de pierre : tel est l'objet de notre étude. Un corps de place aujourd'hui effacé. Le fantôme d'une ville bas-normande martyrisée en 1944, dont le périmètre s'est longtemps confondu avec le circuit fortifié, non seulement urbain mais castral. Dans le travail de recherche présenté ici, c'est au cadre matériel du Caen ancien que nous avons tâché de redonner virtuellement corps. C'est l'histoire de sa transformation que nous avons tenté de retracer: six siècles et demi d'évolution entre le moment de sa « formation » au Moyen Age et les prémices de sa « déformation» au Grand Siècle. En somme, c'est à établir la morphochronologie d'une capitale provinciale que nous nous sommes essayé. Mais corréler la morphogénèse urbaine et le phénomène de l'enclôture oblige à prendre en considération les « effets de paroi » que génèrent les enceintes au cours du temps. Aussi est-ce en nous fondant sur l'examen des rapports d'ordre architectural et urbanistique entretenus par les clôtures avec le territoire citadin au gré des conjonctures politico-militaires que nous avons cherché à déterminer le(s) rôle(s) joué(s) par les enceintes dans le processus morphogénique du Caen médiéval, renaissant et classique. Au bout du compte, c'est sur la nature même de ces organes enveloppants que nous avons été conduit à nous interroger : tiennent-ils exclusivement de la « carapace » ou relèvent-ils aussi de la « chrysalide » ? De fait, opèrent-ils seulement comme une « barrière » de croissance urbaine ou agissent-ils à leur façon comme un facteur de développement citadin ? / No English summary available.
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Contribution à l’étude du genre dramatique des saṭṭaka, pièces en langue prakrite : la Karpūramañjarī et ses successeurs / Contribution to the study of the dramatic genre called saṭṭaka, Prakrit stage-plays : the Karpūramañjarī and its successors

Fodor, Melinda 11 December 2017 (has links)
Cette thèse est la première étude approfondie et transversale sur le sattaka, un genre dramatique indien dont la particularité réside dans sa langue, le prâkrit. Le nom de ce genre remonte à Kohala (IIe-IVe siècles), mais est devenu connu grâce à la Karpuramanjari de Rajashekhara (IXe-Xe siècles, Kannauj) qui cite, pour la première fois, dans le prologue de cette pièce, sa définition. Selon celle-ci, il s’agit d’un genre apparenté à la natika, genre hybride du théâtre classique. Le prâkrit - terme générique de divers dialectes - s’est développé parallèlement au sanskrit, en tant que langue littéraire. Ses variétés régionales ont été attribuées aux divers personnages dans le théâtre classique pour indiquer leur statut social. Rajashekhara, rompant avec les règles plurilinguistiques du théâtre classique appliquées, entre autres, à la natika, a conçu son sattaka entièrement en prâkrit, en accord avec les règles sur les qualités phonétiques des langues littéraires dans l’art poétique indien. Son choix de langue a fait l’objet de nombreuses spéculations parmi les théoriciens et sa Karpuramanjari est devenue le standard pour les auteurs des sattaka tardifs. Dans cette thèse, après avoir retracé l’évolution de ce genre, nous analysons non seulement les diverses théories attestées au sujet de la langue et de la structure dramatique de la Karpuramanjari, mais également les pièces, afin d’élucider la question suivante : qu’est-ce que le sattaka ? Ce travail vise également à promouvoir les recherches connexes sur l’évolution de l’art dramatique durant le Moyen Âge, sur les auteurs, ainsi que leurs époques. Cette étude comporte de nombreuses citations des sattaka, dont nous donnons la première traduction française et, pour certains, la toute première traduction. / This thesis is the first in-depth and comprehensive study on Sattaka, an Indian dramatic genre whose characteristic lies in its language, the Prakrit. The name of this genre goes back to Kohala (2nd to 4th centuries), but it has become known by Rajashekhara’s Karpuramanjari (9th-10th centuries, Kannauj) who gives, for the first time, in the prologue of this play, its definition. According to this, it is a genre related to the Natika, a hybrid genre of classical theater. Prakrit - the generic term for various dialects – has developed in parallel with Sanskrit as a literary language. Its regional varieties have been attributed to various characters in classical theatre in order to indicate their social status. Rajashekhara, breaking with the multilingual rules of classical theater applied, inter alia, to the Natika, composed his Sattaka entirely in Prakrit, in accordance with the rules on phonetic qualities of literary languages in Indian poetics. His choice of language has been the matter of discussion among theoricians and his Karpuramanjari has become the standard for the later authors of Sattakas. In this thesis, after having traced the evolution of this genre, we analyze not only the various theories about the language and the dramatic structure of the Karpuramanjari, but also the plays themselves, in order to elucidate the following question: what is a Sattaka? This work also aims to promote related research works on the evolution of dramatic art during the Middle Ages, on the authors, as well as on their times. This study contains numerous citations of Sattakas, of which we give the first French translation and, for some of them, the very first one.
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L'Émerillon, ou, le Val des regrets : un jeu vidéo utilisé comme moyen d'expression

Pépin, Yan January 2006 (has links) (PDF)
Ce mémoire de maîtrise en multimédia relate les principales étapes de la production de L'Émerillon ou le Val des Regrets, un conte interactif en trois dimensions rendu en temps réel et distribué sur cédérom. Avec ce projet, nous avions comme principaux objectifs d'étudier la portée communicationnelle et expressive des jeux vidéo, de même que de développer une méthodologie de travail pour la réalisation d'environnements virtuels interactifs avec des moyens restreints. L'aventure de L'Émerillon ou le Val des Regrets se déroule dans la forêt de Brocéliande en Bretagne armoricaine, environ cent ans après la mort du légendaire roi Arthur. Dans cet univers mythique, le joueur est appelé à incarner un vieux chevalier à la recherche d'un oiseau (l'émerillon) qui lui fut donné par son amante, mais qui s'est mystérieusement échappé. Partant en quête, le vieil homme rencontre, dans le Val des Regrets, plusieurs apparitions de lui-même à divers stades de sa vie qu'il doit confronter pour enfin retrouver la sérénité. Ce n'est qu'au bout d'un long voyage intérieur qu'il parviendra enfin à Ynis Wittrin, l'Île de Verre, où il retrouvera son amante, mais où, entraîné par l'émerillon, il accèdera aussi à un autre niveau de conscience qui l'amènera à partir de nouveau à l'aventure. Le jeu forme une boucle. de façon à ce que la quête du chevalier ne se termine jamais, pour illustrer le caractère perpétuel de la recherche du bonheur et de la découverte de soi. Pour progresser dans le jeu, le joueur doit résoudre des énigmes faisant appel à sa coordination et ses réflexes, son sens logique, et sa capacité à faire un choix rapidement. L'objectif final du jeu est de faire réfléchir le joueur sur le sens de sa propre vie à travers les actions qu' il a entreprises dans la peau du vieux chevalier. ______________________________________________________________________________ MOTS-CLÉS DE L’AUTEUR : Jeux, Vidéo, Légendes arthuriennes, Moyen-Âge, Conte interactif, Interactivité, Bretagne, Brocéliande.
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Démonstration de la nature mythologique de la figure du roi Arthur (VIe-XIIe siècles)

Pigeon, Geneviève 05 1900 (has links) (PDF)
Notre travail de recherche en sciences des religions veut démontrer que la figure du roi Arthur, telle qu'elle se manifeste en Grande-Bretagne entre les VIe et XIIe siècles, répond aux exigences théoriques du mythe. Afin de bien cerner les principaux enjeux impliqués par une telle démarche, l'analyse a été partagée en trois grandes parties, ou chapitres. Cette division permet d'aborder en premier lieu la question des sources écrites accessibles aux chercheurs arthuriens pour la période et l'espace géographique concernés, soit : De Excidio et Conquestu Britanniae de Gildas (v. 540) ; Historia ecclesiastica gentis Anglorum de Bède (v. 731); Historia Brittonum du pseudo-Nennius (v. 830) ; Historia Regum Britanniae de Geoffroy de Monmouth (v. 1135-1138). La démarche s'attache ensuite à une étude de la royauté occidentale (France et Grande-Bretagne) guidée par les catégories proposées par H. Martin dans Mentalités médiévales (1996), de même qu'à une réflexion portant sur le « déplacement du sacré » qui s'opère, au détriment de la royauté traditionnelle et au profit de l'Église de Rome. Le travail amorcé se concrétise en troisième chapitre grâce à une définition du mythe inspirée notamment par les travaux de M. Eliade, G. Durand (Pérennité, dérivations et usure du mythe, 1996) et P. Berger et T. Luckmann (La construction sociale de la réalité, 1996), qui est suivie de la démonstration de la nature mythique de la figure royale arthurienne. Notre réflexion pluridisciplinaire, située à la frontière de différentes juridictions théoriques, permet de redistribuer et d'agencer autrement les morceaux de la fascinante énigme qu'est le mythe arthurien pour en proposer une interprétation qui, si elle ne répond pas à toutes les questions, aura au moins le mérite de faire dialoguer les solitudes disciplinaires. L'approche suggérée par ce travail est unique dans la mesure où le sujet central, soit la figure du roi Arthur, est étudié dans ses dimensions synchronique et diachronique dans les domaines de l'écrit, du politique et du religieux. Or, les ouvrages qui sont consacrés au roi Arthur voient en ce personnage un fait historique, folklorique ou légendaire, passant sous silence une grande partie de sa valeur mythologique. Il nous semble pourtant que les connaissances disponibles au sujet de ce personnage nous permettent de le voir autrement que comme un remarquable outil de propagande, ou qu'un personnage légendaire grandiose. Arthur est plus que ce morceau de puzzle judicieusement utilisé par les grands du XIIe siècle ; il est une construction mythologique complexe, élaborée pendant plus de sept siècles. Nous acceptons d'emblée les démonstrations et les conclusions des auteurs qui nous ont précédés dans les dernières années en ce qui concerne l'utilisation de la figure arthurienne dans la propagande idéologique de la dynastie des Plantagenêts (rois d'Angleterre, 1128-1485), et plus particulièrement celles d'A. Chauou dans L'idéologie Plantagenêt (2001). Nous croyons cependant qu'une étude de la construction du mythe est essentielle au débat, et cette analyse doit forcément se situer en amont de l'explosion de la matière de Bretagne sur la scène littéraire française au XIIe siècle. À l'issue de ce travail, il est démontré que la figure du roi Arthur, telle qu'elle se manifeste dans les textes de Gildas, de Bède, du pseudo-Nennius et de Geoffroy de Monnouth, répond bien aux exigences paradigmatiques du mythe. Plus précisément, notre recherche montre comment, confrontés à des pouvoirs centralisateurs venus de l'extérieur (les Anglo-Saxons, les Danois), les Bretons trouvent dans la figure royale arthurienne un continuum qui rassure, guide, explique et réconforte. Leur faiblesse militaire et stratégique est en quelque sorte rachetée par ce roi « historique », dont les qualités indéniables jettent de l'ombre sur les rois des peuples ennemis. C'est donc en se nourrissant du langage et des fonctions symboliques de la royauté occidentale que la figure arthurienne maintient son efficacité paradigmatique, demeurant « présente » et signifiante malgré les siècles qui passent. ______________________________________________________________________________
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L'évaluation du rôle des modèles opérationnels internes de l'enfant dans la transmission intergénérationnelle de l'anxiété chez de jeunes enfants

Audet, Émilie January 2007 (has links)
Mémoire numérisé par la Division de la gestion de documents et des archives de l'Université de Montréal
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Les épiciers-apothicaires de Montpellier, 1204-1349 : stratégies d'alliances et mobilité sociale

Beaulieu, Maxime January 2013 (has links)
De 1204 à 1349, la ville de Montpellier représente un joyau du monde marchand dans le pourtour de la Méditerranée. Des denrées de toutes sortes provenant des confins de l'Orient y seront acheminées pour être ensuite livrées un peu partout dans les villes occidentales et aux foires annuelles. La ville jouit donc d'une renommée indiscutable, au point qu'elle fut longtemps convoitée, avant d'être finalement achetée en 1349, par la couronne de France. Au cours de cette période, bien qu'elle soit la propriété des différents seigneurs qui se sont succédés, Montpellier est une commune, administrée par des représentants élus de ses métiers. Dans ce contexte de prospérité économique et d'administration communale, les familles montpelliéraines tentent d'établir diverses alliances qui leurs permettraient de se hisser au sommet de la hiérarchie sociale. Les épiciers-apothicaires font partie de ces familles qui utilisent différentes méthodes à des fins stratégiques de mobilité sociale. Faisant partie d'un corps de métier appelé "métiers des épices", ils sont généralement des individus prospères et respectés. Parmi leurs confrères, on retrouve les poivriers; ce sont de riches marchands d'épices en gros, possédant des comptoirs un peu partout en Méditerranée, et disposant d'un accès privilégié aux postes de consuls majeurs ainsi qu'à d'autres charges administratives importantes. Naturelle et avantageuse, une alliance, familiale ou professionnelle, avec ces marchands constitue une possibilité d'ascension économique et sociale pour une famille d'épiciers-apothicaires. Ce mémoire a donc pour objectif de démontrer l'utilisation de différentes stratégies associatives par les épiciers-apothicaires de Montpellier à des fins de mobilité sociale.
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Les émotions liées à la violence chevaleresque dans le Haut livre du Graal, un roman arthurien du XIIIe siècle

Brynczka, Tomek 11 1900 (has links) (PDF)
Ce travail examine les émotions liées à la violence dans le Haut livre du Graal, aussi appelé Perlesvaus, un roman arthurien du début du XIIIe siècle. Le but visé est triple : identifier les émotions de la violence, dégager les différentes normes sociales qui y sont à l'œuvre, et trouver un sens à cette violence. Réputé particulièrement brutal, ce roman est une source tout indiquée pour débusquer et analyser l'expérience affective liée à la violence. Émotions et violence sont fortement associées dans l'historiographie du Moyen Âge, et pendant la majorité du XXe siècle, cette combinaison était un gage d'anarchie et de chaos. Plus récemment, les travaux sur la violence proposent plutôt une violence très présente, mais rationnelle et fonctionnelle, utilisée selon des règles de société. La perception des émotions a aussi évolué de façon semblable. D'abord irrationnels et source de désordre, les affects sont aujourd'hui compris comme agissant selon des normes sociales. En analysant les 2039 indicateurs d'émotions en lien avec la violence relevés dans le Perlesvaus un portrait, ou plutôt plusieurs portraits, émergent. Les différents types de personnages réagissent chacun à sa façon, offrant une perspective nouvelle sur les différentes normes utilisées. Entre autres, une différence se profile nettement entre les chevaliers dits négatifs, tournés vers le matériel et les chevaliers positifs tournés vers des valeurs plus spirituelles, mais également entre les femmes et les hommes. L'expérience émotive dans ce roman n'est pas aléatoire, mais cohérente, et son analyse ouvre une voie de plus pour aborder l'histoire du Moyen Âge. ______________________________________________________________________________
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Théorie et pratique sociale de la danse noble en Italie centro-septentrionale au XVeme siècle / Theory and social practice of noble dance in fifteenth-century central northern Italy

Acone, Ludmila 23 March 2013 (has links)
Objet d'histoire à part entière, la danse est un « fait social total » à l'interface du corps et de l'esprit de l'individuel et du collectif : du féminin et du masculin, du religieux et du profane, du technique et du spontané. Au XVe siècle, Domenico da Piacenza, Antonio Comazzano et Guglielmo Ebreo da Pesaro, incarnent l'émergence d'une nouvelle figure intellectuelle, artistique et technique, celle du maître à danser, élevant la danse au rang d'art libéral. Ils construisent l'esthétique d'une danse noble en opposition à celle des danses dites populaires établissant des normes à la fois artistiques, sociales et genrées, conformes à la morale de la cour et répondant aux anathèmes religieux. La danse, vecteur d'une idéologie de cour et d'une communication entre les cours et la société, est tout autant instrument d'une évolution des disciplines du corps, voire d'une thérapeutique fondée sur l'harmonie du corps et de l'esprit. Les fondements philosophiques, techniques et pédagogiques de la danse noble s'inscrivent dans la culture des cours italiennes de la fin du Moyen Age et créent un nouveau langage du corps en mouvement, s'inscrivant de manière novatrice dans de la culture humaniste de l'époque. Une lecture attentive des sources (littéraires, iconographiques théâtrales, et musicales...) rend visible ce qui est apparemment invisible, voire caché et permet de comprendre, interpréter et restituer la richesse de l'activité chorégraphique d'une époque. Il ne s'agit pas d'histoire de la danse, mais de danse dans l'histoire de révéler un aspect de la civilisation de la fin du Moyen Age, également par tout ce que le corps en mouvement est capable de nous révéler. / Dance, a fully historical subject, is a 'total social fact' at the interface between body and soul, between individual and collective, feminine and masculine, religions and profane, and between technique and spontaneity. In the fifteenth century, Domenico da Piacenza, Antonio Cornazzano and Guglielmo Ebreo da Pesaro represent the rise a new intellectual, artistic and technical figure, that of the master of dance, thus promoting dance as a liberal art. The construct the aesthetics of a noble dance in opposition to those of the so-called popular dances, by creating artistic as we as social and gender norms in conformity with courtly ethics, and by offering a response to religious anathemas. Dance vector of a courtly ideology and a communication between courts and society, remains the instrument of evolving corporeal disciplines, and even a therapy founded on conceptual harmony between body and soul. The philosophical technical and pedagogical foundations of noble dance are inscribed in the culture of Italian courts from the end of the Middle Ages and create a new language of the moving body, innovating it and making it part of the humanistic culture those times. An attentive reading of the sources -literary, iconographical, theatrical and musical- makes visible what seems invisible even hidden, and enables us to understand and interpret, as well as summon up the richness of the chorographical activity of a certain period. This is not a history of dance but a history of dance in history, or rather the illumination of an aspect of late-medieval civilization, thanks, also, to what the body and movement are capable of revealing to us.

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