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Faire confiance au gouvernement? : évaluation des caractéristiques individuelles, étatiques et sociales qui sont liées à la confiance envers le gouvernement

Savoie, Louis-Philippe 06 1900 (has links)
La confiance envers le gouvernement est une notion fréquemment évoquée dans le discours public et dans la littérature, mais il s’agit d’une notion imprécise, malgré des innovations depuis sa première spécification par David Easton en tant que support systémique. Cette revue de littérature propose de faire le point sur la question de la confiance envers les gouvernements démocratiques. Je définis d’abord la confiance envers le gouvernement comme un concept relationnel et relativement stable dans le temps. Ce mémoire se penche sur 26 facteurs qui sont liés à la confiance envers le gouvernement dans trois grandes catégories : les caractéristiques individuelles, étatiques et sociales. Je démontre que les explications culturelles de la confiance sont nettement supérieures aux explications économiques, et ce à toutes les échelles. Cependant, les jeunes démocraties présentent un profil un peu différent des démocraties plus anciennes : l’économie y joue un rôle un peu plus important. / Trust in government is a hotly debated topic in public discourse as well as the scientific literature. It is, however, an unclear notion, although a few theoretical innovations have helped refine the concept since its inception as system support by David Easton. This literature review examines current trends in study of trust in democratic governments. I define trust in government as a relational concept that is relatively stable through time. This thesis identifies 26 factors that are linked to trust in government in three categories: individual, state and social characteristics. I demonstrate that cultural explanations better explain variations in trust in government than economic approaches at all scales. However, young democracies have a different profile, in which economic approaches have a slightly bigger role.
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La transparence des élections en droit public africain, à partir des cas béninois, sénégalais et togolais / The transparency of elections in the African public law, based on the Beninese, Senegalese and Togolese cases.

Afo Sabi, Kasséré 26 March 2013 (has links)
Souvent prônée au regard de l’abondant discours politique et juridique dont elle fait l’objet, mais en même temps fréquemment et subtilement « torpillée », « combattue », la transparence des élections est l’une de ces notions-méridien des temps modernes.La présente thèse lève ainsi le voile sur ce que, quelle qu’en soit la forme, cette notion est tout logiquement reprise − et tant bien que mal consolidée ou en voie de consolidation − dans l’ordre juridique interne des différents États, notamment africains et tente de faire prendre conscience que, à l’analyse, une telle consécration, ou le cas échéant une telle consolidation, apparait bien plus embarrassée. En sus de cela, d’un point de vue de théorie et de pratique juridiques, naissent des incertitudes, au double regard de sa nature et de sa portée juridiques, instaurant ainsi un climat d’insécurité juridique dont il devient donc impérieux de sortir. Sans doute est-ce parce que, assez récente dans un domaine lui-même en quête d’autonomie : le droit électoral, cette notion se révèle très redoutable à cerner. Cette modeste contribution tente-t-elle justement de répondre à l’ensemble de ces préoccupations. Dans cette perspective, le travail pionnier de la Cour constitutionnelle du Bénin qui a érigé la transparence électorale en un principe à valeur constitutionnelle mérite d’être poursuivi. Elle est donc davantage un « construit » qu’un « donné ». En tout état de cause, un tel approfondissement assurerait une cohérence au droit public et renforcerait la sécurité juridique. Cette exigence est donc un terreau fertile à l’éclosion et au triomphe de la démocratie libérale. À y voir de près, elle est à même de réaliser la révolution juridique chère à Montesquieu et que n’a pu, malheureusement, pérenniser le principe de séparation des pouvoirs : la modération du pouvoir politique dans l’État. / Often advocated in view of the abundant political and legal discourse of which it is the object, but at the same time and often subtly "torpedoed", “fought”, transparent elections are one of these meridian notions of modern times.Whatever form it may take, this Thesis is lifting the veil on this notion which is logically repeated, and somehow not well consolidated or being consolidated - in the internal legal order of the various States, particularly African States and which tries to make people aware that, in the analysis, such a consecration, or if any such consolidation, appears more embarrassed. In addition to this, a point of view of legal theory and practice, uncertainties arise, the double view of its nature and scope of legal, thus creating a climate of legal insecurity that it becomes imperative to quit Without any doubt, this recently field is seeking itself autonomy, and this concept , electoral law proves to be very formidable to understand. This modest contribution, consequently tries to answer all these concerns. In this perspective, the pioneering work of the Constitutional Court of Benin which erected electoral transparency principle to a value worth pursuing. Therefore, it is more of “a constructed” than a "given”. In any event, such a deepening should ensure coherence to public law and enhance legal certainty. This requirement is a fertile ground for the emergence and triumph of liberal democracy. A close look at it, it is able to perform the legal revolution dear to Montesquieu who could not, unfortunately, perpetuate the principle of separation of powers: the moderation of political power in the state.
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Le déclin du Bayernpartei et ses déterminants causaux (1949-1969) : plaidoyer pour une analyse plurifactorielle et anti-retrospectiviste / The decline of the Bavaria Party and its causal factors (1949-1969) : plea for a multifactorial and non-retrospective analysis

Landwehrlen, Thomas 09 December 2011 (has links)
Fondé à Munich en octobre 1946 suite à la réorganisation d’un proto-parti mariant rejet de l’unitarisme autoritaire et provincialisme anti-prussien, le Bayernpartei (BP) se fit après la guerre le courtier des revendications autonomistes bavaroises et le médiateur de l’hostilité populaire à l’égard des réfugiés allemands originaires d’Europe centrale et orientale. Couronné de succès lors des élections fédérales post-dictatoriales de 1949 – à l’occasion desquelles il recueillit 20,9% des voix en Bavière –, il présente la particularité d’avoir subi pendant vingt ans un déclin électoral régulier, et d’avoir totalement cessé d’être « relevant » au sens de Sartori au moment même où l’on assistait à l’échelle européenne, et même occidentale, à un nouvel essor des partis et formations régionalistes procédant du clivage centre/périphérie.Quels sont les déterminants causaux du progressif déclin du Bayernpartei ? Quels facteurs explicatifs apparaissent susceptibles de rendre compte de sa graduelle transformation en ce que Manfred Rowold estime être une simple association folklorique sans importance ? Tel est le questionnement sous-tendant le présent travail de thèse, et auquel l’auteur propose de répondre en se dégageant du rétrospectivisme monocausal, linéariste et exogénéisant dont firent preuve les (rares) politistes ayant tenté de rendre compte de l’étiolement politique passé du parti régionaliste bavarois. / Founded in Munich in October 1946 after the reorganisation of a proto-party combining rejection of authoritarian unitarism and anti-Prussian provincialism, the Bavaria Party (Bayernpartei) appeared after the Second World War as the spreader of the Bavarian claims for autonomy, and as the echo box of popular hostility against German refugees from Central and Eastern Europe. After having been crowned with success at the German federal election of 1949 – on which it collected 20,9% of the votes in Bavaria –, he was affected during two decades by a steady electoral decline, so much so that it completely ceased to be “relevant” in the sense of Sartori at the very time when political scientists were witnessing at European (and even Western) level a new upsurge of regionalist parties and organisations.What are the causal determinants of the progressive decline of the Bavaria Party? What explanatory factors can be advanced to account for its gradual transformation into what Manfred Rowold considers to be a simple and irrelevant folk association? This is the question underlying the present work and to which the author proposes to respond by working on the assumption that it is necessary to break with the monocausal, linearist and exogenousing retrospectivism characterizing the analyses of the (rare) political scientists who have already attempted to explain the withering away of the Bavarian regionalist party.

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