Spelling suggestions: "subject:"électorale"" "subject:"electoral""
1 |
Le mariage homosexuel et le vote au CanadaDostie-Goulet, Eugénie January 2005 (has links)
Mémoire numérisé par la Direction des bibliothèques de l'Université de Montréal.
|
2 |
Mouvances des bases partisanes dans le système partisan québécoisParis, Jonathan January 2016 (has links)
Le mode de scrutin au Québec favorise le bipartisme, laissant généralement peu de place aux tiers partis. Or, en ce début de 21e siècle, ces partis occupent une place de plus en plus importante dans l’arène politique. Même que l’Assemblée nationale, le symbole du pouvoir québécois, reconnait désormais officiellement un troisième groupe parlementaire, soit le deuxième groupe d’opposition. Ainsi, le système partisan québécois est en pleine mutation, du moins en apparence.
Ce mémoire s’intéresse à cet accroissement de l’espace occupé par les tiers partis au Québec. Il a pour objectif d’établir s’il existe des mouvements dans le système partisan actuel qui entrainent une diminution de la loyauté envers les deux grands partis traditionnels, soit le PLQ et le PQ. Il s’attarde plus particulièrement au concept de volatilité électorale, qui consiste à la variation du choix individuel des électeurs vis-à-vis de l’offre en matière de partis politiques. L’approche proposée consiste en trois étapes distinctes. D’abord, une étude historique et comparative de la volatilité électorale collective depuis 1867. Ensuite, l’examen de la volatilité au niveau individuel. Et enfin, l’étude des trajectoires de vote dans sa dimension microsociologique.
L’analyse historique atteste qu’il existe trois grands cycles, ou périodes, qui caractérisent le système partisan québécois depuis sa genèse. Les périodes de grande volatilité coïncident avec la fin et/ou le début d’un cycle. Ainsi, chaque cycle est ponctué d’une courte période de bouleversement, et il est soutenu que la volatilité électorale est plus prononcée depuis 1970. La prémisse de base est également confirmée : la part occupée par les tiers partis dans la sous-période 2007-2014 a quelque chose de particulier. Bien que la période actuelle soit marquée par une succession de scrutins où l’on observe une grande volatilité électorale, il n’en demeure pas moins que plus de deux électeurs sur trois sont encore fidèles à leur parti. Les tiers partis d’aujourd’hui, à l’opposé des deux grands partis, comptent sur une part minime d’électeurs indéfectibles. Ils pigent ainsi dans un bassin d’électeurs qui changent continuellement d’opinion. Enfin, de toutes les caractéristiques sociodémographiques, l’âge est actuellement celle qui définit le mieux le comportement des électeurs stables et mouvants.
|
3 |
La dynamique évolutive des paradigmes de l'abstentionnnisme électoral en France: Proposition du concept du déficit d'intérêt esquisse d'une lecture rationnelleKouamen, Blaise 27 January 2009 (has links) (PDF)
Depuis les études scientifiques de Lancelot en 1968 sur l'abstentionnisme électoral en France ; il apparaît dans le champ des interprétations du phénomène, une stratification des paradigmes regroupés dans deux logiques : sociologique et politique. Après l'inventaire conceptuel de ceux-ci, il a consisté de les confronter aux faits empiriques pour en évaluer la pertinence de leur portée explicative. Au terme de l'analyse, il en ressort que les paradigmes de logique sociologique explique davantage la forme minoritaire de l'abstentionnisme systématique tandis que les paradigmes de logique politique explique la catégorie majoritaire des abstentionnistes intermittents mais en occultant la précédente forme. Cette relative insuffisance à expliquer simultanément ces deux formes résulte de la différenciation méthodologique de leur approche. En effet, le premier groupe de concepts repose sur une approche holiste et s'inscrit dans une logique structurelle qui relève des facteurs sociaux de long terme prédisposant certaines catégories d'électeurs à l'abstentionnisme. En revanche, les concepts du second groupe procèdent de la logique conjoncturelle et mettent en évidence des facteurs politiques de court terme qui déterminent l'abstention. Or, indéniablement l'électeur subit les influences conjointes de ces deux grilles de variables qui se présentent en définitive comme des cadres référentielles où il délibère son choix rationnel de l'abstention. Cette dualité des influences imprime les attitudes électorales contemporaines que l'on convient à désigner sous le concept de l'individualisation politique. Dans cette perspective pour expliquer l'abstentionnisme, on peut procéder par une approche individualiste à l'instar du modèle rationnel général de Boudon. Dans ce sillage, nous avons formulé l'hypothèse que l'abstention résulte de la perception d'un déficit d'intérêt que l'électeur recherche dans l'action politique. Sur la base des enquêtes qualitatives, il en ressort que ce déficit d'intérêt porte sur les motivations économiques individuelles ayant des implications sociales discriminantes. En somme, il s'agit de la recherche d'un intérêt qui se démarque de l'utilitarisme maximaliste de Downs pour atteindre la dimension des enjeux consensuels et proches portant sur les questions de la vie quotidienne des électeurs.
|
4 |
L'impact de la divulgation des antécédents criminels des politiciens sur les résultats électoraux : le cas de l'IndeSoumare, Amadou Tidiane January 2009 (has links) (PDF)
Ce mémoire évalue l'impact de l'information sur l'élection de politiciens malhonnêtes. À partir d'un échantillon d'observations concernant un total de
2105 politiciens, nous utilisons une méthode différence-en-différence pour mesurer le changement de score entraîné par la divulgation des charges criminelles des candidats aux élections en Inde. L'analyse des conséquences électorales de la malhonnêteté des politiciens revêt un caractère essentiel si l'on considère les liens importants unissant le développement économique à la qualité des élus. Contrairement à nos attentes, les estimations révèlent que même s'ils sont informés, les électeurs ne punissent pas de façon marquée la corruption des politiciens. Tandis que la divulgation des charges d'agitation politique est associée à des améliorations de score de l'ordre de 2,4 à 2,7 points de pourcentage, l'information n'a pas d'effets significatifs sur le score des candidats accusés de corruption ou de vol. Nous pensons que si les ressources financières sont déterminantes pour gagner des élections, les fonds tirés d'activités comme la corruption ou le vol donnent un avantage supplémentaire aux candidats malhonnêtes. Dans un tel contexte, l'information n'a qu'un effet limité sur la corruption des hommes politiques. Les résultats montrent par ailleurs que les électeurs ont davantage tendance à se fier à l'information divulguée lorsqu'ils ne connaissent pas le candidat. Les candidats qui au moment des élections, n'occupaient pas le poste à pouvoir sont plus durement pénalisés par la divulgation de charges criminelles. Dans le cas des candidats cherchant une réélection, les électeurs se basent surtout sur les actions et les comportements qu'ils ont adoptés au cours de leurs mandats. ______________________________________________________________________________ MOTS-CLÉS DE L’AUTEUR : Politiciens criminels, Corruption, Asymétrie d'information, Politique de divulgation.
|
5 |
Profil de l'électorat du Bloc Québécois entre 2000 et 2008Desjourdy, Alain January 2010 (has links)
Depuis 1993, le Bloc Québécois s'impose dans le système partisan fédéral au Québec en remportant la majorité absolue des circonscriptions. Cette recherche s'intéresse aux principales caractéristiques des électeurs qui accordent leur appui à chaque élection au Bloc Québécois. En fait, cette étude veut dresser un profil de l'électorat bloquiste au cours de la période 2000-2008 et vérifier si les caractéristiques de l'électorat du parti nationaliste identifiées par la littérature principalement dans les années 1990 se maintiennent au cours de la première décennie du nouveau millénaire. Pour y parvenir, cette recherche étudie les principaux traits économiques, sociologiques et politiques de l'électorat québécois afin de définir en quoi l'électorat du Bloc Québécois se démarque de celui de ses concurrents. Cette étude se démarque notamment par l'utilisation de données agrégées (approche écologique) au lieu des études utilisant un sondage. Cette étude fait également une place importante aux résultats électoraux au niveau régional, notamment dans les régions de Québec et du Saguenay-Lac-Saint-Jean qui se démarquent depuis 2006 avec leur appui au Parti conservateur du Canada. Nos principales conclusions sont à l'effet que l'électorat bloquiste demeure fortement francophone, qu'il n'a pas de caractéristiques qui lui sont propres au niveau économique et au niveau sociologique. Par contre, cette étude confirme le fait que l'électorat bloquiste s'identifie au Bloc Québécois en vieillissant et que sa grande stabilité repose sur le fait que la base de l'électorat bloquiste est composée, en grande partie, d'électeurs souverainistes. Au niveau régional, cette étude démontre que le «mystère de Québec» trouve son explication dans le changement de la nature de la lutte politique : la lutte entre souverainistes et fédéralistes fait place, depuis 2004, à une lutte idéologique entre la gauche et la droite, car la souveraineté du Québec n'est plus en enjeu qui polarise l'électorat de cette région.
|
6 |
La réforme électorale en Nouvelle-Zélande en 1996 : analyse des causes et des effetsFillion, Guillaume January 2008 (has links) (PDF)
En 1996, la Nouvelle-Zélande réforme son mode de scrutin. Alors qu'avant cette date les députés étaient élus avec un mode de scrutin majoritaire à un tour de type britannique, les élections à partir de 1996 se tiennent sous un mode de scrutin mixte d'inspiration allemande. Plusieurs auteurs ont étudié les effets des systèmes électoraux sur les systèmes des partis et sur les institutions politiques mais ces études restaient théoriques puisqu'une réforme majeure comme celle que la Nouvelle-Zélande a vécue ne s'était jamais produite. Nous cherchons donc à savoir qu'est-ce qui a causé cette réforme et quels ont été ses effets sur le système politique. Pour ce faire, nous avons posé deux hypothèses qui ont guidé cette recherche: premièrement, en adoptant un mode de scrutin mixte, les conditions de représentation se sont améliorées pour les citoyens de la Nouvelle-Zélande; et deuxièmement, en adoptant ce mode de scrutin, le pays et son système politique ont vu de nouveaux problèmes institutionnels apparaître. En vérifiant ces hypothèses, nous cherchons également à dégager une tendance sociale ou
politique aux causes et aux effets de la réforme. Une crise de confiance envers le politique est à l'origine de la réforme. Cette crise de confiance se canalise envers l'institution la plus visible qui pose problème: le mode de scrutin majoritaire et la représentation qui en découle. Les causes de la réforme sont donc amenées par la population et indiquent une tendance plutôt sociale. Pour ce qui est des effets, ils ont plutôt une tendance politique car ils sont visibles au niveau des relations de pouvoir et des institutions. Parmi ces effets, on note le fait de devoir gouverner en coalition, un système des partis qualifié de bipartite mais faible et un pouvoir exécutif moins fort par rapport au législatif. On en arrive à la conclusion que la réforme a été adoptée pour satisfaire la population mais ce sont les gouvernants qui en ressentent le plus les effets. ______________________________________________________________________________ MOTS-CLÉS DE L’AUTEUR : Nouvelle-Zélande, Réforme électorale, Mode de scrutin mixte, Système des partis, Représentation, Gouvernement de coalition.
|
7 |
Le déclin de la participation électorale dans les démocraties établies depuis 1961 : l'influence du mode de scrutinGrenier, Anne-Marie January 2002 (has links)
Mémoire numérisé par la Direction des bibliothèques de l'Université de Montréal.
|
8 |
La procédure contentieuse en matière electorale : recherches sur le contentieux des élections au Cameroun / The electoral contentious procedure : research on electoral disputes in CameroonMandeng, Diane 20 January 2017 (has links)
Trente sept années après l'appel « aux urnes l'Afrique ! Élections et pouvoirs en Afrique noire », lancé par les chercheurs du Centre d'études d'Afrique Noire (CEAN) de Bordeaux, l'organisation des processus électoraux s'est développée et profondément enracinée dans la culture sociopolitique des systèmes politiques des États africains. L'élection s'est dès lors constituée comme la clé de voûte de tout système représentatif et entraîne la problématique de la consolidation de la démocratie et de l'État de droit. Malgré l'existence de nombreux travaux sur l'élection, le contentieux électoral demeure assez complexe et constitue encore de nos jours un facteur de tension et de crises postélectorales dans plusieurs États africains. L'organisation d'une procédure contentieuse en matière électorale participe dès lors à l'objectif de garantir aux citoyens la pleine jouissance de leur souveraineté. Elle obéit à la mise en place d'un mécanisme adéquat et simplifié, qui favorise l'accès des justiciables aux juges électoraux. La procédure contentieuse telle qu'organisée au Cameroun comporte à l'évidence plusieurs éléments qui favorisent la garantie des droits civils et politiques des citoyens. Elle s'avère insuffisante et inefficace face à l'office d'un juge électoral englouti par des contraintes tant sociopolitiques que professionnelles, d'où la nécessité de procéder à un réaménagement profond visant la garantie des droits civils et politiques des citoyens par l'efficacité de l'office du juge électoral et partant, la consolidation de la démocratie représentative. / In 1979, the African study Center of Bordeaux, launched a new initiative about voting in Africa. Thirty seven years later, the organization of electoral processes has been substantially developed and is now deeply rooted in african political systems. Consequently, electing the people political representatives is now a cornerstone of decision-making processes of African political systems, leading to the enhancement of democracy issues and basic State rights struggles (or political power struggles), which assume/require a strong involvement of citizens. Regardless of intensive research activities about those issues, electoral disputes resolution remains a serious concern in Africa, potentially leading to post-election crises and violence, as well as long term conflicts in some African countries. Such a litigation process requires an adequate and simplified electoral conflict resolution mechanism, helping the involved parties to easily have access to the electoral court. The electoral litigation process in Cameroon has several positive elements ensuring civic and political rights to citizens. However, this process seems to suffer a lack, because the election judge is facing numerous virtual political and socio-political constraints. Therefore it becomes evident that, there is a need for a deep refitting of the law in order to better protect people's rights by improving the efficiency of the election judge, subsequently enhancing the Cameroonian representative democracy system.
|
9 |
Espace politique et positions partisanes : les plateformes électorales au Québec de 1994 à 2007Tessier, Benoit January 2008 (has links) (PDF)
L'élection générale du 26 mars 2007 a eu des conséquences majeures sur le paysage électoral au Québec et sur les dynamiques partisanes à l'Assemblée nationale. Alors que le Parti libéral du Québec forme depuis lors le premier gouvernement minoritaire de l'histoire moderne du Québec, la jeune Action démocratique du Québec a vu son rôle politique s'accroître rapidement en formant pour la première fois de son histoire l'opposition officielle au Parlement. Ce mémoire vise à expliquer les changements qui sont à l'origine de cette réorganisation du paysage électoral au Québec en analysant l'évolution de l'offre politique des trois principaux partis entre 1994 et 2007. L'application de la théorie des choix rationnels au domaine des études électorales nous fournit d'ailleurs un cadre théorique et une méthodologie tous désignés pour y parvenir. En analysant le contenu des plateformes électorales de chaque parti à chaque élection de la période étudiée, nous sommes à même d'obtenir un portrait fidèle et précis de l'évolution du positionnement relatif des partis dans l'espace politique et d'observer et interpréter leurs déplacements. Cet exercice permet notamment de soutenir que le développement d'un discours nationaliste non souverainiste de la part de l'ADQ en 2007 a fait augmenter substantiellement le bassin d'électeurs réceptifs aux enjeux nationalistes québécois, ceux-ci pouvant maintenant être dissociés du « danger » d'une éventuelle sécession du Québec. Parallèlement, la promesse électorale du Parti québécois de tenir un référendum sur la souveraineté au cours du prochain mandat a contribué à radicaliser les options disponibles pour les électeurs et à favoriser l'expression d'un vote nationaliste non souverainiste -donc adéquiste -chez ces derniers. Structurellement, la hausse des appuis exprimés en faveur de l'ADQ a fait augmenter l'importance relative du clivage gauche/droite, au détriment du clivage nationaliste, comme base significative de différenciation de l'offre politique des partis, bien que la position de droite de l'ADQ n'ait pas particulièrement contribué à ses récents succès électoraux. Si elle veut consolider et fidéliser sa base électorale nouvellement acquise, l'ADQ devra continuer à développer son discours nationaliste et investir le créneau de centre-droit (plus à gauche que sa position de 2007) laissé vacant par le PQ et le PLQ depuis 1998, afin de se rapprocher de l'électeur québécois médian. ______________________________________________________________________________ MOTS-CLÉS DE L’AUTEUR : Québec, Élections, Partis politiques, Plateformes électorales, Espace politique, Théorie du choix rationnel.
|
10 |
La droite radicale en Autriche : particularismes régionaux et fluctuations électoralesFournier, Marc-André January 2009 (has links) (PDF)
Cette étude empirique vise à démontrer que l'inégalité du déploiement de la droite radicale en Autriche s'explique par des particularités politiques et historiques dont la combinaison a eu une incidence sur le caractère régional de cette force politique. Afin de rendre compte plus adéquatement de cette situation, nous avons utilisé les approches environnementaliste et systémique proposées par Alexandre Dézé. L'ancrage régional de la droite radicale autrichienne trouve son origine dans l'architecture du système politique de cet État. En effet, certaines divergences systémiques entre les paliers gouvernementaux justifient l'inégalité du soutien à la droite radicale observée entre les niveaux national et provincial. Ces différences permettent également d'expliquer les réformes populistes initiées par le FPÖ haiderien et le BZÖ en Carinthie durant les années 1990. La singularité régionale de la droite radicale s'explique aussi par la dynamique conflictuelle permanente se perpétuant à l'intérieur de cette «alternative» politique aux deux principaux partis autrichiens (ÖVP/SPÖ). Continuellement confrontées à des discordes internes, les factions nationaliste et libérale composant la droite radicale ont été incapables de mobiliser conjointement leurs électorats respectifs, ce qui a eu un impact significatif sur la répartition de cette force politique à travers le territoire national. La thèse défendue dans ce mémoire est que le maintien de l'appui aux formations politiques de la droite radicale en Carinthie s'explique, malgré un recul du FPÖ sans précédent au niveau national entre 1999 et 2002, par un particularisme sur le plan régional. Dans le sillage de notre thèse, nous émettons également les deux hypothèses suivantes. Nous croyons que s'il existe bel et bien un particularisme régional dans l'appui électoral à la droite radicale autrichienne, alors ce particularisme devrait se traduire par une supériorité constante de ses succès en Carinthie par rapport au reste du pays. De plus, nous pensons que si l'appui électoral que reçoit la droite radicale en Carinthie résulte bien d'un particularisme régional, alors celui-ci devrait également se traduire par un appui majoritaire aux principales formations politiques de la droite radicale durant la période de l'entre-deux-guerres. Bien que nous ayons validé notre thèse et nos hypothèses de départ au terme de notre étude, nous avons toutefois apporté quelques nuances à celles-ci. ______________________________________________________________________________ MOTS-CLÉS DE L’AUTEUR : Droite radicale, Carinthie, Autriche, FPÖ, Jorg Haider.
|
Page generated in 0.0585 seconds