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La réforme électorale en Nouvelle-Zélande en 1996 : analyse des causes et des effets

Fillion, Guillaume January 2008 (has links) (PDF)
En 1996, la Nouvelle-Zélande réforme son mode de scrutin. Alors qu'avant cette date les députés étaient élus avec un mode de scrutin majoritaire à un tour de type britannique, les élections à partir de 1996 se tiennent sous un mode de scrutin mixte d'inspiration allemande. Plusieurs auteurs ont étudié les effets des systèmes électoraux sur les systèmes des partis et sur les institutions politiques mais ces études restaient théoriques puisqu'une réforme majeure comme celle que la Nouvelle-Zélande a vécue ne s'était jamais produite. Nous cherchons donc à savoir qu'est-ce qui a causé cette réforme et quels ont été ses effets sur le système politique. Pour ce faire, nous avons posé deux hypothèses qui ont guidé cette recherche: premièrement, en adoptant un mode de scrutin mixte, les conditions de représentation se sont améliorées pour les citoyens de la Nouvelle-Zélande; et deuxièmement, en adoptant ce mode de scrutin, le pays et son système politique ont vu de nouveaux problèmes institutionnels apparaître. En vérifiant ces hypothèses, nous cherchons également à dégager une tendance sociale ou politique aux causes et aux effets de la réforme. Une crise de confiance envers le politique est à l'origine de la réforme. Cette crise de confiance se canalise envers l'institution la plus visible qui pose problème: le mode de scrutin majoritaire et la représentation qui en découle. Les causes de la réforme sont donc amenées par la population et indiquent une tendance plutôt sociale. Pour ce qui est des effets, ils ont plutôt une tendance politique car ils sont visibles au niveau des relations de pouvoir et des institutions. Parmi ces effets, on note le fait de devoir gouverner en coalition, un système des partis qualifié de bipartite mais faible et un pouvoir exécutif moins fort par rapport au législatif. On en arrive à la conclusion que la réforme a été adoptée pour satisfaire la population mais ce sont les gouvernants qui en ressentent le plus les effets. ______________________________________________________________________________ MOTS-CLÉS DE L’AUTEUR : Nouvelle-Zélande, Réforme électorale, Mode de scrutin mixte, Système des partis, Représentation, Gouvernement de coalition.
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La réforme du mode de scrutin au Québec : solution ou illusion?

Lafleur, Jocelyn January 2008 (has links) (PDF)
Le but principal de ma démarche scientifique, entreprise en 2005, fut de démontrer qu'une simple réforme du mode de scrutin n'améliorerait en rien l'image négative du monde politique et que la solution au cynisme grandissant de la population québécoise envers ses institutions démocratiques se trouve ailleurs. Pour ce faire, j'ai entrepris de recenser tous les projets de réforme de scrutin qui furent mis de l'avant par le Parti québécois et le Parti libéral du Québec, les deux partis politiques ayant alternativement détenu le pouvoir au Québec depuis les années 1970. Cette limitation temporelle aux seuls projets de réforme des grands partis fut essentiellement justifiée par le fait qu'au sein de notre système politique, seul le gouvernement au pouvoir peut concrètement mettre en oeuvre de telles réformes. Alors que les tiers partis, les médias et les groupes d'opinions, tout en exerçant une influence palpable au sein du débat, ne peuvent en aucun cas agir de façon concrète. Ma principale hypothèse de travail s'articulait autour du fait, que les très nombreuses lacunes que soulèvent régulièrement les Québécois par rapport à leurs institutions politiques, regroupées sous le vocable de déficit démocratique, ne serait en aucun cas rectifié par une simple réforme du mode de scrutin. D'ailleurs, suite à une présentation des principaux types de scrutins utilisés à travers le mode, le présent travail démontrera de façon explicite que le mode de scrutin parfait relève de l'impossibilité mathématique et que tous contiennent forcément leur part d'incohérence. La présente recherche démontrera la validité de ces hypothèses, notamment en illustrant le fait que le désintéressement et le cynisme grandissant de la population québécoise envers ses institutions démocratiques, n'a strictement rien à voir avec la méthode utilisée pour transposer les votes en sièges législatifs à l'Assemblée nationale. Sans oublier que malgré un débat médiatique constant depuis les années 1960, aucun parti au pouvoir ne tenta réellement de mettre en application une quelconque réforme du mode de scrutin, et ce, malgré le fait que le PQ et le PLQ aient tous deux proposé une telle réforme au moins une fois. Tout compte fait, le présent travail démontrera que non seulement la réforme du mode de scrutin ne constitue pas une solution au déficit démocratique, car les grands partis, une fois arrivés au pouvoir, ne semblent pas réellement intéressés à concrétiser de tels changements. Il semble donc que la solution au déficit démocratique se trouve ailleurs qu'au niveau de l'éternel débat entourant la pertinence d'une éventuelle réforme du mode de scrutin et qu'il faudrait plutôt chercher de nouvelles solutions, avec de nouveaux yeux, qui permettraient de restaurer la confiance des Québécois envers leurs institutions démocratiques. ______________________________________________________________________________ MOTS-CLÉS DE L’AUTEUR : Mode de scrutin, Élection, Institution démocratiques.
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La réforme électorale de 1993 en Italie et son impact sur la représentation politique

Bourque, Éric January 2004 (has links)
Mémoire numérisé par la Direction des bibliothèques de l'Université de Montréal.
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Vers des modes de scrutin moins manipulables / Toward less manipulable voting systems

Durand, François 24 September 2015 (has links)
Nous étudions la manipulation par coalition des modes de scrutin: est-ce qu'un sous-ensemble des électeurs, en votant de façon stratégique, peut faire élire un candidat qu'ils préfèrent tous au candidat qui aurait été vainqueur si tous les électeurs avaient voté sincèrement? D'un point de vue théorique, nous développons un formalisme qui permet d'étudier tous les modes de scrutin, que les bulletins soient des ordres de préférences sur les candidats (systèmes ordinaux), des notes ou des valeurs d'approbation (systèmes cardinaux) ou des objets encore plus généraux. Nous montrons que pour la quasi-totalité des modes de scrutin classiques, on peut réduire strictement leur manipulabilité en ajoutant un test préliminaire visant à élire le vainqueur de Condorcet s'il en existe un. Pour les autres modes de scrutin, nous définissons la condorcification généralisée qui permet d'obtenir des résultats similaires. Puis nous définissons la notion de culture décomposable, une hypothèse dont l'indépendance probabiliste des électeurs est un cas particulier. Sous cette hypothèse, nous prouvons que, pour tout mode de scrutin, il existe un mode de scrutin qui est ordinal, qui partage certaines propriétés avec le mode de scrutin original et qui est au plus aussi manipulable. Ainsi, la recherche d'un mode de scrutin de manipulabilité minimale (dans une classe de systèmes raisonnables) peut être restreinte à ceux qui sont ordinaux et vérifient le critère de Condorcet. Afin de permettre à tous d'examiner ces phénomènes en pratique, nous présentons SVVAMP, un package Python de notre cru dédié à l'étude des modes de scrutin et de leur manipulabilité. Puis nous l'utilisons pour comparer la manipulabilité par coalition de divers modes de scrutin dans plusieurs types de cultures, c'est-à-dire des modèles probabilistes permettant de générer des populations d'électeurs munis de préférences aléatoires. Nous complétons ensuite l'analyse avec des élections issues d'expériences réelles. Enfin, nous déterminons les modes de scrutin de manipulabilité minimale pour de très faibles valeurs du nombre d'électeurs et du nombre de candidats et nous les comparons avec les modes de scrutin classiques. De manière générale, nous établissons que la méthode de Borda, le vote par notation et le vote par assentiment sont particulièrement manipulables. À l'inverse, nous montrons l'excellente résistance à la manipulation du système appelé VTI, également connu par son acronyme anglophone STV ou IRV, et de sa variante Condorcet-VTI. / We investigate the coalitional manipulation of voting systems: is there a subset of voters who, by producing an insincere ballot, can secure an outcome that they strictly prefer to the candidate who wins if all voters provide a sincere ballot? From a theoretical point of view, we develop a framework that allows us to study all kinds of voting systems: ballots can be linear orders of preferences over the candidates (ordinal systems), grades or approval values (cardinal systems) or even more general objects. We prove that for almost all voting systems from literature and real life, manipulability can be strictly diminished by adding a preliminary test that elects the Condorcet winner if one exists. Then we define the notion of decomposable culture and prove that it is met, in particular, when voters are independent. Under this assumption, we prove that for any voting system, there exists a voting system that is ordinal, has some common properties with the original voting system and is at most as manipulable. As a consequence of these theoretical results, when searching for a voting system whose manipulability is minimal (in a class of reasonable systems), investigation can be restricted to those that are ordinal and meet the Condorcet criterion.In order to provide a tool to investigate these questions in practice, we present SVVAMP, a Python package we designed to study voting systems and their manipulability. We use it to compare the coalitional manipulability of several voting systems in a variety of cultures, i.e. probabilistic models generating populations of voters with random preferences. Then we perform the same kind of analysis on real elections. Lastly, we determine voting systems with minimal manipulability for very small values of the number of voters and the number of candidates and we compare them with classical voting systems from literature and real life. Generally speaking, we show that the Borda count, Range voting and Approval voting are especially vulnerable to manipulation. In contrast, we find an excellent resilience to manipulation for the voting system called IRV (also known as STV) and its variant Condorcet-IRV.
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What voting rules do citizens prefer?

Péloquin-Skulski, Gabrielle 07 1900 (has links)
Le système électoral fait de plus en plus objet de débats et de discussions au Canada et ailleurs dans le monde. Bien qu’il existe de nombreuses études sur les avantages et les inconvénients des différents systèmes électoraux, très peu d’entre elles examinent les préférences des citoyens concernant les modes de scrutin et plus particulièrement la façon dont les individus expriment leur choix sur le bulletin de vote. Dans le cadre de ce mémoire, je m’attarde aux questions suivantes : quelle façon de voter les citoyens préfèrent-ils et pourquoi ? Afin de répondre à ces questions, j'ai mené une expérience en laboratoire avec près de 200 participants dans le cadre des élections fédérales canadiennes de 2019. Les participants furent invités à voter dans une série d'élections en utilisant chacune des trois façons de voter suivantes en ordre aléatoire : scrutin à vote unique, vote par approbation et vote par rangement. Après chaque vote, les participants furent informés du résultat électoral dans leur groupe et interrogés sur leur niveau de satisfaction à l'égard de chaque façon de voter. Les résultats démontrent que les citoyens préfèrent avoir la possibilité de classer les partis plutôt que d'utiliser un scrutin à vote unique ou un vote par approbation. Les individus sont également plus susceptibles d’aimer un mode scrutin lorsqu'ils sont satisfaits des résultats de l’élection. / Debates over which electoral system would best serve the general public are on the rise in Canada and in other democratic countries. Although there exists a rich literature on the benefits and shortcomings of different electoral systems, very few studies examine citizens’ preferences regarding voting rules and the ways in which individuals can cast their vote. In this paper, I address the following questions: What voting rules do citizens prefer and why? To address these questions, I conducted a within-subject laboratory experiment with nearly 200 participants in the run up to the 2019 Canadian federal election. Participants were asked to vote in a set of elections using each of the three following types of ballots in random order: one-mark ballot, approval voting and ranked voting. After each vote, participants were informed of the election results and asked about their level of satisfaction with each voting system. The results show that citizens prefer having the option to rank order the parties rather than using a one-mark ballot or approval voting. Individuals are also more likely to favour voting rules when they are satisfied with the results of the election.
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Est-ce que les systèmes proportionnels produisent des gouvernements dont la durée est plus courte que les systèmes pluralitaires ?

Ricard, Maxime January 2004 (has links)
Mémoire numérisé par la Direction des bibliothèques de l'Université de Montréal.
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Les déterminants de l’adhésion syndicale : le cas de l’industrie de la construction au Québec

Guay-Glaude, Jean-Philippe 05 1900 (has links)
Résumé : Le mouvement syndical au cours des dernières années est en déclin, notamment au Québec. Plus précisément, le taux de présence syndicale était de 40,3% et il est descendu à 39.1% en 2020 (INSPQ, 2020). Mais pourquoi donc ? Plusieurs recherches ont abordé cette question en soulevant que les causes du déclin du syndicalisme sont principalement externes aux organisations syndicales (ex. : montée des valeurs individualistes) et d’autres évoquent des causes plutôt internes aux organisations syndicales (ex. : structures syndicales complexes). Toutefois, dans un contexte où les travailleurs ont l’obligation de choisir un syndicat, quels seront les facteurs qui influenceront l’adhésion syndicale de ces travailleurs ? Cette recherche tente de répondre à cette question avec le cas de l’industrie de la construction au Québec. Dans cette industrie, les travailleurs, dès leur entrée, doivent adhérer à une des cinq organisations syndicales reconnues, et ce, indépendamment des choix des autres travailleurs de son métier ou de l’entreprise pour laquelle ils travaillent. Il pourra revisiter son choix lors d’un scrutin syndical qui a lieu tous les quatre (4) ans. Pour répondre à notre question de recherche, nous présentons une revue de littérature riche sur l’adhésion syndicale ; le maraudage syndical ; l’engagement syndical ; et les facteurs explicatifs de l’adhésion syndicale. Nous consacrons notre deuxième chapitre complet à l’industrie de la construction pour bien comprendre les différents aspects de cette industrie qui ont une influence sur les facteurs d’adhésion syndicale des travailleurs. Nous présentons au chapitre trois, notre modèle concept et notre méthodologie de recherche appuyés par notre revue de littérature du premier chapitre. Avec les données statistiques que nous avons obtenues de la Commission de la Construction du Québec (CCQ), nous présentons au quatrième chapitre les résultats des maraudages de 2012, 2016 et 2020. Lors du cinquième et dernier chapitre, nous traitons des résultats obtenus au précédent chapitre, des hypothèses que nous avons émises, des limites de notre recherche et ainsi que des pistes de réflexion futures. / The union movement has been in decline in the recent years, particularly in Quebec. More precisely, the union presence rate was 40.3% and it went down to 39.1% in 2020 (INSPQ, 2020). But why? Several studies have addressed this question by pointing out that the causes of the unionism’s decline are mainly external to union organizations (e.g., the rise of individualistic values), while others point to causes that are more internal to union organizations (e.g., complex union structures). However, in a context where workers are obliged to choose a union, what factors will influence union membership among these workers? This research attempts to answer this question with the case of the construction industry in Quebec. As soon as the workers enter this industry, they must join one of the five recognized union organizations, regardless of the choices made by other workers in their trade or the company they work for. They can revisit their choice during a union vote that takes place every four (4) years. To answer our research question, we present a rich review of the literature on union membership; union raiding; union involvement; and factors that explain union membership. We devote our second full chapter to the construction industry to fully understand the different aspects of this industry that influence the factors of union membership among workers. In chapter three we present our conceptual model and research methodology supported by our literature review in chapter one. With the statistical data we obtained from the Commission de la Construction du Québec (CCQ), we present in the fourth chapter the results of the 2012, 2016 and 2020 union raids. In the fifth and last chapter, we discuss the results obtained in the previous chapter, the hypotheses we have put forward, the limits of our research and future avenues of reflection.
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Le découpage électoral en France sous la Vème République : entre logiques partisanes et intérêts parlementaires / Redistricting in the Fifth Republic : between partisan logics and parliamentary interests

Ehrhard, Thomas 27 November 2014 (has links)
Le découpage électoral est marqué par le mythe du gerrymandering, ou du « charcutage électoral ». Gouvernements et majorités l’utiliseraient dans l’objectif d’établir une carte électorale favorable par la délimitation de circonscriptions visant produire des gains électoraux. Il serait un outil électoraliste utilisé à des fins partisanes. En France, cette perception prédomine notamment en raison du peu de travaux consacrés au découpage électoral qui est, pourtant, un objet important au sein de la littérature politiste internationale. La thèse propose une étude du découpage des circonscriptions législatives sous la Ve République selon deux axes. Le premier, relatif au processus, interroge le rôle et l’action du gouvernement. Grâce à une analyse pluridisciplinaire, il apparaît que le découpeur est soumis à de fortes contraintes, et que les députés y occupent un rôle majeur. Le second porte sur les conséquences des délimitations. Après l’élaboration d’une méthode permettant d’appréhender l’aspect politique des découpages, l’étude empirique – statistique et cartographique – établit que les circonscriptions sont découpées en fonction des députés – sortants –, avant d’être favorables aux partis politiques, ou à la majorité qui y procède. S’il apparaît également que les changements de délimitations ne produisent pas toujours les effets escomptés, ils disposent de conséquences structurelles qui se vérifient sur la compétition électorale. Sous la Ve République, les découpages électoraux peuvent être qualifiés d’interparlementaires et d’intrapartisans. In fine, ni le processus, ni les conséquences des découpages électoraux ne correspondent à sa représentation cognitive classique. / The myth of the gerrymandering overshadows the redistricting. Governments allegedly use it to draw a favorable electoral map aiming electoral profits. Thus, it is supposed to be an electioneering mechanism used for partisan motives. In France, few studies have been devoted to redistricting which is also an important object within the international political scientist literature. The thesis puts forward a study of the legislative redistricting under the Fifth Republic following two axes. The first one, the analysis of the policy process, questions the role and the actions of the government. Through a multidisciplinary analysis, it appears that the government is strongly constrained and that MPs have a main function. The second one relates to the consequences of redistricting. After developing a method to understand the politics of limits, the empirical study – statistical and cartographic – shows that districts are made according to deputies – incumbents –, before favoring political parties, or the majority making the redistricting. It also appears that if the constituency boundaries are not decisive, they still have structural consequences on the electoral competition. Under the Fifth Republic, redistricting can be described as interparliamentary and intrapartisan. To sum up, neither the redistricting process nor its electoral consequences match the "classic" cognitive representation of the redistricting.
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Le député prisonnier de sa circonscription : étude de la réactivité des parlementaires au prisme des contraintes institutionnelles et territoriales / The MPs as hostages of their district : An analysis of parliamentary responsiveness through the prism of institutional and territorial constraints

Poyet, Corentin 17 October 2016 (has links)
Cette recherche traite de la réactivité des parlementaires français vis-à-vis de leur circonscription.Ce faisant, notre thèse investit l’aspect dyadique de la représentation politique qui a été largementignoré par la littérature française et offre ainsi un nouveau regard sur la variété des activités desdéputés français tant à Paris qu’en circonscription. En s’inspirant des écrits du néoinstitutionnalismedes choix rationnels, notre thèse vise à mettre en lumière les déterminantsinstitutionnels de la réactivité vis-à-vis de la circonscription ainsi que les logiques qui sous-tendentles pratiques de représentation. En surmontant le descriptivisme de beaucoup d’études à ce sujetet à l’aide de solides matériaux empiriques, nous montrons que le territoire d’élection affectegrandement le comportement des députés tant dans le contenu que sur la forme des activités. Lacirconscription et les attentes différenciées des citoyens agissent de manière systématique sur lamanière dont les députés mènent leur mandat. / This research deals with French MPs responsiveness. This dissertation studies the dyadicrepresentation in the French Assemblée nationale which was largely neglected by scholars. It givesthus a new insight on the diversity of French MPs activities both in Paris and in their district.Following the arguments of the rational choice new institutionalism, our dissertation aims tohighlight the institutional determinants of MPs responsiveness toward their district and the logicsthat underlie their practices of representations. By overcoming the descriptiveness of many studiesand thanks to original and solid empirical data, we show that the characteristics of the districtstrongly affect both the kind and the content of MPs activities. The district and the various citizens’expectations systematically affect the way French MPs conceive their mandate.

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