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Le mode de scrutin a-t-il un impact sur le processus de décision électorale et cet impact varie-t-il en fonction de la sophistication politique ?

McDougall, Simon January 2004 (has links)
Mémoire numérisé par la Direction des bibliothèques de l'Université de Montréal.
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Le système électoral et la représentation politique de la minorité acadienne en Nouvelle-Écosse

Deschênes-Thériault, Guillaume 29 November 2018 (has links)
La thèse porte sur la représentation politique des minorités ethnolinguistiques et les systèmes électoraux, en particulier l’incidence de ces systèmes sur l’élection de candidats provenant de groupes minoritaires. Plus précisément, nous étudions la représentation politique de la minorité acadienne en Nouvelle-Écosse (N-É) à la suite de l’abolition des circonscriptions protégées en 2012. L’apport de cette thèse à l’étude de la représentation politique est, d’une part, de documenter, d’un point de vue scientifique, un dossier d’une grande importance sociale et d’autre part, de participer aux débats sur la représentation politique au sein des écrits sur le sujet, en particulier en ce qui a trait aux effets de la représentation descriptive sur les minorités et la capacité d’un système électoral majoritaire à assurer leur représentation adéquate. La démarche méthodologique consiste en une analyse de données quantitatives, une recherche documentaire, une étude de la jurisprudence et des entretiens informatifs. Il ressort que si un État a comme objectif de promouvoir la représentation de groupes minoritaires dispersés géographiquement comme la communauté acadienne de la N-É, la thèse montre qu’il est nécessaire de revoir certains éléments du système électoral pour favoriser l’élection de candidats issus de la minorité. Des mécanismes électoraux de protection sont une condition à une représentation adéquate de la minorité acadienne. Le cadre juridique canadien offre les bases nécessaires aux commissions électorales et aux gouvernements afin de permettre la mise en place de tels mécanismes. S’il y a de la IV volonté politique, il est tout à fait possible d’assurer une représentation effective à la minorité acadienne de la N-É. Toutefois, pour être efficaces à long terme, ces mécanismes de protection de la minorité doivent être accompagnés de mesures légales pour les rendre moins vulnérables à la loi de la majorité. L’exemple de la N-É illustre le fait que des mécanismes reposant sur un compromis politique ne sont pas suffisants pour assurer une représentation adéquate aux groupes minoritaires à long terme. Depuis l’abolition des circonscriptions protégées, le système électoral néo-écossais ne répond plus aux besoins en représentation des Acadiens.
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L'encadrement constitutionnel du découpage des circonscriptions électorales. Etude de droit comparé / The Constitutional Framework of Electoral Redistricting. A Comparative Perspective

Fichet, Guillaume 14 December 2016 (has links)
La révision des circonscriptions électorales consiste, dans le cadre des démocraties représentatives, à donner un ressort territorial à l’élection des membres des assemblées parlementaires. Loin de se réduire à une mesure neutre et purement administrative, comme en atteste l’histoire tourmentée des manœuvres électorales, cette opération entraîne de nombreuses conséquences sur la sincérité des résultats électoraux, les rapports de force entre partis politiques et la constitution des majorités gouvernementales ainsi que sur la représentation des intérêts, des idées et des valeurs. En lien avec l’évolution permanente des mentalités, les principes guidant la réalisation des découpages électoraux connaissent, dans la continuité de la mue séculaire des modes de gouvernement, une nouvelle métamorphose tendant à rapprocher gouvernants et gouvernés, en vue de répondre ultimement aux attentes des citoyens. Les circonscriptions électorales se trouvent ainsi amenées à devoir être en adéquation avec une vision plus ambitieuse de l’égalité de représentation, laquelle suppose non seulement une égalité devant le suffrage mais également une représentation effective et une délimitation des circonscriptions législatives soustraite aux pressions du pouvoir politique. Cette évolution, commune à plusieurs systèmes juridiques, ouvre la voie à une étude comparative centrée sur quatre pays aux traditions électorales différentes : Royaume-Uni, Canada, États-Unis et France. Au-delà des appréciations classiques, il sera ainsi possible, au carrefour du droit et de la politique, de faire ressortir les implications multiples que viennent induire ces mutations sur la consistance des circonscriptions électorales, sur la nature de la représentation politique et, finalement, sur l’affermissement et le renouvellement de la démocratie. / In the framework of representative democracies, the electoral redistricting aims to give jurisdiction to the election of members of parliamentary assemblies. Far from being a neutral and purely administrative measure, as evidenced by the tormented history of gerrymandering, this operation has many consequences on the fairness of election results, the balance of power between political parties, the formation of governmental majorities, and furthermore on the representation of interests, ideas, and values. In connection with the ongoing evolution of mentalities, the principles guiding the implementation of electoral constituencies are experiencing, in the continuity of secular change of government forms, a new metamorphosis tending to bring the people and the government closer together, so as to ultimately reach citizens’ expectations. Thus, electoral districts are expected to be in line with a more ambitious vision of equal representation, which requires not only voting equality but also effective representation and delimitation of parliamentary constituencies subtracted from pressures of political power. This trend, which is common to several legal systems, opens the way for a comparative study focused on four countries with different electoral traditions: the United Kingdom, Canada, the United States of America, and France. Beyond conventional opinions, it will be possible, at the intersection of law and politics, to bring out the many implications that these mutations induce on the consistency of electoral constituencies, on the nature of political representation and, ultimately, on the strengthening and renewal of democracy
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Élections expérimentales : la désertion stratégique et la participation sous différents modes de scrutin

Labbé St-Vincent, Simon 10 1900 (has links)
Cette thèse s'intéresse au lien qui existe entre le système électoral et deux comportements importants de la vie civique, soit la participation à une élection et la désertion stratégique du candidat préféré vers un autre candidat. Ces thèmes sont abordés dans de nombreux et de très importants ouvrages en science politique. En passant par la théorie (Downs, 1957) jusqu'à des études de terrain par l'entremise de sondages (Abramson, 2010; Blais, 2010), diverses méthodologies ont été employées pour mieux expliquer les choix des électeurs. Ma contribution à l'avancement des connaissances dans ce domaine passe par l'usage de la méthode expérimentale pour mieux saisir les similitudes et différences dans les comportements des électeurs sous le système uninominal à un tour (UT) et la représentation proportionnelle (RP) ainsi que les mécanismes au niveau individuel qui produisent ces similitudes et différences. Le cœur de la thèse est composé des trois articles dont voici les résumés : Article 1. Des élections expérimentales faites à Montréal, Paris et Bruxelles permettent d'estimer l’influence directe du mode de scrutin sur la décision des électeurs de voter ou non, et de voter pour leur parti préféré ou non. En tout, 16 groupes de 21 électeurs votent sous différents systèmes électoraux, soit le UT et la RP. Les préférences sont attribuées aléatoirement et connues de tous les participants. Nos résultats indiquent que le vote n'est pas globalement plus sincère et que la participation électorale n'est pas plus élevée sous le système proportionnel. Toutefois, nous observons moins de désertion d'un petit parti sous le système proportionnel. Article 2. Les expériences permettent également d'expliquer pourquoi les électeurs votent parfois pour un parti autre que leur parti préféré. La conclusion principale est que la décision de voter de façon sincère ou non est influencée par les préférences individuelles, mais aussi par les perceptions des chances de gagner des candidats ainsi que des chances que son propre vote puisse décider le résultat de l'élection. Les électeurs qui désertent leur premier choix prennent en considération quel candidat est le plus près de leurs positions politiques, mais également de la viabilité de cette alternative. De plus, les électeurs qui aiment prendre des risques ont davantage tendance à déserter. Article 3. Le modèle de l'électeur pivot est mis à l'épreuve pour mieux comprendre la décision de voter ou non lors d'une élection. Nos expériences permettent de répliquer, avec un devis expérimental différent, les résultats importants des travaux de Duffy et Tavits (2008). Nos résultats confirment que la perception d'être pivot augmente la participation, que ces perceptions sont sujettes à la surestimation et que cette surestimation ne décline pas complètement dans le temps. Nous allons également plus loin que les recherches de Duffy et Tavits et nous trouvons que la participation n'est pas plus forte sous RP que sous UT et que la probabilité d'être pivot a un impact plus important chez les électeurs évitant de prendre des risques. / This thesis focuses on the relationship between the electoral system and two important behaviors of civic life: participation in an election and the strategic desertion of the preferred candidate. These topics are addressed in very important books in political science. From theory (Duverger, 1954; Downs, 1957) to empirical research using surveys (Abramson, 2010; Blais, 2010), various methodologies have been used to better explain voter's choices. My contribution to knowledge is the use of experimental methods to better understand both similarities and differences in voter behavior under the plurality system (PLU) and the proportional representation (PR) system and the individual level mechanisms that produce these similarities and differences. The core of the thesis consists of three articles summarized below: Article 1. Experimental elections conducted in Montreal, Paris and Brussels estimate the direct influence of the voting system on the voters' decision whether to vote or not, and vote for their preferred party or another party. In all, 16 groups of 21 voters take part in elections under different electoral systems. The systems are simple plurality and proportional representation. Preferences are randomly assigned and known by all participants. Our results indicate that voting is globally not more sincere and that voter turnout is not higher under the proportional system. However, we observe less desertion of small parties under the proportional system. Article 2. We perform a laboratory experiment to explain why voters sometimes vote for a party other than the preferred one. The main conclusion of the paper is that in addition to voter preferences, perceptions of winning chances and belief in the possibility of affecting the outcome are key factors in the voter’s decision to vote sincerely or not. When they desert their first choice, voters consider their preferences and the viability of the alternatives. Voters who like to take risks are more prone to desert. Article 3. This paper examines the decision to vote or not in experimental elections. We replicate the important findings of Duffy and Tavits (2008) with a different design. Our results support their finding, that is, turnout is affected by the belief that one's vote counts and overestimation of the probability that one's vote counts does not decrease completely over time. Going beyond previous research, we also find that turnout is not higher under a proportional system than under a plurality system, and beliefs about being in a pivotal disposition have a greater impact on turnout among the risk averse.
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Représentation proportionnelle et participation électorale : l’hétérogénéité des populations importe-t-elle?

Saint-Martin-Audet, Grégoire 05 1900 (has links)
No description available.
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Élections expérimentales : la désertion stratégique et la participation sous différents modes de scrutin

Labbé St-Vincent, Simon 10 1900 (has links)
Cette thèse s'intéresse au lien qui existe entre le système électoral et deux comportements importants de la vie civique, soit la participation à une élection et la désertion stratégique du candidat préféré vers un autre candidat. Ces thèmes sont abordés dans de nombreux et de très importants ouvrages en science politique. En passant par la théorie (Downs, 1957) jusqu'à des études de terrain par l'entremise de sondages (Abramson, 2010; Blais, 2010), diverses méthodologies ont été employées pour mieux expliquer les choix des électeurs. Ma contribution à l'avancement des connaissances dans ce domaine passe par l'usage de la méthode expérimentale pour mieux saisir les similitudes et différences dans les comportements des électeurs sous le système uninominal à un tour (UT) et la représentation proportionnelle (RP) ainsi que les mécanismes au niveau individuel qui produisent ces similitudes et différences. Le cœur de la thèse est composé des trois articles dont voici les résumés : Article 1. Des élections expérimentales faites à Montréal, Paris et Bruxelles permettent d'estimer l’influence directe du mode de scrutin sur la décision des électeurs de voter ou non, et de voter pour leur parti préféré ou non. En tout, 16 groupes de 21 électeurs votent sous différents systèmes électoraux, soit le UT et la RP. Les préférences sont attribuées aléatoirement et connues de tous les participants. Nos résultats indiquent que le vote n'est pas globalement plus sincère et que la participation électorale n'est pas plus élevée sous le système proportionnel. Toutefois, nous observons moins de désertion d'un petit parti sous le système proportionnel. Article 2. Les expériences permettent également d'expliquer pourquoi les électeurs votent parfois pour un parti autre que leur parti préféré. La conclusion principale est que la décision de voter de façon sincère ou non est influencée par les préférences individuelles, mais aussi par les perceptions des chances de gagner des candidats ainsi que des chances que son propre vote puisse décider le résultat de l'élection. Les électeurs qui désertent leur premier choix prennent en considération quel candidat est le plus près de leurs positions politiques, mais également de la viabilité de cette alternative. De plus, les électeurs qui aiment prendre des risques ont davantage tendance à déserter. Article 3. Le modèle de l'électeur pivot est mis à l'épreuve pour mieux comprendre la décision de voter ou non lors d'une élection. Nos expériences permettent de répliquer, avec un devis expérimental différent, les résultats importants des travaux de Duffy et Tavits (2008). Nos résultats confirment que la perception d'être pivot augmente la participation, que ces perceptions sont sujettes à la surestimation et que cette surestimation ne décline pas complètement dans le temps. Nous allons également plus loin que les recherches de Duffy et Tavits et nous trouvons que la participation n'est pas plus forte sous RP que sous UT et que la probabilité d'être pivot a un impact plus important chez les électeurs évitant de prendre des risques. / This thesis focuses on the relationship between the electoral system and two important behaviors of civic life: participation in an election and the strategic desertion of the preferred candidate. These topics are addressed in very important books in political science. From theory (Duverger, 1954; Downs, 1957) to empirical research using surveys (Abramson, 2010; Blais, 2010), various methodologies have been used to better explain voter's choices. My contribution to knowledge is the use of experimental methods to better understand both similarities and differences in voter behavior under the plurality system (PLU) and the proportional representation (PR) system and the individual level mechanisms that produce these similarities and differences. The core of the thesis consists of three articles summarized below: Article 1. Experimental elections conducted in Montreal, Paris and Brussels estimate the direct influence of the voting system on the voters' decision whether to vote or not, and vote for their preferred party or another party. In all, 16 groups of 21 voters take part in elections under different electoral systems. The systems are simple plurality and proportional representation. Preferences are randomly assigned and known by all participants. Our results indicate that voting is globally not more sincere and that voter turnout is not higher under the proportional system. However, we observe less desertion of small parties under the proportional system. Article 2. We perform a laboratory experiment to explain why voters sometimes vote for a party other than the preferred one. The main conclusion of the paper is that in addition to voter preferences, perceptions of winning chances and belief in the possibility of affecting the outcome are key factors in the voter’s decision to vote sincerely or not. When they desert their first choice, voters consider their preferences and the viability of the alternatives. Voters who like to take risks are more prone to desert. Article 3. This paper examines the decision to vote or not in experimental elections. We replicate the important findings of Duffy and Tavits (2008) with a different design. Our results support their finding, that is, turnout is affected by the belief that one's vote counts and overestimation of the probability that one's vote counts does not decrease completely over time. Going beyond previous research, we also find that turnout is not higher under a proportional system than under a plurality system, and beliefs about being in a pivotal disposition have a greater impact on turnout among the risk averse.
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Les systèmes électoraux et le vote stratégique : Le facteur psychologique et le vote stratégique aux élections législatives en Suède et en France / Electoral systems and strategical voting : The psychological effect and the strategic vote in legislative elections in Sweden and in France

Karlsson, Erik January 2016 (has links)
The objective of this study is to investigate how the phenomenon called the strategic vote is manifested in the legislative elections in France and Sweden. In order to gain knowledge in this domain of study, recent studies and well-established theories within the political science have been observed. The theory of the psychological factor, composed by the French political scientist Maurice Duverger lays the basis of the theory of the strategic vote, which is the central theory for this thesis, mostly defined by Gary W. Cox in Making votes count: strategic coordination in the world’s electoral systems (1997). The main question of research is as follows: “How does the strategic vote manifest itself amongst the voters in the legislative elections of the proportional electoral Swedish system and the majority electoral French system?” The following questions are follow-up questions to complement the main one: “Which are the effects of the strategic vote?” “Which are the differences in the French and Swedish legislative elections that are revealed throughout the interviews?” and “Is the validity of votes under the influence of the phenomenon of the strategic vote questionable?” The method used to obtain answers to the questions above is qualitative interviews with two groups of respondents: one group of respondents of French nationality and another group with respondents of Swedish nationality. The results of the study show that strategic voting in France is mostly due to the two-ballot system that is applied in the French electoral system, where the second ballot is the source to most of the strategic voting in France. The Swedish voters, however, first and foremost vote strategically by reason of the electoral threshold of 4 % that is employed in the Swedish electoral system. The effects of the strategic voting in the concerning states, found in this study are identical: an overrepresentation of the bigger political parties and an underrepresentation of the smaller political parties. Differences in the legislative elections of the countries, France and Sweden, which were revealed during the interviews are differences in electoral participation due to the structure of elections on the various levels, such as municipal, regional and legislative and so forth. The third follow-up question, being of a more philosophical nature, lead to two positions: an idealist and a realist one. Through the results found in this study, the idealist position is the preferred position, in order to respect and achieve the democratic ideals on which the democratic states France and Sweden are based.
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Le découpage électoral en France sous la Vème République : entre logiques partisanes et intérêts parlementaires / Redistricting in the Fifth Republic : between partisan logics and parliamentary interests

Ehrhard, Thomas 27 November 2014 (has links)
Le découpage électoral est marqué par le mythe du gerrymandering, ou du « charcutage électoral ». Gouvernements et majorités l’utiliseraient dans l’objectif d’établir une carte électorale favorable par la délimitation de circonscriptions visant produire des gains électoraux. Il serait un outil électoraliste utilisé à des fins partisanes. En France, cette perception prédomine notamment en raison du peu de travaux consacrés au découpage électoral qui est, pourtant, un objet important au sein de la littérature politiste internationale. La thèse propose une étude du découpage des circonscriptions législatives sous la Ve République selon deux axes. Le premier, relatif au processus, interroge le rôle et l’action du gouvernement. Grâce à une analyse pluridisciplinaire, il apparaît que le découpeur est soumis à de fortes contraintes, et que les députés y occupent un rôle majeur. Le second porte sur les conséquences des délimitations. Après l’élaboration d’une méthode permettant d’appréhender l’aspect politique des découpages, l’étude empirique – statistique et cartographique – établit que les circonscriptions sont découpées en fonction des députés – sortants –, avant d’être favorables aux partis politiques, ou à la majorité qui y procède. S’il apparaît également que les changements de délimitations ne produisent pas toujours les effets escomptés, ils disposent de conséquences structurelles qui se vérifient sur la compétition électorale. Sous la Ve République, les découpages électoraux peuvent être qualifiés d’interparlementaires et d’intrapartisans. In fine, ni le processus, ni les conséquences des découpages électoraux ne correspondent à sa représentation cognitive classique. / The myth of the gerrymandering overshadows the redistricting. Governments allegedly use it to draw a favorable electoral map aiming electoral profits. Thus, it is supposed to be an electioneering mechanism used for partisan motives. In France, few studies have been devoted to redistricting which is also an important object within the international political scientist literature. The thesis puts forward a study of the legislative redistricting under the Fifth Republic following two axes. The first one, the analysis of the policy process, questions the role and the actions of the government. Through a multidisciplinary analysis, it appears that the government is strongly constrained and that MPs have a main function. The second one relates to the consequences of redistricting. After developing a method to understand the politics of limits, the empirical study – statistical and cartographic – shows that districts are made according to deputies – incumbents –, before favoring political parties, or the majority making the redistricting. It also appears that if the constituency boundaries are not decisive, they still have structural consequences on the electoral competition. Under the Fifth Republic, redistricting can be described as interparliamentary and intrapartisan. To sum up, neither the redistricting process nor its electoral consequences match the "classic" cognitive representation of the redistricting.
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What voting rules do citizens prefer?

Péloquin-Skulski, Gabrielle 07 1900 (has links)
Le système électoral fait de plus en plus objet de débats et de discussions au Canada et ailleurs dans le monde. Bien qu’il existe de nombreuses études sur les avantages et les inconvénients des différents systèmes électoraux, très peu d’entre elles examinent les préférences des citoyens concernant les modes de scrutin et plus particulièrement la façon dont les individus expriment leur choix sur le bulletin de vote. Dans le cadre de ce mémoire, je m’attarde aux questions suivantes : quelle façon de voter les citoyens préfèrent-ils et pourquoi ? Afin de répondre à ces questions, j'ai mené une expérience en laboratoire avec près de 200 participants dans le cadre des élections fédérales canadiennes de 2019. Les participants furent invités à voter dans une série d'élections en utilisant chacune des trois façons de voter suivantes en ordre aléatoire : scrutin à vote unique, vote par approbation et vote par rangement. Après chaque vote, les participants furent informés du résultat électoral dans leur groupe et interrogés sur leur niveau de satisfaction à l'égard de chaque façon de voter. Les résultats démontrent que les citoyens préfèrent avoir la possibilité de classer les partis plutôt que d'utiliser un scrutin à vote unique ou un vote par approbation. Les individus sont également plus susceptibles d’aimer un mode scrutin lorsqu'ils sont satisfaits des résultats de l’élection. / Debates over which electoral system would best serve the general public are on the rise in Canada and in other democratic countries. Although there exists a rich literature on the benefits and shortcomings of different electoral systems, very few studies examine citizens’ preferences regarding voting rules and the ways in which individuals can cast their vote. In this paper, I address the following questions: What voting rules do citizens prefer and why? To address these questions, I conducted a within-subject laboratory experiment with nearly 200 participants in the run up to the 2019 Canadian federal election. Participants were asked to vote in a set of elections using each of the three following types of ballots in random order: one-mark ballot, approval voting and ranked voting. After each vote, participants were informed of the election results and asked about their level of satisfaction with each voting system. The results show that citizens prefer having the option to rank order the parties rather than using a one-mark ballot or approval voting. Individuals are also more likely to favour voting rules when they are satisfied with the results of the election.
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La politisation des partis à caractère ethnique dans les pays postcommunistes d’Europe Centrale et Orientale : une comparaison des trajectoires de la Bulgarie, la Serbie, le Monténégro et le Kosovo / The politicization of ethnic parties in post-communist countries of Central and Eastern Europe : a comparison of the trajectories of Bulgaria, Serbia, Montenegro and Kosovo

Ba, Oumar 12 December 2013 (has links)
Les révolutions de l’Est ont induit la fragmentation des Etats qui s’est accompagnée, sur le plan interne par une renaissance des partis ethniques ; ce qui ne va pas sans poser de problèmes à la démocratie politique. Les transitions et a fortiori les consolidations démocratiques font émerger un double phénomène d’interaction entre les acteurs et le système, dans la recherche d’un nouvel équilibre. Les partis ethniques se politisent alors que le système s’ouvre à l’acteur ethnique. On assiste donc à un réajustement évolutif du système devant la nouvelle donne. Le système s’ouvre aux nouvelles demandes à caractère ethnique de différentes façons et à différents degrés : entre la légalisation et la tolérance. Côté acteurs, les partis ethniques rentrent progressivement dans le jeu politique ; de différentes façons et à différents degrés. Dans notre champ problématique les relations interactives se déploient entre acteurs multi-niveaux (partis-Etats) et dans les divers champs (politique, sociétal et juridique). Leurs connexions sont croisées entre l’espace étatique et internationale, public et civil, politique et sociétal ; avec les Etats d’accueil ou d’origine, mais aussi, les Etats-tiers. Ils sont à velléités indépendantistes ou simplement des lobbies politiques. Nous avons essayé de mettre en lumière les principaux aspects de la complexité de la question ethnique dans les jeunes démocraties politiques ‘‘en consolidation’’. La problématique ethnique des PECO peut-elle nous aider à compléter en actualisant certaines visions généralistes des sciences politiques ? Les acteurs impliqués sont ainsi invités à éviter les pièges des nationalismes perçus comme ‘‘mesquins’’, voire ‘‘chaotiques’’ tout en servant la cause d’une plus souple intégration politique alias la ‘‘paix démocratique’’. / The revolutions of Eastern induced fragmentation of States were accompanied internally by a revival of ethnic parties, which is not without its problems in political democracy. Transitions and even more democratic consolidation are emerging a double phenomenon of interaction between actors and the system in search of a new equilibrium. Ethnic parties then politicize the system opens the ethnic actor. We are witnessing an evolutionary adjustment of the system to the new situation. The system opens to the new demands ethnic ways and to different degrees: between legalization and tolerance. Side actors, are gradually returning ethnic parties in the political game, in different ways and to different degrees. In our problem the field deploy interactive relationships between multi-level actors (parties-States) and in the various fields (political, societal and legal). Their connections are crossed between the State and international space, public and civil, political and social, with host countries or origin, but also the third States. They are separatist ambitions or simply political lobbies. We tried to highlight the main aspects of the complexity of the ethnic issue in young democracies political '' in consolidation ''. The ethnic problem of CEEC can help us to complete updating some general visions of political science? The actors involved are invited to avoid the pitfalls of nationalism perceived as '' petty '' or '' chaotic '' while serving the cause of a more flexible policy integration to the ‘‘democratic peace’’.

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