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Types de généralisations et épistémologie des mathématiques : de l'intégrale de Cauchy à l'intégrale de Lebesgue

Villeneuve, Jean-Philippe January 2007 (has links)
Thèse numérisée par la Division de la gestion de documents et des archives de l'Université de Montréal
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Le récit et le savoir

Icart, Lyonel January 2001 (has links)
Thèse diffusée initialement dans le cadre d'un projet pilote des Presses de l'Université de Montréal/Centre d'édition numérique UdeM (1997-2008) avec l'autorisation de l'auteur.
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Le don : histoire du concept, évolution des pratiques / The Gift : history of a concept, evolution of practices

Athané, François 04 December 2008 (has links)
Le don est un objet privilégié de l’anthropologie et de la sociologie économiques depuis l’Essai sur le don de M. Mauss. Au 1° chapitre, les principales notions de cet écrit (don, dette, obligation, échange) sont étudiées en lien avec l’engagement socialiste et mutualiste de Mauss et sa vision du bolchevisme. Le 2° chap. traite du don dans les œuvres de C. Lévi-Strauss, Claude Lefort, Derrida et dans l’ethnologie de la Kabylie (René Maunier, Bourdieu). Le 3° chap. définit le don en lien avec l’obligation, et le différencie d’autres transferts de biens : impôt, amende, réparation, redistribution, commerce, marché, par la discussion d’œuvres de Hobbes, Wittgenstein, David Lewis, J. R. Searle, Robert Lowie, K. Polanyi, M. Godelier, Alain Testart. Potlatch et Kula sont étudiés pour voir les liens entre techniques, milieux écologiques, production, droit coutumier, hiérarchie politique et circulation des biens. Le 4° chap. traite des dons et tributs dans l’histoire médiévale (discussion des œuvres de M. Bloch, G. Duby, Max Weber, N. Elias) : largesse, don aux pauvres, aumône. On étudie le rôle du don dans la genèse de la fiscalité, de l’État et de l’Église. On aboutit à une classification générale des transferts de biens. Le concept de métatransfert est défini, sa fécondité heuristique montrée. Le 5° chap. enquête sur la nécessité et l’universalité du don, compare les transferts de biens entre humains aux transferts de ressources dans les sociétés animales (altruismes réciproque et de parentèle, sélection de groupe, sélection sexuelle du dévouement, travaux de Wynne-Edwards, J. Maynard Smith, William Hamilton, F. De Waal), et examine la possibilité de naturaliser le don. / The gift has been a major topic in anthropology and sociology of economics since Mauss’ The Gift. In the 1st chapter, the main notions of this writing (gift, debt, obligation, exchange) are studied in relation to Mauss’ commitment to socialism and mutualism, and to his vision of Bolchevism. The 2nd chapter looks at the gift in the works of C. Lévi-Strauss, Claude Lefort, Derrida, and in Kabylia’s ethnology (René Maunier, Bourdieu). The 3rd chapter defines the gift with respect to obligation, and differentiates it from other kinds of transfers of goods, such as taxes, fines, compensation, redistribution, and commerce, by looking at the works of Hobbes, Wittgenstein, David Lewis, J. R. Searle, Robert Lowie, K. Polanyi, M. Godelier, Alain Testart. The Potlatch and the Kula are examined in order to link technics, production, custom, political hierarchy and the circulation of goods. The 4th chapter treats the gift throughout the Middle Ages (by discussing the works of M. Bloch, G. Duby, Max Weber, N. Elias) : generosity, charity and alms. The role of the gift in the genesis of the tax system, the state and the church are studied. This gives way to a general classification of the transfers of goods. The concept of ‘metatransfer’ is defined, and its heuristic power is exposed. The final chapter investigates the necessity and universality of the gift, compares transfers of goods between humans to transfers of resources in the animal societies (reciprocal altruism, kinship altruism, group selection, sexual selection of caring, works of Wynne-Edwards, J. Maynard Smith, William Hamilton, F. De Waal), and examines the possibility of naturalizing the gift.
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La bipédie humaine : épistémologie, paléoanthropologie, métaphysique / The human bipedalism : epistemology, paleo-anthropology, metaphysics

Lequin, Mathilde 02 June 2015 (has links)
La paléoanthropologie utilise la bipédie comme critère d'interprétation des vestiges fossiles permettant d'établir leur appartenance à la lignée humaine. Ainsi, la bipédie devient une caractéristique propre à la lignée humaine et qui en marque l'origine. Nous identifions ici un « cercle herméneutique » de la paléoanthropologie, puisque l'humain y est défini par la bipédie et, réciproquement, tout bipédie est interprétée comme étant nécessairement humaine. Du fait de cette circularité, les traits associés à la bipédie sont surinterprétés dans la description des vestiges fossiles, qui se voient alors conférer une signification fonctionnelle et phylogénétique univoque. L'unicité de la bipédie humaine constitue un principe d'interprétation resté ininterrogé en paléoanthropologie. Ce point révèle l'attachement de cette discipline scientifique à une conception philosophique du propre de l'homme qui semble pourtant difficilement compatible avec l'approche évolutionniste. Au contraire, une véritable épistémologie de la paléoanthropologie doit mettre en perspective la signification accordée à cette caractéristique anthropologique : nous nous y employons dans cette thèse, en montrant que le concept métaphysique de « station droite » trouve son écho dans le concept naturaliste de « bipédie ». Cette continuité ou cette capillarité de la philosophie à la science est mise en évidence à travers les usages du critère de la bipédie dans la description de plusieurs espèces fossiles. De Pithecanthropus erectus à Ardipithecus ramidus, nous analysons différents modes de l'équivalence entre « bipède » et « humain ». Cette équivalence, souvent implicite, représente une source de confusion majeure pour la paléoanthropologie, impliquant un concept d’ « humain » aux contours flous. Notre épistémologie de la paléoanthropologie dégage donc différents problèmes que cette discipline se doit d'affronter pour que le débat sur l'évolution de la bipédie dans la lignée humaine puisse avancer. / Bipedalism represents for paleoanthropology a criterion to decipher fossil records in order to establish their belonging to the human lineage. As such, bipedalism is considered as a unique characteristic of the human lineage that marks its origin. In this thesis, we identify a "hermeneutic circle" of paleoanthropology, since the human is defined by its bipedal characteristics and, conversely, any bipedalism is interpreted as necessarily human. Because of this circularity, traits associated with bipedalism are overstated in describing the fossil record, hence conferring an unambiguous functional and phylogenetic significance. The uniqueness of human bipedalism is a principle of interpretation remained unquestioned in paleoanthropology. This shows the commitment of this scientific discipline to a philosophical conception of the human uniqueness who hardly seems consistent with the evolutionary approach. On the contrary, a real epistemology of paleoanthropology has put into perspective the meaning given to this anthropological characteristic. We address this latter in showing that the metaphysical concept of "upright station" is echoed in the naturalist concept of « bipedalism ». This continuity or capillary from philosophy to science is emphasized through the use of the criterion of bipedalism in the description of several fossil species. From Pithecanthropus erectus to Ardipithecus ramidus, we analyze various modes of equivalence between "biped" and "human". This equivalence, albeit implicit, represents a major source of confusion for paleoanthropology, implying an unclear concept of « human ». Our epistemology of paleoanthropology put thus upfront several philosophical and epistemological problems that this discipline has to challenge in order to the debate on the evolution of bipedalism in the human lineage can move forward.
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Idéologie et représentation journalistique. Pour une analyse de l'information relevant de la critique sociale. L'exemple de l'actualité internationale sur les ondes de France Inter / Ideology and journalistic representation. Towards a social critiquebased analysis of information. A case-study of international news coverage by France Inter

Dufour, Lucas 17 November 2010 (has links)
Les sciences sociales contemporaines adoptent, en grande partie, un point de vue relativiste : il n’est de réalité que dans sa construction. Conséquence de cette orientation, les conditions de possibilité de la critique du réel tiendraient de la seule analyse de cette « construction ». Autrement dit, le questionnement de la représentation dispense d’interroger le réel représenté. C’est ainsi qu’aux « rapports sociaux » qui permettaient jadis, en référence à la théorie marxiste de la valeur, de comprendre le mouvement de l’histoire et ses phénomènes s’est substitué un questionnement du discours, lieu ultime de façonnement du réel… L’objectif de notre recherche est de réinscrire la question de l’analyse de la représentation journalistique dans la réaffirmation matérialiste de l’existence, extérieure, objective, contradictoire, du réel représenté et, sur cette base, d’entreprendre un travail critique d’élucidation et de compréhension de la nature de sa représentation. Fondamentalement, c’est la question de l’idéologie telle que Marx la posait qui nous paraît le mieux aborder, de manière non spéculative, la problématique de la transparence et de l’opacité de la représentation, le concept d’« idéologie » permettant précisément d’en questionner la nature. Après l’avoir définie et avoir pris connaissance de ses évolutions, et en nous inspirant notamment des travaux de Bertell Ollman sur la dialectique matérialiste, nous nous proposons de vérifier la valeur heuristique de cette notion grâce à l’analyse de trois événements internationaux traités sur les ondes de France Inter. L’information paraissait devoir être considérée pour elle-même, nous souhaitons montrer qu’il est possible de la renvoyer à la réalité dont elle prétend nous informer, qu’il est possible de l’aborder dans sa faculté à dire – ou à taire – le réel. / Contemporary social sciences have adopted a relativistic outlook. The primary argument which today prevails is that reality does not exist outside our own construction of it. In this regard, any meaningful analysis or critique of “representations”, in so far as the reality which they describe does not pre-date them, now excludes any analysis of that material reality. The conditions for any critique of reality thus involve only an analysis of the “construction”. Such analysis also prevails in studies of “social relations” which heretofore assisted, with reference to the Marxist theory of value, in an understanding of historical movements and phenomena but which have now been replaced with the approach of “discourse analysis”, discourse being the final retreat in the construction of reality. This study purports to re-anchor the analysis of journalistic representation in a materialist reassertion of the exterior, objective, and contradictory existence of reality as represented by the media. It thus will attempt a critical analysis aimed at clarifying and articulating the nature of this representation. Fundamentally, it is, we think, through Marx’s concept of ideology that the problematic surrounding the transparency or opaqueness of this representation can best be approached, as Marx’s concept permits one to discern its nature more precisely. After defining this notion and exploring its development, especially in the light of Bertell Ollman’s work on dialectical materialism, this work endeavours to assess its heuristic value by analysing three international events reported by the French national radio station “France Inter”. Information tends to be considered in and of itself; our study will seek to demonstrate that it can be analyzed directly by reference to the reality which it purports to represent; and in terms of its ability to express – or conceal – reality.
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Le problème philosophique des transferts épistémiques entre les sciences naturelles et les théories sociales et politiques

Lorange-Millette, Jonathan January 2015 (has links)
Cette thèse a pour objectif d’étudier les origines et les conséquences de l’usage par plusieurs chercheurs en sciences sociales de divers concepts et théories originellement formulés dans le champ des sciences naturelles. Il s’agira de modéliser cette pratique par l’élaboration du concept de « transfert épistémique ». La modélisation du transfert épistémique permettra de mettre en évidence les processus cognitifs qui sous-tendent cette pratique, en plus de donner des indications sur ses implications à l’endroit des sciences sociales. Il sera démontré que les transferts épistémiques ne permettent pas de tenir compte du caractère réflexif de la recherche sociale ou de l’importance de la question du libre arbitre. Afin d’illustrer notre propos, une attention particulière sera accordée à la théorie réaliste des relations internationales au regard des liens qu’elle entretient avec la biologie et la physique. Pour ce faire, il faudra analyser le programme de recherche biopolitique en tenant compte de ses origines sociobiologiques, pour ensuite s’intéresser aux similarités remarquables que l’on retrouve entre le réalisme et la physique classique.
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Nouveaux regards sur l’individualité biologique : autoproduction, composition, transition / New perspectives on the biological individual : self-production, composition, transition

Hernandez, Isaac 05 October 2018 (has links)
Le thème de l’individuation et de la persistance des entités vivantes constitue l’une des problématiques centrales de la philosophie de la biologie. Dans les sciences du vivant, l’organisme représente traditionnellement l’exemple paradigmatique de l’individu biologique. Toutefois, malgré le lien intuitif entre l’organisme et l’individu, la biologie contemporaine a su faire un usage plus large du concept d’individu. Ainsi, la circonscription de ce qui était appréhendé comme appartenant au vivant a été élargie par la reconnaissance de plusieurs types d’individus biologiques, parmi lesquels nous trouvons non seulement les organismes dits « traditionnels », mais également toute une variété d’entités telles que des protistes, des molécules d’ARN, des prions, des virus et des bactéries de toutes sortes. Par ailleurs, cette nouvelle vision de l’individu biologique a été utilisée afin d’illustrer les différents niveaux de l’organisation biologique. En ce sens, la discussion porte principalement sur le niveau – gènes, cellules, organismes, superorganismes, espèces, écosystèmes – où la sélection agit, dans lequel l’organisme, en tant qu’exemple paradigmatique d’individu, peut être considéré comme un simple niveau entre une diversité de niveaux de sélection. Par conséquent, l’extension des limites de l’ontologie biologique a permis, d’une part, d’interroger le concept d’individu en le libérant de la référence à l’organisme, et d’une autre, de relativiser l’importance de l’organisme au sein du discours biologique. Pourtant, nous soutenons que, pour contribuer au développement de la thématique de l’individu biologique, il faut donner voix à un autre discours sur l’individualité, qui émerge des discussions sur l’ontologie des organismes. C’est vers la tradition systémique qu’il convient de tourner le regard, dans le but d’étendre les recherches sur la nature de l’individualité biologique sous l’angle d’une définition renouvelée de l’organisme. Notre démarche suppose d’établir une distinction importante entre deux tendances biologiques à propos du problème de l’individu biologique : l’individu darwinien et l’individu ontogénétique. Dans une approche ontogénétique, un individu correspond à l’entité qui s’autodétermine au cours de son temps de vie individuel. Ainsi, cette position repose sur une conception davantage physiologique, centrée sur l’organisation biologique. / The theme about individuation and persistence of living entities is one of the central issues in the philosophy of biology. In the life sciences, the organism represents traditionally the paradigmatic example of the biological individual. However, despite the intuitive connection between the organism and the individual, contemporary biology has been able to make wider use of the concept of the individual. Thus, the contours of what was apprehended as belonging to the living world has been enlarged by the recognition of several types of biological individuals, among which we find not only so-called "traditional" organisms, but also a variety of entities such as protists, RNA molecules, prions, viruses and bacteria of all kinds. In addition, this new vision of the biological individual has been used to illustrate the different levels of biological organization. In this sense, the discussion focuses on the level - genes, cells, organisms, superorganisms, species, ecosystems - where selection acts, in which the organism can be considered a simple level between a variety of levels of selection. Consequently, the extension of the limits of biological ontology allowed, on the one hand, to question the concept of the individual by releasing it from the reference to the organism, and on the other hand, to relativize the importance of the organism within the biological discourse. However, we argue that, to contribute to the development of biological individuality theme, we must give voice to another discourse on individuality, which emerges from discussions on the ontology of organisms. It is towards the systemic tradition that we must turn our attention, in order to extend research on the nature of biological individuality in the light of a renewed definition of the organism. Thus, we assumes an important distinction between two non-exclusive biological tendencies about the problem of the biological individual: the Darwinian individual and the ontogenetic individual. In an ontogenetic approach, an individual corresponds to the entity that self-determines during its individual life time. Thus, this approach is on a physiological conception, centered on biological organization.
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Causalité et mécanique quantique

Jodoin, Laurent 16 April 2018 (has links)
L'objectif est d'analyser la compatibilité entre un concept de causalité et la théorie de la mécanique quantique. Comme la possibilité de l'erreur rend nécessaire l'étude critique de toute connaissance, le contexte épistémologique présente les principales réponses apportées au problème général de la connaissance : l'empirisme, le réalisme et l'idéalisme. La cohérence qu'exige un critère de démarcation sur la validité des discours sur le monde oblige l'adoption d'une thèse épistémologique et c'est pourquoi une certaine sympathie est exprimée envers le réalisme scientifique (l'objectif n'étant pas d'apporter une défense en règle de cette position). De plus, comme tout énoncé factuel repose sur des présupposés, leur explicitation est présentée à l'intérieur d'un contexte nomologique (univers de discours) caractérisé par la théorie de la relativité (restreinte et générale) ainsi que quelques postulats métaphysiques, dont le principe de légalité et le principe d'uniformité de la nature. Une présentation de la mécanique quantique suit, en tentant de garder, autant que faire se peut, un ton neutre sur les conséquences épistémologiques de son interprétation (ici celle de Copenhague). À partir d'une cartographie des débats sur la causalité fournie par Schaffer (2003 ; 2006), les thèse causales de Hume, Kant, Russell, Bunge et Mackie sont analysés. Le résultat du travail de conciliation (critique) de ces auteurs et des contextes épistémologique et nomologique est un concept de causalité régulariste selon une loi (CRL) : il y a relation causale entre un ensemble de faits A et un ensemble de faits B s'il y a une loi y permettant d'identifier un processus reliant A et B dans un champ causal x- De sorte qu'une relation causale est successive et les faits doivent être spatio-temporellement localisables (STL). Sa validité face aux problèmes classiques des régularités fallacieuses, de la préemption et des relations fonctionnelles est ensuite étudiée. La description de trois expériences quantiques sert alors à l'analyse de compatibilité susmentionnée. Les critères du processus continu, de la succession et de la loi y - utiles pour contrer les arguments de préemption - peuvent être respectés, avec l'adoption de l'équation ou de l'opérateur de Schrôdinger, mais alors c'est celui des faits STL qui écope. L'antécédent, dans le champ causal en question, répond au critère de la suffisance minimale mais la nécessité, associée à la loi et permettant d'inférer le conséquent, ne tient plus. Ce qui permet généralement de répondre à nos conceptions ordinaires sur la causalité est incompatible avec la mécanique quantique.
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Filosofické dovednosti dětí: Interdisciplinární výzkum schopnosti dětí praktikovat filosofii / Children's Philosophical Abilities: An Interdisciplinary Inquiry Into Children's Ability To Practice Philosophy

Abou Khalil, Charbel January 2021 (has links)
Title: Children's Philosophical Abilities: An Interdisciplinary Inquiry Into Children's Ability To Practice Philosophy. Author: Abou Khalil, Charbel Supervisor: Maesschalck, Marc Academic year: 2020-2021 Title of the study programme: Erasmus Mundus Master's Degree in French and German Philosophies: Contemporary Challenges. Abstract: Is the child capable of philosophising? The doxa answers in the negative. In fact, childhood has long been equated with intellectual immaturity. According to the work of Jean Piaget, which continues to guide many current pedagogical practices, philosophy, requiring inner dialogue, abstraction, and formal logic, is inaccessible to children whose thinking is egocentric, concrete and irrational. Yet, since the 1970s, we have witnessed the emergence of new pedagogical practices, designed for the philosophical education of children from the age of five: Philosophy for Children (P4C), advocated by Matthew Lipman, is based on the principle of educational interventionism, and seeks to challenge the child's reason in order to discover its dormant cognitive potential. With its theoretical foundations in John Dewey's pragmatism and Lev Vygotsky's social constructivism, it opposes the Piagetian conception of cognitive development and challenges the three characteristics of the child's...
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Ignorance, injustice structurelle et responsabilité

Thibaud-Latour, Ellena 04 1900 (has links)
S’inscrivant en épistémologie sociale, ce projet souhaite comprendre l’ignorance comme un phénomène actif dans la production de connaissance et non comme sa simple absence. Se détachant des théories traditionnelles d’épistémologie comprenant l’ignorance comme un état passif, comme antinomie de la connaissance, ce mémoire à l’ambition de comprendre l’ignorance comme un phénomène multifactoriel soit comme une pratique se situant à l’intersection entre le social, le structurel et l’épistémique. Précisément, l’objectif de ce mémoire est de démontrer que, présentes sous plusieurs formes, les pratiques d’ignorances ont des ramifications concrètes sur plusieurs aspects de nos vies telles que nos interactions sociales, notre univers intellectuel et notre partage de connaissances. Se basant sur un cadre critique, sollicitant des écrits issus des études féministes, décoloniales et intersectionnelles, la visée majeure de ce projet est de démontrer la possibilité de considérer l’ignorance comme un élément clef de la production et du maintien d’injustices sociales. Par exemple, le rôle de l’ignorance quant à certaines formes de racisme et de sexisme tels l’incapacité à être considéré comme un individu pouvant produire des connaissances légitimes ou le refus, non fondé, de comprendre certains individus issus des groupes marginalisés comme égaux sur le plan social et épistémique. Accorder un rôle déterminant à l’ignorance permettra d’amener une meilleure compréhension de la persistance de certaines formes d’injustices sociales en rendant compte de leur nature abstraite et parfois difficile à saisir. Nous analyserons l’ignorance en termes sociaux et en relation aux vices épistémiques ce qui rendra compte de la systématicité de certaines actions sexistes ou racistes et permettra de comprendre plus clairement les mécanismes soutenant le maintien de ces inégalités. Avec ceci, nous tenterons de rendre compte du type de vice épistémique que constitue l’ignorance, c’est-à-dire le type de traits de caractère, d’attitudes, ou de manières de penser qui nuit à l’accessibilité de la connaissance. Cette approche permet de souligner le fait que l’ignorance n’est pas la même chose que l’erreur et qu’elle peut être durable et activement maintenue. / Framed within social epistemology, this project aims to understand ignorance as an active phenomenon in the production of knowledge rather than simply its absence. Departing from traditional theories of epistemology that view ignorance as a passive state and as the antinomy of knowledge, this paper aspires to comprehend ignorance as a multifactorial phenomenon, situated at the intersection of the social, structural, and epistemic. Specifically, the objective of this paper is to demonstrate that, present in various forms, practices of ignorance have concrete ramifications on various aspects of our lives, such as our social interactions, intellectual universe, and sharing of knowledge. Drawing on a critical framework, and utilizing writings from feminist, decolonial, and intersectional studies, the main goal of this project is to demonstrate the possibility of considering ignorance as a key element in the production and maintenance of social injustices. For example, the role of ignorance in certain forms of racism and sexism, such as the inability to be considered as an individual capable of producing legitimate knowledge or the unfounded refusal to understand certain individuals from marginalized groups as equals on the social and epistemic level. Assigning a determining role to ignorance will lead to a better understanding of the persistence of certain forms of social injustices by accounting for their abstract and sometimes difficult-to-grasp nature. We will analyze ignorance in social terms and in relation to epistemic vices, which will account for the systematicity of certain sexist or racist actions and enable a clearer understanding of the mechanisms that support the maintenance of these inequalities. In doing so, we will attempt to account for the type of epistemic vice that ignorance constitutes, that is, the type of character traits, attitudes, or ways of thinking that hinder the accessibility of knowledge. This approach highlights the fact that ignorance is not the same as error and that it can be durable and actively maintained.

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