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Une lecture transcendantale du problème de la causalité en mécanique quantiqueDamarsing, Karine R. January 2004 (has links)
Mémoire numérisé par la Direction des bibliothèques de l'Université de Montréal.
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Le virage métaphysique dans le Sophiste de Platon : héritage éléatique et intrusion sophistiqueBouchard, Elsa January 2005 (has links)
Mémoire numérisé par la Direction des bibliothèques de l'Université de Montréal.
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Heiliges im Profanen : sinaitisches Denken in der deutschsprachigen jüdischen LiteraturVogt-Moykopf, Michaël Chaïm January 2004 (has links)
Thèse numérisée par la Direction des bibliothèques de l'Université de Montréal.
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Vers une sociologie historique de la sociologie : de l'alienation originelle de la sociologie comme "science positive" à son opérationnalisation contemporaine comme "science tout terrain"Villeneuve, Rémi de January 2007 (has links) (PDF)
Notre objectif principal est de démontrer que c'est à cause d'un mauvais départ, de ce que nous appelons plus exactement une aliénation originelle, que la sociologie se voit aujourd'hui menacée de se dissoudre dans la mesure où elle se réclamerait encore de ce qu'elle fut déjà, victime de ce que nous appelons en retour son opérationnalisation contemporaine. Une opérationnalisation qui relève donc essentiellement de l'abandon de sa légitimité première que constitue sa participation à l'histoire de la pensée, au profit de la nouvelle légitimité bien plus efficace du « travail de terrain » qui, pour sa part, bien loin de continuer à se rapporter à la méthode scientifique ou à la « méthodologie » de l'ethnologie, relève désormais de ce que nous considérons être une pure « méthodologistique ».
Et si une « pensée » subsiste alors, ce n'est effectivement plus celle qui correspond à la liberté humaine de faire l'histoire, mais celle qui se rapporte au contraire à la nécessité naturelle de la pure réactivité à l'environnement. C'est-à-dire non plus tant celle qui correspond à la recherche de vérité portée par la raison philosophique aux prises avec le pouvoir politique, que celle qu'exige le seul constat de validité garanti par l'efficience expérimentale immédiatement intégrée au contrôle gestionnaire autonomisé. L'origine du problème, l'aliénation originelle, pourrait alors être résumée de la manière suivante : au lieu de soumettre la science à la société, la science de la société a subordonné la société à la science. Au lieu d'avoir été à elle-même son propre commencement en travaillant à établir une légitimité qui lui serait propre, la sociologie s'est asservie à celle qui était déjà disponible et qu'on lui imposait à moins de lui refuser toute raison d'être. Ce mauvais départ, plus largement, est donc celui d'une discipline appelée par la lutte qui, en retour, n'aurait pas su l'assumer et encore moins la renforcer. Notre travail vise ainsi à expliciter le passage de l'aliénation originelle de la sociologie comme science positive à son opérationnalisation contemporaine comme science tout-terrain, qui, autrement dit, est celui du règne explicatif de la scientificité des « faits sociaux » et de leur récolte, au nouveau règne productif de l'efficacité des « interactions sociales » et de leur mise sous contrôle. Mais dans cette perspective, dans la mesure de l'unité ontologique de la théorie et de la pratique issue du rapport dialectique qui les fonde réciproquement, il va de soi que la mise en relief d'une transformation de la sociologie entendue comme activité théorique suppose en retour certaines considérations relatives à la transformation de la société en tant qu'elle est elle-même à la racine de la pratique humaine dans ce qu'elle a de plus essentiel. Sans parler pour l'instant de la dissolution progressive de cette
« unité dialectique » de la théorie et de la pratique au profit de leur pure « coïncidence immédiate » -selon laquelle la sociologie tend de plus en plus à ne connaître qu'une réalité qu'elle produit immédiatement et vis-à-vis de laquelle elle n'entretient donc plus aucune distance ni objectivité -, ce qu'il faut surtout souligner ici, c'est que de la même manière qu'une rupture dans l'ordre de la réalité sociale et historique est toujours également celle de la discipline qui la prend pour objet, une rupture dans l'histoire de la sociologie constitue d'abord et avant tout une rupture sociologique et historique. Et si c'est donc effectivement une certaine rupture dans l'histoire de la sociologie qui nous intéresse ici le plus directement, nous sommes pour autant forcés de nous tourner vers la rupture sociologique et historique à laquelle elle correspond, à savoir celle qui se voit le plus souvent rapportée à la « post-modernité ». Une rupture « post-moderne » qui, en ce sens, devrait logiquement nous permettre d'éclairer le passage de l'aliénation originelle de la sociologie à son opérationnalisation contemporaine -pour autant qu'en retour, sur la base de sa propre historicité, la sociologie serait en fin de compte le phénomène qui révèle peut-être de la manière la plus explicite cette rupture « post-moderne ». « Un phénomène social, disait fort justement Karel Kosik, est un fait historique dans la mesure où il est examiné comme élément d'un tout déterminé, de sorte qu'il remplit une double tâche grâce à quoi seulement il devient vraiment un fait historique: d'une part, se définir soi-même; d'autre part, définir l'ensemble, en étant à la fois producteur et produit, à la fois déterminant et déterminé, à la fois révélateur et déchiffrement de lui-même, en apportant sa signification propre en même temps que celle d'autre chose. » (Kosik 1970 [1962] : 33). Le phénomène social qui nous concerne ici n'est donc rien d'autre que la sociologie, en tant qu'elle constitue bel et bien une porte d'accès à la compréhension de la réalité socio-historique, humaine, à laquelle elle appartient en même temps qu'elle la détermine. ______________________________________________________________________________ MOTS-CLÉS DE L’AUTEUR : Histoire, Ontologie, Épistémologie, Méthodologie, Sociologie.
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RECHERCHES AUTOUR D'UN MODELE :<br />COMPTABILITE ET CONVENTIONSAmblard, Marc 29 June 2006 (has links) (PDF)
La première partie de ce dossier fut entièrement consacrée à l'exposé des fondements théoriques sur lesquels nos travaux de recherche se sont appuyés depuis maintenant une dizaine d'années. Le préalable nous est vite apparu incontournable sachant que chaque chercheur mobilise dans le cadre de ses travaux un ensemble de méthodes, d'outils, de procédures qui ne sont pas sans effet sur les résultats obtenus. <br />Il s'agit là d'un protocole de recherche que tout travail en sciences sociales doit clairement annoncer à l'instar des sciences dures. Honnêteté intellectuelle et légitimité scientifique obligent.<br />A cet effet, une première section présenta la théorie des conventions comme le socle théorique de la démarche. En abordant la conduite humaine selon un angle sensiblement différent, elle enrichît l'analyse de notions sociologiques que le courant économique standard avait, à notre sens, trop rapidement écartées. Nous estimions en effet qu'elle pouvait constituer la meilleure réponse aux impasses dans lesquelles une approche strictement contractualiste aurait pu nous entraîner. <br />En introduisant les phénomènes d'incertitude et la rationalité mimétique comme réponse, la théorie des conventions resitue le comportement de l'agent économique dans un espace normé. Notre compréhension du fonctionnement de l'organisation et des marchés en est ressortie renouvelée et enrichie. <br />La section suivante a permis de présenter le monde social et les moteurs de l'action humaine tels que nous les concevons ; sans nier que l'individu use de sa capacité de calcul, celle-ci est largement amoindrie par le poids du collectif. Sa conduite est tout autant dictée par les structures et les comportements dominants que par sa raison profonde. Entre l'individualisme méthodologique dur et le holisme surdéterminant, nous avons alors qualifié notre positionnement intermédiaire d'individualisme méthodologique affaibli. <br />Notre posture constructiviste annoncée, nous avons considéré dans une troisième section que si le réel n'existe pas indépendamment de celui qui l'observe, le chercheur peut toutefois tenter de le saisir sans verser dans un discours normatif : comprendre et rapporter ce qui est sans avancer ce qui doit être. Nous avons alors terminé en décrivant les techniques d'investigation adoptées pour valider nos énoncés théoriques. Entretiens et sondages ont ainsi confirmé la nature conventionnelle de l'acte comptable.<br /> <br />Seconde partie<br />Ces présupposés scientifiques clairement exposés, la seconde partie nous a amenés à proposer une relecture sociologique du système comptable. Conscients des insuffisances que présentent les approches standard, nous avons emprunté au courant conventionnaliste son mode de raisonnement. <br />Conformément à notre engagement épistémologique, nous avons commencé la réflexion en montrant que l'objet comptable ne s'impose pas de lui-même. En fonction de ses besoins, de ses objectifs et de sa propre culture, chacun s'en construit une représentation spécifique.<br />Toutefois, les fonctions informationnelle et redditionnelle de la comptabilité devaient faire émerger un modèle dont les divers utilisateurs ont du accepter les hypothèses fondatrices. Acceptation ne vaut toutefois pas approbation et le respect du principe d'unicité engendre des situations auxquelles le modèle comptable n'est pas adapté. La représentation des structures réticulaires en est une illustration.<br />Nous avons alors ensuite pris le parti d'analyser les conventions qui fondent le système tel qu'il s'est imposé à tous. Fortement marqués par un point de vue particulier, les choix qui président à la conception et l'évolution des comptes contribuent à orienter discrètement le regard que tout utilisateur pose sur la firme. La théorie des conventions a permis alors d'en mieux saisir la structure, l'origine et la logique. Ce jeune courant s'est présenté à nous comme une alternative salutaire au paradigme contractualiste. <br />Nous avons ainsi découvert que la convention comptable pouvait être approchée et étudiée comme une procédure collective identifiable par sa morphologie comme toute autre convention. Constituant un ordre surplombant les individus et les groupes, sa principale fonction est de procurer à l'individu un ensemble de balises afin d'assurer une convergence des pratiques comptables dans un espace normé.<br />La théorie des conventions fournit de cette façon, une grille de lecture originale invitant l'observateur à reconsidérer la comptabilité et les acteurs qui l'animent. Celle-ci ne se décrète pas en vertu de règles immanentes, justes et intangibles, mais apparaît plutôt comme une composition collective faite de choix, d'influences et de compromis. Quant aux acteurs, leurs actes au sein de l'espace comptable sont compréhensibles pour peu qu'on ait préalablement mis à jour les conventions auxquelles ils font référence pour agir.<br />Enfin, nous avons considéré que la régularité de la convention n'excluait en rien son évolution. Aussi, cette perspective dynamique de l'étude était particulièrement enthousiasmante pour le sujet qui nous préoccupe : le changement dans les comportements collectifs, notamment les pratiques comptables, ne relève pas du pur hasard. La transformation progressive et désordonnée des conventions comptables répond en fait à des influences et des courants profonds, s'appuyant sur des mécanismes collectifs et socialement construits. Nous avons tenté alors d'en découvrir la logique.<br />L'évolution d'une règle comptable nécessite l'émergence en amont, d'une convention adverse propre à la mettre en doute. Cette « alternative » présente un discours dont la cohérence et la pertinence peuvent selon les conditions séduire la population des convenants. En ce sens, elle doit être considérée comme l'élément de motricité par excellence du processus d'évolution des conventions comptables. Aussi, l'analyse incontournable de ses sources a-t-elle révélé deux catégories de facteurs d'émergence : les facteurs exogènes et endogènes, selon que leurs déterminants sont liés ou étrangers aux origines de la convention en place.
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Benjamin lecteur de Poe : la figure du détective, critique littéraireVilleneuve, Marianne January 2004 (has links)
Mémoire numérisé par la Direction des bibliothèques de l'Université de Montréal.
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Analyse critique de l'utilisation du concept de narratif dans l'étude des organisationsDubois, Marilyne January 2004 (has links)
Mémoire numérisé par la Direction des bibliothèques de l'Université de Montréal.
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Le dispositif pharmaceutique et le médicament psychotrope dans la formation du nouveau paradigme de la psychiatrie moderne / The pharmaceutical apparatus and the psychotropic drug in the fabrication of the new paradigm of modern psychiatryLondono, Diego 12 July 2012 (has links)
C’est à partir de l’idée des «paradigmes» en psychiatrie, formulée par le psychiatre G. Lantéri-Laura, que nous proposons la thèse du paradigme actuel de la psychiatrie, celui qui prédominerait dans la nosologie, la clinique, l’épidémiologie, la théorie et les traitements du champ psy. Suivant la thèse et la présentation de Lantéri-Laura des trois premiers paradigmes qu’il identifie, nous formulons, par hypothèse, l’existence d’un «Quatrième paradigme», qui est tributaire de l’apparition du premier médicament psychotrope, de la psychopharmacologie et de ce que nous appelons le «dispositif pharmaceutique». Ces nouveaux éléments et dispositifs auront des conséquences dans la clinique et le diagnostic, et dans la nosologie et la critériologie actuelles de tout le champ de la psychopathologie. Même si un champ du savoir psychiatrique préexiste à ce dispositif, c’est ce dernier qui va faire basculer ce champ, le transformer, redessiner ses contours et déclencher la rupture avec les éléments établis précédemment par la psychiatrie classique et la psychanalyse. Ce remaniement produira de nouvelles conceptions des «troubles»: il s’agit de ce que nous dénommerons des «troubles pharmaco-modifiés» et des «troubles pharmaco-déduits» ou «nouveaux syndromes». En outre, ces dispositifs modifieront à tout jamais la manière dont on conçoit les psychothérapies et les divers traitements inclus dans la praxis du champ «psy». Le dispositif pharmaceutique et la brèche ouverte par le médicament vont aussi remanier et permettre la parution de nouvelles formes des psychothérapies. L’incidence de la médecine des preuves sur la psychothérapie et la naissance depuis une vingtaine d’années des thérapies appuyées sur des épreuves empiriques (majoritairement thérapies cognitivo-comportementales), auront comme conséquence l’entrée d’un courant de pensée psychothérapeutique propre au Quatrième paradigme. / According to the idea of Ŗparadigmsŗ in psychiatry, formulated by psychiatrist G. Lantéri-Laura we propose the thesis of the current Ŗparadigmŗ of psychiatry, which predominates in the nosology, the clinics, the epidemiology, the theory and the treatments of the psychological field. Following the thesis and the presentation of Lantéri-Laura of the first three paradigms he identifies, we formulate, by hypothesis, the existence of a ŖFourth paradigmŗ, which is a result of the appearance of the first psychotropic drug, of psychopharmacology and of what we call the Ŗpharmaceutical apparatus.ŗ These new components and devices will have consequences in the clinical diagnosis, the nosology and the current criteria in all the field of psychopathology. Even if a field of psychiatric knowledge pre-exists this apparatus, it is the latter that will shake up this field, transform it, reshape its contours and trigger the rupture with the elements previously established by classical psychiatry and psychoanalysis. This overhaul will produce new types of Ŗdisordersŗ: this is what we will call Ŗpharmaco-modified disordersŗ and Ŗpharmaco-derived disordersŗ or Ŗnew syndromesŗ. Moreover, these apparatuses will change forever how one conceives psychotherapy and the various treatments included in the praxis of the psychological field. The Ŗpharmaceutical apparatusŗ and the breach opened by the drug will also redesign and allow the emergence of new forms of psychotherapy. The incidence of evidence-based medicine on psychotherapy and the rise in the last twenty years of empirically supported therapy (mainly cognitive behavior therapies) will result in the entry of a school of psychotherapeutic thought that belongs to the ŖFourth paradigm
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Constructing desire : Alfred Tennyson, Walt Whitman and the development of homoerotic desire in elegiac poetryCameron-Gardos, Paris Sébastien January 2004 (has links)
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La figure bidimensionnelle et les principes de son extension dans le planRenaud, Jean-François January 2006 (has links) (PDF)
Cette thèse traite de la forme visuelle. Nous y étudions plus spécifiquement la configuration des figures bidimensionnelles, c'est-à-dire les caractéristiques de disposition des éléments concourant à fixer son aspect. Nos observations ont pour but d'isoler dans la forme perçue les diverses contraintes spatiales susceptibles d'en affecter les organisations dans le plan. De ces contraintes d'extension émergeraient des figures de base, peu nombreuses, agissant comme des repères dans une grille de reconnaissance des formes. Selon notre hypothèse, la catégorisation perceptive à l'aide de types morphologiques et d'indices structuraux expliquerait -au moins en partie -les processus d'appréhension des formes. Nous comptons identifier les classes dominantes de ce répertoire par l'étude et la systématisation des comportements spatiaux. La thèse s'adresse à tout individu qu'intéressent les fondements de la communication par l'image. Comme notre projet porte sur les attributs physiques et esthétiques de la forme beaucoup plus que sur sa fonction iconographique, le lecteur doit s'attendre à une démarche centrée sur les procédés d'expression plastique. Les formes seront analysées comme des sources d'information objectives. ______________________________________________________________________________ MOTS-CLÉS DE L’AUTEUR : Communication, Configuration, Émergence, Figure, Forme, Image, Morphologie, Structure, Perception, Visuel.
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