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When Nikkei women write, transforming Japanese Canadian identities, 1887-1997Iwama, Marilyn Joy January 1998 (has links) (PDF)
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Interrogations into Female Identity in Arab American literature / Analyse de l’identité féminine dans la littérature arabo-américaineEl Deek Hosry, Manar 13 January 2017 (has links)
Cette thèse étudie des œuvres littéraires arabo-américaines contemporaines écrites par des femmes, plus spécifiquement les écrits d’Evelyn Shakir tels que Bint Arab, ainsi que plusieurs autres romans dont Arabian Jazz et Crescent de Diana Abu Jaber, The Inheritance of Exile de Susan Muaddi Darraj, The Night Counter d’Alia Yunis, et Once in a Promised Land de Laila Halaby. Elle montre comment ces œuvres construisent des univers où peuvent être interrogées les notions d’identité, de culture, d’ethnicité, et de genre. Les conflits quotidiens autour de l’identité sont traités en se fondant à la fois sur les œuvres critiques des femmes arabo-américaines et sur les études psycho-sociales du biculturalisme. De plus, ce travail met l’accent sur la formation de solidarités entre les femmes de couleur, en élargissant le concept de « conscience des zones frontalières » d’Anzaldua pour inclure les œuvres des écrivaines arabo-américaines. Les théories développées après la colonisation, particulièrement les études sur l’orientalisme à la suite d’Edward Said, sont également invoquées pour remettre en question le modèle oriental de la féminité. Enfin, cette thèse analyse la narration et son rôle dans la création d’un point d’ancrage pour les identités « exilées », insistant plus particulièrement sur la figure de Shéhérazade. Ce travail montre ainsi la façon dont les productions littéraires peuvent créer de nouveaux espaces pour comprendre les problèmes sociaux, politiques, culturels, ou ethniques. / This dissertation analyses contemporary Arab-American literary productions by female writers, specifically, Shakir’s collection of memoirs Bint Arab and her two short stories “Oh Lebanon” and “Name Calling,” as well as a selection of novels, Abu Jaber’s Arabian Jazz and Crescent, Darraj’s The Inheritance of Exile, Alia Yunis’s The Night Counter, and Laila Halaby’s Once in a Promised Land. It shows how these works construct a space which enables them to investigate questions of identity, culture, ethnicity and gender. Identity conflicts around everyday matters like physical appearance, color, dress codes, veiling, chastity, and marriage are addressed by drawing upon critical works by Arab-American female writers and psycho-social studies on biculturalism. Moreover, this work emphasizes coalition-building with women of color by extending Anzaldua’s concept of the “consciousness of the borderlands” to encompass works by Arab-American female writers. Theories by post-colonial thinkers, particularly Said’s studies on Orientalism, also contribute to the dissertation’s questioning of the Oriental model of womanhood. Finally, this dissertation envisages critical works that study storytelling and its role in creating a surrogate home for “exilic” identities, with special emphasis on the Scheherazadian narrative. This project views literary productions as an appropriate way to investigate social, political, cultural and ethnic issues. It shows how writings by Arab-American women contribute to exploring inner identity conflicts, how they connect with other minority groups, and how they create a new sense of home.
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Entre cohésions et divisions : les relations entre femmes auteures en France et en Italie (1770-1840)Lampron, Eve-Marie 10 1900 (has links)
Cette thèse documente, répertorie et analyse les relations entre les femmes auteures en France, en Italie, et entre Françaises et Italiennes, de 1770 à 1840, à partir de l’étude des correspondances et des ouvrages publiés de douze écrivaines (Anne-Marie de Beaufort d’Hautpoul, Sophie Gay, Félicité de Genlis, Marie-Émilie de Montanclos, Constance Pipelet Salm, Germaine de Staël, Teresa Bandettini, Elisabetta Caminer, Carolina Lattanzi, Diodata Saluzzo, Fortunata Sulgher Fantastici et Isabella Teotochi Albrizzi). Au cours d’une période caractérisée par le développement de l’imprimé, par l’importante participation féminine à la querelle des femmes, par le bouleversement politique international issu de la Révolution française et de l’époque napoléonienne, ainsi que par la présence affirmée des auteures, ces dernières font face à une réactivation des attaques contre l’autorat féminin. Dans ce contexte, les relations entre écrivaines illustrent le défi de « l’action commune » conçue dans une optique de défense d’une cause (celle des auteures) avant l’émergence du mouvement féministe.
Les écrivaines étant souvent présentées soit comme « sœurs, » soit comme « rivales », notre étude démontre que la nature des relations féminines est infiniment plus complexe dans les faits. D’un côté, les relations entre femmes auteures témoignent d’une certaine cohésion au sein de la communauté : les contacts sont nombreux, celles-ci s’épaulent en temps de crise, construisent des généalogies littéraires féminines, et déconstruisent les discours portant sur la soi-disant « exceptionnalité » et la « rivalité » des femmes de lettres. De l’autre côté, d’importantes divisions traversent leurs réseaux, notamment liées à l’appartenance nationale, aux opinions politiques et au positionnement de chacune dans le milieu littéraire. Outre les divisions sociales et politiques, cette thèse illustre la difficulté éprouvée par les auteures à arrimer leurs intérêts individuels (promotion de leur propre carrière, identités multiples interférant avec l’appartenance de sexe/genre) aux intérêts collectifs (légitimer l’autorat féminin). Ainsi, les écrivaines reconnaissent l’importance de la communauté des femmes auteures, tout en étant confrontées au défi d’en maintenir la cohésion, à une époque où non seulement l’activité littéraire, mais également le contexte culturel et politique, sont en pleine transformation. / This thesis documents, catalogues, and analyses relationships between female authors in France and Italy, and between French women and Italian women, from 1770 to 1840. It results from a study of the correspondence and published works of twelve women authors (Anne-Marie de Beaufort d’Hautpoul, Sophie Gay, Félicité de Genlis, Marie-Émilie de Montanclos, Constance Pipelet Salm, Germaine de Staël, Teresa Bandettini, Elisabetta Caminer, Carolina Lattanzi, Diodata Saluzzo, Fortunata Sulgher Fantastici, and Isabella Teotochi Albrizzi) over the course of a period marked by important developments in print culture, the significant involvement of women in the querelle des femmes, and the increased presence of women authors. These transformations, together with the international political upheaval caused by the French Revolution, saw attacks on female authorship pursued with increased vigour. The relationships between women authors within such a context illustrate the challenges faced in implementing a “common action” aimed at defending a female cause (that of female authors) before the advent of the feminist movement.
Often described as either “rivals” or “sisters”, this study demonstrates that the nature of relationships between women in this period was in fact far more complex. On the one hand, the community of female authors examined was marked by a certain degree of cohesion. These writers had wide-ranging networks of contacts, and could rely on each other for support in times of crisis. They constructed female literary genealogies and deconstructed the discourse used by others in reference to their community, particularly that relating to the “exceptionality” of and “rivalry” between women authors. On the other hand, significant differences also ran across the membership of these networks, notably in terms of nationality, political opinions, and the position each woman occupied within literary circles. Over and above these social and political divisions, this thesis illustrates the difficulties women faced in reconciling their individual interests (the advancement of their own careers, the divisive impact of their multiple identities with the cohesion of their sex/gender) with those of the collective (legitimizing female authorship). In short, this study examines the ways in which female authors recognized the importance of their community and faced the challenges of maintaining its cohesion, at a time when not only literary activity, but also the political and cultural context in which it was framed, were undergoing great transformation.
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L'expérience coloniale australienne au féminin dans le récits d'Ada Cambridge et de Mary Fortune / Women’s Australian colonial experience in Ada Cambridge’s and Mary Fortune’s narrativesMichel, Alice 24 November 2017 (has links)
Cette thèse se concentre sur la production d’Ada Cambridge (1844 – 1926) et de Mary Fortune (1833 – 1909), deux écrivaines coloniales australiennes aujourd’hui méconnues mais très populaires au cours de la seconde moitié du XIXe siècle. Nous nous intéressons à la représentation de l’expérience coloniale de ces femmes ayant quitté le Royaume-Uni pour l’Australie ainsi qu’à la manière dont leurs récits, majoritairement publiés dans des journaux, agirent sur le statut des femmes dans la société coloniale. Plus spécifiquement, nous étudions leur expérience en tant qu’écrivaines, c’est-à-dire le contexte de production et de réception de leurs récits, ainsi que leur représentation de la différence culturelle et de la différence de genre. Le corpus étudié contient des textes issus des archives littéraires australiennes, notamment des romans-feuilletons, nouvelles et articles de journalisme publiés dans des journaux de l’époque coloniale comme The Australian Journal, The Age et The Australasian. En inscrivant ces textes dans leur contexte historique, cette thèse révèle leur importance dans le contexte social de leur époque tout en mettant en lumière les choix littéraires de ces écrivaines, longtemps délaissées par une vision nationaliste et masculiniste de l’histoire de la littérature australienne. Cette thèse a ainsi deux objectifs principaux : enrichir notre connaissance de l’expérience coloniale australienne en prenant en compte des récits méconnus et étudier la poétique des oeuvres d’Ada Cambridge et de Mary Fortune au regard de leur contexte de production afin de réévaluer ces récits ainsi que leur place dans l’histoire littéraire australienne. / This thesis deals with the works of Ada Cambridge (1844 – 1926) and Mary Fortune (1833 – 1909), two Australian colonial women writers who have been neglected and long forgotten, yet who were very popular in the nineteenth century. It focuses on how these women, who left the United Kingdom to settle in Australia, represent their colonial experience, as well as on the influence of their narratives, mostly published in newspapers, on women’s status in the colonial society. More precisely, it is a study of their experience as women writers, a study that includes the context of production and reception of their work as well as their respective representations of cultural and gender difference in the Australian colonies. This analysis includes texts previously buried in the Australian literary archives, such as serial novels, short stories and press articles published in colonial newspapers such as The Australian Journal, The Age, and The Australasian. By inscribing these texts in their historical context, this thesis reveals their importance in the social context of their time and reconsiders the literary choices of these writers, long decried by the dominant nationalist and masculinist vision of Australian literary history and criticism. This thesis thus has two main objectives: developing our knowledge of the Australian colonial experience by taking into account little known or unknown narratives, and studying the poetics of Ada Cambridge’s and Mary Fortune’s narratives in the light of their production context in order to reassess these texts as well as their place in Australian literary history.
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Entre cohésions et divisions : les relations entre femmes auteures en France et en Italie (1770-1840)Lampron, Eve-Marie 10 1900 (has links)
Cette thèse documente, répertorie et analyse les relations entre les femmes auteures en France, en Italie, et entre Françaises et Italiennes, de 1770 à 1840, à partir de l’étude des correspondances et des ouvrages publiés de douze écrivaines (Anne-Marie de Beaufort d’Hautpoul, Sophie Gay, Félicité de Genlis, Marie-Émilie de Montanclos, Constance Pipelet Salm, Germaine de Staël, Teresa Bandettini, Elisabetta Caminer, Carolina Lattanzi, Diodata Saluzzo, Fortunata Sulgher Fantastici et Isabella Teotochi Albrizzi). Au cours d’une période caractérisée par le développement de l’imprimé, par l’importante participation féminine à la querelle des femmes, par le bouleversement politique international issu de la Révolution française et de l’époque napoléonienne, ainsi que par la présence affirmée des auteures, ces dernières font face à une réactivation des attaques contre l’autorat féminin. Dans ce contexte, les relations entre écrivaines illustrent le défi de « l’action commune » conçue dans une optique de défense d’une cause (celle des auteures) avant l’émergence du mouvement féministe.
Les écrivaines étant souvent présentées soit comme « sœurs, » soit comme « rivales », notre étude démontre que la nature des relations féminines est infiniment plus complexe dans les faits. D’un côté, les relations entre femmes auteures témoignent d’une certaine cohésion au sein de la communauté : les contacts sont nombreux, celles-ci s’épaulent en temps de crise, construisent des généalogies littéraires féminines, et déconstruisent les discours portant sur la soi-disant « exceptionnalité » et la « rivalité » des femmes de lettres. De l’autre côté, d’importantes divisions traversent leurs réseaux, notamment liées à l’appartenance nationale, aux opinions politiques et au positionnement de chacune dans le milieu littéraire. Outre les divisions sociales et politiques, cette thèse illustre la difficulté éprouvée par les auteures à arrimer leurs intérêts individuels (promotion de leur propre carrière, identités multiples interférant avec l’appartenance de sexe/genre) aux intérêts collectifs (légitimer l’autorat féminin). Ainsi, les écrivaines reconnaissent l’importance de la communauté des femmes auteures, tout en étant confrontées au défi d’en maintenir la cohésion, à une époque où non seulement l’activité littéraire, mais également le contexte culturel et politique, sont en pleine transformation. / This thesis documents, catalogues, and analyses relationships between female authors in France and Italy, and between French women and Italian women, from 1770 to 1840. It results from a study of the correspondence and published works of twelve women authors (Anne-Marie de Beaufort d’Hautpoul, Sophie Gay, Félicité de Genlis, Marie-Émilie de Montanclos, Constance Pipelet Salm, Germaine de Staël, Teresa Bandettini, Elisabetta Caminer, Carolina Lattanzi, Diodata Saluzzo, Fortunata Sulgher Fantastici, and Isabella Teotochi Albrizzi) over the course of a period marked by important developments in print culture, the significant involvement of women in the querelle des femmes, and the increased presence of women authors. These transformations, together with the international political upheaval caused by the French Revolution, saw attacks on female authorship pursued with increased vigour. The relationships between women authors within such a context illustrate the challenges faced in implementing a “common action” aimed at defending a female cause (that of female authors) before the advent of the feminist movement.
Often described as either “rivals” or “sisters”, this study demonstrates that the nature of relationships between women in this period was in fact far more complex. On the one hand, the community of female authors examined was marked by a certain degree of cohesion. These writers had wide-ranging networks of contacts, and could rely on each other for support in times of crisis. They constructed female literary genealogies and deconstructed the discourse used by others in reference to their community, particularly that relating to the “exceptionality” of and “rivalry” between women authors. On the other hand, significant differences also ran across the membership of these networks, notably in terms of nationality, political opinions, and the position each woman occupied within literary circles. Over and above these social and political divisions, this thesis illustrates the difficulties women faced in reconciling their individual interests (the advancement of their own careers, the divisive impact of their multiple identities with the cohesion of their sex/gender) with those of the collective (legitimizing female authorship). In short, this study examines the ways in which female authors recognized the importance of their community and faced the challenges of maintaining its cohesion, at a time when not only literary activity, but also the political and cultural context in which it was framed, were undergoing great transformation.
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A comparative study of contemporary Canadian and Chinese women writersYan, Qigang January 1997 (has links) (PDF)
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Constitution du corpus des écrits des femmes dans la presse canadienne-française entre 1883 et 1893 et analyse de l'usage des pseudonymesPilon, Simone January 1999 (has links) (PDF)
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The construction of identity in the life writing of Native Canadian womenKardynal, Kevin John. January 1999 (has links) (PDF)
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Deux générations d’écrivaines africaines. Les femmes qui se conforment aux normes et les femmes qui font du bruit. Mariama Bâ et Calixthe Beyala. / Two generations of African writers: Women who conform to norms, and women who make noise. Mariama Bâ and Calixthe Beyala.Nilsson, Birgitta January 2014 (has links)
The title of this paper is "Two generations of African writers: Women who conform to norms, and women who make noise. Mariama Bâ and Calixthe Beyala”. In this study we analyze two novels, Une si longue lettre by Mariama Bâ (1979) and Assèze l’Africaine by Calixthe Beyala (1994). We examine the similarities and differences in expression, style and themes. Our objective is to determine whether Bâ and Beyala are representing two different groups of African female writers. We have combined a postcolonial approach with a comparative method. Our hypothesis is that the two novels stand in contrast to each other through differences in themes and styles. In order to test this hypothesis we use previous research. Our analysis shows that the work of Bâ has a sober and refined style of writing. Bâ is raising awareness of the situation of women, without deviating from social norms, choosing themes such as polygamy, sisterhood and the value of education. In the work of Beyala we see a more pronounced political criticism, in a bolder and more agitating style of writing. Our conclusion is that the two novels are strongly differentiated through themes and styles. Bâ and Beyala belong to two different generations of female French-speaking African authors.
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Emma Gendron, polyphonie médiatique d'une femme pas comme les autres (1897-1952)Hins, Sara-Juliette 23 April 2018 (has links)
Dans la foulée des recherches en histoire littéraire des femmes, cette thèse porte sur Emma Gendron, une femme de lettres canadienne-française qui a entre autres signé une pièce de théâtre, un courrier des lecteurs, deux romans, deux scénarios et de nombreuses nouvelles au Québec entre les années 1920 et 1940. Malgré ce fait, c’est surtout à titre de scénariste qu’elle est mentionnée dans l’histoire parce qu’elle est la première francophone du Québec à pratiquer cette forme d’écriture. Si, de façon générale, les textes dans ces domaines retracent brièvement sa carrière et sa biographie en insistant sur le pan journalistique ou cinématographique, aucun ne propose une véritable analyse de ses œuvres. Il semble que les travaux en histoire littéraire n’aient pas abordé de façon approfondie et spécifiquement littéraire la trajectoire et l’œuvre de polygraphes comme Gendron, ni mis en valeur les enjeux sociolittéraires que soulève leur pratique et ce qu’elle représente dans le champ littéraire, tant du point de vue de la production que de la réception de leurs textes. Cette thèse retrace d’abord la trajectoire d’Emma Gendron. Elle traite de ses collaborations journalistiques et des différentes postures qu’elle a adoptées durant son parcours. Nous analysons ensuite les tendances idéologiques à l’œuvre dans la chronique « Éternel féminin » de La Revue populaire et « Le Courrier de Manon » dans Le Samedi. Puis, nous voyons comment la figure de l’orpheline dans les textes de Gendron ouvre un plus grand monde des possibles dans la fiction et sert de moteur à l’action. La réalisation de soi au féminin, par l’exercice d’une profession ou le choix d’un mari, est une autre piste que cette thèse explore. La position de Gendron à cet égard constitue une forme de médianité entre les modèles anciens et modernes. Enfin, nous nous penchons sur les thèmes de la modernité et de l’américanité. Nous croyons qu’à l’instar du traitement des héroïnes exerçant une profession, la position de Gendron par rapport à l’américanité se situe également dans l’entre-deux. Certaines œuvres véhiculent une idéologie plus conservatrice, alors que d’autres constituent une rupture par rapport au discours dominant. / On the heels of researches in women’s literary history, this thesis focuses on Emma Gendron, a French-Canadian writer, who among others signed a play, a letter to the editor, two novels, two scenarios and many short stories in Quebec between 1920 and 1940. Despite this fact, it is mainly as a writer that she is mentioned in the story because she is the first francophone Quebec to practice this form of writing. If in general, the texts in these areas briefly trace her career and biography emphasizing journalistic aspect or film, none offers a real analysis of her works. It seems that the work in literary history have not addressed thoroughly and specifically literary trajectory and the work of polygraphs as Gendron, nor highlighted the socio-literary issues at work from the point of view of production reception when we try to understand their practice and what they represent in the literary field. First of all, this thesis traces Emma Gendron’s trajectory. It discusses her journalistic collaborations and the different postures that she adopted during her career. We then analyze the ideological tendencies at work in the column “The eternal feminine” in La Revue populaire and “Le Courrier de Manon” in Le Samedi. Then, we see that the recurrence of orphan character in the texts of Gendron opens a larger world of possibilities to this figure in fiction and is used as motor for action. Feminine self-realization, by the exercise of a profession or the choice of a husband is another track that this thesis explores. Gendron’s position in this respect is a form of médianité, a compromise between the old and modern styles. Finally, we look at the themes of modernity and Americanity. We believe that, like the treatment of the heroines who practice a profession, the position of Gendron in relation to Americanity is in-between, in médianité. Some works conveyed a more conservative ideology, while others seem to illustrate a break or some novelty compared to the dominant discourse.
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