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La musicalité au fondement de l'identité. Héritages africains dans Le chercheur d'Afriques d'Henri Lopes

Portier, Françoise 29 March 2011 (has links)
Le chercheur d’Afriques est une quête des origines de l’identité métisse ou africain post coloniale, marquée par le métissage des cultures. L’auteur s’appuie sur la musicalité de ses personnages et de son écriture pour offrir des éléments de réponse, proposant ainsi une lecture contemporaine de la thèse de l’émotion nègre. Ce retour à certains éléments de la négritude selon Léopold S. Senghor est libéré de l’idée de supériorité de la raison sur les sens. Henri Lopes souligne l’identité en question en la définissant comme un entre-deux, un espace qui n’est pas plus l’un que l’autre, mais plutôt la relation musicale qu’ils entretiennent, lien fragile qui associe et dissocie les deux tenants incontournables de cette quête, à savoir la civilisation africaine et la civilisation européenne. Cette thèse se propose d’analyser la musicalité telle qu’elle est mise en scène par Henri Lopes, à savoir comme un fondement de l’identité qui définit dans leur altérité les différents héritages culturels qui donnent corps à la métissité. Nous explorons, pour ce faire, les chemins empruntés au XXe siècle, à partir de la définition donnée par la négritude senghorienne, puisqu’elle a défendu ce qui aujourd’hui semble aller de soi, c’est-à-dire la complexité de la nature humaine qui, maintes fois et ce, quelle que soit la civilisation qui la détermine, oscille entre raison et émotion, entre parole et musique, dans un concert de voix principalement situées dans Le chercheur d’Afriques, d’une part, dans le monde colonial et, d’autre part, dans le monde post colonial.
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La musicalité au fondement de l'identité. Héritages africains dans Le chercheur d'Afriques d'Henri Lopes

Portier, Françoise 29 March 2011 (has links)
Le chercheur d’Afriques est une quête des origines de l’identité métisse ou africain post coloniale, marquée par le métissage des cultures. L’auteur s’appuie sur la musicalité de ses personnages et de son écriture pour offrir des éléments de réponse, proposant ainsi une lecture contemporaine de la thèse de l’émotion nègre. Ce retour à certains éléments de la négritude selon Léopold S. Senghor est libéré de l’idée de supériorité de la raison sur les sens. Henri Lopes souligne l’identité en question en la définissant comme un entre-deux, un espace qui n’est pas plus l’un que l’autre, mais plutôt la relation musicale qu’ils entretiennent, lien fragile qui associe et dissocie les deux tenants incontournables de cette quête, à savoir la civilisation africaine et la civilisation européenne. Cette thèse se propose d’analyser la musicalité telle qu’elle est mise en scène par Henri Lopes, à savoir comme un fondement de l’identité qui définit dans leur altérité les différents héritages culturels qui donnent corps à la métissité. Nous explorons, pour ce faire, les chemins empruntés au XXe siècle, à partir de la définition donnée par la négritude senghorienne, puisqu’elle a défendu ce qui aujourd’hui semble aller de soi, c’est-à-dire la complexité de la nature humaine qui, maintes fois et ce, quelle que soit la civilisation qui la détermine, oscille entre raison et émotion, entre parole et musique, dans un concert de voix principalement situées dans Le chercheur d’Afriques, d’une part, dans le monde colonial et, d’autre part, dans le monde post colonial.
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La musicalité au fondement de l'identité. Héritages africains dans Le chercheur d'Afriques d'Henri Lopes

Portier, Françoise 29 March 2011 (has links)
Le chercheur d’Afriques est une quête des origines de l’identité métisse ou africain post coloniale, marquée par le métissage des cultures. L’auteur s’appuie sur la musicalité de ses personnages et de son écriture pour offrir des éléments de réponse, proposant ainsi une lecture contemporaine de la thèse de l’émotion nègre. Ce retour à certains éléments de la négritude selon Léopold S. Senghor est libéré de l’idée de supériorité de la raison sur les sens. Henri Lopes souligne l’identité en question en la définissant comme un entre-deux, un espace qui n’est pas plus l’un que l’autre, mais plutôt la relation musicale qu’ils entretiennent, lien fragile qui associe et dissocie les deux tenants incontournables de cette quête, à savoir la civilisation africaine et la civilisation européenne. Cette thèse se propose d’analyser la musicalité telle qu’elle est mise en scène par Henri Lopes, à savoir comme un fondement de l’identité qui définit dans leur altérité les différents héritages culturels qui donnent corps à la métissité. Nous explorons, pour ce faire, les chemins empruntés au XXe siècle, à partir de la définition donnée par la négritude senghorienne, puisqu’elle a défendu ce qui aujourd’hui semble aller de soi, c’est-à-dire la complexité de la nature humaine qui, maintes fois et ce, quelle que soit la civilisation qui la détermine, oscille entre raison et émotion, entre parole et musique, dans un concert de voix principalement situées dans Le chercheur d’Afriques, d’une part, dans le monde colonial et, d’autre part, dans le monde post colonial.
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La musicalité au fondement de l'identité. Héritages africains dans Le chercheur d'Afriques d'Henri Lopes

Portier, Françoise January 2011 (has links)
Le chercheur d’Afriques est une quête des origines de l’identité métisse ou africain post coloniale, marquée par le métissage des cultures. L’auteur s’appuie sur la musicalité de ses personnages et de son écriture pour offrir des éléments de réponse, proposant ainsi une lecture contemporaine de la thèse de l’émotion nègre. Ce retour à certains éléments de la négritude selon Léopold S. Senghor est libéré de l’idée de supériorité de la raison sur les sens. Henri Lopes souligne l’identité en question en la définissant comme un entre-deux, un espace qui n’est pas plus l’un que l’autre, mais plutôt la relation musicale qu’ils entretiennent, lien fragile qui associe et dissocie les deux tenants incontournables de cette quête, à savoir la civilisation africaine et la civilisation européenne. Cette thèse se propose d’analyser la musicalité telle qu’elle est mise en scène par Henri Lopes, à savoir comme un fondement de l’identité qui définit dans leur altérité les différents héritages culturels qui donnent corps à la métissité. Nous explorons, pour ce faire, les chemins empruntés au XXe siècle, à partir de la définition donnée par la négritude senghorienne, puisqu’elle a défendu ce qui aujourd’hui semble aller de soi, c’est-à-dire la complexité de la nature humaine qui, maintes fois et ce, quelle que soit la civilisation qui la détermine, oscille entre raison et émotion, entre parole et musique, dans un concert de voix principalement situées dans Le chercheur d’Afriques, d’une part, dans le monde colonial et, d’autre part, dans le monde post colonial.
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Discours identitaire arabo-africain : al-Faytūrī entre l'arabité et l'africanité / Arab-african identity speech : al-Faytūrī between arabism and africanism

Savadogo, Sayouba 16 May 2013 (has links)
Cette recherche intitulée DISCOURS IDENTITAIRE ARABO AFRICAIN: AL-FAYTŪRĪ ENTRE L'ARABITÉ ET L'AFRICANITÉ est une étude de cas qui tente de comprendre la diversité culturelle dans le milieu arabe. Les œuvres complètes d'al-Faytūrī illustrent comment l'africanité est aperçue dans cet environnement. Outre ce résumé, l'introduction générale, la méthodologie, la conclusion générale et les annexes, ce travail est composé de deux parties. La première est théorique. Elle est constituée de deux chapitres: chapitre de la bibliographie et celui de la description textuelle des œuvres d'al-Faytūrī. La seconde partie est analytique. Elle est constituée également de deux chapitres: le premier porte sur les théories interculturelles qui ont servi à l'interprétation des œuvres d'al-Faytūrī, le deuxième porte sur la discussion des thèmes constituant le discours identitaire arabo-africain de cet auteur. / This research entitled ARAB-AFRICAN IDENTITY SPEECH: AL-FAYTŪRĪ BETWEEN ARABISM AND AFRICANISM is a case study that seeks to understand the cultural diversity within the Arab environment. The complete works of al-Faytūrī illustrate how Africanness is seen in this environment. In addition to this summary, the general introduction, the methodology, the overall conclusion and appendices, this work is composed of two parts. The first is theoretical. It consists of two chapters: chapter one bibliography and textual description of the works of al-Faytūrī. The second part is analytical. It also consists of two sections: the first focuses on intercultural theories that were used in the interpretation of the works of al-Faytūrī, the second focuses on the discussion of themes constituting the Arab-African identity discourse by this author.
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L'africanité dans la littérature caribéenne / Africanity in caribbean literature

Eluther, Ena 25 January 2013 (has links)
L’africanité des cultures caribéennes se résume-t-elle à de lointaines survivances, ou constitue-t-elle le fondement de ces cultures ? La littérature, miroir des peuples, peinture des cultures, et expression artistique, permet de percevoir la continuité culturelle et littéraire, entre le continent africain et sa diaspora caribéenne. La confrontation de romans, caribéens francophones et anglophones d’une part, africains de l’Afrique subsaharienne et de l’Afrique centrale d’autre part, révèle des traits culturels communs et des topoï littéraires d’une zone à l’autre : traumatismes coloniaux, protection et adaptation de l’héritage ancestral, valeurs spirituelles communes, problématiques linguistiques, peinture des luttes de résistance aux premiers rangs desquelles se retrouve l’écrivain lui-même. Cette étude comparatiste, qui puise parfois dans l’oraliture caribéenne et africaine, comme dans la littérature caribéenne hispanophone, invite à percevoir les expressions culturelles afro-caribéennes comme un prolongement des expressions culturelles africaines, offrant ainsi un plus large panorama du monde littéraire et culturel noir. De 1921 aux années 2000, l’analyse prend en compte les changements qu’ont connus les littératures africaines, caribéennes et les sociétés qu’elles représentent. Ces mutations ont-elles définitivement brisé l’ensemble civilisationnel africain, ont-elles rompu les liens culturels entre l’Afrique et les Amériques ? La lecture des romans du corpus présente un tableau, au contraire, homogène et cohérent des expressions culturelles et littéraires d’Afrique et de sa diaspora caribéenne, replaçant ainsi l’Afrique au centre de la culture caribéenne. / Can the africanity of caribbean cultures come down to distant survivals, or constitute the foundation of these cultures ? Literature, as a mirror of peoples, as a painting of cultures, as art, allows to perceive the cultural and literary continuity between the african continent and its caribbean diaspora. The comparison of english-speaking and french-speaking novels from the Caribbean and from West Africa and Central Africa shows common cultural features and literary topoi from one area to the other : colonial trauma, protection and adaptation of ancestral legacy, common spiritual values, linguistic problematics, paintings of resistance struggles in which the writer himself is in the frontline. This comparative study, which sometimes draws from caribbean and african oral literature, as from caribbean spanish-speaking literature, suggests that one should view the afro-caribbean cultural expressions as an extension of african cultural expressions, offering in this way a large panorama of the cultural and literary black world. From 1921 to the early years 2000, this analysis takes into account the changes of african and caribbean literatures and the societies they represent. Have the changes definitively broken the african civilizational unity, the cultural links between Africa and the Americas ? On the contrary, the reading of the novels of the corpus shows an homogeneous and coherent picture of cultural and literary expressions of Africa and its caribbean diaspora, so doing putting Africa back into the center of caribbean culture.
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Hip-hop, africanité, mixité : les représentations identitaires multiples chez les jeunes Guadeloupéens urbains

Guerlotté, Charlotte 08 1900 (has links)
La Guadeloupe s’est construite avec la colonisation européenne à partir de la traite négrière, aux dépens des populations africaines, et de multiples vagues de travailleurs migrants (Indiens, Syriens, etc.). Certains auteurs conceptualisent les dynamiques identitaires et ethniques de ces populations soit par une construction identitaire mixte, la créolisation, en rupture avec « l’Ancien Monde » (Glissant, 1997 ; Bonniol, 2006, etc.), soit par une conception essentialiste, l’afrocentricité, en continuité avec l’Afrique, où l’aliénation des anciens empires coloniaux est dénoncée (Asante, 2007; Mazama, 1997). Comment les jeunes Guadeloupéens urbains d’aujourd’hui se représentent-ils leurs identités ? Participent-ils à ce débat idéologique ? Cette étude analyse treize entretiens semi-dirigés de jeunes d’une vingtaine d’années, résidant à Pointe-à-Pitre et ses périphéries urbaines et majoritairement issus de la culture hip-hop, ainsi qu’une série d’observations participantes réalisées dans les studios d’enregistrement de certains répondants (été 2014). À travers leurs discours, l’ethnicité guadeloupéenne est représentée par une vision pluriethnique et parfois mixte, à une vision d’ascendance africaine. Les représentations créoles ou afrocentriques sont rares. Certains jeunes mettent en avant leur africanité et d’autres s’en éloignent en s’identifiant à des ancêtres esclaves ou à une mixité ethnique. La culture hip-hop a également une place importante dans leurs représentations identitaires. Finalement, il est difficile de faire ressortir une tendance générale dans leurs discours, tant leurs dynamiques identitaires sont variées. Ce mémoire démontre l’intérêt de mettre en valeur la diversité des représentations identitaires et l’importance de considérer les discours identitaires individuels plutôt que ceux collectifs présents notamment dans la créolisation ou l’afrocentricité. / Guadeloupe was built around the slave trade of African people, European colonization, and multiple waves of migrant workers (Indians, Syrians, etc.). Some scholars conceptualize the ethnicities and identities of these populations as mixed and “new”; Creolization, where a link to the "Old World" is no longer relevant (Glissant, 1997: Bonniol 2006, etc.). Others see an essentialist notion of African identity, Afrocentricity, while old colonial empires’ cultural alienations are denounced (Asante, 2007: Mazama, 1997). How do young urban Guadeloupeans represent their own identities today ? Do they participate in this ideological debate through their identifications? This thesis is based on thirteen semi-structured interviews of youths in their twenties living in Pointe-à-Pitre and peripheral urban areas who mainly associate themselves with hip-hop culture, and a series of participant observations made in the recording studios of the project participants (summer 2014). Based on this research, I have concluded that Guadeloupe's collective identity can be represented as multiethnic, sometime comprised of a notion of mixed ethnicity, and often of African ancestry. However, representation of creole or afrocentric is rare. Moreover, some young people put forward their africanity, while others identify themselves with slave ancestors or mixed ethnicity. Hip-hop culture is also an important part of their identity representations. It is difficult to point out speech patterns because their identity dynamics are diversified. This study highlights the diversity of identity representations and the importance of considering individual identity dynamics rather than collective identity discourses present in particular in Creolisation or Afrocentricity
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Ethnicités en miroir. Constructions sociales croisées de la blanchité et de l'africanité au prisme des mobilités touristiques et migratoires vers le Sénégal / Mirror ethnicity. Social constructions of whiteness and africaness through tourist mobility and migrations to Senegal

Quashie, Hélène 17 September 2018 (has links)
A partir de six terrains d’étude menés dans plusieurs régions du Sénégal (Petite Côte, Saloum, Saint-Louis, Sénégal oriental et Dakar), cette thèse explore l’articulation différenciée des enjeux de classe et de race dans des contextes de mobilités et de migrations issues d’Europe et d’Amérique du Nord. Les trajectoires, pratiques et modes relationnels enquêtés sont liés au tourisme balnéaire et culturel, à l’entrepreneuriat individuel en situation post-touristique, à des mobilités pour étude, et aux parcours professionnels du volontariat et de l’expatriation. Ces configurations sociales mondialisées, souvent inscrites dans des champs de recherche dissociés, favorisent l’analyse croisée de la construction de deux ethnicités, la blanchité et l’africanité, conçues comme notions emic et etic. Leurs productions socio-identitaires se déploient, se croisent et se répondent, selon des mécanismes récurrents de hiérarchisation de classes et de confrontation raciale à l’échelle des interactions individuelles et des dynamiques collectives. Elles font aussi écho à des logiques de stratification et de sélection sociale, intrinsèques à la société sénégalaise, qui vont au-delà du marqueur chromatique et se combinent à des représentations culturalistes et ethniques. Les échelles socio-historiques, les asymétries de classe transnationales, les identifications religieuses, phénotypiques et genrées, présents dans les contextes de mobilités et migrations étudiés, soulignent la valeur heuristique des catégorisations identitaires de la blanchité dans les processus de classification sociale, racialisée et ethnicisée, au regard des définitions plurielles de l’africanité. Analyser ces mécanismes d’assignation et de distinction dans une société africaine telle que le Sénégal permet également de penser la question postcoloniale au cœur des ambivalences du champ social et invite à interroger la positionnalité des chercheur.e.s dans la pratique ethnographique et la production des savoirs sur l’Afrique. / Based on six fieldworks conducted in several regions of Senegal (Petite Côte, Saloum, Saint-Louis, Oriental Senegal and Dakar), this thesis explores the social mechanisms which articulate class and race issues in different contexts of mobility and migration from Europe and North America. The trajectories, practices and ways of socializing investigated are related to seaside and cultural tourism, individual entrepreneurship in post-tourist contexts, study abroad programs and professional flows of voluntary service and expatriation. These social and globalized settings, often addressed in distinct fields of research, underlie a cross analysis of the constructions of two ethnicity – whiteness and africaness – considered as emic and etic notions. The social identities they produce respond to one another and reveal recurring patterns in social hierarchy and racial confrontation throughout individual interactions and collective dynamics. They also echo logics of social stratification and selection within the Senegalese society, which are combined with culturalist and ethnic representations, beyond color markers. The contexts of mobility and migration investigated are embedded into specific socio-historical backgrounds, transnational asymmetry of class and process of identification based on religion, phenotype and gender. They all reflect the heuristic value of whiteness and its production of identity in social, racialized and ethnicized categorization, regarding multiple meanings of africaness. Analyzing these mechanisms of social distinction in an African society such as Senegal leads to face postcolonial thinking with the ambiguities of social spheres. It also questions the positionality of researchers through ethnography and in the production of knowledge about Africa.

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