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Entre le roi et le prince : la principauté de Morée aux mains des rois de Sicile : Charles 1er et Charles II d'Anjou (1267-1309) / Between the king and the prince : the principality of Morea in the hands of Charles Ist and Charles II of Sicily (1267-1309)

Sampsonis, Florence 08 October 2016 (has links)
A partir de l'étude approfondie des registres angevins de Naples, l'objet de cette thèse est d'analyser les caractéristiques du pouvoir angevin établi dans la principauté de Morée, depuis sa cession par le prince Guillaume de Villehardouin au roi Charles Ier d'Anjou en 1267, jusqu'à la mort de Charles II d'Anjou en 1309. Seigneurs supérieurs de toute la principauté durant toute cette période, et même princes effectifs de la Morée entre 1278 et 1289, les rois de Sicile ont eu le souci de gouverner ce territoire en mettant en place une administration efficace et centralisée, s'appuyant à la fois sur les ressources humaines de leur royaume et sur les élites moréotes, menant leurs politiques dans le respect des coutumes locales. Ils ne remirent pas en cause les structures féodales et religieuses de la principauté, et encouragèrent les échanges commerciaux avec la Morée. Imposant leur autorité aux princes et à la princesse Isabelle de Villehardouin, les angevins ont su gérer plusieurs conflits, y compris celui opposant le prince au duc d'Athènes. Ils n'ont pu cependant reprendre les territoires conquis par les Byzantins : si Charles Ier a mené plusieurs opérations militaires dans le Péloponnèse, sans réel succès, la crise de Vêpres Siciliennes a mis un terme à ses ambitions militaires, Charles II laissant la défense de la péninsule aux mains des princes. Devenue dépendante du Royaume de Sicile, notamment avec la destitution de la princesse Isabelle en 1304, la principauté de Morée devint alors une simple province périphérique du royaume Angevin / Based on the thorought study of the Angevins registers of Naples, this doctoral thesis aims at analysing the caracteristics of the Angevin power established in the principality of Morea, from its transfer by prince William of Villehardouin to the king Charles Ist of Anjou in 1309, until the death of Charles II of Anjou in 1309. Superior lords of the principality during this period, and effective princes of Morea between 1278 and 1289, the kings of Sicily cared about governing this territory, installing an efficient and centralized administration, leaning both on the human resources of their kingdom and on the Moreotes elites, leading their politics in the respect of the local customs. They didn't change the feodal and religious structures of the principality, and they stimulated commercial exchanges with Morea. They imposed their authority to the princes and the princess Isabelle of Villehardouin. The angevins succed in managing several conflicts, even the one between the prince and the duke of Athens. But they couldn't retake the territories capures by the Byzantins : if Charles Ist lead several military operations in the Peloponese without real success, the Sicilian Vespers crisis put an end to his military ambitions. Charles II let the defense of the principality to the prince hands. The principilaty of Morea became dependant on the kingdom of Sicily, especially with the deposition of the princess Isabelle in 1304, and became then a mere peripheral province of the kingdom of Sicily
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Femmes au « coeur d’homme » ou pouvoir au féminin ? : Les duchesses de la seconde Maison d’Anjou (1360-1481) / Women « with a man’s heart » or female leadership? : The Duchesses of the second House of Anjou (1360-1481)

Chaigne-Legouy, Marion 08 December 2014 (has links)
La présente thèse de doctorat trouve son origine dans la singularité de l’histoire de la seconde Maison d’Anjou (1360-1481), qui se caractérise, à chaque génération, par des temps de rupture au cours desquels les femmes se trouvent en charge de la conduite de l’État comme régente, lieutenante ou en tant que vice-régente. Cette dynastie princière française offre un terrain d’observation privilégié pour décrire et expliquer un phénomène, en cours d’élaboration juridique et pratique à la fin du Moyen Âge, celui de l’exercice du pouvoir politique par des souveraines qui n’auraient pas dû gouverner. Grâce au croisement de sources de nature très variée, il s’agit aussi de mesurer les progrès administratifs ou les évolutions institutionnelles de la principauté auxquels participent les duchesses. Ces dernières ont également joué un rôle essentiel dans la construction territoriale de leur État, permettant de donner corps à une histoire commune d’espaces traditionnellement étudiés de façon indépendante : l’Anjou, la Provence, le Barrois, la Lorraine, Naples. L’étude, qui porte sur plus d’un siècle, repose sur une dialectique entre existence individuelle et fortune collective afin d’offrir une cohérence nouvelle aux problématiques liant l’identité et l’action politique féminine. Celle-ci est abordée au travers d’approches multiples (politique, anthropologique, juridique, quantitative) et de thèmes variés (finances, entourage, gouvernement des corps constitués, guerre, relations diplomatiques). L’analyse met ainsi à jour les mécanismes et les dynamiques par lesquelles, d’un côté, ces princesses exercent leur autorité à l’égal des hommes, comme des femmes « au coeur d’homme », tout en étant, d’un autre, contraintes par les restrictions morales, mentales et juridiques imposées à leur genre, les conduisant à adopter une pratique gouvernementale spécifiquement féminine, à exalter des vertus singulières, voire à tenter de modifier les règles de la politique ordinaire. / This PhD thesis is based on the specificity of the history of the second House of Anjou (1360-1481) characterized in each generation by moments of discontinuity in which women find themselves in state governing positions as regents, lieutenants or vice-regents. This princely French dynasty offers a unique opportunity to observe and analyze a phenomenon that was in the developing stages both judicially and practically at the end of the Middles Ages, namely the exercise of political power by sovereigns who were not supposed to govern. Due to the increasing variety of existing sources, this study will also assess the administrative progress or institutional developments in the principalities where the Duchesses were involved in governing. The Duchesses have also been instrumental in the territorial expansions of their states, enabling the articulation of a common history for areas traditionally studied independently: Anjou, Provence, Barrois, Lorena, and Naples. The study, spanning over a century, draws on the dialectic of individual existence and collective destiny in order to offer a new interpretation to issues concerning women’s identity and political actions. These issues are analyzed using multiple approaches (political, anthropologic, legal, judicial, and quantitative) and various themes (finances, entourages, governing of constitutional bodies, war, diplomatic affairs). As a result, the analysis sheds light on the mechanisms and dynamics by which, on one hand, these princesses exert their authority as men’s equal, as women « with a man’s heart », while on the other hand, forced by their gender’s moral, intellectual and judicial imposed constraints, they adopt a governing style specifically feminine, exalt particular virtues or even change the rules of ordinary politics.
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Religion, sainteté et pouvoir en Provence angevine, première maison d'Anjou, modèle et miroir du monde angevin (1246-1382) / Religion, holiness and power in Angevin Provence, first House of Anjou (1246-1382)

Attard, Jean-Pierre 18 June 2015 (has links)
En 1246, Charles d'Anjou, frère du roi de France Louis IX, par son mariage avec l'héritière de Provence, arrive à la tête du comté de Provence, encore terre d'empire. Il est mal accueilli par les Provençaux qui craignent de perdre leur relative indépendance au profit du royaume de France. Charles d'Anjou doit vaincre l'opposition armée des grandes cités de Provence et d'une partie de la noblesse. Après son succès, la paix s'instaure dans le comté. Les Angevins développent pour cela une idéologie reposant sur leur sentiment d'appartenance à une race sacrée remontant aux Carolingiens : ils sont à la tête d'un pays sacré. Ils s'appuient sur l’Église dont ils démontrent être de bon fils. Finalement, la paix s'établit de façon durable dans le comté. / By his marriage withe the heress of Provence, Charles d'Anjou, brother of Louis IX, arrives at the head of the County of Provence.It is unpopular withs his subjects. He must defeat an army revolt of the mains cities and part of the nobility. After his success, the Agevins use an ideological weapon: ths bealong to a sacred race and they govern a sacred land. They base this of the Church. They are good sons of Church. In the end, peace is esthablished permanently in the County of Provence.
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Richard I: Securing an Inheritance and Preparing a Crusade, 1189-1191

Humpert, Edward M. 26 July 2010 (has links)
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Marseille et sa classe dirigeante à la Renaissance (env. 1460 - env. 1560). D'une principauté méditerranéenne au royaume de France. / Marseilles and its ruling class during the Renaissance (1460s - 1560s). From a Mediterranean principality to the kingdom of France. / Marsiglia e la sua classe dirigente nel Rinascimento (1460 - 1560). Da un principato del Mediterraneo al regno di Francia.

Maret, Auderic 25 March 2017 (has links)
Jusqu’en 1481, Marseille fait partie d’un Etat indépendant, le comté de Provence et en est la plus grande ville sans en être toutefois la capitale. Or, en 1481, le dernier comte de Provence meurt sans héritier et il lègue l’ensemble de ses territoires au roi de France, Louis XI. Cependant, en Provence, les structures et pratiques politiques sont différentes du royaume de France, et Marseille appartient à un espace politico-culturel méditerranéen où la vie politique des villes est marquée par le modèle de la commune, également présent en Italie du nord et du centre. L’objectif de cette thèse est d’observer le passage d’un espace politico-culturel marqué par l’héritage des comtes de Provence et des cadres politiques de la commune à un espace politico-culturel dominé par le roi de France, où la relation entre le souverain et les villes s’inscrit dans le cadre de la « bonne ville ». Pour mener à bien ce travail, nous avons choisi de nous intéresser au conseil de ville, qui est la pièce maîtresse du pouvoir municipal, et à ses membres, afin d’observer les mutations introduites par ce transfert de souveraineté. Nous avons décidé de voir ces mutations en ce qui concerne la culture et l’identité du groupe dirigeant de la ville afin de s'inscrire dans une histoire culturelle du pouvoir municipal. Toute ville peut se définir comme un système politique où différents pouvoirs coexistent et se réajustent en permanence les uns par rapport aux autres au gré des événements et des changements qui peuvent surgir. La première partie examine les réajustements aux XIVe et XVe siècles à Marseille, qui permettent au pouvoir municipal de devenir dominant à Marseille face aux autres pouvoirs sous le règne de René Ier d’Anjou (1434-1480). La deuxième partie étudie les hommes à le tête du conseil de ville, les fondements de leur pouvoir et leurs modifications autour du rattachement de 1481. Enfin, la dernière partie examine les changements de culture et d’identité du groupe introduits par le transfert de souveraineté et les nouvelles ambitions en Méditerranée du groupe dirigeant, qui jettent les bases d’une véritable thalassocratie qui s’épanouira au XVIIe siècle. / Until 1481, Marseilles is a part of an independant state, the county of Provence and it’s the biggest city, even if it’s not the capital. But, in 1481, the last count of Provence died without a son and he gives in his testament all his goods and territories to the king of France Louis XI. After that, Marseilles, like the rest of the former county is integrated in the French royal domain. But, in Provence the cultural and political structures and practices are different from the kingdom of France, and Marseilles belongs to a politico-cultural space where the political life is influenced by the model of “commune”, we can also see in the north of Italy. My aim in this thesis is to study the mobility between a politico-cultural space influences by the counts of Provence and the political structures and culture of the “commune” to a politico-cultural space dominated by the king of France thanks to a structure called “bonne ville”. I decided to study the council of the city which is the main structure of the municipal power and the leaders who are in this council in order to see the modifications after 1481 about the culture and the identity of this ruling class. I propose with this thesis an essay of cultural history of the municipal power. Each city is a political system, where different powers coexist. Those powers move and fix themselves towards the other ones. In the 1st part, I study how the municipal power becomes the most important one in Marseilles during the reign of René the 1st of Anjou. Then, in the second part, I study the leaders of the council, the foundations of their power and the modifications after 1481. Finally, in the 3rd part, I study the new ambitions of the leaders of Marseilles which lead in the 17th century to build a real thalassocracy in the Mediterranean world. / Fino al 1481, Marsiglia è la città più grande della contea di Provenza, uno stato indipendente, pur senza esserne la capitale. In quell’anno, l'ultimo conte di Provenza muore senza eredi e dona la sua contea al re di Francia, Luigi XI. Le strutture e le pratiche politiche della Provenza sono però molto diverse rispetto a quelle del regno di Francia: Marsiglia fa parte di uno spazio politico-culturale del Mediterraneo, dove la vita politica urbana è segnata da un modello comunale del tutto simile a quello che si riscontra nelle città dell'Italia centro-settentrionale. L’obiettivo di questa tesi è di studiare il passaggio di questo spazio politico-culturale, segnato dall’eredità angioina e da un governo di tipo comunale, a quello dominato dal re di Francia, nel quale la relazione tra il sovrano e le città è costruita attorno al modello della "bonne ville". Per studiare questo tema, si è scelto di concentrarsi sul consiglio della città di Marsiglia, l'istituzione simbolo del potere municipale, e sugli uomini che lo componevano, al fine di apprezzare le mutazioni dovute al cambiamento di sovranità avvenute al suo interno. L’intento è di analizzare i cambiamenti legati alla cultura e all’identità della classe dirigente, nell’ottica di una storia culturale del potere municipale. Tutte le città possono definirsi come un sistema politico all’interno del quale si trovano a coesistere diversi poteri, che si relazionano fra loro in base agli avvenimenti e ai cambiamenti interni ed esterni alla città stessa. La prima parte della tesi si concentra sul processo mediante il quale il potere municipale ha preso il sopravvento a Marsiglia sotto il regno di Renato I (1434-1480). Nella seconda, invece, si analizzano gli uomini che formano il consiglio della città, l’origine del loro potere e le mutazioni che avvengono dopo il 1481. Infine, l’ultima parte ha per oggetto le trasformazioni nell’identità e nella cultura del gruppo dirigente cittadino in seguito al cambiamento di sovranità, evento che getterà le basi della talassocrazia marsigliese del XVII secolo.

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