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Le citoyen au coeur de la résilience dans l’agglomération de Montréal : lorsque l’adaptation au risque devient la préoccupation de chacun.

Francès, Nathalie 12 1900 (has links)
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Le théâtre de la mémoire olfactive : le pouvoir des odeurs à modeler notre perception spatiotemporelle de l'environnement

Bouchard, Natalie 01 1900 (has links)
L'environnement n'est pas un espace physique précis et stable. Sa géométrie est statique mais il est sans cesse inondé par différentes ambiances qui elles sont dynamiques. De plus sa réalité est modelée par le terrain mouvant de notre mémoire qui encode nos expériences, nos rencontres et autres complexes associations vécues à différents moments. Les ambiances olfactives plus particulièrement participent à la définition d'un espace urbain de plusieurs façons. Produites et modelées par l'environnement géographique, les conditions climatiques, les activités économiques et l'activité humaine, les odeurs appellent des repères spatio-temporels précis car se référant à des événements que l'on a personnellement vécus. Bref, les multiples flux odorants qui façonnent dans la ville un paysage olfactif mouvant sont autant de possibilités de restructurer le réel du citadin. Aussi pour permettre d'élaborer des moyens mettant en oeuvre les odeurs dans l'espace public, nous avons examiné dans quelle mesure les signaux olfactifs influencent notre perception de l'environnement en provoquant l'apparition de paysages temporels. / The smellscape participates in the definition of the environment in different ways. First, determined by the geographic environment, climate conditions, economic activities, and human activity, the reality of olfactory ambiances are also shaped by our memory. This is because odours are associated with precise spatiotemporal markers that refer to events that someone has personally experienced. Therefore, the multiple fluxes of odorants creating a mobile topography of smells in the city may become a strategic intervention tool in planning. And, with the goal of arriving at a representation of the temporal patterns provoked by odours, we have examined the influence of olfactory memory in urban space. / pour plus d'informations concernant l'auteure et sa recherche veuillez consulter le http://www.natalieb.ca
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Les terrains vacants et la lisibilité du centre-ville de Montréal.

André, Jean-Philippe 12 1900 (has links)
Les terrains vacants sont, à Montréal, des éléments indéniables dans la composition de la trame urbaine. Leur présence soutenue intéresse déjà depuis longtemps de nombreux auteurs et décideurs municipaux. Toutefois, il s’avère que l’on connaît peu les caractéristiques paysagères de ces espaces. Cette recherche en aménagement vise à compléter nos connaissances sur cette typologie d’espace urbain. Elle porte sur la caractérisation paysagère des terrains vacants du centre-ville de Montréal et sur l’étude de leur potentiel visuel à mettre en valeur les attributs significatifs du paysage urbain. Ces deux études doivent permettre de comprendre le rôle joué par ces vides dans la perception du paysage urbain. Cette démarche s’interroge sur la possibilité que certains vides puissent être justifiés et légitimés en regard de la notion de lisibilité du paysage urbain (Lynch, 1976, 1982). Les terrains joueraient un rôle important au niveau de la perception des paysages urbains. Il s’agit de démontrer le potentiel des espaces vacants dans la mise en valeur du paysage urbain, dans l’optique, pour certains d’entre eux, de légitimer le vide ou une partie du vide qui les définit, de les rendre structurants dans la composition urbaine. Grâce à un travail d’observation des caractéristiques urbaines, contextuelles, visuelles et physiques, l’étude a pu à la fois dresser le portrait de ces espaces en attente de développement urbain et démontrer leur implication dans la lisibilité urbaine. Ce travail présente l’intérêt d’offrir un énoncé sur la planification du développement des terrains vacants du centre-ville de Montréal en regard de la notion de lisibilité urbaine partie prenante dans la qualité urbaine. / In Montreal, vacant lots are undeniable elements in the composition of the urban pattern. For a long time, their sustained presence has interested various authors (Lévesque, Prost, etc.) and municipal authorities. However, it turns out that we know little about the landscape character assessment of these spaces. This research seeks to complete our knowledge of this typology of urban spaces in Downtown Montreal trough a landscape character assessment and a study of their visual potential. Those two studies will underline the role of these voids in the urban landscape perception. Some vacant lots are maybe part of a good urban imageability. This study assumes that vacant lots have an important role with regards to the urban landscape perception. By collecting information which refers to urban, contextual, visual and physical characteristics, observations were able to prove that there is a relationship between the urban imageability and the voids generated by the vacant lot. It demonstrated the potential of those spaces to enhance the urban landscape by their structuring abilities. This study proposes a first glimpse of a coherent planning for the development of downtown vacant lots, in particular, through the notion of imageability as an integral part of the urban quality.
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Les terrains vacants et la lisibilité du centre-ville de Montréal

André, Jean-Philippe 12 1900 (has links)
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Le rôle de la lumière dans l'aménagement urbain : le cas de la Piste des Carrières à Montréal

Radeva, Elena 11 1900 (has links)
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Qualifications paysagères de la ville : l’espace aérien des toits de New York dans le cinéma américain (1980-2011)

Séguin, Catherine 08 1900 (has links)
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Vers le paysage : photographie et aménagement des territoires miniers

Bélanger, Michelle 28 March 2019 (has links)
Depuis ces dernières années, un changement d’attitude se fait sentir envers les territoires miniers. Longtemps perçus comme dégradés, voire ruinés, ces territoires se révèlent aujourd’hui comme d’importants témoins historiques et sont en conséquence conservés en tant que paysages patrimoniaux . En 2012, par exemple, le Bassin minier du Nord-Pas de Calais , transformé par l’exploitation du charbon, fut inscrit sur la Liste du patrimoine mondial en tant que paysage culturel vivant évolutif. Portant des caractéristiques uniques, les paysages miniers sont également de nos jours mis en valeur par certaines collectivités comme attractions touristiques. Au même titre que les paysages naturels, ils deviennent d’importants vecteurs de développement économique . La mine, exploitée normalement pour les ressources qu’elle contient, se voit ainsi attribuer de nouvelles valeurs et, également, de nouvelles fonctions. Il s’agit là d’un renversement important dans la façon dont ont été conçus les territoires façonnés par les activités minières . En effet, qui aurait cru que l’on allait gérer et aménager un jour ces territoires à la manière de beaux paysages ? Traduisant cette nouvelle attitude envers la mine, de plus en plus de photographes de tout horizon en font maintenant des représentations paysagères . Les artistes, par exemple, mettent en valeur les formes des territoires façonnés par l’exploitation minière à travers des images qui en révèlent l’esthétique. Avec l’arrivée du numérique et du partage de photographies en ligne, ce type de représentations se voit d’ailleurs récupéré par les photographes amateurs constamment à la recherche de lieux spectaculaires à mettre en images. Diffusées en nombre toujours croissant sur le web, ces photographies ne semblent pas uniquement témoigner de la nouvelle vision paysagère des territoires miniers . En effet, elles auraient aussi la capacité de la former. La présente recherche a pour objectif de mieux comprendre le développement de cette nouvelle sensibilité paysagère envers les espaces miniers. Puisque l’image photographique se dessine comme témoin et possiblement comme acteur de ce nouveau phénomène, cette dernière est utilisée comme fil conducteur afin de mieux saisir comment on fait de la mine un paysage. Ayant le Québec comme terrain d’étude, ce projet analyse les pratiques par lesquelles les territoires miniers sont façonné s et aménagés en tant que paysage, soit par la patrimonialisation, l’appropriation touristique et la naturalisation. Ces pratiques, qui procèderaient à un empaysagement minier, sont ensuite sondées par l’entremise de la photographie et des modèles paysagers qu’elle produit. Rapidement, l’image se révèle comme influençant non seulement le regard porté sur le territoire minier, mais également comme guidant la façon dont on l’investit ou l’habite une fois qu’il est conçu en tant que paysage . Photographie et aménagement des territoires miniers s’orientent donc maintenant , de plus en plus, vers le paysage. / These past years, a change of attitude towards mining territories can be felt. Long seen as derelict or even ruined, those territories are now perceived as important historical witnesses and are, therefore, preserved as heritage landscapes. In 2012, for example, the Nord-Pas de Calais Mining Basin was included in the World Heritage List as an organically evolved cultural landscape. Having unique characteristics, mining landscapes are also requalified, in certain regions , as touristic attractions. They then become , just as natural landscapes are today, vectors of economic growth. The mine, harnessed for its natural ressources, is now assigned new values and, as well, new roles. Indeed, who would have thought that it would one day be managed and planned the same way beautiful landscapes are ? Conveying this new attitude towards mining sites , more and more photographers, from all backgrounds, represent them as landscapes. Artists , for example, showcase their wide range of shapes through esthetic images. With the advent of the digital era and online photography sharing, the amateur photographer , who is always searching for spectacular places to photograph , reclaims this type of representation. Disseminated on the web in an ever - increasing number, these photographies do not only attest of a new way of seeing mining territories as landscapes, but without a doubt also shape their perception. This research aims mainly at better understanding the spread of a new way of perceiving mining sites as landscapes . Since the photographic image stands as a witness and possibly as an actor of this phenomenon , it is used as the connecting piece to examine how mines can become landscapes. Focusign on the province of Quebec , this thesis analyses the practices through which mining sites are modeled and converted into landscapes, like patrimonialization, tourism development and nature restoration. These pratices, taking part in a process called empaysagement minier (mining landscaping), are then examined through photography and the landscape archetypes it produces. The photographic image quickly reveals itself as influencing not only the way we see mining sites, but it also seems to guide the way they are reappropriated and inhabited once they are perceived as landscapes . Therefore, photography and planning of mining territoires both reveal themselves as being more and more landscape oriented .
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Postmodernité et bouddhisme zen japonais : d'une sémiotique de lieux, le cas du jardin sec Ryôan-ji

Aubry, Hélène 12 February 2019 (has links)
Les phénomènes de polysémie et de transcodage des corpus culturels établissent une structure d'argumentation dialectique. Le transculturel et le transhistorique deviennent là des axes centraux dans l'application du pragmaticisme des systèmes en expansion et dans la coexistence des métadiscours actuels et anciens. Le criticisme du métasavoir sur la pluralité des dispositifs hypertextuels permet ainsi une double lecture, celle de la postmodernité et celle de la proto-philosophie bouddhique. De là, on convient d'une réversibilité historique, du structuralisme et du post-structuralisme comme lieux d'une confrontation de la fonction critique des modèles textuels. La postmodernité (fin des années 60 et début des années 70) indique alors, par la mise en place d'une prolifération des figures-discours, le statut des actes langagiers par rapport à une homologie des styles et des genres. On y note un questionnement soutenu des assises d'une grammaire visuelle pluraliste dont, entre autres, un arrêt sur le concept de champ élargi dans les discours critiques de R. Krauss sur l'installation. En fait, les définitions d'une syntaxe du lieu et de la praxis du landscape-gardener seraient comme les deux pôles d'une économie esthétique au fondement même de cette praxis installative. / Les conditions particulières du transhistorique réalisent encore une forme de consensus de l'historia entre les passages de frontière d'un tel corpus historique pluraliste et des séquences d'argumentation, dont notamment l'inclusion de modèles stratégiques. D'où l'intégration possible des champs de la postmodernité et de la proto-philosophie bouddhique japonaise, qui rejoignent un processus de montage et de démontage des ruines textuelles, en regard d'une dialectique opératoire de conformité et de non-conformité du sens. L'histoire du code, la protophilosophie et l'esthétique bouddhiques zen japonaises entre les 12e et 15e siècles, supposent ainsi une rhétorique et un métalangage dont les règles du savoir véhiculent des paramètres langagiers paradoxaux. Les kôans évoquent à cet égard un encodage communicationnel du texte qui exige une réceptivité de l'entendement hétérodoxe d'après les modèles langagiers performatifs. L'analyse du métasystème bouddhique japonais permet alors une validation critique des corpus textuels afin d'établir une spéculation hypothétique quant aux agrégats interprétatifs. / Le corpus textuel de cette recherche vise principalement les positions de Toshihiko Izutsu, Abe Masao, Martin Colcutt, Hebert V. Guenter, Chung-Ying Cheng, Philip Yampolsky, Robert D. Baird, Tom J.F. Tillemans; ainsi que celles de certains philosophes tels que Nishida Kitaro, Hisamatsu Shin'ichi, Hajime Nakamura, Jacques Masui, T.P. Kasulis, Sung Bae Park, David Appelbaum, et David E. Shaner. Dans ce contexte d'érudition, les approches méthodologiques et théoriques de Roland Barthes, Julia Kristeva, Linnart Mail, Ryôji Nakamura, René de Ceccaty et Gilles Deleuze sont aussi prises en considération comme valeurs d'interprétation de certaines problématiques soulevées en cours d'analyse. / En outre, l'étude d'un concept, celui de vide par exemple, soit le sunyata, réfère tant aux discussions sur la valeur symbolique du dispositif zérologique en psychanalyse, qu'à la mise en forme d'un espace de non représentation. Car dans l'état de crise actuelle du discours occidental, le statut même du silence comme de l'éthique remet en cause la conception du logocentrisme européen. En sémiotique des lieux, l'étude du jardin sec, le Ryôan-ji, serait en conséquence un tel recoupement synthétique de la tradition du système esthético-philosophique bouddhique zen japonais et des théories postmodernes. Cette grammaire in situ intervient sur des praxis actuelles en histoire de l'art: soit, a priori, sur les postulats du musicologue Daniel Charles dans ses «Gloses sur le Ryôan-ji» et au niveau du corpus critique sur l'oeuvre de John Cage. / C'est dans ce contexte que la philosophie cosmogonique et l'oeuvre «Atlas Eclipticalis» de Cage se définissent sémiotiquement avec le structuralisme, une logique triadique et une architecture des théories du jardin, ainsi qu'une application du corpus peircéen sur la trichotomie du signe. Là, un archétype topologique, le ma (1'espace-temps), permet de circonscrire les paramètres discursifs et cognitifs clés actualisés par l'architecte d'avant-garde, Arata Isozaki. Dans le modèle du jardin Ryôan-ji plus particulièrement, le fondement des propriétés cosmologiques comme valeur hypothétique du lieu architectural, concernerait dès lors hic et nunc les relations céleste/terrestre, diurne/nocturne, dans la redéfinition pragmatique d'une grammaire in situ. / Montréal Trigonix inc. 2018
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Réduction du ruissellement par l’augmentation de surfaces perméables : évaluation de 2 scénarios d’aménagement d’un ensemble résidentiel à Laval

Fernet, Catherine 07 1900 (has links)
L’implantation répandue de nouveaux quartiers résidentiels sur le territoire de la périphérie urbaine est en partie responsable de la baisse du couvert végétal et de l’augmentation des surfaces imperméables à grande échelle. Les villes sont maintenant aux prises avec une augmentation constante de la production de ruissellement qu'elles doivent gérer au moyen d’un vaste réseau d’égouts et de canalisations. Des données sur les impacts de ces modèles de quartier résidentiel nous révèlent que cette forme d’habitat provoque la dégradation des milieux naturels et aquatiques. La présente étude vise à mettre à l’épreuve la stratégie d’aménagement de l’Open space design en comparant l’effet de trois situations d’aménagement d’ensembles résidentiels sur le coefficient de ruissellement pondéré (Cp). Les trois situations étudiées sont 1 : le développement actuel tel que conçu par le promoteur, 2 : un scénario de quartier visant la préservation des cours d’eau existants ainsi qu’une réduction des lots et des surfaces imperméables et 3 : un quartier avec des types d’habitation plus denses. Les coefficients pondérés obtenus sont respectivement de 0,50 pour le quartier actuel, de 0,40 pour le scénario 1 et de 0,34 pour le scénario 2. Au terme de cet exercice, il apparaît, d’une part, que la densification du bâti, la nature des surfaces et l’organisation spatiale peuvent concourir à diminuer la production de ruissellement d’un quartier. Cette étude permet de situer l’importance de la gestion du ruissellement dans la planification et l’aménagement du territoire. / The widespread introduction of new residential developments in the urban periphery is partly responsible for declining vegetation cover and a large scale increase in impervious surfaces. Cities are now grappling with a constant increase in runoff, which they have to manage through a vast network of sewers and drains. Data on the impacts of current residential models reveal that this form of development causes the degradation of natural and aquatic environments. The present study aims to test Open space design strategy by comparing the effect of three development situations on the weighted runoff coefficient (Cw). The three situations are 1: the actual development as conceived by the project’s promoter; 2: development aimed at preserving existing streams, reducing lot sizes and impervious surfaces; and 3: a higher-density cluster development plan. The weighted coefficients obtained are 0.50 for scenario 1, 0.40 for scenario 2 and 0.34 for scenario 3. As a result, it appears that the density of the structures, the nature of the surfaces and the spatial organization can all contribute to reducing the runoff in a given area. This study underlines the importance of runoff management in planning and land use.
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Le paysage urbain nocturne : une dialectique du regard entre ombre et lumière

Bertin, Sylvain 04 1900 (has links)
Questionner la construction du paysage urbain nocturne, c’est développer une approche dialectique du regard entre l’ombre et la lumière. Parce que la ville devient invisible dans l’obscurité, la nuit menace celle-ci de disparition. Dans ce contexte, ce travail explore les nouvelles images et interprétations de la ville dévoilées par la lumière artificielle. L’enjeu est de comprendre les aspects changeants et instables liés à l’apparence de la ville. Découvrir la ville la nuit, c’est la comprendre dans l’éphémérité de ses modes d’apparition, dans sa capacité de survivance et de transformation grâce à la lumière artificielle. La nuit révèle tant des imaginaires liés à la fascination de la lumière qu’à la peur de l’obscurité. Dominée par des transformations visuelles, elle intensifie et démultiplie les significations portées aux espaces. Entre nuit dionysiaque et nuit maligne, c’est toute une variété de « tableaux urbains nocturnes » qui apparaissent. Penser le paysage urbain nocturne, c’est envisager la nuit comme une « hétérotopie », qui, parce qu’elle modifie les conditions d’apparition de la ville, modifie les perceptions du territoire. Au croisement du réel et de l’imaginaire, il s’agit de dépasser les limites du visible pour apprendre à voir l’invisible. Ce travail révèle une relation complexe de la ville avec la lumière; il interroge le rapport entretenu avec les espaces urbains la nuit et remet en perspective la manière de voir l’obscurité. La lumière offre un fond de toile pour le déroulement des activités, elle régule les perceptions et les expériences de la ville. L’espace-temps nocturne offre l’opportunité d’envisager les tensions entre lumière et obscurité. Dans cet « entre- deux », cette recherche contribue à ouvrir la voie à une perspective transversale de la ville la nuit. Celle-ci comprend donc une revue de littérature sur les différentes visions de l’éclairage, mais aussi sur la nuit et l’obscurité. Elle permet une compréhension des nouvelles approches en éclairage comme des nouveaux concepts émergeant des recherches sur la nuit. S’appuyant sur des démarches anthropologiques et expérientielles du paysage, l’originalité de cette étude est d’explorer les différentes manières d’envisager la nuit. Des imaginaires développés par les acteurs de l’aménagement — issus d’entretiens avec des experts en urbanisme, en architecture, en paysage, en design et des arts — à l’expérience visuelle et sensible — issue d’explorations nocturnes —, ce travail dévoile une pluralité de paysages qui compose le territoire. Recourant à Montréal comme cas d’étude, cette métropole canadienne offre un contexte original pour comprendre le regard que pose la société occidentale sur la ville la nuit. Cette recherche révèle alors une hiérarchisation des représentations liées aux espaces urbains nocturnes. De la consécration des espaces centraux, à la méconnaissance des espaces marginaux, en passant par la banalité des espaces quotidiens, celle-ci dépeint un portrait inédit de Montréal vu et imaginé de nuit. À travers l’étude des représentations socioculturelles, cette investigation contribue à une nouvelle compréhension de la planification et de l’expérience de la ville. Elle définit ce que revêt la notion de « paysage urbain nocturne ». / This thesis questions the ways the urban landscape is constructed at night. It develops a dialectical approach of sight, between luminosity and darkness. Because the city becomes invisible in the darkness, the night puts the existence of the city in jeopardy. This thesis explores the new interpretations of the city resulting from the illuminated landscapes. The purpose is to understand the changing and unstable appearances of the city at night. To discover the city at night implies understanding the ephemeral aspects of its appearance, its capacity to survive and to be visually transformed. The night reveals the fascination for light as well as the fear of darkness. Night is governed by visual changes; it intensifies and multiplies the significance of the urban spaces to the viewer. Between Dionysian and malign nights, a variety of “urban nocturnal scenes” appears. Because night changes the visual conditions and therefore the perception of the city, this study develops a reflection on the urban landscape considering the night as a “heterotopia”. Situated at the meeting point of the real and the imaginary, this investigation questions the limits of what is visible in order to look at what is invisible. This research reveals a complex relationship between the city and lighting; it examines how the society looks at darkness and how new relations with urban spaces emerge at night. Lighting provides the backdrop for activities; it regulates city perceptions’ and experiences’ at night. Night time enables to consider the tensions between luminosity and darkness. This investigation of the “in-between” of light and dark contributes to the comprehension of the city at night through a transversal perspective. Therefore, this study is composed of a literature review on the evolution of urban lighting approaches, and on the relation that the city has with the night time iii and the darkness. It provides an understanding of new approaches of lighting design with the addition of new concepts emerging in the literature on the night. The methodological approach includes anthropological and experiential landscape perspectives to question the different ways of looking at the night. Interviews with stakeholders from different disciplines—urban planning, architecture, landscape architecture, design and art—and the study of the visual and sensitive experience of the city at night, provide a diversity of ways to see the city at night. Using Montreal as a case study, this Canadian metropolis offers an original context to better understand the relation that the occidental society has with the city at night. The dissertation presents a hierarchization of the representations of the urban spaces. From the recognition of downtown spaces, passing by the banalization of daily spaces and the misreading of marginal places, this research depicts a new portrait of Montreal and how it is seen and imagined at night. It contributes in a new comprehension on how the city is planned and experienced, depending on sociocultural representations of night time. It aims at defining what is the “nocturnal urban landscape”.

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