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DU DEDANS AU DEHORS. Connexions à partir d’un espace public d'une ville multiple :Ajacẹ́, Xọgbonú, Porto-Novo (Sud-Bénin)

Tassi, Sara 16 December 2019 (has links) (PDF)
La présente recherche s’intéresse à la notion d’espace public dans les villes d’origine précoloniale du Sud-Bénin.À partir d’un travail de terrain dans la région de Porto-Novo, elle se focalise sur la dimension concrète de cette notion. Elle interroge les formes spatiales qui y sont associées et la manière dont ces dernières se transforment en interaction avec des pratiques, des discours, des normes. L’hypothèse suggère que ces formes spatiales peuvent fonctionner comme des indices. Leur qualification permet d’investiguer les manières dont la notion d’espace public – forgée dans l'histoire des sciences sociales européennes – a été interprétée, digérée, détournée dans des contextes où les principes d’aménagements européens ne sont que partiellement opérants (quartiers d’origine précoloniale, lieux sacrés, ). Concrètement, la recherche trouve son origine dans un constat :aujourd’hui à Porto-Novo, le terme espace public désigne des espaces aux statuts très divers, dont un grand nombre sont directement rattachés aux maisons familiales. Cette constatation nous a poussé à construire la thèse à partir de mouvements d’aller-retour entre l’intérieur et l’extérieur des maisons familiales. Dans ces mouvements, une attention particulière est accordée aux détails concrets. Ces derniers sont ici appréhendés comme des traces, des indices de la manière dont une pluralité d'êtres cohabitent dans un même espace. Chaque élément permet alors de faire émerger des rapports de continuité et de discontinuité autres que ceux suggérés par la proximité spatiale ;des rapports qui engagent à dépasser les limites conventionnelles du quartier, du tissu historique ainsi que de la ville administrative.Pour ce faire, la thèse s’appuie sur un travail situé de relevé et d’écoute en action. Ce qui implique une contamination entre les outils propres aux architectes et urbanistes (le dessin d’architecture, principalement) et ceux qui relèvent d’autres champs disciplinaires tels que la géographie, les sciences sociales, etc. C’est par le biais de cette contamination que la présente recherche tente de problématiser le concept moderne de ville et de rejouer les oppositions binaires qui l’accompagnent (public/privé, sacré/profane.). / Doctorat en Art de bâtir et urbanisme (Architecture) / info:eu-repo/semantics/nonPublished
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Je réaffirme des formes et je réactive des gestes

Rajotte, Camille 23 April 2018 (has links)
Dans ce texte, je discute de ma pratique artistique actuelle, plus particulièrement des œuvres d’art que j’ai réalisées dans l’espace public. J’explique d’une part l’articulation de mon travail autour des thèmes de l’architecture et de l’urbanisme ainsi que l’intérêt que je porte à l’espace public. J’explore d’autre part la possibilité d’intégrer un usage dans une œuvre d’art et je traite de certaines théories en rapport à la notion d’usage, en particulier la théorie des affordances de Gibson et la théorie des sites comportementaux de Barker. J’explique ensuite la façon dont l’étude des comportements humains s’immisce dans mon processus créatif ainsi que le type d’expérience que je cherche à créer par des œuvres d’art destinées à l’usage. Je traite également de la perception corporelle que je désire provoquer et j’aborde le concept d’appropriation relié aux opportunités d’usage présentes dans la ville. Enfin, j’aborde et explique les différents projets d’art que j’ai réalisés au cours de ma maîtrise.
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"Templum [...] maximum et primarium est urbis ornamentum". Architecture et cadre urbain des églises dans les traités, les villes neuves et les aménagements urbains de l'Italie de la Renaissance (1450-1615) / "Templum [...] maximum et primarium est urbis ornamentum". Churches' Architecture and Urban Setting in Treatises, New Towns and Urban Planning in Italian Renaissance (1450-1615)

Petiot, Damien 17 December 2018 (has links)
Édifice emblématique de la Renaissance, l’église fut au coeur des réflexions théoriques des architectes italiens. Leur pensée, émanant directement du De architectura de Vitruve et de ses nombreuses éditions renaissantes, accorde également à la ville un rôle majeur dans l’élaboration d’une communauté humaine idéale. Il n’est donc guère étonnant que les deux thèmes, architecture religieuse et art urbain, se rencontrent dans la théorie comme dans la pratique pour magnifier la demeure divine. Toutefois, loin d’être mis à l’écart, le lieu de culte s’insère au sein d’un réseau viaire dense et complexe qu’il faut analyser soigneusement pour juger au mieux de la place accordée à ce type de monuments. Située à proximité d’autres symboles du pouvoir, tels que les palais seigneuriaux et communaux, l’église instaure un dialogue ambivalent avec ces derniers. De même, la place et/ou l’avenue qui la précèdent peuvent aussi bien contribuer à son isolement qu’à son intégration urbaine. Au fil des lectures, les concepts même d’architecture religieuse et de cadre urbain apparaissent donc polysémiques. Et l’analyse des constructions de la Renaissance ne clarifie en rien la situation. S’appuyant sur des sources variées (traités d’architecture, ouvrages d’humaniste, dessins, plans, etc.) le présent travail tend à interroger les valeurs multiples des lieux de culte de la Renaissance. Leur cadre urbain contribue-t-il nécessairement, comme l’affirme Alberti, à en faire les principaux embellissements de la cité ? / Symbolic edifice of the Renaissance, the church was fundamental in Italian architects’ theoretical reflexions. Their thought, based on Vitruvius’ De architectura and its numerous Renaissance editions, attributes also a great importance to the town in the development of an ideal human community. There’s nothing surprising about that both topics, religious architecture and town planning, meet each other in the theory as in the pratice to glorify the God’s house. However, not at all isolated, the place of worship is inserted in a concentrated urban network. Located close to other symbols of power, like seigneurial castle and local council, the church establishes an ambivalent dialogue with them. Similarly, the town square and the avenue can contribute to its isolated location or its urban integration. Therefore, the notions of religious architecture and town planning appear polysemous. Relying on varied sources (treatises, humanists’ writings, drawings, plans, etc.) the present thesis strives to examine the numerous values of Renaissance’s churches. Does their urban setting participate to make the church the city’s greatest and noblest ornament, as claimed by Alberti ?
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Le graffiti à Montréal : pratique machiste et stratégies féminines

Couvrette, Katrine 10 1900 (has links)
Le graffiti est depuis longtemps associé au vandalisme dans les métropoles où il prolifère. Il s’intègre au paysage urbain à un point tel que, même s’il procède d’une logique de visibilité et de promotion, nous parvenons à ne plus le remarquer. Pourtant, sa présence suscite toujours la colère des citoyens propriétaires de murs vandalisés et des autorités municipales qui, chaque année, dépensent de grosses sommes d’argent pour l’effacer. Malgré les restrictions et les amendes, le graffiti est néanmoins devenu un véritable phénomène d’art urbain : des artistes graffiteurs ont atteint la notoriété en dehors de leur sous-culture et ont pu exposer légalement leur travail, du fait d’un intérêt croissant du milieu officiel de l’art. Celui-ci contribue à faire grandir l’engouement et l’enthousiasme pour une pratique d’art urbaine. Le graffiti illustre l’expression d’une identité qui s’approprie et subvertit les surfaces urbaines de la ville, au moyen d’un nom propre fictif qui n’a aucune légitimation juridique et légale. De plus, l’application et la diffusion de la signature graffitique communiquent des valeurs qui guident et définissent toute la sous-culture du graffiti. Ces valeurs sont culturellement considérées comme masculines : le risque, le défi et la dissidence. La figure de l’artiste graffiteur apparaît ainsi comme une figure marginale et rebelle. Un tel portrait laisse alors entrevoir une culture fortement machiste, d’autant plus que les garçons qui exercent le graffiti sont beaucoup plus nombreux. Or, si les femmes artistes de la communauté graffitique représentent une minorité, c’est notamment parce que leur attrait pour une pratique illicite, nocturne et dangereuse est moindre. À partir d’une approche qui touche aux gender studies et à certains concepts traditionnels de l’histoire de l’art, nous cherchons à expliquer l’intérêt généralement plus faible des femmes pour le graffiti. Nous désirons également démontrer comment l’exercice des artistes féminines du graffiti se distingue de celui de leurs homologues masculins. De quelle manière se détermine leur expérience? Leur iconographie sert-elle à les définir? Quelles sont leurs opinions et leurs perceptions sur leur propre culture? Finalement, comment caractérisent-elles leur statut de femme artiste au sein d’une communauté "machiste"? / Graffiti has long been associated with vandalism in the city where it has proliferated. In the same logic of visibility and promotion found in all cities, it has become so integrated into the urban environment that we do not even notice it. Nevertheless, its presence constantly arouses the anger of property owners, citizens, and the municipal authorities who spend large sums of money every year in removal costs. In spite of this, graffiti has become an urban art phenomenon. Graffiti artists have attained fame outside of the subculture and are able to exhibit their work legally, in part, because of an increased interest from the art world. Art institutions and the art market have contributed to the increased craze and enthusiasm for this urban art practice. Graffiti is the expression of an illegitimate identity that appropriates urban surfaces in the city using a fictitious name. Writing and spreading that name as much as possible are core values in the graffiti subculture. Risk taking, challenging authority, and dissidence are values generally understood as being masculine. As well, the archetypal graffiti artist is marginal and rebellious. Understood in this manner, it can be seen that this highly populated subculture is powerfully chauvinistic. Female artists in the graffiti community are a minority, in particular because the appeal for an illicit, dangerous, night time practice is less popular. Using an approach grounded in art history and gender studies, this paper will explore why there is a generally low level of interest for women to practice graffiti. It will also be demonstrated that in practice female graffiti artists distinguish themselves from their male counterparts. How do they qualify their experiences? What kind of iconography do they choose to define themselves? What are their opinions of, and how do they perceive, their own subculture? Finally, how they do characterize their artistic feminine status within a male chauvinist community?
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Modest attachments: An inquiry into the potentialities of material spaces in a psychiatric day care centre

D'Hoop, Ariane 20 June 2018 (has links)
Les lieux de soin institutionnels ont été fortement transformés par les secousses qu’a connu le champ psychiatrique depuis un demi-siècle. Aujourd’hui, des équipes de soignants travaillent dans des centres de soin plus petits, à l’intérieur des villes, plutôt que dans les espaces disciplinaires des hôpitaux. Cette thèse conduit le lecteur dans l’un de ces lieux, un centre de jour pour adolescents à Bruxelles. Elle plonge dans les détails de ses aménagements matériels et ordinaires, et pose ces questions :Comment fonctionnent les espaces matériels dans la pratique quotidienne d’un centre psychiatrique ?Comment contribuent-ils au soin institutionnel ?Quelles en sont les potentialités, avec leurs tensions, leurs réussites, leurs échecs ?Au long de sept chapitres, la thèse décrit la manière dont ces espaces contribuent à faire émerger des attachements modestes. Les attachements modestes sont des inclinations modérées et variées, qui prolifèrent alors que les soignants tentent de susciter la moindre de ces appréciations par le biais de l’environnement matériel. Ces espaces jouent un rôle actif dans la constitution de diverses manières de devenir attaché, allant des petites affinités qui se manifestent au fil de la journée jusqu’aux goûts qui finissent par revêtir une grande importance. Le récit suit trois fils conceptuels enchevêtrés, chacun accentuant une dimension de l’enquête. Le premier fil est une ethnographie du soin institutionnel, hérité des communautés thérapeutiques. Ce travail communautaire est déconsidéré dans le champ psychiatrique actuel. Or il crée des possibilités pour les patients – particulièrement pour les plus réticents à la prise en charge :il les invite à répondre par le biais de leurs affinités et désintérêts, au lieu de se voir compris au prisme des déficiences d’une maladie. Cette thèse suit comme second fil le développement d’une approche des espaces matériels saisis du point de vue de leurs potentialités. Cette approche prête une attention ethnographique aux possibilités qu’ouvrent ou non les espaces dans leurs interactions avec ceux qui donnent ou reçoivent le soin. Elle développe par là une sensibilité matérielle-sémiotique à l’égard de la matérialité d’un lieu, afin de voir comment des idées prennent forme dans et avec les aménagements matériels, au cours de la pratique de soin. Le troisième fil met au travail le concept d’« attachement ». Celui-ci désigne la co-constitution d’affinités, de choses, d’engagements corporels et de collectifs, qui se développe quand une personne ou un groupe en vient à tenir à quelque chose. Dans le centre de jour, les attachements sont souvent des appréciations modestes, d’intensité tranquille, diffuses et diluées dans des moments informels et des activités journalières :une place assise devient familière, un regard s’attarde sur une peinture exposée ou encore un jeu vidéo déclenche un intérêt temporairement partagé. La thèse témoigne des potentialités des espaces matériels pour éveiller et renforcer de tels attachements modestes et montre comment ceux-ci contribuent de façon significative au travail de soin. / Institutional care buildings have been largely transformed as the psychiatric field has undergone significant changes over the last fifty years. Instead of the disciplining spaces of hospitals, teams of caregivers now work in smaller centres located in the community. This thesis brings the reader into one of these places, a psychiatric day care centre for teenagers in Brussels. It dives into the details of its everyday material arrangements, and asks, How do material spaces work in the everyday practice of a psychiatric centre? How do they contribute to institutional care? What are their potentialities, with their tensions, successes, and failures? Presented over seven chapters, the dissertation describes how these spaces help make modest attachments emerge. ‘Modest attachments’ proliferate as caregivers attempt to spark even the smallest appreciations by mediation of the material environment. Material spaces play active roles in enacting various ways of becoming attached, from small affinities in the everyday flow, towards appreciations that become of great concern. The narrative follows three conceptual threads, each accentuating a dimension of the inquiry. The first thread of the thesis is an ethnography of institutional care, shaped by the notion of therapeutic communities. This community work with patients is given less importance in today’s psychiatric field. Yet, such a care work creates possibilities for patients – especially for those most reluctant to being cared for: it invites them to respond with their specific affinities and disinterests, rather than being understood through the deficiencies of a disease. The thesis develops an approach towards the potentialities of material spaces. This approach pays ethnographic attention to the possibilities that material spaces unleash in interactions with those giving and receiving care. It therefore develops a material-semiotic sensibility regarding the materiality of a place, looking at how ideas take shape in and with the material arrangements of the space involved in the ongoing care practice.The third thread elaborates the concept of ‘attachments’, a term that designates the co-creation of affinities, things, bodily engagements, and collectives, that develop when a person or a group comes to strongly like something. In the day centre, attachments are often modest appreciations, of quiet intensity, diffuse and dilute in informal moments and daily activities: a seat that become familiar, a displayed drawing that draws a lingering gaze, or a videogame that spark a momentary shared interest. The thesis witnesses the potentialities of material spaces for awakening and strengthening such modest attachments and shows how these significantly contribute to the care work. / Doctorat en Art de bâtir et urbanisme (Architecture) / info:eu-repo/semantics/nonPublished
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Concevoir le contexte de l'architecture: réalité habitée et réalité projetée dans trois doctrines du 20e siècle

Marbehant, Sylvain 21 October 2014 (has links)
Cette thèse de doctorat développe un questionnement de nature épistémologique à propos du domaine architectural et des connaissances qui lui sont associées. La théorie architecturale se distingue par la grande diversité de ses formes, par la multiplicité des acteurs qui la mobilisent et surtout par la grande complexité de l'objet qu'elle vise :l'œuvre architecturale. Pour pouvoir aborder de manière lucide ces différents filtres, nous proposons d'en décoder les origines pour une notion théorique particulière: le contexte de l'œuvre architecturale.<p>Le contexte d'une œuvre rassemble l'ensemble des conditions matérielles, sociocognitives et culturelles qui contribuent à sa signification. Cependant l'interprétation d'un contexte est souvent faite de manière équivoque tant les sources du sens sont multiples et variées pour l'architecture. <p>Un examen rapide de l'évolution de la culture architecturale dans le courant du 20e siècle permet de situer la grande popularité de la question du contexte dans la seconde moitié de ce siècle. L'importance du contexte y apparaissait comme une force effective pour endiguer la crise du sens que connaissait l'architecture. Une sensibilité commune émergea au sein de trois courants architecturaux – appelés dans cette étude la Team 10, les Italiens et les Américains. Tous fondaient leurs interprétations sur l'idée que les conditions matérielles et historiques d'une situation donnée participent à la signification que prend l'œuvre architecturale chez ses habitants. Ils en déduisirent une série de notions originales qui constituent l'objet de cette étude.<p>Au moment du repli théorique amorcé au moment du postmodernisme, ces interprétations furent formalisées au sein de trois doctrines :le structuralisme, le rationalisme et le contextualisme. Dans ce cadre doctrinal, à chaque situation donnée pouvaient correspondre plusieurs contextes élaborés a priori et conditionnant sans détour l'œuvre architecturale qui y prenait place. Ainsi, alors que la signification d'un contexte est liée à sa spécificité, ces interprétations formalisées encourageaient la reproduction de stratégies d'interventions architecturales abstraites de toute contingence. <p>La critique du postmodernisme expliqua ces pratiques caricaturales par l'oubli du rôle actif des auteurs architectes dans le travail d'interprétation du contexte d'une œuvre. Un contexte ne doit pas être interprété seulement en tant que réalité habitée – trouvant son sens chez les habitants de l'œuvre – mais aussi en tant que réalité projetée. – trouvant son sens dans la conception de l'œuvre. <p>La première hypothèse de cette recherche avance qu'au sein des trois courants à l'origine des doctrines du structuralisme, du rationalisme et du contextualisme s'exprimait consciemment cette différence entre réalité habitée et réalité projetée. Si les formalisations doctrinales écartèrent l'importance de l'engagement créatif des architectes dans l'interprétation d'un contexte n'avait pas été oubliée chez les principaux auteurs de ces trois courants. La seconde hypothèse de cette recherche avance que l'interprétation d'un contexte en tant que réalité projetée est nécessaire pour renouveler le sens de l'œuvre qui y est associée. Par l'engagement de l'auteur architecte, peut naître une relation spécifique entre l'œuvre architecturale et son contexte, spécificité garante de la signification.<p>Ces deux hypothèses s'appuient sur deux développements. D'abord un double inventaire des principales notions relatives à la compréhension du contexte de l'œuvre architecturale en tant que réalité habitée et en tant que réalité projetée. Ces inventaires sont illustrés par quelques projets exemplaires traduisant l'impact de ces interprétations sur l'architecture construite. Ensuite par une réflexion théorique plus générale développant la relation possible entre la connaissance architecturale et l'œuvre au sein d'une réalité projetée. A la suite de ce second développement de nature épistémologique, nous avançons que par la nature intermédiaire que prennent les connaissances dans le cadre d'une réalité projetée, il s'instaure une relation de réciprocité – et non pas d'autorité - entre le théorique et le pratique.<p> / Doctorat en Art de bâtir et urbanisme / info:eu-repo/semantics/nonPublished
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Le plan libre, syncrétisme de la modernité corbuséenne: essai de clarification du concept de plan libre dans l'oeuvre architectural de Le Corbusier

Burniat, Patrick 11 June 2008 (has links)
Le sujet de la thèse —la clarification du concept de plan libre dans l’œuvre architectural de Le Corbusier— s’inscrit dans un cadre général de recherches portant sur les modes de conception architecturale en contexte de modernité. Cette préoccupation prend comme horizon la compréhension des processus qui servent l’architecture comme construction d’idées et qui permettent d’en articuler les différentes phases, depuis l’amont des intentions exprimées par le concepteur, jusqu’à l’aval des expressions prises par la solution, en passant par les moyens qui, précisément, permettent d’articuler une pensée abstraite à un objet concret. C’est un champ d’interrogation qui s’appuie sur le constat d’un double déficit disciplinaire :l’intérêt général porté aux formes de l’architecture plutôt qu’aux processus qui les ont fait naître ;l’absence de vocabulaire réellement partagé des concepts utilisés par la discipline, ce qui forme, dans l’un et l’autre cas, “obstacles” à la connaissance de l’architecture et à son enseignement.<p><p>A cet égard, le concept de plan libre occupe une position de choix. Célèbre « mot-force » du manifeste corbuséen de 1927 —« Les Cinq points d’une nouvelle architecture »—, devenu un concept central —mais aussi “nomade”— de l’historiographie de l’architecture moderne, il se trouve donc à l’articulation des questions relatives à la modernité et à la conception. De plus, une simple confrontation de sa définition originale, tant à l’œuvre de Le Corbusier qu’à l’historiographie du Mouvement Moderne, révèle la polysémie du concept et, en particulier, les ambiguïtés et paradoxes que suscitent sa double interprétation :comme “modèle d’organisation spatiale” d’une part et comme “intention libératoire” de l’autre, au point qu’elle laisse le chercheur perplexe à l’égard de ce qu’en l’état, un tel concept peut bien apporter à la connaissance de l’architecture. <p><p>Pour surmonter ces difficultés d’interprétations, deux hypothèses sont proposées. <p>La première envisage le plan libre comme mode opératoire de “libre” conception propre à Le Corbusier. La seconde renvoie à la construction discursive du plan libre comme oxymore, c’est-à-dire comme figure de rhétorique qui, en associant deux termes de sens contraires, construit un ou plusieurs sens nouveaux. <p><p>En conclusion, leur vérification conduit à interpréter le plan libre comme mode spécifique de conception —qui assure tout autant l’autonomie du créateur que la fertilité du processus de création—, lui-même basé sur un processus récurrent de “mises en tension” et de recherches de nouveaux “équilibres” :du regard dialogique que Le Corbusier porte sur le monde —en particulier sur le processus de modernisation— à l’expression duale qu’il donne à ses compositions. Au final, cette double optique fonde notre interprétation du plan libre comme syncrétisme de la modernité corbuséenne. Elle se valide également comme clés de lecture particulièrement riches pour la compréhension de l’oeuvre corbuséenne et des processus de conception qui l’animent.<p><p>x x x<p>Développement<p><p>Tout au long des chapitres de l’étude, nous nous sommes attaché à interroger le concept de plan libre au-delà des compréhensions conventionnelles et “familières” qu’on pouvait en avoir de prime abord, à savoir :d’une part, le plan libre comme “modèle d’organisation spatiale” —défini par opposition au “plan paralysé”—et, d’autre part, le plan libre comme “intention libératoire”, lequel marque un large désir d’émancipation, en particulier —sans y être restreint— à l’égard des pratiques académiques. Dès le premier chapitre en effet, nous avions montré que ces premières définitions “communes” du plan libre —clairement identifiables tant dans l’œuvre corbuséenne que dans les instrumentalisations dont il fut l’objet par la critique spécialisée— formaient “obstacles”, dans ces deux champs, à une claire compréhension de ce qu’il pouvait signifier.<p><p>Bien que l’on ne puisse douter de la validité des définitions proposées par Le Corbusier lui-même, nous avons dû relever à leur égard un certain nombre d’ambiguïtés ou de contresens qui nous obligeaient à questionner ces termes au-delà de ce qu’on y voit habituellement. De la sorte, nous mettions aussi en évidence qu’il n’y avait pas, dans le concept de plan libre, un, mais bien deux “niveaux de libération” à identifier :d’une part, un mouvement d’émancipation de la nouvelle architecture à l’égard de tout ce qui pouvait, de manière hétéronome, “préformer” sa conception ;d’autre part, une liberté interne au système mis en place, assurant à l’auteur de projet la mise à disposition de moyens innovants et permettant la « permanente mise à l’épreuve » (A. Rivkin) de l’architecture face aux conditions changeantes du projet. <p><p>Ces différentes observations nous invitaient à approfondir la réflexion et, surtout, à la déplacer vers ce processus qui, justement, permettait de lier la “virtualité” de l’intention à la “matérialité” d’une solution, soit le propre de la conception architecturale. En effet, entre ces premières définitions du plan libre qui, déjà, le situaient aux “extrêmes” de la conception architecturale — intention versus expression— il semblait opportun d’en revenir là aussi à l’investigation de cette problématique “intermédiaire” :par quels moyens Le Corbusier passait-il du plan libre comme intention au plan libre comme expression ?<p><p>L’hypothèse fut alors posée de considérer le plan libre corbuséen comme “méta-opérateur” d’une libre conception du projet, le terme désignant selon Robert Prost « l’ensemble des modes opératoires que réclame toute formulation de solution ». Dans ce sens, on pouvait aisément présumer que ce mode de conception était lui-même animé par le regard doctrinal porté par Le Corbusier sur cette même modernité au service de laquelle il avait précisément défini la « nouvelle architecture » et les « Cinq points » qui en étaient « les moyens ». <p><p>L’objectif de nos développements ultérieurs fut dès lors, tout à la fois, de montrer ce “statut” opératoire du plan libre comme libre conception; de déterminer les moyens —procéduraux et substantiels— qui l’organisaient ;de montrer ce qu’ils construisaient dans l’œuvre en termes d’innovation ;de relever, en parallèle, en quoi et comment ils étaient révélateurs du point de vue de Le Corbusier sur la modernité. <p><p>Les hypothèses et l’intérêt des questions soulevées furent définitivement fondés après l’exposé des cadres généraux à l’intérieur desquels elles devaient être discutées :les champs de la conception d’une part et de la modernité de l’autre. C’est l’objet du chapitre 2. <p><p>L’étude s’est alors développée en quatre parties, basées sur des temporalités et/ou des corpus spécifiques et orientées vers des questions particulières. <p><p>Dans un premier temps —chapitre 3—, nous avons pris comme cadre d’interrogation l’exposition du Weissenhof à Stuttgart en 1927, moment de la publication du célèbre manifeste corbuséen des « Cinq points d’une nouvelle architecture » et lieu de la construction de ces maisons par lesquelles Le Corbusier exposa concrètement ses points de vue théoriques. <p><p>Le concept de plan libre y a été évalué à l’aune :des Cinq points dans le cadre desquels il a été énoncé; de l’ossature Dom-Ino qui en fonde l’émergence et la nature particulière; des maisons du Weissenhof qui en concrétisent la portée et les ambitions. Bien que cette matière ait déjà été abondamment retournée par les labours de la critique architecturale, un exposé exhaustif se devait d’être fait pour fonder notre propre compréhension des événements, construire nos propres observations et conclusions, eu égard à nos hypothèses. Par ailleurs, ce chapitre a permis d’éclaircir le mode de fonctionnement des Cinq points et de l’ossature Dom-Ino quant à leurs rôles et objectifs dans le processus de conception corbuséen.<p><p>Dans le 4e chapitre, nous nous sommes plus particulièrement interrogé sur ce qui fondait le choix et la définition de ces moyens particuliers. Il fut donc consacré à l’étude du plan libre comme édification d’une “théorie” du projet. Jamais Le Corbusier n’a produit un discours coordonné sur sa pratique —à la manière du traité d’Alberti— et les nombreux textes par lesquels il commente son œuvre et justifie les Cinq points comme « Eléments objectifs de discussion sur le phénomène architectural » présentent ces questions selon des points de vue fragmentaires :seul l’enchaînement des sources a permis d’extraire des thèmes dont la récurrence, voire la redondance, fait sens. La variation des énoncés des Cinq points que nous avons pu relever invitait par ailleurs à voir là une pensée en “construction” plutôt qu’une doctrine “arrêtée”, le manifeste étant dès lors compris comme un “arrêt sur images” ponctuant le parcours d’une pensée elle-même en permanente évolution. <p><p>Le corpus de cette analyse fut constitué de conférences, articles et livres rédigés par Le Corbusier, pour l’essentiel entre 1918 et la fin des années 20. Sur base de ce matériel, un certain nombre de thèmes récurrents ont été identifiés qui étayent la compréhension de ce que peuvent être les éléments de doctrine qui sous-tendent la conception du projet corbuséen et la manière dont il construit la validation de son propos. L’intérêt de cet examen fut aussi de permettre l’identification de quelques-unes de ces références procédurales qui font partie du fond culturel du concepteur et par lesquelles Le Corbusier organise ses processus de conception à l’égard de ce qui constitue l’architecture comme « problème en soi ». Dans un second temps, la comparaison de ces observations avec ce qui fait, selon Françoise Choay, théorie chez Alberti, a conforté l’idée de ce que cette construction doctrinale était propre à sous-tendre et qualifier un mode de conception et d’en confirmer, pour une part, les moyens de son ambition “émancipatrice”.<p><p>Dans le chapitre 5, nous avons procédé à l’examen de quatre références procédurales de conception que nous avions précédemment identifiées :la re-programmation, la dissociation, l’inversion et la réconciliation des contraires. L’intérêt était double. Il s’agissait, d’une part, de comprendre —et de vérifier— en quoi et comment ces procédures permettaient de rencontrer les objectifs d’une libre conception du projet —ce que nous avons traduit là par leur capacité à innover sur le plan formel et spatial et à assurer une relative autonomie du concepteur— et, d’autre part, de saisir —et montrer— en quoi et comment ils servaient le point de vue de Le Corbusier sur la modernité. Le corpus considéré ici était constitué d’une sélection de réalisations architecturales des années 20. Leur examen permit de saisir concrètement ce vers quoi les procédures conduisaient en examinant ce qu’elles construisaient dans l’œuvre. Bien que non exemptes d’observations personnelles, ces analyses se sont appuyées sur divers travaux antérieurs menés par les exégètes de l’œuvre corbuséenne dont, en particulier, Alan Colquhoun, Colin Rowe, Jacques Lucan, etc, auprès desquels nous avons trouvé matière à étayer nos hypothèses par l’articulation de leurs points de vue au nôtre, réduisant également quelques-unes des fractures de compréhension énoncées dès l’introduction.<p><p>Le chapitre 6 a, quant à lui, été plus particulièrement réservé à l’observation des références substantielles présentes dans le système de conception corbuséen au moment des Cinq points, que ce soit sur un plan concret ou à un horizon théorique. Dès l’exposé introductif de nos hypothèses, nous avions en effet relevé la relative incompatibilité que l’on pouvait discerner dans la mise au point d’un système de conception dont on attendait, d’un côté, qu’il puisse en permanence apporter des réponses innovantes en l’appuyant, de l’autre, sur des références de formes —celles des Cinq points— qui ne pouvaient qu’en restreindre l’ordre des possibilités. Deux discussions nous ont permis, sur le plan théorique au moins, de saisir les raisons de cette incompatibilité :celle de l’autoréférentialité du système d’une part et celle du miroir de l’inversion d’autre part, toutes deux conduisant nécessairement à restreindre le champ de la création à l’ordre d’une forme d’imitation. <p><p>Le chapitre 7, de conclusion, est revenu plus spécifiquement sur la discussion de l’objectif —et des conditions— dans lesquelles Le Corbusier poursuit cette volonté d’autonomie propre à la posture de l’artiste moderne, et l’objective. Si l’on s’accorde à reconnaître que le processus de modernisation à conduit à l’effritement des traditions stabilisatrices sur lesquelles se fondait ce qui faisait “sens commun”, la question est posée, entre autres, de savoir comment créer et objectiver ce “sens commun” à partir d’une vision subjective du “moi” créateur. La démonstration porte là sur la mise en exergue des invariants sur lesquels Le Corbusier fonde ses discours de validation :les principes pérennes qu’il “reconnaît” dans l’histoire, tout autant que les invariants de “l’homme”, qu’ils soient de nature socio-anthropologique, anthropomorphique ou psycho-physiologique. De la sorte, la posture émancipatrice de Le Corbusier se révèle fondée sur le respect d’un cadre normatif, intemporel, par lequel il tente d’objectiver sa propre subjectivité.<p><p>Cette approche duale nous est finalement apparue récurrente à tous niveaux de son processus de conception, et donc comme forgeant l’une de ses spécificités. Quel que soit le niveau auquel on l’envisage, Le Corbusier fonde son approche sur la mise en tension de termes, d’idées ou de figures qu’il oppose et entre lesquels il semble tout à la fois réfléchir, résoudre et exprimer les questions particulières de la conception, visant au final un nouvel équilibre entre les pôles identifiés, ce qu’énonce de manière métaphorique l’oxymore “plan libre”.<p><p><p> / Doctorat en Art de bâtir et urbanisme / info:eu-repo/semantics/nonPublished
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Le graffiti à Montréal : pratique machiste et stratégies féminines

Couvrette, Katrine 10 1900 (has links)
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Mobilité durable à Cotonou: outils de régulation des transports incluant les populations précaires

Badji, Aconkpanle 29 May 2015 (has links)
Cette thèse s’intéresse particulièrement à un aspect de la durabilité sociale des transports urbains à Cotonou au Bénin :la mobilité des populations pauvres. L’objectif global est de contribuer à l’amélioration des transports à Cotonou en faveur des populations pauvres de la ville. De façon spécifique, la thèse se propose de mettre en lumière le processus de mise à l’écart des citadins pauvres depuis les origines de la ville jusqu’à la formation des quartiers précaires, et d'en observer les ruptures et continuités. Dans un deuxième temps, elle ambitionne analyser l’offre de transport à Cotonou et étudier fondamentalement la mobilité des citadins pauvres. Elle propose enfin des solutions de politiques améliorantes afin de mieux intégrer la satisfaction des besoins de mobilité et d’accessibilité des populations défavorisées dans le système de transport urbain et d’y assurer plus d’équité. <p>Le recours à l'approche historique a permis d'analyser le processus de mise à l'écart des pauvres, tandis qu'une enquête individuelle de mobilité a permis d'étudier leurs habitudes de déplacement. Cette enquête a pris en compte un échantillon représentatif de 660 personnes pauvres âgées de 15 à 59 ans, issus de 4 quartiers très pauvres de Cotonou. Elle a été complétée par une démarche plus qualitative par l'administration de questionnaires semi-structurés à 20 enquêtés. La dernière démarche a consisté à investiguer le système de transports urbain dans ses trois dimensions (infrastructures, services de transport et aspects institutionnels) afin d'en saisir les contraintes et réalités.<p>Cette étude montre une expression de mobilité atypique des citadins pauvres. Les analyses entreprises sur les caractéristiques socio-économiques de cette population pauvre montrent un sous équipement en moyens de transport dans un contexte de difficulté d’accès aux transports publics. On note de rares utilisations du transport public, les déplacements sont courts, rares et s’inscrivent dans l’utile, il s’agit prioritairement des déplacements contraints. Mais ces habitudes coopèrent également avec des stratégies d’auto-emploi à domicile ou dans le quartier qui permettent ainsi à beaucoup de pauvres d’éviter les dépenses en transport. Les témoignages permettent de lire également les stratégies de gestion à moindre coût des déplacements lorsque les populations se résolvent à les mener :combinaison de la marche avec d’autres moyens, aides de proches, etc. D’autres logiques gouvernent également à certaines habitudes et qui sont plus culturelles avec des orientations liées au genre. Dans cette même mouvance, on note différents rapports des individus à l’espace et qui participent de la logique des courts déplacements dans les environs du domicile. Les habitudes de déplacement des pauvres participent d’un isolement qui n’autorise que fort peu leur contribution à la vie de la cité et à son développement. Dans ces conditions, leur sortie du cercle vicieux de la pauvreté est mise à l'épreuve.<p>D’un autre côté, le système de transport à Cotonou révèle des défaillances qui, à l’analyse, renforcent la pénibilité des déplacements des citadins pauvres. L’offre de transport évolue dans un désordre favorisé par la démission des puissances publiques et l’afflux dans le secteur de milliers d’opérateurs artisanaux qui gèrent en partie, exploitent et régulent le système. Le réseau routier est dégradé et faiblement revêtu alors que l’aménagement des routes bitumées et pavées n’intègre guère leur exploitation aisée et planifiée, par des services de transport public structurés. <p>L’ampleur des défaillances dans les divers compartiments de l’offre de transport ainsi que la pénibilité des conditions de déplacement des pauvres nécessitent impérativement un remède adapté. De là vient la prospection de plusieurs pistes pour l’amélioration du système de transport. Mais le fonctionnement de ces pistes nécessite à la fois un effort d’organisation et de régulation du système. D’où des analyses et suggestions pour un portage institutionnel adéquat. Mais l’opérationnalisation d’une telle option équivaut au réglage d’une suite de complexes défis.<p> / Doctorat en Art de bâtir et urbanisme / info:eu-repo/semantics/nonPublished
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Optimal shaping of lightweight structures

Descamps, Benoît 19 November 2013 (has links)
Designing structures for lightness is an intelligent and responsible way for engineers and architects to conceive structural systems. Lightweight structures are able to bridge wide spans with a least amount of material. However, the quest for lightness remains an utopia without the driving constraints that give sense to contemporary structural design.<p><p>Previously proposed computational methods for designing lightweight structures focused either on finding an equilibrium shape, or are restricted to fairly small design applications. In this work, we aim to develop a general, robust, and easy-to-use method that can handle many design parameters efficiently. These considerations have led to truss layout optimization, whose goal is to find the best material distribution within a given design domain discretized by a grid of nodal points and connected by tentative bars. <p><p>This general approach is well established for topology optimization where structural component sizes and system connectivity are simultaneously optimized. The range of applications covers limit analysis and identification of failure mechanisms in soils and masonries. However, to fully realize the potential of truss layout optimization for the design of lightweight structures, the consideration of geometrical variables is necessary. <p><p>The resulting truss geometry and topology optimization problem raises several fundamental and computational challenges. Our strategy to address the problem combines mathematical programming and structural mechanics: the structural properties of the optimal solution are used for devising the novel formulation. To avoid singularities arising in optimal configurations, the present approach disaggregates the equilibrium equations and fully integrates their basic elements within the optimization formulation. The resulting tool incorporates elastic and plastic design, stress and displacements constraints, as well as self-weight and multiple loading.<p><p>Besides, the inherent slenderness of lightweight structures requires the study of stability issues. As a remedy, we develop a conceptually simple but efficient method to include local and nodal stability constraints in the formulation. Several numerical examples illustrate the impact of stability considerations on the optimal design.<p><p>Finally, the investigation on realistic design problems confirms the practical applicability of the proposed method. It is shown how we can generate a range of optimal designs by varying design settings. In that regard, the computational design method mostly requires the designer a good knowledge of structural design to provide the initial guess. / Doctorat en Sciences de l'ingénieur / info:eu-repo/semantics/nonPublished

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