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Exploration de la capacité d'un réseau de neurones à imiter le jugement et l'expérience d'un estimateur chevronné pour l'attribution du taux de productivité d'une équipe d'excavation en infrastructures municipales

Jobin, Guy January 2008 (has links) (PDF)
Ce travail étudie le potentiel des RNA pour l'estimation détaillée des coûts de projet dans le domaine des infrastructures municipales. En général, pour l'entrepreneur en construction civile, l'obtention d'un contrat se joue lors des soumissions publiques. Subséquemment, l'estimation des coûts de travaux constitue la pierre angulaire de ce processus de soumission. Cette tâche s'avère vite laborieuse considérant le nombre élevé d'éléments dont il faut tenir compte, et de plus, la valeur de chacun de ces éléments est fonction de plusieurs variables difficilement contrôlables. Il a été démontré que l'attribution du taux de productivité d'une équipe de travail est la source majeure d'erreur lors de la préparation des estimations détaillées. Nous avons bâti un modèle de prédiction du taux de productivité d'une équipe d'installation de réseaux d'aqueduc et d'égouts. Les données qui ont servi à valider empiriquement le modèle proposé émanent de projets exécutés dans la région de Laval et des Basses-Laurentides. Un historique de données est construit à partir des rapports journaliers de surveillance des travaux de 43 projets de génie urbain. Afin d'explorer la capacité des RNA à imiter le jugement et l'expérience d'un estimateur chevronné. Deux forums de discussion ont eu lieu avec trois estimateurs du domaine pour déterminer les facteurs qui influencent le taux de productivité de l'équipe d'excavation de tranchées. Ces discussions ont permis de déterminer le jeu optimal des données d'entrée des RNA. Trois estimateurs chevronnés ont également calculé manuellement le taux de productivité à partir des plans et devis de chacun des deux projets testés. Pour ces deux projets, les résultats de prédiction des RNA sont comparés aux résultats des trois estimateurs ainsi qu'au taux de productivité réel obtenu au chantier. Les RNA obtiennent des résultats supérieurs au niveau de la précision par rapport aux résultats des estimateurs. Des recommandations sont faites pour la préparation des futurs rapports journaliers de surveillance de travaux afin de rendre les données plus accessibles aux RNA. Ainsi, d'autres recommandations sont faites pour des recherches futures qui permettraient d'introduire le processus de prédiction dans les logiciels commerciaux d'estimation détaillée du coût de projet. ______________________________________________________________________________ MOTS-CLÉS DE L’AUTEUR : Réseau de neurones artificiels (RNA), Estimation, Génie civil, Prédiction.
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L'estimation du coût du capital dans les marchés émergents : une application au secteur alimentaire du Vietnam

Doan, Thi Lien Huong January 2006 (has links) (PDF)
Dans un contexte de marchés développés tels ceux du Canada ou des États-Unis, le modèle d'équilibre des actifs financiers (CAPM) est le plus utilisé par les praticiens pour estimer le coût du capital et ce, même s'il comporte de nombreuses faiblesses aux plans théorique et pratique. L'application de ce modèle ne semble toutefois pas adéquate dans le contexte des pays émergents en raison des caractéristiques propres de ces marchés (leur forte volatilité, leur inefficience, leur segmentation etc.). L'objectif de ce travail est d'essayer d'estimer le coût du capital du secteur alimentaire de l'économie du Vietnam en appliquant des modèles plus efficaces adaptés au contexte des marchés émergents. Pour estimer le coût du capital du secteur alimentaire, nous avons appliqué le modèle de marché exprimant la relation entre le rendement du portefeuille sectoriel et celui du marché. Dans ce modèle inspiré du CAPM, nous supposons une relation linéaire entre le rendement du portefeuille et celui du marché. Ce modèle est également appliqué au marché du Japon et de l'Australie. Nos résultats nous permettent de confirmer une très forte relation dans les trois cas. L'étude de ces marchés nous permet aussi de constater que le secteur alimentaire du Vietnam semble plus risqué que celui des autres marchés. Nous y avons également trouvé la présence de l'effet ARCH des rendements, qui implique que la variance du rendement de ce secteur au Vietnam n'est pas constante, mais varie avec les informations non anticipées des périodes précédentes. Nous avons également examiné la relation entre le rendement de portefeuilles alimentaires sur trois marchés, le Vietnam, l'Australie et le Japon. Nous avons choisi l'Australie et le Japon à cause de l'importance des rapports commerciaux entre ces pays et le Vietnam. Si une relation avait existé, la maturité de ces deux marchés aurait pu nous aider à déterminer un «benchmark» pour estimer le coût du capital. Malheureusement, nos résultats ne nous ont pas permis de confirmer cette hypothèse. Nous avons eu recours au modèle CAPM hybride ajusté, celui de Damodaran, de Godfrey-Espinosa et de Erb-Harvey-Viskanta, pour fournir des références de ce paramètre de coût du capital. Les paramètres de ces modèles ont été déjà estimés par les auteurs. Cette application nous donne une intervalle d'estimation pour le coût de capital qui varie de 9.29 % à 16.84 % pour le secteur alimentaire au Vietnam. ______________________________________________________________________________ MOTS-CLÉS DE L’AUTEUR : Coût du capital, Marchés émergents, Vietnam, Secteur alimentaire.
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Le processus d'évaluation des dépenses en capital TI : une perspective pratique

Goyette, Sylvain 07 1900 (has links) (PDF)
La documentation sur l'évaluation des bénéfices des technologies de l'information (TI) comprend une importante diversité de méthodes utilisées pour comprendre et mesurer l'évaluation des bénéfices des TI. Cependant, les méthodes répertoriées ne semblent pas concorder avec les pratiques d'évaluation utilisées par les gestionnaires d'entreprise. Cette recherche a donc comme objectif d'enrichir la vision du domaine scientifique en développant un cadre conceptuel d'évaluation des bénéfices reposant sur la perspective des gestionnaires d'entreprise. En améliorant la conceptualisation de l'évaluation des bénéfices des TI grâce aux ressources documentaires dans le domaine de la finance sur l'évaluation des dépenses en capital, dans le domaine de la productivité des TI, et finalement de la documentation associée au modèle de succès des systèmes d'information de Delone et McLean (2003). À l'aide d'une approche qualitative reposant sur des entrevues avec des responsables du processus d'évaluation des dépenses en capital des TI de dix organisations, une analyse comparative a été faite pour de développer un modèle issu de la pratique de ces processus. Le modèle est composé de six phases, soit l'identification des projets, le développement des propositions, la sélection des projets, la réévaluation des projets, l'implantation des projets et l'évaluation des bénéfices organisationnels. La modélisation des pratiques d'évaluation des dépenses en capital des TI a permis, dans un premier temps, de valider et d'enrichir une conceptualisation issue de la documentation. Cet exercice a également permis d'identifier une nouvelle phase d'évaluation ex ante. En effet, il existe des activités d'évaluation après l'évaluation préliminaire associée à la sélection des projets et avant l'implantation des TI, qui comprend l'évaluation détaillée des analyses quantitatives et qualitatives des projets. Enfin, l'analyse des données des entrevues a permis de confirmer l'inefficacité de la perception des utilisateurs pour évaluer le succès ainsi que l'importance de la perception des dirigeants dans l'évaluation du succès des TI. ______________________________________________________________________________
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Les aspects mathématiques des mod'eles de marchés financiers avec coûts de transaction

Grepat, Julien 16 October 2013 (has links) (PDF)
Les marchés financiers occupent une place prépondérante dans l'économie. La future évolution des législations dans le domaine de la finance mondiale va rendre inévitable l'introduction de frictions pour éviter les mouvements spéculatifs des capitaux, toujours menaçants d'une crise. C'est pourquoi nous nous intéressons principalement, ici, aux modèles de marchés financiers avec coûts de transaction.Cette thèse se compose de trois chapitres. Le premier établit un critère d'absence d'opportunité d'arbitrage donnant l'existence de systèmes de prix consistants, i.e. martingales évoluant dans le cône dual positif exprimé en unités physiques, pour une famille de modèles de marchés financiers en temps continu avec petits coûts de transaction.Dans le deuxième chapitre, nous montrons la convergence des ensembles de sur-réplication d'une option européenne dans le cadre de la convergence topologique des ensembles. Dans des modèles multidimensionnels avec coûts de transaction décroissants a l'ordre n−1/2, nous donnons une description de l'ensemble limite pour des modèles particuliers et en déduisons des inclusions pour les modèles généraux (modèles de KABANOV). Le troisième chapitre est dédié a l'approximation du prix d'options européennes pour des modèles avec diffusion très générale (sans coûts de transaction). Nous étudions les propriétés des pay-offs pour pouvoir utiliser au mieux l'approximation du processus de prix du sous-jacent par un processus intuitif défini par récurrence grâce aux itérations de PICARD
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La théorie de la dissuasion et sa rationalité coûts/bénéfices: les remises en question d'une rationalité du risque

Labonté, Sébastien 07 May 2013 (has links)
La théorie moderne de la dissuasion et la rationalité coûts/bénéfices sont étroitement liées l’une à l’autre. En fait, sans cette dernière, la théorie de la dissuasion n’aurait plus de fondements puisqu’elle repose sur la croyance voulant que sous certaines conditions — ayant trait notamment à sa sévérité et à sa certitude — la sanction pénale peut décourager quiconque aurait l’audace de défier la norme pénale. La rationalité coûts/bénéfices constitue donc cette prémisse selon laquelle l’être humain gouvernerait son comportement, incluant le comportement criminel, à partir d’un calcul fait de coûts et de bénéfices. La généralisation de la portée de cette théorie de la décision constitue notre objet de recherche. La question qui se pose est celle de savoir si la théorie elle-même n’aurait pas trop exagéré la portée de cette rationalité coûts-bénéfices. Il ne s’agit pas tant de remettre en question le fait qu’elle puisse opérer ici et là, mais bien de réfléchir aux limites de sa généralisation, de se poser la question de savoir si compte tenu des données dont on dispose il est encore raisonnable, aujourd’hui, d’entretenir cette croyance à l’effet que tous les comportements dits criminels sont opérés dans le cadre de cette rationalité coûts/bénéfices. C’est la question que nous posons dans cette recherche exploratoire dont l’objectif est de cerner une rationalité inédite développée théoriquement par Pires (2002) et vérifiée empiriquement par Dubé (2012) : la rationalité du risque. Dans cette recherche, ces dernières considérations nous amènent à traiter les postulats de la rationalité coûts/bénéfices comme des hypothèses et non comme des faits. Cette posture épistémologique se situe en dehors du positivisme et réintroduit le doute dans l’observation. Ce doute est alors confronté à une empirie particulière : il ne s’agit plus de tester la sévérité ou la certitude des peines telles que les conçoivent le droit criminel, mais bien de comprendre comment, dans la commission de leurs infractions, les individus se les représentent, comment ils les perçoivent, et quel poids leur attribuent-ils dans la décision de commettre ou de commettre à nouveau une infraction. Dans cette perspective qui s’inspire directement des approches phénoménologiques, la dissuasion est ainsi conçue comme un phénomène d’abord et avant tout subjectif. Au plan méthodologique, nous avons cherché à saisir ces « réalités subjectives » à partir d’entretiens qualitatifs semi-dirigés réalisés auprès d’individus ayant commis des crimes graves. Dans ces entretiens, plusieurs postulats de la théorie de la dissuasion sont ébranlés sous le poids d’une phénoménologie faisant ressortir les traits et fondements de la rationalité du risque, rationalité qui réduit la portée de la rationalité coûts/bénéfices tout en frappant d’impertinence le réductionnisme qui associe à la qualité de la peine la qualité de l’effet dissuasif. À partir de nos observations empiriques, nous avons élaboré quatre (4) idéaux-types de trajectoires décisionnelles : pris dans leur ensemble, ceux-ci suggèrent que l’effet dissuasif de la sanction pénale est loin d’être aussi déterminant que nous a habitués à le croire le droit criminel moderne. Les résultats de notre recherche semblent en effet indiquer que dans bien des cas, la menace de la conséquence pénale se retrouve neutralisée par la rationalité du risque qui intervient dans l’esprit de l’individu pour reconvertir la « certitude » du coût en incertitude, en probabilité. Le coût n’est alors plus vécu comme un coût, mais bien comme un risque, comme une possibilité parmi d’autres et que l’individu a l’impression de pouvoir contrôler. La dissuasion générale se retrouve ainsi fragilisée. Par ailleurs, face à la condamnation, lorsque l’individu l’associe à l’échec du passage à l’acte, la rationalité du risque intervient encore pour remettre en question non pas tant, dans l’absolu, la décision de commettre le crime, mais bien la manière de le commettre. L’échec est alors associé soit à une mauvaise décision (qui n’est pas celle de commettre le crime), soit au fruit du hasard contre lequel on ne pouvait rien. Dans un cas comme dans l’autre, la dissuasion spécifique se retrouve ainsi fragilisée.
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Les multiples enjeux d'une technique de gestion : discours et pratiques dans la répartition des frais généraux / The multiple implications of a management accounting technique : practice and discourse in overhead allocation

Zelinschi, Dragos 05 February 2009 (has links)
Cette recherche tente de clarifier la discussion autour de la répartition des charges indirectes, recenser les attitudes des entreprises confrontées au problème de la répartition et analyser les différents discours qui l’entourent. Nous nous sommes posé ici la question suivante : existe-t-il une technique de répartition qui soit intrinsèquement meilleure que les autres ? Pour nous, ce qui importe, ce n’est pas la technique (ou la méthode) de répartition, mais le sens qui émerge des pratiques et des discours. Il est donc nécessaire de changer de perspective sur la répartition, c’est-à-dire ne plus raisonner en termes de méthodes, mais chercher plutôt à comprendre ce phénomène en tant que délibération datée et contingente. Nous défendons ici l’idée que la répartition des charges indirectes constitue un processus (ou un phénomène organisationnel) qui prend des sens multiples. Ces sens émergent de la dialectique entre pratiques et discours, qui cache en réalité l’intervention de trois catégories d’acteurs : les entreprises, les scientifiques et les consultants. Dans ces conditions, non seulement il n’existe pas de technique de répartition qui soit intrinsèquement meilleure que les autres, mais il est impossible même de concevoir et de définir une telle technique. / This research attempts to clarify the ongoing debate over indirect cost allocation, evaluate the attitude of the companies confronted with the allocation issue and analyze the types of discourse surrounding it. Here, we ask the following question: does an allocation technique intrinsically better than others exist? Actually, what really counts it is not the allocation technique (or method), but its meaning, emerging both from practice and discourse. It is thus necessary to adopt a different perspective on cost allocation, i.e. to stop reasoning in terms of methods, but rather seek to understand this phenomenon as a dated and contingent deliberation. We defend the idea that cost allocation constitutes a process (or an organisational phenomenon) carrying multiple meanings. These meanings emerge from the dialectics between practice and discourse, which actually hides the intervention of three categories of actors: companies, scientists and consultants. Under these conditions, not only an allocation technique intrinsically better than the others does not exist, but it is impossible even to conceive and define such a technique.
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La théorie de la dissuasion et sa rationalité coûts/bénéfices: les remises en question d'une rationalité du risque

Labonté, Sébastien January 2013 (has links)
La théorie moderne de la dissuasion et la rationalité coûts/bénéfices sont étroitement liées l’une à l’autre. En fait, sans cette dernière, la théorie de la dissuasion n’aurait plus de fondements puisqu’elle repose sur la croyance voulant que sous certaines conditions — ayant trait notamment à sa sévérité et à sa certitude — la sanction pénale peut décourager quiconque aurait l’audace de défier la norme pénale. La rationalité coûts/bénéfices constitue donc cette prémisse selon laquelle l’être humain gouvernerait son comportement, incluant le comportement criminel, à partir d’un calcul fait de coûts et de bénéfices. La généralisation de la portée de cette théorie de la décision constitue notre objet de recherche. La question qui se pose est celle de savoir si la théorie elle-même n’aurait pas trop exagéré la portée de cette rationalité coûts-bénéfices. Il ne s’agit pas tant de remettre en question le fait qu’elle puisse opérer ici et là, mais bien de réfléchir aux limites de sa généralisation, de se poser la question de savoir si compte tenu des données dont on dispose il est encore raisonnable, aujourd’hui, d’entretenir cette croyance à l’effet que tous les comportements dits criminels sont opérés dans le cadre de cette rationalité coûts/bénéfices. C’est la question que nous posons dans cette recherche exploratoire dont l’objectif est de cerner une rationalité inédite développée théoriquement par Pires (2002) et vérifiée empiriquement par Dubé (2012) : la rationalité du risque. Dans cette recherche, ces dernières considérations nous amènent à traiter les postulats de la rationalité coûts/bénéfices comme des hypothèses et non comme des faits. Cette posture épistémologique se situe en dehors du positivisme et réintroduit le doute dans l’observation. Ce doute est alors confronté à une empirie particulière : il ne s’agit plus de tester la sévérité ou la certitude des peines telles que les conçoivent le droit criminel, mais bien de comprendre comment, dans la commission de leurs infractions, les individus se les représentent, comment ils les perçoivent, et quel poids leur attribuent-ils dans la décision de commettre ou de commettre à nouveau une infraction. Dans cette perspective qui s’inspire directement des approches phénoménologiques, la dissuasion est ainsi conçue comme un phénomène d’abord et avant tout subjectif. Au plan méthodologique, nous avons cherché à saisir ces « réalités subjectives » à partir d’entretiens qualitatifs semi-dirigés réalisés auprès d’individus ayant commis des crimes graves. Dans ces entretiens, plusieurs postulats de la théorie de la dissuasion sont ébranlés sous le poids d’une phénoménologie faisant ressortir les traits et fondements de la rationalité du risque, rationalité qui réduit la portée de la rationalité coûts/bénéfices tout en frappant d’impertinence le réductionnisme qui associe à la qualité de la peine la qualité de l’effet dissuasif. À partir de nos observations empiriques, nous avons élaboré quatre (4) idéaux-types de trajectoires décisionnelles : pris dans leur ensemble, ceux-ci suggèrent que l’effet dissuasif de la sanction pénale est loin d’être aussi déterminant que nous a habitués à le croire le droit criminel moderne. Les résultats de notre recherche semblent en effet indiquer que dans bien des cas, la menace de la conséquence pénale se retrouve neutralisée par la rationalité du risque qui intervient dans l’esprit de l’individu pour reconvertir la « certitude » du coût en incertitude, en probabilité. Le coût n’est alors plus vécu comme un coût, mais bien comme un risque, comme une possibilité parmi d’autres et que l’individu a l’impression de pouvoir contrôler. La dissuasion générale se retrouve ainsi fragilisée. Par ailleurs, face à la condamnation, lorsque l’individu l’associe à l’échec du passage à l’acte, la rationalité du risque intervient encore pour remettre en question non pas tant, dans l’absolu, la décision de commettre le crime, mais bien la manière de le commettre. L’échec est alors associé soit à une mauvaise décision (qui n’est pas celle de commettre le crime), soit au fruit du hasard contre lequel on ne pouvait rien. Dans un cas comme dans l’autre, la dissuasion spécifique se retrouve ainsi fragilisée.
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Coût de la transplantation de cornée pour la Régie de l'assurance maladie du Québec

Fournier-Roussy, Jean-Pascal January 2006 (has links)
No description available.
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ANALYSE ECONOMIQUE DES APPROCHES VOLONTAIRES DE REGULATION DE L'ENVIRONNEMENT

Mzoughi, Naoufel 09 December 2005 (has links) (PDF)
La thèse, constituée d'une compilation de sept articles, apporte des éléments de réponse aux questions suivantes : Quels sont les déterminants d'adoption et de diffusion des approches volontaires ? Comment un problème de pollution diffuse peut-il être régulé par une approche volontaire ? Comment les approches volontaires peuvent-elles être utilisées à des fins stratégiques ? <br /><br />L'article 1 définit et caractérise les approches volontaires. Les vertus prêtées aux instruments volontaires sont discutées en confrontant l'argumentation théorique aux études empiriques disponibles et aux réalités de terrain. Grâce à une étude approfondie de la norme ISO 14001, l'article 2 montre que la phase d'élaboration des normes constitue un espace stratégique où se dessinent, au moins partiellement, les positions concurrentielles futures. L'article 3 éclaire les déterminants de la diffusion différenciée de la norme ISO 14001 sur un échantillon de 158 pays. Les estimations économétriques montrent que, même si les facteurs reflétant des considérations d'ordre ‘environnemental' jouent un rôle non négligeable dans la diffusion de la norme ISO 14001, d'autres facteurs comme le taux de diffusion de la norme ISO 9000 et la présence d'un pays dès la phase de conception de la norme jouent un rôle prépondérant. L'article 4 relatif aux déterminants de la certification selon la norme ISO 14001 dans les 1000 premières entreprises agro-alimentaires françaises, montre que cette norme est surtout adoptée pour des raisons managériales, comme l'amélioration de la productivité des employés et l'organisation au sein de la firme. Grâce à une étude de cas de contractualisation entre un pollué, Vittel, embouteilleur d'eau minérale, et plusieurs pollueurs, les agriculteurs, sur des droits de propriété relatifs à l'environnement, et la comparaison de ce cas avec des situations similaires, l'article 5 explicite les conditions d'émergence et de construction d'une solution coasienne en dépit de coûts de transaction pouvant apparaître comme prohibitifs. L'aticle 6, tente d'appliquer la théorie des coûts de transaction (à la Williamson) aux problèmes d'environnement. Une telle extension requiert la caractérisation de la transaction environnementale et des différentes structures de gouvernance et l'application de l'hypothèse d'alignement proposée par Williamson. Enfin, certains économistes considèrent les approches volontaires comme des instruments déguisés permettant de servir certains intérêts privés, tout en se réclamant de l'intérêt collectif. Grâce à un modèle de Stackelberg, l'article 7 montre comment certains agents économiques promeuvent la mise en place d'écolabels plus exigeants en termes de performance environnementale afin d'augmenter stratégiquement le coût de leurs concurrents. Les effets totaux en terme de bien-être (meilleure protection de l'environnement versus distorsion de la concurrence) sont difficiles à évaluer et requièrent une analyse au cas par cas.
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The True Costs of Automobility: External Costs of Cars Overview on existing estimates in EU-27 / Externe Autokosten in der EU-27 Überblick über existierende Stu dien / Coûts externes de l’automobile Aperçu des estimations existantes dans l'Union européenne à 27

Becker, Udo J., Becker, Thilo, Gerlach, Julia 26 January 2017 (has links) (PDF)
Mobilität und Verkehr, insbesondere der Verkehr mit PKW, sind unverzichtbare Bestandteile des Lebens. PKW erbringen ohne Zweifel große private Nutzen. Daneben erzeugen PKW aber auch sog. externe Effekte: Kosten, die die Fahrenden eigentlich unbeteiligten Dritten aufbürden. Dies sind Kosten durch Lärm und Abgase, durch ungedeckte Unfallkosten, durch die entstehenden Klimaschäden, durch "up- and downstream" - Effekte und durch sonstige Umweltkosten. Diese Kosten werden nicht vom Nutzer getragen, sondern von anderen Menschen, anderen Ländern und anderen Generationen. Letztlich führt dies dazu, dass die Kosten der Autonutzung in der EU-27 zu niedrig sind. Damit erge-ben sich ökonomisch zwingend ineffiziente Wahlentscheidungen: PKW werden häufiger genutzt als bei effizienten Allokationen. Auch deshalb gibt es in unseren Städten so viel Stau, so hohe Abgas- und Lärmemissionen, so hohe Steuern für die Kompensation der Schäden und so hohe Krankenkassenbeiträge. In der Untersuchung wurden, basierend auf allen vorliegenden Studien sowie auf der Methodik des „handbooks“ der EU-Kommission ("IMPACT") Schätzungen für die ungedeckten Kosten der 27 Mitgliedsländer der EU erarbeitet. Kostensätze für Lärm, Luftverschmutzung, Unfälle und up-/downstream Effekte wurden analog zu den Studien von CE Delft, Infras and Fraunhofer (2011) übernommen. Die Methodik ist im Text beschrieben und entspricht dem Stand des Wissens; im Bereich der Klimaschäden wurde ein höherer Ansatz und eine Bandbreite (low scenario: 72 €/t CO2; high scenario: 252 €/t CO2) gewählt.

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