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L'héritage des Lumières chez Sor : raison, harmonie, liberté

Faucher Larochelle, David 08 1900 (has links)
Ce mémoire traite de l’influence des Lumières sur la pensée philosophique et musicale du compositeur et guitariste Fernando Sor (1778-1839). Cette influence peut être déclinée en trois thèmes, autour desquels le présent travail est structuré. Le premier thème, qui est omniprésent dans la Méthode pour la guitare de Sor (Paris, 1830), est celui de l’usage de la raison opposé à l’obéissance aveugle à une autorité. Le deuxième thème, présent lui aussi dans la Méthode, est celui de l’harmonie conçue comme une science permettant d’établir les rapports naturels qui existent entre les sons. Le troisième thème, présent quant à lui dans des chansons à caractère politique composées par Sor entre 1808 et 1832, est celui de la recherche de liberté face à l’oppression. Nous verrons dans ce mémoire que la manière dont la raison, l’harmonie et la liberté se manifestent dans les écrits et les œuvres de ce pionnier de la guitare classique est similaire à la manière dont ces trois mêmes notions sont représentées dans l’Encyclopédie de Diderot et d’Alembert, Sor faisant d’ailleurs référence à cet ouvrage emblématique du siècle des Lumières dans sa Méthode. D’autre part, nous verrons que le guitariste a aussi été influencé par les écrits de figures importantes associées au classicisme français, comme Descartes en ce qui concerne la raison et Rameau en ce qui concerne la notion de basse fondamentale (ces deux auteurs étant d’ailleurs cités dans l’Encyclopédie). En somme, ce mémoire permet de mieux définir le concept d’« influence des Lumières chez Sor » qui restait autrement plutôt flou dans la littérature secondaire publiée à ce jour. / This master’s thesis deals with the influence of the Enlightenment on the philosophical and musical thought of the composer and guitarist Fernando Sor (1778-1839). This influence can be divided into three themes, around which this project is structured. The first theme, which is omnipresent in Sor’s Méthode pour la guitare (Paris, 1830), is that of the use of reason opposed to a blind submission to authority. The second theme, also present in the Méthode, is that of harmony seen as a science that establishes the natural relationships that exist between sounds. The third theme, present in political songs composed by Sor between 1808 and 1832, is that of the struggle of freedom against tyranny. In this thesis, we will see that the way reason, harmony and freedom are conceived in Sor’s work is heavily influenced by Diderot and d’Alembert’s Encyclopédie, which is mentioned in the Méthode. On the other hand, we will see that the guitarist was also influenced by the writings of major figures associated with French classicism, such as Descartes when it comes to reason and Rameau when it comes to the notion of basse fondamentale (both of whom are mentioned in the Encyclopédie). In short, this master’s thesis helps to better understand how the Enlightenment influenced Sor, a subject that was otherwise mostly absent from the secondary literature.
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Le caravagisme à Naples : polymorphisme de la poétique caravagesque méridionale / Caravaggism in Naples : polymorphism of Southern Caravagesque Poetics

Philippon, Carole 15 June 2010 (has links)
Mon travail cherche à mettre en valeur la richesse de la Scuola Napoletana du XVIIème siècle (qui prend vie après les deux séjours du Caravage à Naples, entre 1606 et 1610). L'art napolitain est injustement sous-estimé ; la première moitié du Seicento est pourtant extrêmement importante puisque Naples est le seul centre artistique qui continue à considérer le caravagisme comme une force vitale de la peinture, et ce jusqu'en 1656 (année de la Grande Pestequi emporte avec elle les derniers peintres d'"origine" caravagesque). Je mets donc en exergue la période méridionale du Caravage (qui est trop souvent délaissée par rapport à sa période romaine), ainsi que l'extrême diversité des peintres caravagesques qui composent le milieu artistique napolitain, unis par une passion commune pour le langage du Caravage mais dont l'expression artistique intègre peu à peu d'autres influences. Le caravagisme méridional se distingue par son polymorphisme et par la diversité des influences extérieures avec lesquelles les artistes enrichissent leur caravagisme originel : si les premiers naturalistes (tels que Battistello) restent toujours fidèles au Maître, nombreux sont ceux qui suivront le courant ribéresque (Ribera, Fracanzano, le Maître de l'Annonce aux Bergers...) qui se caractérisepar sa portée sociale. Mais, parallèlement, certains peintres tissent des liens entre caravagisme et classicisme (Stanzione, Guarino), tandis que d'autres se focalisent sur un caravagisme narratif (Artemisia Gentileschi est réputée pour son talent de storyteller) ; dans le domaine chromatique, de nombreux artistes (dont Pietro Novelli ou Ribera) succombent au néovénétisme et au vandyckianisme en vogue à partir des années 1630. Enfin, le caravagisme se fait plus raffiné avec Bernardo Cavallino, qui apparaît comme un précurseur du goût rococo, tandis que l'oeuvre de Mattia Preti oscille entre caravagisme et baroque. / The aim of this work is to emphasize the richness of the Scuola Napoletana in the 17th Century (after it came to life following Caravaggio†s two stays in Naples between 1606 and 1610). Neapolitan art does not get the appreciation it deserves, and yet the first half of the Seicento was an extremely important period as Naples was the only major artistic centre where Caravaggism was still a driving force of painting, and would do so until 1656 (the year of the Great Plague that wiped out the last "original" Caravaggesque painters). I am therefore emphasizing Caravaggio†s Southern period, which is all too often neglected as compared to his Roman period, as well as the great diversity of Caravaggesque painters making up the artistic milieu in Naples, united by a shared passion for Caravaggio's language but progressively incorporating other influences into their artistic expression. Southern Caravaggism stands out because of its polymorphism and the highly diverse outer influences with which these artists enhance their original Caravaggism: while the first naturalists, such as Battistello, are always true to the Master, many will follow into Ribera's footsteps (Ribera,Fracanzano, the Master of the Announcement to the Shepherds...) and adopt a more socially oriented stance. At the same time, some painters draw links between Caravaggism and Classicism (Stanzione, Guarino), while others focus on narrative Caravaggism (Artemisia Gentileschi is famed for the storytelling talent). In the field of colour, many artists (including Pietro Novelli and Ribera) yield to the Neo-venetism or Vandyckianism that were fashionable as of the 1630†s. Finally,Caravaggism becomes more refined with Bernardo Cavallino, who appears to be a precursor of Rococo taste, while Mattia Preti balances on the verge between Caravaggism and Barocco.
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La muse géomètre. L'épopée dans l'Europe du XVIIIe siècle / A Geometric Muse. The Epic Genre in 18th-century Europe / Geometryczna Muza. Gatunek bohaterski w osiemnastowiecznej Europie

Garncarzyk, Dimitri 05 November 2018 (has links)
Le corpus épique du 18e siècle en France, en Angleterre, en Pologne et au Danemark révèle trois types de survivance de l’épopée : (1) une survivance théorique dans la poétique spéculative (dont le modèle relativement incontesté est au 18e siècle l’Art poétique de Boileau), (2) l’épopée héroïque (comme la Henriade de Voltaire), toujours critiquée pour ses imperfections ; et (3) l’épopée comique (sur le modèle du Lutrin de Boileau), au succès bien plus unanime tant au 18e siècle qu’au regard de la postérité : The Rape of the Lock d’Alexander Pope, Peder Paars de Ludvig Holberg, Myszeis d’Ignacy Krasicki. L’épopée ne pourrait-elle ainsi survivre qu’au prix de sa dégradation de l’héroïque au comique ? Le poème héroïque serait-il donc tant étouffé par ses règles qu’il ne puisse exister dans la modernité qu’au prix d’un burlesque libérateur qui en relâche l’emprise ? Si, depuis la fin du 17e siècle, les échecs du genre épique sont régulièrement attribués à sa surthéorisation, il semble pourtant que l’héroïcomique se révèle au 18e siècle la forme par excellence de la régularité poétique. Loin d’être étouffé par ses règles, le genre épique tel que le conçoivent des théoriciens et des poètes inspirés par le classicisme français comme Alexander Pope, Ludvig Holberg, Charles Batteux, Ignacy Krasicki ou F. X. Dmochowski est à la fois régulier et vivant. L’efficacité du genre épique, qui englobe alors l’héroïcomique, dépend de son inscription dans un cadre formel « classique » qui se fonde largement sur les relectures de la Poétique d’Aristote au 18e siècle. Le reconstituer, c’est définir une « lisibilité classique » – c’est-à-dire un horizon d’attente esthétique et normatif dans lequel les règles ne sont pas des slogans, mais définissent réellement des pratiques poétiques signifiantes. La thèse explore, dans ses cinq parties, les implications de cette idée au niveau de la réception des textes épiques modernes (I), de la composition de l’ouverture épique conçue comme patrice du poème (II), des représentations de l’inspiration et du rôle du poète épique (III), de la fiction poétique (la « fable », IV) et de la textualité épique (diction et tableaux épiques, V). Les épopées anglaises, danoises ou polonaises étudiées témoignent ainsi des métamorphoses que connaît au 18e siècle le classicisme, européanisé et vivant – quand les ambitions refondatrices de Voltaire s’inscrivent en faux par rapport à une doctrine normative dont le poète français perçoit, moins que certains de ses contemporains, la productivité. / Considering an epic corpus from 18th-century France, England, Poland and Denmark, the epic genre can be said to exist in the 18th century in several forms. (1) As the theoretical object of speculative poetics (the main model of which is Boileau's Art Poétique). (2) As heroic epics, such as Voltaire's Henriade, which may enjoy success but are whose shortcomings are systematically pointed out by critics. (3) As comic epics (heavily influenced by Boileau's Lutrin), which achieve much greater success than their heroic counterparts both in the 18th century and today: Pope's Rape of the Lock, Ludvig Holberg's Peder Paars, Ignacy Krasicki's Myszeis. Can the epic genre then only survive through comic degradation? Is heroic poetry so smothered by speculative rules of art that it can only survive when burlesque subversion relaxes them?Whereas theoretical over-thinking has been, since the late 17th century, the go-to explanation for the many failures of early modern epic poetry, it seems that heroicomic poetry is actually a paragon of poetic regularity in the 18th century. Far from being asphyxiated by its rules, the epic genre as theorized and practiced by men of letters admirative of French neoclassicism such as Alexander Pope, Ludvig Holberg, Charles Batteux, Ignacy Krasicki or F. X. Dmochowski is both regular and very much alive. An epic is even more efficient the better it fits within a neoclassical framework heavily based on 18th-century reinterpretations of Aristotle's Poetics. To formulate this framework amounts to understanding "classical readability", a set of aesthetic and normative expectations within which poetic rules are not empty slogans but describe actual meaningful poetic techniques.This dissertation examines the implications of this idea with respect to the reception of early modern texts in the 18th century (I), how the opening lines of epic poems are seen to program the bulk of the work (II), the representation of the inspiration and social role of the epic poet (III), epic fiction (the "fable", IV), and the composition of the epic text itself (V). The aforementioned English, Danish and Polish epics are testaments to the transformations of neoclassical poetics and poetry through 18th-century Europe, whereas Voltaire's ambitious attempt at a reform of the neoclassical normative doctrine shows that, in contrast to some of his contemporaries, he failed to perceive its poetic conductivity.
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L’invention du post-classicisme de Barthes à Racine. L’idée de littérature dans les querelles entre Anciens et Modernes / The Invention of Post-Classicism from Barthes to Racine. The Idea of Literature in the Quarrels between Ancients and Moderns

Forment, Lise 05 December 2015 (has links)
Cette thèse remet en question le soupçon pesant sur les catégories de « classique » et « classicisme ». Centrales dans les manuels, ces notions sont pourtant renvoyées par les spécialistes à de purs anachronismes, et jugées impertinentes pour caractériser le XVIIe siècle et sa littérature. Marqués par la rhétorique et la sociologie historique, les travaux actuels écartent l’opposition idéologique entre classicisme et modernité. Mais l’analyse de l’antagonisme chez Barthes, et l’étude des querelles impliquant les Classiques de 1898 à 1966, permettent de donner un contenu inattendu au classicisme, très éloigné de l’irénisme dont on l’a accusé.La notion, son antonyme et ses parasynonymes (antimodernisme et post-classicisme) circonscrivent d’abord, pour la littérature, différents « régimes d’historicité » dont débattent les polémistes. Le terme reste également associé à l’élaboration d’un « dispositif » utopique, où écrire, critiquer et enseigner iraient de pair : cette configuration, essentielle au XVIIe siècle, est sans cesse « remise sur le métier » dans les querelles postérieures entre Anciens et Modernes. De 1666 à 1694, semblent surgir en réalité la plupart des questions que les critiques continueront de poser à la littérature. C’est le cas, notamment, chez Barthes, Gide et Valéry, quand ils cherchent à en déterminer les fonctions et les prérogatives. Parce que le concept d’autonomie n’est pas pour eux détaché de toute exemplarité, il s’avère utile, bien qu’anachronique, pour lire les textes du XVIIe siècle. L’art de la « disponibilité », que Barthes reconnaissait chez Racine, serait alors l’autre nom de la littérarité, le nom d’une littérarité autre – non formaliste – que les Classiques auraient bel et bien inventée et qui autoriserait leur lecture « vivante, concernée ». / This dissertation interrogates the scepticism that falls on the categories of “classics” and “classicism”. Though they are considered key concepts in textbooks, these notions are viewed by many specialists as pure anachronisms, and declared irrelevant in defining the 17th century and its literature. Drawing influences from rhetoric and historical sociology, recent work dismisses the ideological divide between classicism and modernity, but an analysis of this opposition in Barthes’s corpus, supported by a study of the quarrels involving the Classics from 1898 to 1966, endows classicism with an unheralded substance, far from the irenicism for which it has been condemned. The notion of classicism, its antonym, and its parasynonyms (anti-modernism and post-classicism) first and foremost delineate, as far as literature is concerned, different regimes of historicity that are debated by the polemicists. The term ‘classicism’ is continuously associated with the establishment of a utopian apparatus within which writing, criticism and teaching go hand in hand. This blueprint was essential in the 17th century and is revisited again and again in the subsequent quarrels between Ancients and Moderns. In fact, most of the questions that critics continue to ask literature seem to arise between 1666 and 1694. Case in point, Barthes, Gide and Valéry all sought answers to these age-old questions in their attempts to determine both the functions and the prerogatives of literature. According to them, the concept of autonomy in literature cannot be separated from exemplarity. Thus, it proves useful, although anachronistic, in the reading of 17th-century texts. The art of “availability”, which Barthes recognized in the works of Racine, would then be the other name of literariness, a distinct – non formalist – literariness that the Classics have invented which allows their “vital, concerned” reading.

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