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Le rapport au politique des personnes en situation défavorisée. Une comparaison européenne: France, Grande-Bretagne, Espagne

Bègue, Murielle 04 December 2007 (has links) (PDF)
L'exclusion de la frange la plus démunie de leurs populations est l'une des questions sociales majeures auxquelles sont aujourd'hui confrontées les sociétés européennes. Ce problème fondamental menace la cohésion nationale et nous interpelle, en tant que citoyens et membres d'un corps social, sur les capacités d'intégration de nos sociétés. La problématique centrale de cette thèse confronte deux mouvements de long terme : d'une part la détermination économique des conditions d'existence et leur traduction en termes politiques, d'autre part la construction des cultures nationales comme cadre interprétatif de ces conditions d'existence et des attitudes politiques qui en découlent. Que pensent les plus pauvres de la politique ? Quel sens et quels motifs donnent-ils à leur indifférence ou à leur implication dans le jeu politique ? Se poser ces questions dans une perspective comparative a permis, sur la base d'analyses statistiques (source : Eurobaromètres), de mettre en évidence les mécanismes structurels qui conduisent les personnes en situation défavorisée à se détourner du champ politique. Mais décrire le rapport au politique des plus précaires sous le seul angle interprétatif du désintérêt équivaut à négliger l'hétérogénéité de leurs attitudes politiques. Une enquête qualitative menée à Chartres, Oxford et Pampelune a permis d'élaborer une typologie unique des rapports au politique comportant quatre items : l'apathie, le mécontentement, la perplexité et la loyauté. Les cultures nationales constituent des contextes porteurs de sens, au sein desquels des comportements politiques similaires revêtent des significations différentes.
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Experimentation and political science : six applications

Loewen, Peter John January 2008 (has links)
Thèse numérisée par la Division de la gestion de documents et des archives de l'Université de Montréal
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Experimentation and political science : six applications

Loewen, Peter John January 2008 (has links)
Thèse numérisée par la Division de la gestion de documents et des archives de l'Université de Montréal.
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What voters want : identifying voter preferences for candidates

Sevi, Semra 06 1900 (has links)
This dissertation is comprised of six standalone articles that provide insights on what type of candidate voters prefer with a particular focus on gender, age affinity, occupation, and political experience (i.e., incumbency). The question of who is elected is one of the most fundamental questions in political science as it pertains to the issue of descriptive representation. The first article presents two novel datasets that I collected. These datasets include information on all candidates in Canadian federal and Ontario provincial elections from 1867 to 2019, and they are the basis for four of the remaining articles in this dissertation. The second article examines whether women get fewer votes in Canadian federal elections. Using the novel data I collected, with over 21,000 unique candidates since 1921 (when the first women were allowed to run for seats in Parliament), we are able to compute precise estimates of the difference in the electoral fortunes of men and women candidates. We demonstrate that while there was a gender gap in the past, the difference between male and female candidates’ vote shares is now statistically indistinguishable from zero. The third article investigates whether women get fewer votes in the Ontario provincial elections. We again estimate the effects longitudinally, using the novel data I collected, from 1902 onwards. The results are very similar to those found for Canadian federal elections. This is important because it shows that our estimates are robust: regardless of the level of government, female candidates are not being discriminated against by voters. While these results might rely on Canadian data, finding similar results at different levels of government enhances the generalizability of my conclusions. The fourth article uses cross-national data from the Comparative Study of Electoral Systems project, covering 853,414 individual voters, 51 countries, 126 elections, and 639 unique leaders. Using this dataset, I test the hypotheses that a leader is more popular among voters closer to them in age and that such voters are more likely to vote for them. I find some support for both hypotheses though the effects are substantively very small. The fifth article asks if candidates who are lawyers get more votes compared to non-lawyers. This paper also leverages the novel data that I collected at the federal level, which includes the occupation and electoral performance of every candidate who ran for office between 1921 and 2015. Our analysis shows that lawyers get more votes than non-lawyers, but that their electoral advantage is very small. The sixth article asks whether incumbents have an electoral advantage and if such an advantage differs across gender. This paper once again uses the novel data that I collected to estimate the electoral advantage enjoyed by incumbents during 9 Canadian federal elections, in 2,739 ridings, from 1990 to 2019. Using a regression discontinuity (RD) design, I compare men and women who have very narrowly won or lost elections on their probability of running again, vote share and probability of winning in the next election. I find that there is an electoral advantage of being an incumbent but that the differences across gender are, with the exception of vote share, not significant. Incumbents are more likely to run again in the next election than their non-incumbent counterparts. Furthermore, women do not suffer an electoral penalty across the three different outcome variables, suggesting that voters are not discriminating against women once they run for office. / Cette thèse est constituée de six articles qui apportent un éclairage nouveau sur les préférences des électeurs à l’égard des candidats et de leurs profils sociodémographiques, avec une attention particulière portée au genre, à l’affinité d’âge, à l’occupation professionnelle et à l’expérience politique. La question cherchant à savoir qui se fait élire est l’une des plus fondamentales en science politique, car elle se rapporte à l’enjeu de la représentation descriptive. Le premier article présente deux bases de données originales que j’ai moi-même assemblées. Ces bases de données comportent de l’information sur l’ensemble des candidats aux élections fédérales canadiennes ainsi qu’aux élections provinciales ontariennes entre 1867 et 2019; elles posent les bases pour les autres articles de cette thèse. Le deuxième article examine si les femmes obtiennent moins de votes aux élections fédérales cana-diennes. En utilisant ma base de données inédite, comprenant plus de 21 000 candidat(e)s uniques depuis l’élection de 1921 (la première au cours de laquelle les femmes ont pu se porter candidates pour des sièges au Parlement), nous sommes en mesure d’estimer avec précision les différences qui existent dans la performance électorale des hommes et des femmes. Je démontre que, bien qu’il y ait eu un fossé entre les hommes les femmes qui ont cherché à se faire élire dans le passé, il ne semble pas y avoir aujourd’hui de réelle différence dans le pourcentage des voix récoltées par les candidats en fonction de leur sexe. Le troisième article se demande si les femmes obtiennent moins de votes dans les élections provin-ciales ontariennes. Les effets sont à nouveau estimés de manière longitudinale, en utilisant les don-nées qui ont été récoltées pour tous les candidats et toutes les candidates depuis 1902. Les résultats sont très similaires à ceux trouvés pour les élections fédérales canadiennes, ce qui démontre la ro-bustesse de mes conclusions. Peu importe le palier de gouvernement, il semble que l’électorat ne fasse pas de discrimination en fonction du sexe des candidats. Bien que ces résultats puissent être spécifiques au Canada, le fait que les résultats soient similaires aux niveaux fédéral et provincial accroît le caractère généralisable de mes conclusions. Le quatrième article utilise des données transnationales du projet Comparative Study of Electoral Sys-tems, couvrant plus de 850 000 individus et 639 leaders politiques dans 51 pays et 126 élections. Je teste les hypothèses voulant que les leaders soient plus populaires auprès d’électeurs du même groupe d’âge, et que ces derniers aient une plus forte propension à voter pour de tels leaders. J’obtiens des résultats qui semblent appuyer ces hypothèses, mais les effets associés à l’âge sont sub-stantivement très petits. Le cinquième article tâche de déterminer si les candidats qui pratiquent le métier d’avocats obtiennent plus de votes que les autres. Les analyses dans cette étude tirent parti de ma base de don-nées inédite sur les candidats lors des élections fédérales canadiennes, laquelle inclut l’occupation et la performance électorale de chaque candidat ayant brigué un siège au Parlement entre 1921 et 2015. Nos résultats démontrent que les avocats obtiennent plus de votes que les non-avocats, mais que leur avantage électoral est très limité. Le sixième article se demande si les candidats sortants bénéficient d’un avantage électoral et si cet avantage varie en fonction du genre. Cette étude tire parti de ma base de données originale pour estimer l’avantage électoral des candidats sortants lors de 9 élections fédérales canadiennes, dans 2 739 circonscriptions, entre 1990 et 2019. En déployant une analyse de discontinuité, je compare les hommes et les femmes qui ont de justesse gagné ou perdu des élections en fonction de trois critères : la probabilité de se porter candidat à nouveau, la part du vote obtenue et la probabilité de remporter la prochaine élection. Je trouve que le statut de sortant offre un avantage électoral, mais que les différences entre les hommes et les femmes sont, sauf pour ce qui est de la part du vote, non significatives. Les candidats sortants ont une plus grande probabilité de se représenter à la prochaine élection que les candidats non sortants. Qui plus est, les femmes ne souffrent de pénalité électorale pour aucune des trois variables dépendantes, ce qui suggère que les électeurs ne discriminent pas les candidats en fonction du genre.
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Les réseaux sociaux contribuent-ils à la polarisation affective ? Une expérience comparant les utilisateurs de Facebook et Instagram

Leblanc, Juliette 09 1900 (has links)
Les médias sociaux augmentent-ils les niveaux de polarisation affective en renforçant l'animosité envers les partisans opposés ? Les recherches montrent que la polarisation affective est influencée par les niveaux croissants de polarisation idéologique des élites, mais également par l'évolution des systèmes médiatiques. Les plateformes de réseaux sociaux, où les utilisateurs sont plus enclins à être exposés à des informations conformes à leur prédisposition, pourraient agir différemment en fonction des caractéristiques architecturales telles que les algorithmes, les sections de commentaires et la présentation. Je présente une étude expérimentale dans laquelle environ 425 répondants du Québec ont été invités à suivre des comptes politiques préidentifiés en accord avec leur idéologie déclarée entre deux plateformes médiatiques – Facebook et Instagram. Les résultats révèlent que les traitements ont influencé la polarisation affective, mais que leurs effets sont modestes. Alors que les répondants assignés au traitement Facebook sont devenus légèrement plus polarisés affectivement, j'ai observé l'effet inverse pour ceux assignés au traitement Instagram. Ces résultats indiquent donc un modèle intéressant selon lequel différentes plateformes de médias sociaux pourraient avoir des effets distincts. Cette étude d'un mois, au cours de laquelle j'ai recréé des chambres d'écho administrées dans un environnement naturel, permet d’approfondir le fonctionnement des différentes plateformes médiatiques et la manière dont l'obtention d’information politique sur les réseaux sociaux pourrait affecter les sentiments des gens à l'égard de partisans opposés, mais également ceux qu’ils considèrent de leur in-group. / Do social media raise levels of affective polarization by increasing animosity towards opposing partisans? Research shows that affective polarization is influenced by the growing levels of elite ideological polarization and most importantly, the changing media systems Social media platforms, where users are more inclined to be exposed with information consistent with their predisposition, such as what they believe in regard of their likes, comments and follows, might act differently based on configuration characteristics like algorithms, comments sections and presentation. I present a two-wave experimental study where around 425 respondents from Québec were asked to follow pre-identified political accounts in line with their self-reported ideology between two social-media platforms – Facebook and Instagram. Results reveal that social media conditions influenced affective polarization, but their effect was modest. While respondents assigned to the Facebook treatment became slightly more affectively polarized, I observed the opposite effect for the ones assigned to the Instagram treatment. These results thus point to an interesting pattern whereby different social media platforms might have different media effect. This month-long study where I recreated echo chambers administered in a natural environment, allowed me to shed light on how different social media platforms operate and how the habit of getting political information on social media could alter people’s feelings towards opposing partisans.
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La socialisation politique de l'élite polonaise au sein des institutions européennes : le cas des députés polonais au Parlement européen [2004-2009] / Political socialization of the Polish elite within the European institutions : the case of the Polish deputies in the European Parliament(2004-2009)

Derkacz, Lucyna 27 May 2011 (has links)
Cette thèse analyse la socialisation politique de 92,6% des eurodéputés polonais au Parlement européen pendant leur premier mandat entre 2004 et 2009. Son objectif est de comprendre ce processus en détail dans cette institution par définition, supranationale et pro-européenne - et donc de préciser concrètement quels acteurs politiques (première partie) se conforment à quoi, pourquoi, où, en combien de temps, comment, grâce à qui ou quoi (seconde partie) et jusqu’à quel point (troisième partie). L’étude montre que la socialisation politique pendant les cinq premières années n’est pas un processus très puissant car elle provoque seulement l’ajustement aux spécificités formelles et informelles de la vie quotidienne et, possiblement, l’approfondissement plus ou moins léger des attitudes et du comportement de base (dans un sens pro- ou anti- européen, en fonction de l’orientation). Autrement dit, elle transforme les novices en experts mais pas en natifs. Soit elle n’intervient que partiellement et il serait alors préférable de qualifier ce qui se passe réellement tout simplement d’intégration politique et non de socialisation politique soit elle nécessite plus de cinq ans, en commençant par l’acquisition des spécificités europarlementaires, puisque cette étape-ci prend déjà parfois même tout le mandat. / This thesis analyses the political socialization of 92.6% of the Polish Members of the European Parliament during their first mandate from 2004 to 2009. Its aim is to understand in full this process in this institution which is by definition supranational and pro-European and therefore to specify concretely which political actors (first part) comply with what, why, where, how long, how, thanks to whom or what (second part) and to what extent (third part). The study shows that political socialization in the first five years is not a very powerful process as it causes only the adjustment to everyday formal and informal specificities and, possibly, a more or less weak deepening of initial attitudes and behavior (in a pro or anti-European sense, according to the orientation). In other words, the process turns newcomers into experts without making them natives. It either occurs only in part, in which case it would be preferable to characterize what actually happens simply as political integration and not as political socialization, or it takes more than five years, starting with the acquisition of Euro-parliamentary specificities, as this stage sometimes already takes the whole mandate.
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The stability and sources of citizens’ sense of civic duty to vote

Feitosa Ribeiro, Fernando 07 1900 (has links)
Prior work provides large evidence that civic duty to vote represents a key predictor of electoral participation. Moreover, the analysis of civic duty questions from extant surveys reveals that many individuals feel the moral obligation to participate in elections. However, is civic duty the result of rationalization, meaning that those who voted in an election are likely to report a belief in the duty to vote, while those who abstained are likely to report that voting is not a duty, but rather a choice? Also, where does the sense of civic duty to vote come from? In this doctoral dissertation, I provide an answer to those questions. More specifically, in Chapter 1, I investigate the extent to which duty is stable in search of evidence on the rationalization of duty. In this analysis, I rely on structural equation models, which I fit to unique, nine-wave panel data from Spain and the United Kingdom. I find that civic duty is a very stable attitude, implying that, while some rationalization is possible, duty is unlikely to be strongly driven by individuals’ previous voting behavior. In Chapter 2, I examine whether civic education in school contributes to the development of duty. I focus on civic education as a potential source of duty given its role in transmitting social norms to new generations, and its influence on duty-related attitudes like political interest, implying that civic education likely contributes to the development of duty. To examine the connection between civic education and duty, I use data from the 2016 International Civic and Citizenship Education Study, as it represents the largest survey research containing civic duty and civic education measures. My analyses reveal that three common forms of civic education (civics courses, active learning strategies, and open classroom environment) contribute to predicting duty, but that civics courses exert the largest effect on duty. i In Chapter 3, I investigate the role of compulsory voting in the development of duty. I examine the relationship between compulsory voting and duty given the possibility that compulsory voting signals that a “good” citizen must vote, and, in this way, that compulsory voting fosters duty. I analyze this relationship by leveraging the abolition of compulsory voting in Chile (in 2012), which I explore with synthetic control models and Latinobarometer data. With this empirical strategy, I find evidence that compulsory voting positively affects duty. In Chapter 4, I investigate if corruption bears an effect on duty. I focus on the relationship between corruption and duty given the chances that corruption reduces individuals’ incentives to believe in the duty to vote, and, consequently, that corruption affects duty. I examine the link between corruption and duty through mediation tests, where corruption represents the independent variable, duty the mediating variable and turnout the dependent variable. Using data from the Making Electoral Democracy Work project, I find that, unlike civic education and compulsory voting, corruption exerts a marginal effect on duty. / Plusieurs travaux montrent que le devoir civique constitue un prédicteur clé de la participation électorale. De plus, les recherches antérieures indiquent que le sentiment d’obligation de voter est répandu parmi un grand nombre de citoyens. Cependant, le devoir civique est-il le résultat d’une rationalisation de la part des électeurs ? Autrement dit, ceux qui ont voté lors d’une élection sont-ils plus enclins à dire que le vote est un devoir plutôt qu’un choix ? En outre, quelles sont les origines du sens du devoir civique de voter ? Dans cette thèse de doctorat, j’offre une réponse à ces questions. Plus précisément, dans le premier chapitre, j’examine dans quelle mesure le sens du devoir civique est stable afin de déterminer s’il y a, oui ou non, un phénomène de rationalisation parmi l’électorat. Je m’appuie sur des modèles d'équations structurelles et sur des données de panel espagnoles et britanniques comprenant neuf vagues. Je trouve que le devoir civique est très stable, ce qui indique qu’il y aurait peu de rationalisation en ce qui a trait à cette attitude politique. Dans le second chapitre, j’examine si l’éducation civique contribue au développement du devoir civique. Je me concentre sur l'éducation civique en raison du rôle que joue celle-ci dans la transmission des normes sociales aux nouvelles générations et de son influence sur les attitudes liées au sens du devoir comme l'intérêt politique. Pour déterminer la nature du lien entre éducation civique et devoir civique, j’utilise les données de l’International Civic and Citizenship Education Study (ICCS) de 2016. Il s’agit de la plus grande enquête sur le devoir civique et l’éducation civique. Mes analyses montrent que trois formes courantes d’éducation civique (les cours d’éducation civique, les stratégies d'apprentissage actif et un environnement de classe ouvert) contribuent à prédire le sentiment du devoir civique de voter chez les individus, mais que les cours d’éducation civique disposent du plus grand impact. Dans le troisième chapitre, j’étudie l’effet du vote obligatoire sur le devoir civique. J’examine la corrélation entre le vote obligatoire et le devoir civique dans la mesure où cette institution politique peut signaler aux individus qu’un « bon » citoyen doit voter. Prenant l’abolition du vote obligatoire au Chili comme cas d’analyse, j’utilise des modèles de contrôle synthétiques et les données des Latinobarometers afin de mesurer le lien causal entre le vote obligatoire et le devoir civique. Je trouve que le vote obligatoire affecte positivement le devoir civique. Dans le quatrième chapitre, j’étudie l’impact de la corruption sur le devoir civique. Je me concentre sur la corrélation entre la corruption et le devoir civique puisque les individus risquent d’avoir un sentiment de devoir moindre dans les contextes de corruption politique. J’examine la corrélation en question à travers des tests de médiation et les données du projet Making Electoral Democracy Work (MEDW). Je trouve qu’au contraire de l’éducation civique et du vote obligatoire, la corruption affecte marginalement le devoir civique.

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