Spelling suggestions: "subject:"dépression."" "subject:"répression.""
181 |
Family status and psychosocial adaptation among girls from 6 to 13 years of ageJapel, Christa January 1997 (has links)
Thèse numérisée par la Direction des bibliothèques de l'Université de Montréal.
|
182 |
Consommation de cannabis et symptômes dépressifs chez des jeunes adultes vulnérables sur le plan scolaire ou social : l’effet modérateur du tabagismeThibault, Marianne 11 1900 (has links)
Mémoire de maîtrise présenté en vue de l’obtention de la maîtrise en psychoéducation, option recherche et stage (M. Sc.) / Ce mémoire examine la relation entre la consommation de cannabis et les symptômes dépressifs ainsi que l’effet modérateur de la consommation de tabac sur cette relation. Ces questions sont examinées auprès d’un échantillon de jeunes adultes vulnérables sur le plan scolaire ou social (N = 386). En tenant compte des études existantes, il était d’abord attendu que la consommation de cannabis soit liée positivement aux symptômes dépressifs au début de l’âge adulte, avec l’ajout de variables contrôles (p. ex. la consommation de cannabis et les symptômes dépressifs à l’adolescence). Ensuite, il était attendu que le tabagisme au début de l’âge adulte modère à la hausse le lien entre la consommation de cannabis et les symptômes dépressifs, avec l’ajout de ces variables contrôles. Ces hypothèses ont été testées à l’aide d’une analyse de régression linéaire multiple de type hiérarchique contrôlant pour ces variables. Les résultats obtenus démontrent notamment que la consommation de cannabis est positivement associée aux symptômes dépressifs ainsi que la consommation de tabac modère à la baisse l’association. Les résultats sont discutés en considérant leurs implications théoriques ainsi que leur signification pour le bien-être des jeunes adultes avec un profil académiquement ou socialement vulnérable. / The aim of this project is to examine the relationship between cannabis use and depressive symptoms, as well as the moderating effect of tobacco use on this relationship. These questions are examined in a sample of academically and socially vulnerable young adults (N = 386). Based on previous studies, it was first expected that cannabis use would be positively linked to depressive symptoms in young adulthood, with the addition of control variables (e.g., cannabis use and depressive symptoms in adolescence). Secondly, it was expected that tobacco use in young adulthood would upwardly moderate the link between cannabis use and depressive symptoms, with the addition of these control variables. These hypotheses were tested using a hierarchical multiple linear regression analysis controlling for these variables. The results show notably that cannabis use is positively associated with depressive symptoms, while tobacco use moderates the association downwards. The results are discussed considering their theoretical implications, as well as their significance for the well-being of young adults with an academically or socially vulnerable profile.
|
183 |
Pratiques parentales des mères et symptômes dépressifs chez les enfants : un examen des associations réciproquesDumas, Chloé 21 August 2024 (has links)
Le présent mémoire s'intéresse aux relations réciproques entre les pratiques parentales des mères et les symptômes dépressifs chez l'enfant. Tout d'abord, il vise à vérifier les liens prédictifs bidirectionnels entre l'implication et l'hostilité des mères et les symptômes dépressifs chez les enfants. Cette étude a également comme objectif de vérifier de façon exploratoire si ces associations sont les mêmes chez les garçons et chez les filles. Les données utilisées pour ce mémoire ont été collectées dans le cadre du projet longitudinal Fluppy débuté en 2002 (Poulin et al., 2010). L'échantillon comporte 531 enfants au temps 1 (âgés entre 8 et 9 ans, 62% garçons) et 455 au temps 2 (âgés entre 9 et 10 ans, 86% de l'échantillon au temps 1). Les mères ont complété le questionnaire sur les pratiques parentales et les enseignants ont complété le questionnaire sur les symptômes dépressifs des enfants. Pour le premier objectif, des modèles autorégressifs à décalages croisés (« cross-lagged panel model ») ont été réalisés séparément selon les pratiques parentales. Pour le deuxième objectif, des modèles autorégressifs à décalages croisés ont également été testés, mais cette fois-ci, séparément selon le sexe de l'enfant. Les résultats concernant le premier objectif démontrent que l'hostilité parentale au T1 prédit une augmentation des symptômes dépressifs chez les enfants au T2. Les autres liens bidirectionnels ne sont pas significatifs. Les résultats concernant le deuxième objectif indiquent que l'hostilité parentale au T1 prédit une augmentation des symptômes dépressifs au T2 chez les filles uniquement. Les résultats montrent également que les symptômes dépressifs prédisent une diminution de l'implication parentale, mais seulement chez les garçons. Les résultats de la présente étude permettront aux psychoéducateurs d'adapter leurs interventions visant à diminuer les symptômes dépressifs à l'enfance.
|
184 |
Approche de l'analyse par réseau des manifestations cliniques et personnologiques d'adolescents atteints d'anorexie mentaleLessard, Catherine 31 October 2024 (has links)
L'anorexie mentale (AN) est un trouble des conduites alimentaires qui se manifeste le plus souvent à l'adolescence. C'est une maladie grave en raison de l'importance des conséquences physiques, cognitives, psychologiques, psychosociales et financières qui en découlent, mais également en raison des taux de mortalité élevés qui l'accompagnent. La nosographie de l'AN s'inscrit actuellement dans l'approche catégorielle du *Manuel diagnostique et statistique des troubles mentaux* (DSM-5). Cette classification repose essentiellement sur la présence de symptômes alimentaires et reconnait deux types d'AN, soit le type restrictif et le type accès hyperphagique/purgatif. Cependant, cette classification présente certaines limites, par exemple, par son manque de considération développementale des symptômes alimentaires. Afin de pallier ses limites, divers modèles de classification ont émergé pour mieux considérer la complexité des troubles des conduites alimentaires. Le récent modèle de conceptualisation de l'AN basé sur l'approche innovante de l'analyse par réseau vise à étudier les symptômes centraux impliqués dans l'évolution et la persistance du trouble et ainsi à fournir une compréhension plus approfondie de la maladie ainsi que des variables cliniques spécifiques à l'AN. Cette approche peut donc mettre en lumière des cibles d'intervention pertinentes dans le traitement de la maladie. À ce jour, aucune étude ne s'est intéressée à l'inclusion des traits de personnalité dans l'analyse par réseau chez une population adolescente souffrant d'AN, et ce, bien que de plus en plus d'études suggèrent que les traits de personnalité sont impliqués dans l'étiologie, l'expression symptomatique et le maintien des troubles des conduites alimentaires. Ainsi, c'est dans ce contexte que la présente étude s'intéresse à documenter la relation entre les symptômes spécifiques et comorbides à l'AN, en incluant les traits de personnalité, dans un échantillon d'adolescents souffrant d'AN, en appliquant l'approche de l'analyse par réseau. Deux cent quarante-trois patients souffrant d'AN (92,6 % de filles), âgés de 12 à 17 ans (âge M = 14,7 ± 1,4), ont été recrutés dans cinq centres de santé universitaires de la province de Québec, au Canada. Lors de leur admission, ils ont rempli des questionnaires, soit le *Eating Disorder Inventory-3* (EDI-3) pour les symptômes spécifiques aux troubles des conduites alimentaires, le *Multidimensional Anxiety Scale for Children* (MASC) pour les symptômes d'anxiété, le *Children's Depression Inventory 2* (CDI 2) pour les symptômes dépressifs, et le *Millon Adolescent Clinical Inventory* (MACI) pour les traits de personnalité. Toutes ces variables ont été incluses dans une analyse par réseau. Dans l'ensemble, les résultats révèlent que les traits de personnalité liés à la propension consciencieuse, à l'affectivité négative ainsi qu'au détachement sont des nœuds centraux du réseau. Parmi les symptômes spécifiques aux troubles des conduites alimentaires, la recherche de la minceur a été identifiée comme le nœud le plus central, suivi de l'aliénation personnelle, de l'ascétisme et de la dysrégulation émotionnelle. En ce qui concerne les symptômes comorbides, ce sont les symptômes dépressifs qui présentent la centralité la plus élevée. Les résultats de ce mémoire mettent donc en avant l'importance de tenir compte des symptômes et traits qui vont au-delà des symptômes alimentaires. Ils soulignent la pertinence d'accorder une attention particulière aux symptômes dépressifs ainsi qu'à la personnalité dans la classification de l'AN et dans la pratique clinique. D'ailleurs, ce mémoire supporte la pertinence de poursuivre les recherches afin de mieux saisir les relations temporelles entre la pathologie alimentaire, les symptômes comorbides, la personnalité et la réponse au traitement à l'aide d'études prospectives et de trajectoires.
|
185 |
La dynamique de la dépression post-partum sur la socialisation de l'enfantLestienne, Alain 16 April 2018 (has links)
Notre mémoire se situe dans une vision compréhensive psychodynamique composée des théories interactionnistes de Georges Hébert Mead ainsi gue de la psychopathologie et de la psychodynamique du travail de Christophe Dejours. Il consiste à s'interroger sur le rôle de la dépression maternelle en lien avec le développement et l'avenir social de l'enfant. Nous mettrons en valeur l'organisation de soins de la mère comme un travail qui aura des conséquences sur l'expérience et sur le développement de l'enfant. Nous montrerons d'une part que les différents types de relations que la personne a eues dans sa famille, et cela, depuis le début de sa vie, vont s'enraciner et se répéter, voire s'amplifier, dans son histoire de vie. Nous saisirons d'autre part que les conduites individuelles constituent le fruit de l'expérience issue des interactions dans la communauté que forment la mère et l'enfant ainsi que la résultante de l'absence de triangulation avec le père.
|
186 |
Optimisation et caractérisation d'un modèle d'ischémie focale du noyau accumbens chez la sourisBouchard, Jonathan 13 December 2023 (has links)
Problématique : 1 personne sur 3 souffre de dépression après l'avènement d'un AVC. Les AVC des ganglions de la base ont été associés à cette pathologie. Le noyau accumbens, région cérébrale importante dans la récompense et la régulation des émotions, fait partie des ganglions de la base. Les altérations du noyau accumbens contribuent à la dépression, mais peu d'études se sont penchées sur cette région cérébrale dans le contexte de la dépression post-AVC. Hypothèse : Une lésion ischémique touchant majoritairement le noyau accumbens gauche causera ou amplifiera le phénotype dépressif chez les souris mâles. Méthodes : Un peptide vasoconstricteur, l'endothéline-1, a été directement injecté dans le noyau accumbens gauche. La lésion a été caractérisée au niveau morphologique (crésyl violet et immunohistochimie) et au niveau moléculaire (RT-qPCR) à différents temps. Des tests comportementaux ont été faits pour possiblement mettre en évidence le phénotype dépressif. Résultats : L'injection d'endothéline-1 dans le noyau accumbens gauche des souris induit une lésion qui présente une réponse cellulaire typique à l'ischémie et possède un volume significatif jusqu'à 2 semaines post-chirurgie. Le noyau accumbens présente une forte réponse moléculaire qui semble être en lien avec l'angiogenèse et qui progresse dans le temps pour atteindre son maximum à 2 semaines. Malgré les caractéristiques de la lésion du noyau accumbens, cette dernière n'a pas induit de phénotype dépressif chez les souris, et ce, avec ou sans la présence d'un stress social de faible intensité, la microdéfaite, après l'induction de la lésion. Conclusion : Le présent modèle est un modèle d'ischémie du noyau accumbens, mais pas un modèle de dépression post-AVC. / Problematic: One-third of stroke survivors develop post-stroke depression. Stroke of the basal ganglia has been linked to increased post-stroke depression. The nucleus accumbens, an important brain region in reward and in the regulation of emotions, is part of the basal ganglia. Alterations of the nucleus accumbens contribute to depression, but very few studies have investigated this brain region in the context of post-stroke depression. Hypothesis: An ischemic lesion affecting primarily the left nucleus accumbens will cause or will amplify the depressive phenotype of male mice. Methods: Endothelin-1, a vasoconstrictive peptide, was injected in the left nucleus accumbens. The lesion has been characterized on a morphological level (cresyl violet and immunohistochemistry) and on a molecular level (RT-qPCR) at different times. Behavioral tests have been done to possibly show the depressive phenotype of mice. Results: The endothelin-1 injection in the left nucleus accumbens of mice induces a lesion that presents a typical ischemic cellular response, and its volume is significant until 2-weeks post-surgery. Left nucleus accumbens shows impressive molecular changes that seem to be related to angiogenesis and that reach their peak at 2 weeks. Even with these lesion characteristics, the lesion does not induce a depressive phenotype in mice with or without a mild social stress, a microdefeat, after the surgery. Conclusion: This present model is an ischemic model of the nucleus accumbens, but it is not a model of post-stroke depression.
|
187 |
La dépression parmi les patients atteints de diabète de type 2 au Québec : effet sur l'adhésion au traitement antidiabétiqueLunghi, Carlotta 12 September 2024 (has links)
Introduction : Le risque de dépression est plus élevé parmi les personnes atteintes de diabète de type 2 et la dépression est associée à une évolution du diabète défavorable, une mauvaise adhésion aux recommandations des cliniciens et un risque accru de complications et de décès. Objectifs : Dans une cohorte de personnes assurées par le régime général d’assurance médicaments (RGAM) du Québec nouvellement traitées avec des antidiabétiques oraux (ADO), les objectifs étaient de : (1) estimer le taux d’incidence de la dépression dans la période 2000-2008 et identifier les facteurs associés à la dépression ; (2) mesurer l’association entre la dépression et la non-adhésion au traitement antidiabétique et identifier les facteurs associés à la non-adhésion ; (3) mesurer l’association entre la dépression et la non-persistance au traitement antidiabétique et identifier les facteurs associés à la non-persistance. Méthode : Nous avons identifié une cohorte de nouveaux utilisateurs d’ADO âgés de 18 ou plus entre 2000 et 2006. Pour l’objectif 1, nous avons suivi les patients du début du traitement antidiabétique jusqu’au diagnostic de dépression, à l’inadmissibilité au RGAM, au décès ou à la fin de l’étude. Nous avons calculé les taux d’incidence de la dépression et analysé les facteurs associés à la dépression en utilisant des analyses de régression de Cox multivariée. Pour l’objectif 2, nous avons effectué un appariement sur la distribution des temps de diagnostic de dépression des patients ayant la dépression et attribué une date fictive de dépression aux individus sans dépression. La non-adhésion était mesurée dans l’année suivant le diagnostic de dépression (réel ou attribué). Afin d’estimer l’association entre la dépression et la non-adhésion et les facteurs associés à la non-adhésion, nous avons utilisé des régressions logistiques multivariées. Pour l’objectif 3, nous avons suivi les patients du début du traitement antidiabétique jusqu’à l’arrêt, à l’inadmissibilité au RGAM, le décès ou la fin de l’étude. Nous avons utilisé des modèles de régression de Cox afin de calculer les rapports de hasard ajustés (RHA) de non-persistance et les facteurs associés à la non-persistance chez les patients ayant la dépression. Résultats : Objectif 1 : nous avons identifié 114 366 nouveaux utilisateurs d’ADO, dont 4808 ayant un diagnostic de dépression. Le taux global d’incidence de la dépression était de 9,47/1000 personnes-années (PA) (10,72/1000 PA pour les femmes et 8,27/1000 PA pour les hommes). L’incidence de la dépression était plus élevée au cours de l’année suivant le début du traitement antidiabétique. Avoir eu d’autres troubles mentaux, des hospitalisations, un grand nombre de médicaments réclamés et de médecins visités au cours de l’année précédant le début du traitement antidiabétique sont tous des facteurs indépendamment associés à la dépression. Objectif 2 : nous avons identifié 3106 nouveaux utilisateurs d’ADO avec et 70 633 sans un diagnostic de dépression. La dépression était associée à la non-adhésion au traitement antidiabétique avec un rapport de cote ajusté de 1,24 (intervalle de confiance [IC] à 95 % : 1,13-1,37). La non-adhésion de base, le jeune âge, ajouter un antidiabétique au traitement initial, avoir réclamé moins de 4 médicaments ou avoir visité plusieurs médecins différents dans l’année précédant le début du traitement antidiabétique, avoir un statut socio-économique élevé et un faible nombre de complications du diabète sont des variables associées à la non-adhésion. Objectif 3 : le RHA de non-persistance aux médicaments antidiabétiques entre patients ayant et n’ayant pas la dépression était de 1,52 (IC à 95 % : 1,41 à 1,63). Parmi les patients ayant la dépression, les facteurs associés à la non-persistance incluent l’amorce d’un traitement antidiabétique en jeune âge (< 45 ans) et avec des médicaments autres que la metformine (surtout une polythérapie incluant l’insuline). Conclusions : L’incidence de la dépression diagnostiquée au Québec est plus élevée pendant la première année suivant le début du traitement antidiabétique et les sujets à risque plus élevé de faire une dépression sont les femmes, les patients commençant leur traitement en jeune âge, ceux ayant un statut socio-économique bas et ceux ayant des antécédents d’anxiété ou de démence. La dépression est un facteur de risque indépendant pour la non-adhésion et la non-persistance au traitement antidiabétique. Les patients atteints de diabète de type 2 et de dépression pourraient donc bénéficier d’un suivi étroit et des interventions ciblées pouvant aider à améliorer l’adhésion aux médicaments antidiabétiques. / Introduction: The risk of depression is higher among people with type 2 diabetes and depression has been associated with a worse course of diabetes, poor adherence to clinical recommendations regarding diet, sports activity and adherence to antidiabetic drug therapy, poor glycemic control and an increased risk of complications and mortality. Objectives: In a cohort of individuals insured under the public drug plan in Quebec and newly treated with oral antidiabetic drugs (OADs), the objectives were to: (1) estimate the incidence rate of depression in the period 2000–2008 and identify factors associated with the occurrence of depression; (2) measure the association between depression and antidiabetic drugs (ADs) non-adherence and to identify factors associated with non-adherence; (3) measure the association between depression and non-persistence with antidiabetic drug (AD) treatment and to identify factors associated with non-persistence. Methods: We used the public drug insurance plan administrative data to identify a cohort of new users of OADs aged 18 and above between 2000 and 2006. For the objective 1, we followed the patients from the initiation of antidiabetic drug treatment until the diagnosis of depression, the loss of eligibility for the public drug plan, the death or the end of the study. We calculated incidence rates of depression and analyzed the factors associated with depression using a multivariate Cox regression analysis. For the objective 2, we carried out depression diagnosis-time distribution matching by assigning a date of depression diagnosis to the individuals without depression. Non-adherence was calculated during the year following depression diagnosis (real or assigned). To estimate the association between depression and ADs non-adherence we used multivariate logistic regression. We analyzed the factors associated with non-adherence among the patients with depression using univariate and multivariate logistic regressions. For the objective 3, we followed the patients from AD initiation until either discontinuation, ineligibility for the public drug plan, death, or the end of the study. We used regression analyses to model Cox proportional hazards with depression as a time-dependent variable to calculate adjusted hazard ratios (AHR) of non-persistence. Cox regression models were used to identify factors associated with non-persistence among the patients with depression. Results: Objective 1: We identified 114,366 new OADs users, of which 4808 had a diagnosis of depression. The overall incidence rates of depression were 9.47/1000 person-years (PY) (10.72/1000 PA for women and 8.27/1,000 PA for men). The incidence of depression was higher in the year following OAD treatment initiation. Independent factors associated with depression included having had mental disorders other than depression, hospitalizations, a higher number of different drugs taken and of physicians visited during the year before OAD initiation. Objective 2: after applying the exclusion criteria, we identified 3106 new OADs users with a diagnosis of depression and 70,633 without a diagnosis of depression. Among patients with depression, 52.0% were considered non-adherent to AD treatment in the year after OAD treatment initiation. Depression was associated with non-adherence with ADs after adjustment for baseline adherence and other confounders with an adjusted odds ratio of 1.24 (95% confidence interval [CI]: 1.13 -1.37). Baseline non-adherence, younger age, adding an AD to the initial treatment, having claimed fewer than 4 drugs, visiting several different doctors, having a high socio-economic status and a low number of diabetes-related complications were all the variables that were associated with non-adherence to ADs. Objective 3: during the follow-up, a greater proportion of patients with depression compared to those without depression (55.4% and 42.5%, respectively) discontinued their AD treatment. The AHR of non-persistence with ADs was 1.52 (95% CI: 1.41 to 1.63). Among patients with depression, the independent factors associated with non-persistence include starting an AD treatment in younger age (< 45 years) and starting the treatment with ADs other than metformin. Conclusions: The incidence of depression diagnosed in Quebec is higher during the first year following the start of diabetes treatment and the subjects being at higher risk for depression are women, patients starting a treatment with OADs in younger age, those with a low socio-economic status and those with a history of anxiety or dementia. Depression is an independent risk factor for ADs non-adherence and non-persistence. Patients with type 2 diabetes and depression could benefit from close monitoring and targeted interventions aiming at improving adherence to ADs.
|
188 |
Associations entre les symptômes dépressifs, les habitudes et les comportements alimentaires et l'indice de masse corporelle chez la femmeMaltais-Giguère, Julie 19 April 2018 (has links)
Dans un contexte où la prévalence de l'excès de poids et de l'obésité est élevée, la préoccupation à l'égard du poids est très répandue, et ce, particulièrement chez les femmes. Les conséquences du surpoids sur la santé en font un enjeu majeur de santé publique. En lien avec la problématique du poids, la présence de symptômes dépressifs est également un enjeu important étant donné la prévalence élevée de la dépression, de ses impacts sur la santé et de la vulnérabilité des femmes. Ces deux problématiques pourraient aussi avoir des impacts non négligeables sur les habitudes et les comportements alimentaires. Ce mémoire est consacré à une description plus exhaustive de ces problématiques. Dans le but de fournir un portrait plus précis des femmes préoccupées par leur poids et/ou démontrant des symptômes dépressifs, l'objectif principal du projet de recherche présenté est de mieux comprendre les associations entre les symptômes dépressifs, les habitudes alimentaires, les attitudes et comportements alimentaires et l'indice de masse corporelle chez cette clientèle.
|
189 |
Traitement des symptômes dépressifs dans le contexte du cancer du sein : comparaison de la thérapie cognitive et de la luminothérapieDesautels, Caroline 13 December 2024 (has links)
Cette thèse doctorale porte sur le traitement des symptômes dépressifs dans le contexte de cancer du sein non-métastatique. Une étude contrôlée randomisée, effectuée auprès de 62 patientes, a comparé les effets de la luminothérapie à ceux d'un traitement plus standard, soit la thérapie cognitive (TC). Pendant huit semaines, 25 patientes ont reçu une thérapie cognitive (TC) individuelle, 26 une luminothérapie (LT) à la maison et 11 ont été assignées à une condition liste d'attente (LA). Le premier objectif visait à comparer les effets de la TC et de la LT à ceux de la LA sur les symptômes dépressifs et sur des variables secondaires (sommeil objectif et subjectif, fatigue, anxiété et qualité de vie) au post-traitement. Le deuxième objectif était de comparer les effets de la TC et la de LT, une fois les participantes de la LA réassignées à l'une ou l'autre des interventions suite à leur période d'attente, au post-traitement, ainsi que 3 et 6 mois plus tard. Les résultats ont révélé que la TC et la LT étaient toutes les deux plus efficaces que la LA pour réduire les symptômes dépressifs au post-traitement et que les gains thérapeutiques de ces deux traitements étaient bien maintenus jusqu'au suivi 6 mois. Toutefois, ce sont les participantes de la TC qui ont montré les plus grandes tailles d'effets, de même que les plus hauts taux de réponse et de rémission. La TC de la dépression et la LT ont semblé peu efficaces pour ce qui est d'améliorer les variables secondaires investiguées. Le troisième objectif visait à explorer les différentes variables susceptibles d'influencer l'efficacité de la TC et de la LT pour réduire les symptômes dépressifs. Il en est ressorti que les patientes plus déprimées et ayant un plus faible niveau d'activation comportementale au pré-traitement ont bénéficié davantage de la TC, alors que les patientes répondant le mieux à la LT étaient celles n'ayant jamais vécu d'épisode dépressif majeur par le passé et ne présentant pas de trouble de l'humeur au pré-traitement. Bien que d'autres recherches soient requises, cette thèse confirme l'efficacité de la TC pour traiter les symptômes dépressifs dans le contexte du cancer du sein et suggère que la LT, sans être aussi efficace que la TC, pourrait être d'une certaine utilité lorsque la TC n'est pas accessible ou désirée par les patientes. La thèse permet également de déterminer chez quelles patientes les deux options de traitement sont les plus efficaces et chez qui la luminothérapie pourrait être particulièrement appropriée comme option de rechange à la TC.
|
190 |
Relations entre la motivation au changement, l'alliance et l'efficacité thérapeutiqueBélair, Meggy 23 April 2018 (has links)
L’objectif de l’étude est de vérifier l’apport du modèle transthéorique de changement chez une clientèle anxieuse ou dépressive en explorant les relations entre la motivation au changement, l’alliance thérapeutique et l’efficacité de la thérapie. L’échantillon est composé de 131 participants se présentant volontairement à une clinique de psychologie pour traiter des symptômes anxieux ou dépressifs. Des questionnaires évaluant la motivation au changement, l’alliance thérapeutique et la sévérité des symptômes sont complétés en début et fin de suivi. La majorité de l’échantillon se situe aux stades de contemplation en début de traitement. Les clients plus engagés dans l’action et moins déprimés évaluent l’alliance plus favorablement. Seule l’alliance du client en fin de suivi est associée à l’amélioration des symptômes dépressifs. L’importance pour le clinicien de porter une attention à l’ambivalence du client au début du traitement est soulignée. La validation du questionnaire de motivation au changement et la standardisation de normes cliniques d’interprétation sont recommandées.
|
Page generated in 0.0739 seconds