Spelling suggestions: "subject:"dépression."" "subject:"répression.""
201 |
L'activation comportementale pour l'amélioration des symptômes dépressifs liés à un traumatisme crâniocérébral : une étude de casMartel, Kathya 10 February 2024 (has links)
Actuellement, plus d'un million de Canadiens vivent avec les séquelles d'une lésion cérébrale acquise. L'incidence et la prévalence des lésions cérébrales dépassent en nombre celles du cancer du sein, du sida, des lésions de la moelle épinière et de la sclérose en plaques, combinés. Le traumatisme crâniocérébral (TCC) est d'ailleurs maintenant considéré comme une condition médicale chronique dont les conséquences peuvent persister. La dépression compte parmi les troubles psychologiques ayant les plus hauts taux de prévalence post-TCC, sans toutefois recevoir l'attention scientifique qu'elle mérite. Le manque de preuves empiriques concernant la faisabilité et l'efficacité d'interventions psychologiques pour la dépression post-TCC nuit à l'accessibilité des traitements efficaces et adaptés aux spécificités de la condition des patients. Depuis plusieurs années déjà, les chercheurs et experts s'intéressent aux interventions comportementales pour traiter la dépression. L'activation comportementale (AC) a été développée de manière à constituer un traitement autonome qui s'avère aussi efficace que la thérapie cognitivocomportementale. Comme l'AC est moins exigeante sur le plan cognitif, elle est potentiellement plus adaptée aux personnes atteintes de troubles cérébraux. Toutefois, aucune donnée probante concernant sa faisabilité et appuyant son efficacité n'est disponible concernant la dépression post-TCC. La présente étude de cas visait à vérifier, de façon préliminaire, la faisabilité et l'efficacité de l'AC pour diminuer les symptômes dépressifs post-TCC. L'efficacité de ce traitement sur la qualité de vie et la participation sociale a aussi été vérifiée. Un autotraitement guidé d'AC d'une durée de huit semaines a donc été proposé à cinq patients présentant des symptômes dépressifs entre quatre mois et cinq ans post-TCC léger. Les résultats appuient la faisabilité du traitement pour les symptômes dépressifs légers. Bien que modestes, l'étude dévoile des améliorations sur les symptômes dépressifs et sur la qualité de vie. Aucun effet n'a été noté au niveau de la participation sociale / Currently in Canada, more than one million people are living with the sequelae of an acquired brain injury. The incidence of brain injury outnumber breast cancer, AIDs, spinal cord injury and multiple sclerosis - combined. Traumatic brain injury (TBI) is now considered a chronic medical condition and a major public health concern whose consequences can persist and progress. Although depression is one of the psychological disorders with the highest prevalence rates post-TBI, there are few studies of nonpharmacological interventions for this issue. This lack of empirical evidence has a direct impact on TBI patients, leaving them without recognized efficacious treatment adapted to the specificities of their condition. Behavioural Activation (BA) has been demonstrated to be as effective as cognitive behaviour therapy (CBT) but is less cognitively demanding and thus potentially more suitable for people with brain impairment. However, no study has been yet done to verify its feasibility and efficacy in the TBI population. The objective of this single-case study was to preliminary evaluate the feasibility and efficacy of BA administered in a low-intensity guided self-help format for depressive symptoms in adults (18 years and older) having sustained TBI, using a single-case experimental design. This study also aimed to evaluate the potential benefits of BA regarding quality of life and social participation. Five participants with clinically significant depressive symptoms were enrolled in the study and were asked to complete mood assessments during the baseline, treatment and follow-up. Only two of them completed the entire protocol. This project demonstrated the feasibility of BA intervention on mild to moderate depression symptoms in adults with mild TBI. Modest evidence in support of BA to decrease depressive symptoms and quality of life was found but BA had no effect on social participation.
|
202 |
Modulation de la réponse rétinienne par l'histoire lumineuse récente ou la mélatonine chez le sujet sain ou affecté du trouble affectif saisonnierGagné, Anne-Marie 17 April 2018 (has links)
Le trouble affectif saisonnier (TAS) est une pathologie fréquemment retrouvée dans les latitudes nordiques et se caractérise par une baisse de l'humeur à l'automne et à l'hiver avec rémission au printemps et à l'été. Bien qu'environ 2,6 % de la population canadienne serait touchée par le TAS, l'origine de ce syndrome demeure inconnue. Il existe toutefois un lien clair entre la diminution de la photopériode à l'automne et à l'hiver et l'apparition des symptômes. L'augmentation de la photopériode au printemps conespond également à la disparition de ces mêmes symptômes. En raison de ce lien étroit avec la lumière, il n'est pas surprenant qu'un éventuel défaut au niveau de la rétine ait été suspecté puisqu'elle représente la première interface à entrer en jeu dans la transmission de l'information lumineuse au cerveau. Les objectifs généraux de cette thèse sont principalement d'étudier si des altérations des mécanismes rétiniens sont présentes chez les TAS, mais aussi de vérifier l'impact de certains contextes lumineux et de la mélatonine sur la rétine normale. Toutes les expérimentations ont été effectuées avec la technique d'électrorétinogramme (ERG).
|
203 |
Attachement et adaptation psychologique : étude empirique et méta-analyseValois-Demers, Mariane 27 January 2024 (has links)
L'objectif principal de cette thèse est de documenter les associations entre les représentations d'attachement et l'adaptation psychologique chez l'adulte. L'adaptation psychologique est étudiée sous l'angle des symptômes anxieux, dépressifs et hostiles. Nous explorons aussi certains mécanismes sous-jacents à ces associations, notamment les capacités de flexibilité cognitive et les traits de personnalité. Premièrement, une méta-analyse a été réalisée. Celle-ci implique des études qui ont examiné l'association entre l'attachement, tel que mesuré par l'Entrevue d'Attachement Adulte (AAI; George et al., 1985), et l'anxiété. Sur la base de 37 échantillons indépendants (N = 2307), une association modérée et significative entre l'attachement insécurisant et les symptômes anxieux (d = 0,27, IC 0,08~0,47) a été soulevée. Les analyses de modération ont révélé que l'association était plus importante pour les mesures cliniques que pour les mesures auto-rapportées d'anxiété. De plus, les individus dont l'attachement est insécurisant-préoccupé ou non-résolu présentaient davantage d'anxiété que les individus sécurisant-autonomes, tandis que l'attachement insécurisant-évitant n'était pas associé à davantage de symptômes anxieux comparativement à l'attachement sécurisant-autonome. Cependant, l'association entre l'attachement évitant et l'anxiété était significative lorsque les symptômes d'anxiété étaient évalués par le biais d'entrevues cliniques. Deuxièmement, une étude longitudinale a été conduite afin de répliquer les résultats impliquant une association entre l'attachement insécurisant et l'anxiété et d'explorer le rôle de la flexibilité cognitive et des traits de personnalité comme mécanismes explicatifs de cette association. Des études ont documenté le lien entre l'attachement et l'adaptation psychologique, mais souvent à l'aide de devis transversaux et peu d'études ont évalué de potentiels médiateurs ou modérateurs de cette association. Ainsi, cette étude implique un devis longitudinal s'étalant sur plus de 20 ans et la contribution de deux variables a été examinée : la flexibilité cognitive et les traits de personnalité. Les résultats ont montré que la sécurité d'attachement à la fin de l'adolescence prédit l'adaptation psychologique 10 ans et 20 ans plus tard mais de façon contre-intuitive (c.-à-d., le lien est négatif). La flexibilité cognitive ne s'est avérée être ni modératrice ni médiatrice de ce lien, mais elle contribue significativement à l'adaptation psychologique mesurée au même moment. Enfin, un trait de personnalité, l'agréabilité, agit comme modérateur du lien entre l'attachement et l'adaptation.
|
204 |
Évaluation des symptômes liés au cancer, leur regroupement et leur trajectoire jusqu'à 18 mois après la chirurgieTrudel-Fitzgerald, Claudia 19 April 2018 (has links)
Cette thèse doctorale s’intéresse à l’évolution des symptômes liés au cancer localisé, à leur regroupement et leurs interrelations. Lors de la période péri-opératoire ainsi que 2, 6, 10, 14 et 18 mois plus tard, 828 patients ont complété plusieurs questionnaires. Le premier objectif de cette thèse consiste à examiner l’évolution de cinq symptômes fréquents, soit l’anxiété, la dépression, l’insomnie, la fatigue et la douleur, et ce, selon les types de cancer et les traitements reçus. Les résultats indiquent que la sévérité des symptômes varie de façon importante pendant la trajectoire de soins oncologiques, et ce, particulièrement sur le plan des symptômes d’anxiété, qui diminuent de façon considérable dans les premiers mois suivant la chirurgie. Les résultats suggèrent également que le protocole de traitements adjuvants influencerait davantage l’évolution des symptômes que le type de cancer. Le deuxième objectif vise l’identification de profils de patients ayant des niveaux de symptômes similaires et leur association avec des caractéristiques médicales (type de cancer, traitements) et de certaines conséquences possibles (faible qualité de vie, altération du fonctionnement). Les analyses révèlent que le profil « Faible niveau de symptômes » est le plus fréquent dans l’échantillon, présente les meilleurs scores de qualité de vie et de fonctionnement, et est souvent retrouvé chez les hommes atteints d’un cancer de la prostate et les patients traités par chirurgie seulement. Les profils présentant des niveaux élevés de symptômes psychologiques sont liés à un moins bon fonctionnement, alors qu’un profil composé de nausées et vomissements prédominants est le moins commun. Le troisième objectif a pour but d’explorer les relations temporelles entre les symptômes et de déterminer si certains symptômes prédisent de façon significative le niveau de sévérité ultérieur d’autres symptômes, à l’aide d’analyses par équations structurelles. Le modèle final montre que le meilleur prédicteur de la sévérité d’un symptôme est son niveau au temps de mesure précédent. Par ailleurs, la fatigue et l’anxiété sont des prédicteurs importants des niveaux subséquents de dépression, d’insomnie et de douleur durant la trajectoire de soins oncologiques. Dans l’ensemble, les résultats obtenus permettent de mieux comprendre l’évolution et l’interaction entre les symptômes liés au cancer.
|
205 |
Les intrusions cognitives et leur relation aux symptômes anxieux, dépressifs et compulsifsFreeston, Mark H. 23 February 2022 (has links)
Les intrusions, cognitives sont des pensées, des images ou des impulsions persistantes et répétitives, et sont perçues comme ayant une origine interne. Elle sont très difficiles à contrôler. Deux études portant sur ces intrusions ont été menées chez une population normale. Elles ont pour but de permettre une meilleure compréhension des troubles obsessifs-compulsifs, puisque ces études portent sur un phénomène analogue à celui observé dans une population clinique. Cent vingt-cinq (125) étudiants universitaires ont complété un questionnaire qui portait sur sept intrusions cognitives. Ils ont aussi complété des inventaires mesurant des symptômes dépressifs, anxieux et compulsifs. Dans la première étude, trois styles dominants de réponse face aux intrusions ont été identifiés. Pour un premier groupe, les sujets n'utilisaient aucune réponse face à leurs intrusions. Les sujets d'un deuxième groupe utilisaient des stratégies d'évitement et d'évasion. Ces sujets rapportaient plus de tristesse, d'inquiétude, de culpabilité et de désapprobation face à leurs intrusions que ceux du premier groupe. Enfin, les sujets d'un troisième utilisaient une stratégie de réflexion attentive. Ces derniers sujets expérimentaient des formes d'intrusions plus variées, et ces intrusions étaient plus souvent déclenchées par des stimuli. Les sujets de ces deux derniers groupes, mettant de l'avant des stratégies délibérées pour chasser leurs intrusions, rapportaient avoir plus de difficulté à y arriver que ceux du premier groupe. Également, ils indiquaient plus de symptômes anxieux. Les analyses intra-sujets appuyaient les comparaisons entre groupes. Elles révélaient que les intrusions associées aux stratégies d'évitement et d'évasion reçoivent plus de désapprobation que celles associées à une méthode attentive.Dans la deuxième étude, une analyse factorielle des items portant sur les intrusions cognitives a été menée. Cinq facteurs ont été retenus et interprétés. Il s'agit de la détresse générale, l'évaluation, le contrôle, la diversité et l'attention. Une analyse de régression hiérarchique a révélé que les facteurs détresse et diversité étaient prédicteurs de symptômes dépressifs et anxieux. Le facteur évaluation, composé de responsabilité perçue, de désapprobation et de culpabilité étaient également associé à la dépression. Cependant, il était le seul prédicteur significatif de symptômes compulsifs. Le facteur contrôle était un prédicteur significatif de l'anxiété.Les résultats des deux études sont discutés en fonction de la formulation cognitive-béhaviorale des troubles obsessifs-compulsifs de Salkovskis (1985). Les résultats représentent un appui partiel pour le modèle, mais exposent aussi certaines limitations. / Cognitive intrusions are persistent or repetitive thoughts, images, or impulsions that intrude on on going activity, are of internal origin, and are difficult to control. Two analogue studies were conducted on a normal population to advance understanding of obsessive-compulsive problems. One hundred and twenty-five (125) university students completed a questionnaire describing and evaluating seven cognitive intrusions and inventories of depressive, anxious, and compulsive symptoms. In the first study, three dominant response styles were identified on the basis of strategies used in response to intrusions. The first group used no effortful response for their intrusions. A second group who engaged in escape/avoidance strategies reported greater sadness, worry, guilt, and disapproval than the no effortful response group. A third group who used an attentive thinking strategy reported more varied forms and more frequently triggered intrusions than the no effortful response group. The second and third groups who both used effortful response strategies reported more difficulty removing their intrusions and were more anxious than the no effortful response group. Within-subject analyses supported the group comparisons and showed that intrusions eliciting escape/avoidance strategies were evaluated more disapprovingly than thoughts eliciting attentive thinking. In the second study, factor analysis on the cognitive intrusion questionnaire items identified five factors that were interpreted as general distress, evaluation, control,diversity, and attention. Hierarchical regression analyses showed that the distress and diversity factors were predictors of depressive and anxious symptoms. The evaluation factor consisting of perceived responsibility, disapproval and guilt ratings was also associated with depression and was the only significant predictor of compulsive behavior. The control factor was a significant predictor of anxiety.
|
206 |
Étude randomisée contrôlée de deux programmes d'auto-traitements guidés ciblant l'activité physique et l'activation comportementale pour les symptômes dépressifs : efficacité et faisabilitéSoucy, Isabelle 20 April 2018 (has links)
Tableau d'honneur de la Faculté des études supérieures et postdorales, 2014-2015 / Nous observons, depuis une dizaine d’années, un regain d’intérêt pour les interventions comportementales dans le traitement de la dépression. Des études se penchent sur l’efficacité de l’activation comportementale, une sous-composante de la thérapie cognitivo-comportementale, pour le traitement de la dépression. Dans le domaine de l’activité physique, de plus en plus d’études démontrent l’impact bénéfique de l’activité physique sur la santé mentale. Bien que l’activation comportementale et l’activité physique impliquent toutes les deux une réactivation de l’individu, ces interventions n’ont à ce jour jamais été comparées en terme d’efficacité pour le traitement de la dépression. L’essai clinique randomisé contrôlé décrit dans cette thèse et dans les articles qui la composent évalue l'efficacité et la faisabilité de l’activation comportementale et de l'activité physique sous forme d'auto-traitements guidés pour le traitement de la dépression. Cinquante-neuf participants présentant des symptômes de dépression légers à modérés ont été assignés aléatoirement à une intervention d’auto-traitement guidé d’activation comportementale (n = 20), à une intervention d’auto-traitement guidé d’activité physique (n = 19), ou à un groupe contrôle en liste d’attente (n = 20) pendant huit semaines. Des analyses de variance à modèle mixte et des contrastes déterminées a priori ont été réalisées. L'activation comportementale et l'activité physique se sont avérées significativement supérieures pour réduire les symptômes dépressifs comparativement au groupe contrôle. Des améliorations significatives ont été détectées concernant les variables d’auto-efficacité, de satisfaction de vie, d’affect positif et négatif, et de perception de la solitude. Les implications de ces résultats et des pistes de recherches futures sont discutées. Notamment, l’efficacité de ces interventions minimales offre des options prometteuses pour favoriser la dissémination de traitements supportés empiriquement pour le traitement des symptômes dépressifs.
|
207 |
Effets d'une thérapie assistée par l'animal auprès de personnes âgées ayant des symptômes dépressifs et résidant dans un centre d'hébergement et de soins de longue duréeGagnon, Isabelle 22 March 2021 (has links)
En centre d'hébergement, 15 à 25% des aînés présentent des symptômes de dépression et ces pourcentages s'élèvent jusqu'à 50% en milieu hospitalier. Compte tenu de l'impact que peuvent avoir ces symptômes sur la qualité de vie, plusieurs modalités de traitement ont été développées afin de contrer cette problématique. Parmi celles-ci, la Thérapie Assistée par l'Animal (TAA) est une technique d'intervention utilisant les liens naturels et bienfaisants existants entre l'humain et l'animal afin de contribuer au bien-être des individus. Bien qu'elle soit de plus en plus prisée auprès des professionnels de la santé, son efficacité demeure à prouver dans plusieurs secteurs, dont celui des individus âgés institutionnalisés ayant des symptômes dépressifs. La présente étude s'est par conséquent donnée pour objectif d'explorer, à l'aide d'un protocole à cas unique à niveaux de base multiples en fonction des individus, les effets d'une TAA utilisant des oiseaux sur l'humeur dépressive, l'intérêt, l'énergie, l'appétit, la qualité du sommeil ainsi que sur la symptomatologie dépressive générale de trois personnes âgées. Le maintien dans le temps des effets produits par l'intervention a également été exploré au cours des six semaines de thérapie. L'analyse des résultats révèle que l'ensemble des variables étudiées a été amélioré à au moins une reprise au cours de l'expérimentation. Les gains thérapeutiques observés ont cependant fréquemment été de faible importance et de courte durée. La TAA, instaurée dans le cadre de cette étude, a donc eu un impact limité sur les variables à l'étude.
|
208 |
Efficacité de la thérapie cognitive pour la dépression chez les femmes atteintes d'un cancer métastatique : étude exploratoireLévesque, Mylène 25 February 2021 (has links)
Certaines études indiquent que la dépression est un problème fréquent chez les patients atteints d'un cancer métastatique. L'efficacité de la thérapie cognitive est bien démontrée pour traiter la dépression dans la population générale mais n'a jamais été vérifiée dans le contexte du cancer métastatique. Le but de cette étude est d'évaluer l'efficacité de la thérapie cognitive pour la dépression chez quatre femmes atteintes d'un cancer métastatique à l'aide d'un protocole à cas unique expérimental A-B à niveaux de base multiples. Durant, le niveau de base (A) et le traitement (B), les participantes complètent l'ÉHAD-D et l'IDB hebdomadairement, ainsi qu'une grille d'auto-enregistrement de l'humeur à tous les jours. Les données d'auto-enregistrement et celles obtenues aux deux questionnaires de dépression révèlent que la thérapie cognitive est associée à une amélioration statistiquement et cliniquement significative de l'humeur chez chacune des participantes et que les gains se maintiennent dans le temps jusqu'à 3 mois après la fin du traitement.
|
209 |
L'incidence de la dépression chez les adolescentes mésadaptées socio-affectives d'un centre d'accueilBradshaw, Joanne 25 April 2018 (has links)
Québec Université Laval, Bibliothèque 2016
|
210 |
Programme d'éveil énergétique et ses effets sur l'ouverture à l'apprentissage chez des adolescents dépressifs et des adolescents schizophrènesJacques, Maurice 25 April 2018 (has links)
Québec Université Laval, Bibliothèque 2015
|
Page generated in 0.07 seconds