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Información, representación mental y comportamiendo en DretskeVargas Rojas, Antonio January 2008 (has links)
El presente trabajo pretende analizar el alcance y relevancia que tiene la teoría de las representaciones mentales del filósofo norteamericano Fred Dretske para los desarrollos actuales en filosofía de la ciencia cognitiva. Como se verá su teoría contribuye al esclarecimiento de la naturaleza y funcionamiento de la mente y, de este modo, a la fundamentación de muchas de las presuposiciones sustantivas de la ciencia cognitiva contemporánea. Su aporte en este tópico dice relación con dos dimensiones de las representaciones mentales que están estrechamente relacionadas: (i) la individuación naturalista del contenido representacional sobre bases informacionales y (ii) la determinación del contenido intencional de una representación en virtud del control que esta ejerce sobre los mecanismos efectores de las respuestas de un organismo a estímulos determinados de su entorno. El tratamiento de (i) y (ii), no solamente tiene implicancias para las presuposiciones sustantivas de la ciencia cognitiva, sino que, además, esclarecen materias importantes relativas al aprendizaje como uno de los temas centrales de la ciencia cognitiva.
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Meaning, Functions, and the Promise of Indicator SemanticsRichardson, Jason 19 July 1996 (has links)
In this thesis, I first present Fred Dretske's theory of mental represent- ations, which purports to show how a physical thing could have (non-derived) meaning. In order to illustrate the applicability of the theory to an actual physical system, I discuss the theory in relation to two theories of audio localization (i.e., the capacity to locate the source of sounds in one's environment). Having clarified the theory, I examine two charges laid against it. Lynne Rudder Baker charges the theory with circularity. Her charge is refuted by appealing to the concept of a "standby function." Stephen Stich charges the theory with vagueness. His charge is refuted by appealing to a general analysis of functions. I conclude that a careful use and analysis of the previously unanalyzed term "function" makes possible the refutation of these two charges. / Master of Arts
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Les tentatives contemporaines de sémantique naturaliste et l'héritage peircienMarcy, Thomas 29 November 2008 (has links)
Cette thèse aborde un sujet très débattu dans la philosophie de l’esprit et les sciences cognitives contemporaines : la naturalisation de l’intentionnalité en vue d’une théorie générale de la signification exprimable dans les prédicats des sciences naturelles. La première partie expose comment, à partir des années 1960 a évolué le programme collectif de naturalisation, depuis le fonctionnalisme jusqu’à ce qu’on peut appeler le « tournant naturaliste » du début des années 1970 dû à l’essor des sciences cognitives et à une forte remise en cause du fonctionnalisme, notamment en ce qui concerne la prise en compte de l’indexicalité des significations (cf. Kripke 1971, Putnam 1975). La deuxième partie expose les deux types de stratégies qui s’esquissent alors au début des années 1980 : d’une part la voie de la « sémantique informationnelle » (SI) (initiée par Fred Dretske et poursuivie aussi par Jerry Fodor, ce dernier défendant un symbolisme cérébral) où il s’agit de fonder l’intentionnalité sur des rapports nomologiques informatifs. D’autre part la voie de la « téléosémantique » (TS) (initiée par Ruth G. Millikan, suivie notamment par David Papineau) qui consiste à expliquer le développement de l’intentionnalité jusqu’à la cognition conceptuelle à partir de contraintes évolutionnistes. La troisième partie opère un « tournant sémiotique » en examinant la théorie logique et métaphysique des signes chez Charles S. Peirce (1845-1914), dont Millikan déclare s’être initialement inspirée. Il s’agit de montrer que la conception peircienne de l’intentionnalité, qui conçoit celle-ci comme un processus inférentiel réalisé dans des signes fonctionnant de manière iconique, est effectivement la voie permettant de fonder une nouvelle conception de la représentation symbolique qui évite d’avoir à assumer les présupposés métaphysiques du cognitivisme computationnel propres à la SI ; cela en développant une notion de signe naturel qui rend compte des faits découverts par les sciences cognitives sans tomber pour autant dans le psychologisme. La quatrième partie constitue alors l’ébauche de ce que pourrait être une philosophie de l’esprit élaborée à partir du concept écologique de signe cognitif, celui-ci comportant une dimension logique (une relation triadique, au sens où l’entend la logique des relatifs de Peirce) et une dimension proprement comportementale (également triadique, mais dépourvue d’auto-contrôle : ce pour quoi on crée le concept d’Image comportementale). Un examen sur la question de l’indexicalité montre que la bonne appréhension du problème consiste en effet à bien penser l’articulation entre les fonctions indexicales et iconiques du signe, qui ne prend la forme d’un rapport contrôlé d’intentionnalité seconde que dans le cadre d’un système symbolique régi par des conventions syntaxiques / The subject of this thesis is the naturalizing project of intentionality, i.e. a theory of meaning expressible in natural sciences predicates. Part I expose the functionalist program in the 1960’ and its calling into question during the 1970’ by the development of cognitive sciences and indexicality problem (Kripke 1971, Putnam 1975). Part II is devoted to the alternative strategies developed since the beginning of the 1980’. In one hand : the “information semantics”, i.e. a nomic grounded semantics initiated by Fred Dretske (followed by Jerry Fodor). On the other hand: the “teleosemantics” of Ruth G. Millikan (followed by David Papineau) which seeks to found the theory of cognition on evolutionary constraints. Part III proceeds to a “semeiotic turn” by analyzing the logical and metaphysical theory of signs of Charles S. Peirce (1845-1914), one of the most prominent sources of Millikan’s thesis. Indeed, Peirce’s conception of cognition as an inferential process grounded in iconic signs is the very way of a naturalistic theory of symbols which symmetrically avoids the metaphysical prejudices of computational cognitivism and psychologism. Then Part IV try to sketch out the project of an ecological theory of mind based on the concept of a multi-functional intentional sign (a sign of which the inferential function of self-control is not reducible to the simpler behavioural functions). In this part we argue in favour of a new behavioural concept : the “Image”. A last development concerning the indexicality problem tends to prove that the matter consists in an adequate description of the relations between iconic and indexical functions in the sign, by which it is possible to understand the specificity of syntactical and conventional systems of expression
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Searle on IntentionalityAllen, Benjamin T. 25 September 2008 (has links)
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Les problèmes de la causalité mentale / The problems of Mental CausalityFournier, Laure 22 October 2013 (has links)
Quel type de choses sont les raisons que nous donnons pour expliquer nos comportements ? Sont-ce des entités dans nos cerveaux causalement responsables de nos actions ? Sinon, doit-on accepter le dualisme cartésien ? Faut-il croire avec Davidson que les raisons sont des entités physiques pourtant impossibles à identifier en termes physiques ? Nous proposons une réponse alternative : les raisons sont des choses dont nous ne faisons pas l’expérience. Elles peuvent être dites guider nos actions, en vertu d’une cohérence que nous acquérons à travers le temps, en même temps qu’une identité personnelle claire. On défend donc ici la thèse wittgensteinienne selon laquelle les raisons ne sont pas des causes, et l’on cherche ce qu’elles sont positivement. Car il y a bien une différence, dans la réalité physique, entre agir pour une raison ou l’autre. Mais c’est une réalité que l’on recherche et construit, et non que l’on observe et nomme. En parlant de nos raisons, on parle avant de savoir, pour faire advenir quelque chose –quelque chose de physique, comme toute chose.On soutient ainsi contre Kim qu’il est possible de croire à la pertinence propre des raisons, tout en restant moniste, sans dommage pour la rationalité humaine.Tout ceci a d’importantes conséquences éthiques : l’évaluation des raisons et intentions n’est sensée que si elle est une tentative pour bien agir ; elle sera toujours non pertinente pour définir les actions passées, et cela remet gravement en cause la notion de mérite. Ainsi proposons-nous de concevoir la morale de façon dynamique, comme étant ce que l’on cherche toujours à rendre possible. / What kind of things are the reasons we use to explain our behavior? Are they material entities in the brain, causing actions? Are they, as Davidson says, physical entities that we cannot identify in physical terms? Are we forced to accept Cartesian dualism? This thesis proposes another answer. Reasons are not experienced. They are sought through action and conceptualization. They may be said to guide our actions, but not as events which cause actions; rather, they serve, over time, to construct coherent behavior and stable personal identity.We defend here the Wittgensteinian thesis that reasons are not causes. We show that it is consistent with monism. The difference between acting for this or that reason does exist in reality, but it is a reality that we construct and pursue, not one that we experience and name. This is because when we give reasons, we speak before knowing, in order to make something exist.Thus we argue, against Kim, that it is possible to be a monist, to defend the importance of rational explanations, and to deny the possibility of reducing reasons to causes. Indeed, the knowledge necessary to do so would be far beyond the knowledge we require to speak the language of reasons.This conception of reasons as things that we seek rather than thing that we experience has important consequences in ethics. Namely, that the evaluation of reasons or intentions only makes sense when one attempts to act appropriately; it is irrelevant in defining past actions. This means that the very idea of merit is problematic, and that morality itself is something we must constantly work to make possible.
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Uma investigaÃÃo sobre o poder causal da informaÃÃo em gerar conhecimento a partir da obra knowledge and the flow of information, de Fred Dretske / An investigation about the causal power of information to generate knowledge from work Knowledge and the Flow of Information by Fred DretskeFrancisco DÃrio de Andrade Bandeira 25 November 2015 (has links)
CoordenaÃÃo de AperfeÃoamento de Pessoal de NÃvel Superior / As demandas intensas por informaÃÃo em nossos dias levam à constataÃÃo de que a informaÃÃo possui grande poder causal. Existe uma diversidade de significados do termo informaÃÃo e tambÃm diversas abordagens de pesquisa, isto pode ser explicado pelos diferentes modos de ocorrÃncia da informaÃÃo ou mesmo pela complexidade do termo. à parte dessas tensÃes, considera-se em geral, que a informaÃÃo à um bem precioso, uma commodity porque constitui-se num ingrediente fundamental para a geraÃÃo do conhecimento. Mas, de fato, como a informaÃÃo causa algo, como ela gera conhecimento? Esta pesquisa propÃe-se a responder tal questÃo a partir da obra de Fred Dretske (1981). O filÃsofo propÃs uma semÃntica informacional na qual procura, dentre outras coisas, explicitar como essa entidade imaterial, vinculada à percepÃÃo, pode gerar conhecimento. Tomando como centrais algumas noÃÃes da teoria matemÃtica da comunicaÃÃo, Dretske considera que a informaÃÃo està envolta numa rede de relaÃÃes causais e regularidades nÃmicas que propiciam a um dado receptor, quando capaz de interpretar devidamente uma mensagem recebida, a garantia de acesso a um estado de conhecimento de 100% dos eventos na fonte. Explicitado o percurso da argumentaÃÃo dretskiana, argumenta-se que, mesmo diante de importantes crÃticas, a exigÃncia probabilÃstica de Dretske poderia, uma vez revisada, auxiliar na compreensÃo da noÃÃo de conhecimento comumente utilizada pelas pessoas nos seus diferentes mundos. / The intensive demand for information nowadays confirms that information has an huge casual power. Thereâs a diversity of meaning of information and research approach, which can be explained by the different modes of occurrence of information, or even by the complexity of the term. Beyond these tensions, information is generally a valuable resource, a commodity, because itâs an essential element for generation of knowledge. But how information influences the human phenomena? How information contributes for generation of knowledge? This research aims to answer this question based on the work of Fred Dretske (1981). This philosopher proposed an informational semantic that explain how the immaterial side of information, which is related to perception, influences the generation of knowledge. Considering some aspects of mathematical theory of communication, Dretske presents information surrounded by a network of casual relations and nomic regularities that allows the receptor (a person able to understand properly a received message) to have full access to the events of an information resource. This study concludes that the Dretskian notion of information, despite the criticism for its probabilistic nature, once review, offers important insights that help us to understand how knowledge is created in different worlds of information.
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In Defense of Representational Explanations for Connectionist SystemsLamb, Maurice J. 29 July 2010 (has links)
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