INTRODUCCIÓ: Nombroses investigacions afirmen que el cannabis es la droga d’abús més freqüentment consumida entre els pacients amb un primer episodi psicòtic (Lindszen et. al., 1994). La seva prevalença de consum oscil·la entre un 13% y un 64% (Compton, Whicker y Hochman, 2007). El cannabis pot jugar un paper important en el desenvolupament de l’esquizofrènia. La relació que s’estableix entre el consum de cannabis i la simptomatologia psicòtica així com amb el rendiment neurocognitiu és objecte de debat. Pel que fa a l’estudi de la relació entre el consum de cannabis i el nivell d’insight, el cos de coneixement científic és mínim. OBJETIU GENERAL: Analitzar la relació entre el consum de cannabis i la simptomatologia psicòtica, el nivell d’insight i el rendiment cognitiu en pacients amb un primer episodi psicòtic. MÈTODE: Estudi descriptiu transversal. Estudi longitudinal per a una submostra amb seguiment a les 6-8 setmanes amb tres moments d’avaluació de la simptomatologia clínica. Mostra formada per 82 subjectes diagnosticats d’un primer episodi psicòtic. Instruments emprats: qüestionari sociodemogràfic i clínic; qüestionari de consum de substàncies; escala PANSS; escala SUMD; TAVEC/TAVECI; CPT; STROOP; TMT-A; TMT-B; subescales Dígits i Vocabulari de l’Escala d’Intel·ligència Weschler per a adults/nens). Anàlisi de les dades amb el paquet estadístic SPSS 17.0. RESULTATS: Al moment de màxima simptomatologia, els subjectes consumidors de cannabis presenten puntuacions més altes a la dimensió PANSS Positiva que els subjectes no consumidors (Mitjana: 23.67, D.E.: 5.39 vs Mitjana: 20.47, D.E.: 6.69). Aquests resultats es mantenen estables després d’ajustar per possibles variables de confusió. Al moment d’ingrés hospitalari s’observen puntuacions inferiors a les dimensions PANSS-Negativa i PANSS-General entre els subjectes consumidors en comparació amb els no consumidors de cannabis (Mitjana: 14.96, D.E.: 6.54 vs Mitjana: 18.85, D.E.: 7.24, p=0.009 i Mitjana: 35.80, D.E.: 1.82 vs Mitjana: 42.12 D.E.: 1.82, p= 0.035 respectivament). Al moment d’estabilització dels símptomes els subjectes consumidors de cannabis presenten puntuacions inferiors als subjectes no consumidors a les tres dimensions de PANSS (Positiva, Negativa i General) (Mitjana: 11.34, D.E.: 4.79 vs Mitjana: 13.35, D.E.: 4.59, p= 0.009, Mitjana: 11.92, D.E.: 3.65 vs Mitjana: 16.00, D.E.: 7.67, p= 0.007 i Mitjana: 27.60, D.E.: 1.30 vs Mitjana: 31.40, D.E.: 1.30, p= 0.040 respectivament). Les puntuacions a la dimensió PANSS Positiva evolucionen millor en el temps entre els subjectes consumidors en comparació amb els no consumidors (gl=2; F=6.497; p=0.002).Les puntuacions de la dimensió SUMD1 (Consciència de Malaltia) evolucionen millor entre els subjectes consumidors en comparació amb els no consumidors (gl=2; F=4.721; p=0.011). No s’observen altres diferències significatives. CONCLUSIONS: Els subjectes amb un primer episodi psicòtic que consumeixen cannabis presenten una simptomatologia psicòtica positiva més greu que els pacients no consumidors al moment de màxima gravetat dels símptomes. Els subjectes amb un primer episodi psicòtic que consumeixen cannabis presenten una simptomatologia negativa i general menys severa que els subjectes no consumidors en el moment d’ingrés hospitalari. Els subjectes consumidors de cannabis presenten una simptomatologia positiva, negativa i general menys greu que els subjectes no consumidors en el moment d’estabilització dels símptomes. Els subjectes consumidors de cannabis presenten una millor evolució de la simptomatologia positiva en comparació amb els subjectes no consumidors. Els subjectes consumidors presenten una millor evolució de la dimensió Consciència de Malaltia que els subjectes no consumidors de cannabis.

Texte remanié de: Diss.--New Haven (Conn.)--Yale univ., 1999. Titre de soutenance : Dangerous remedies : poison and theater in the English renaissance. / Bibliogr. p.187-204. Index.

Mémoire numérisé par la Direction des bibliothèques de l'Université de Montréal.

Mémoire numérisé par la Division de la gestion de documents et des archives de l'Université de Montréal.

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Une recension des écrits sur la toxicomanie, ses enjeux chez les jeunes et sur les approches d'intervention a été faite afin de faire le point sur les connaissances actuelles.Une description du programme du Dôme, basée sur la communauté thérapeutique, offert aux jeunes réfractaires à l'aide a également été effectuée. Enfin, les liens existants entre les caractéristiques et le fonctionnement dans le programme de réadaptation ont été explorés. Vingt (20) jeunes inscrits au dôme ont participé à l'étude. Les résultats exploratoires indiquent qu'il semble y avoir un lien entre le rendement dans le programme et la lourdeur de la consommation, l'estime de soi, l'indice de bien-être personnel, l'anxiété ressentie et la motivation à vouloir modifier sa consommation suite au programme. Contrairement à ce qui était supposé, l'âge et le nombre d'incidents de parcours vécus par les sujets ne semblent pas influencer le rendement dans le programme. Afin d'éviter de mettre en échec ces jeunes dont le parcours de vie est déjà chargé d'embûches, il importe donc de chercher à identifier les facteurs prédictifs d'un meilleur fonctionnement dans le programme de réadaptation. Cette démarche exploratoire renforce la pertinence de mener d'autres études sur la relation entre les caractéristiques personnelles et le fonctionnement dans les programmes.

Contexte : En moyenne, les garçons consomment du cannabis à un plus jeune âge et plus fréquemment que les filles. Ces écarts entre les sexes pourraient être influencés par le contexte scolaire et le sentiment d’appartenance à l’école puisque l’environnement social affecterait différemment la consommation des garçons et les filles. Cette recherche étudie la présence d’une potentielle variation entre écoles et d’un potentiel effet du sentiment d’appartenance sur l’écart dans la consommation de cannabis des garçons et des filles. Méthodes : Des régressions multiniveaux ont été réalisées à l’aide des données issues du questionnaire COMPASS-Québec de 2017 complété par 6 185 adolescents de 11 écoles secondaires. Résultats : Globalement, bien que les garçons consommaient plus fréquemment du cannabis que les filles, un sentiment d’appartenance plus élevé était associé à une initiation à la consommation à un âge plus tardif et une consommation moins fréquente. La différence de consommation mensuelle de cannabis entre les sexes variait selon l’école et selon le sentiment d’appartenance à l’école. Chez les élèves les moins connectés à leur école (quartile 1), les filles avaient un risque de consommation mensuelle similaire aux garçons, alors que les filles avaient un risque plus faible de 75 % par rapport aux garçons chez les élèves les plus connectés (quartile 4). Aucune différence entre les garçons et les filles n’a été observée avec la consommation précoce de cannabis, et ce, peu importe le niveau du sentiment d’appartenance. Conclusion : Les programmes en milieu scolaire ont avantage à développer le sentiment d’appartenance à l’école pour réduire la consommation de cannabis des élèves. En complémentarité, des interventions visant spécifiquement la consommation des garçons sont à envisager puisque le sentiment d’appartenance à l’école semble être un facteur protecteur plus fort chez les filles que chez les garçons. / Texte en français, comprend un article en anglais

Dans le cadre d'une tentative de compréhension et d'explication plus approfondie des dynamiques sociopolitiques et normatives complexes ayant présidé à l'institutionnalisation de la coopération multilatérale régionale en matière de lutte contre le narcotrafic dans les Amériques, cette thèse interdisciplinaire aborde un problème théorique inexploré dans la littérature sur les communautés de sécurité pluralistes (CSP), l'approche théorique retenue aux fins de l'étude. Ce problème tient précisément à l'absence de travaux traitant des puissances moyennes en qualité de noyaux durs dans les dynamiques de construction des CSP. En effet, s'il existe quelques travaux qui soulignent le rôle particulier des noyaux durs dans les processus de construction des CSP, ces travaux se limitent très souvent aux grandes puissances ou aux organisations internationales, négligeant par le fait même l'apport d'une autre catégorie de noyaux durs, à savoir les puissances dites moyennes. Sans rejeter totalement les conclusions des études antérieures, cette étude sur les CSP propose une piste nouvelle à trois égards tout au moins : (1) par son accent sur le rôle des puissances moyennes en tant que noyaux durs, (2) par son angle d'étude interdisciplinaire (Relations internationales et Droit international) et (3) par sa conceptualisation du leadership des puissances moyennes en termes de rôle social. Privilégiant pour ainsi dire une approche intersubjective et configurationnelle du leadership, l'étude pose la question spécifique de savoir si les actions posées par une puissance moyenne ont un impact sur le développement d'une CSP. En réponse à cette question, nous avançons l'hypothèse selon laquelle les actions d'une puissance moyenne renforcent le développement d'une CSP. En plus de démontrer la fécondité heuristique de la théorie des rôles dans l'étude des processus de construction d'une CSP, les résultats de recherche sur le cas du Canada dans le contexte interaméricain de lutte contre le narcotrafic et les infractions connexes confirment notre hypothèse de recherche.

Le dopage sportif se définit comme étant l’acte d’absorber une substance interdite pour améliorer ses performances sportives autant physiques que mentales. Le dopage sportif attire l’attention des médias et des chercheurs puisqu’il s’agit d’un phénomène qui prend de l’ampleur spécialement chez les jeunes et les adolescents, et notamment les garçons de 13 à 17 ans. Pour contrer ce problème, des programmes de prévention du dopage sportif ont été mis en place par plusieurs organisations. Toutefois, à notre connaissance, peu de ces programmes semblent avoir été évalués. L’objectif de l’étude est d’évaluer par une méthodologie qualitative une formation en ligne, destinée aux entraîneurs et visant à prévenir le dopage chez les joueurs de hockey de 13 à 17 ans au Québec. Des entrevues semi-dirigées ont été effectuées avec six entraîneurs ayant suivi la formation, afin d’obtenir leur perception et appréciation à l’égard de la mise en oeuvre de la formation, et de leur capacité à soutenir la mise en oeuvre d’interventions préventives auprès des joueurs. La méthode d’analyse de contenu de Paillé et Mucchielli (2012) a été utilisée pour conduire l’analyse des données. Un modèle adapté du cadre de Phillips (1996) ainsi que du Consolidated model Framework for Implementation Research (CFIR) de Damschroder et ses collaborateurs (2009), a été utilisé comme référence pour l’analyse.